CONSTITUTION
de la
CONFÉRENCE 
MONDIALE DE LES ÉGLISES CHRÉTIENNES DE DIEU (CCG)
 
Article 1  
Nom
Cette organisation sera connue sous le nom Les 
Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) et son corps dirigeant sera connu sous le nom 
la Conférence Mondiale des Églises Chrétiennes de Dieu ou, dans sa forme 
abrégée, Églises Chrétiennes de Dieu (Conférence Mondiale) et, ci-après appelée, 
la Conférence Mondiale. La Conférence Mondiale contrôlera, en tant que parent, 
toutes les Conférences de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) à travers le 
monde. La Conférence Mondiale peut être un Membre de la Conférence Mondiale des 
Églises de Dieu en association d’entente avec des églises autres que Les Églises 
Chrétiennes de Dieu (CCG).
Le but de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) est 
de prêcher l’Évangile du Royaume de Dieu à toutes les nations par la parole et 
par l’exemple. 
 
Les diverses églises dans la conférence seront liées 
par les croyances telles que retrouvées dans la publication de l’église : Les 
Dépositions des Croyances de la Foi Chrétienne (quatrième édition) ou telle 
qu’amendée et publiée, en autant qu’un tel amendement n’essaie pas de 
compromettre la simplicité Unitarienne de la foi ou d’introduire une doctrine 
soit Trinitaire, soit Binitaire, soit Dithéiste.
 
(1) 
Cette Conférence est sans restriction juridictionnelle. C’est elle qui détermine 
les frontières régionales pour la coordination et l’approbation des églises 
nationales qui sont membres et les églises membres de Les Églises Chrétiennes de 
Dieu (CCG).
(2) 
La Conférence peut prêter assistance à n’importe laquelle des Conférences de 
l’Église ou à toute autre Conférence qui en fait la demande. Elle peut agir 
seule ou en conjonction avec d’autres Conférences. 
(3) 
La Conférence Mondiale nommera des directeurs régionaux pour la coordination des 
églises nationales qui seront responsables face à la Conférence Mondiale de 
l’exactitude de la doctrine et du bon fonctionnement administratif de leur 
propre église et ce, à l’intérieur de la position officielle telle que publiée 
par l’église.
(4) 
La Conférence Mondiale contrôlera le site Internet et les médias et toutes les 
églises  devront adhérer à la 
doctrine telle qu’elle est publiée.
(5) 
Les Conférences Nationales peuvent effectuer des campagnes médiatiques. Ces 
campagnes devront être en accord avec la doctrine de l’église et sujettes à la 
révision et à la coordination par la Conférence Mondiale.
 
Cette Conférence sera composée des Églises actuelles, 
incluant l’Église de la Conférence, et futures qui seront reçues comme membres 
par cette Conférence.
 
Section 1. 
Officiers de la Conférence Mondiale
(1) 
Le Coordonnateur Général et l’Adjoint Coordonnateur Général sont les deux 
officiers qui contrôlent cette Conférence. Ils occuperont leurs postes pour la 
période couvrant la Fête des Tentes à partir de la septième année du cycle 
jusqu’au Dernier Grand Jour de la Fête des Tentes du cycle suivant. 
Si l’un des deux coordonnateurs décédait, le remplaçant devra être choisi 
par tirage au sort parmi les anciens de la conférence qui restent parmi les 
directeurs régionaux et les directeurs des églises nationales. L’officier 
restant, soit le Coordonnateur Général ou son adjoint, devra approuver la 
conformité de la doctrine du remplaçant. Le nouvel officier remplira la fonction 
d’adjoint. Advenant le décès des deux, leurs remplaçants seront choisis par 
tirage au sort à l’intérieur de la Conférence. Tel que prévu dans la section 
1(2) ci-dessous, si les deux coordonnateurs devaient mourir, ils sont remplacés 
par les Assistants Coordonnateurs Généraux et leurs remplaçants devront être 
choisis par tirage au sort parmi les Anciens de la Conférence.
(2) 
L’Exécutif de la Conférence sera élargi et deux autres Anciens seront choisis 
par tirage au sort. Ils rempliront les fonctions en tant que troisième et 
quatrième officiers de la Conférence Mondiale et ils seront connus sous les 
titres d’Assistant Coordonnateur Général et d’Assistant Adjoint Coordonnateur 
Général. À la fin de chaque période de sept ans, lors de l’année de Sabbat, les 
quatre coordonnateurs généraux incluant tous coordonnateurs généraux et Adjoints 
coordonnateurs sortants, seront placés dans un tirage au sort pour être réélus 
en poste. Si un Coordonnateur Général est ainsi choisi, alors il poursuivra son 
poste pour la période prolongée par la nouvelle nomination. 
(3) 
Le Secrétaire Trésorier Général est un membre supplémentaire de la Conférence et 
du Comité Exécutif. Le Secrétaire Général sera assisté par deux Assistants 
Secrétaires Généraux qui sont aussi membres du Comité Exécutif de la Conférence 
Mondiale. L’âge obligatoire de retraite de tout Secrétaire Général est de 
soixante-dix ans. 
(4) 
Le Conseil des Anciens sera formé de coordonnateurs régionaux et de 
coordonnateurs nationaux provenant des églises nationales ou choisis parmi 
elles.
(5) 
Les directions des églises nationales de chaque région devront inclure chaque 
conseil régional et tout autre officier nommé par le Coordonnateur Général ou 
par son Adjoint.
(6) 
Le Conseil des Anciens devra se réunir au complet au moins à chaque septième 
année, soit l’année de Sabbat et à tout autre moment tel que déterminé par les 
Coordonnateurs Généraux et le Comité Exécutif de la Conférence Mondiale. Les 
affaires courantes peuvent être réglées par des sous-comités régionaux, tel 
qu’endossés par les Coordonnateurs Généraux. Les réunions du Conseil des Anciens 
peuvent se tenir en régions par moyens électroniques ou en Comité selon les 
directives des Coordonnateurs Généraux.
(7) 
Le Conseil composé de la direction de chaque Conférence Nationale, des 
Directeurs Régionaux des groupes Nationaux, des Coordonnateurs Généraux et des 
Assistants Coordonnateurs Généraux seront tous placés dans un tirage au sort 
pour réélire les officiers du Comité Exécutif , soit comme Coordonnateur 
Général, soit comme Adjoint Coordonnateur Général, soit comme Assistant 
Coordonnateur Général. Tout tirage au sort devra être effectué selon les 
procédures établies et être supervisé adéquatement. Des scrutateurs doivent 
s’assurer de l’impartialité du tirage au sort. 
 
Section 2 : 
Églises de la Conférence.
Lorsque accréditées, les églises de la Conférence 
devront, autant que possible, être composées de groupes linguistiques ou 
nationaux. Toutefois, les églises peuvent être régionales, couvrant ainsi plus 
d’une région nationale, jusqu’au moment où des églises nationales seront 
accréditées. Elles sont toutes formées à l’intérieur de la constitution de 
la Conférence Mondiale et dérivent leur autorité et leur existence en tant 
qu’entités légales de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) en vertu de leur 
endossement en recevant leur accréditation de la Conférence Mondiale de 
Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG). 
Les Églises Nationales doivent être soumises à une 
période de probation de sept ans à compter de leur admission au statut de membre 
national potentiel. Elles doivent conduire leurs affaires internes sous la 
supervision et la discrétion de la Conférence Mondiale et sous le contrôle de la 
constitution.
La Conférence Mondiale devra être convoquée par le 
Coordonnateur Général ou par l’Adjoint Coordonnateur Général à l’endroit et à la 
date de son choix. Si les deux meurent, le Secrétaire Général et les Assistants 
Secrétaires Généraux ou tout autre officier nommé à ce poste ont le pouvoir de 
convoquer la conférence qui comprendra les coordonnateurs généraux et les 
directeurs tant régionaux que nationaux restants sur le Conseil des Anciens 
ainsi que les trois Secrétaires Généraux.
Les conférences régionales peuvent être convoquées 
par le coordonnateur régional ou par les officiers de la Conférence Mondiale qui 
en détermineront la nature et la composition.
Les Sessions régulières des Conférences nationales 
membres devront être tenues à tous les sept ans à l’endroit et au temps convenus 
par le Comité Exécutif et promulguées par mémorandum. Ces réunions devront avoir 
lieu entre le Premier Jour du Premier Mois (appelé 1 Abib ou Nisan) et la fin de 
la Pâque et de la Fête des Pains sans Levain commençant la septième année, soit 
l’année de Sabbat selon le calendrier publié par CCG. L’Année du Jubilé devra 
être additionnée au cycle Sabbatique en tant que huitième année dans le calcul 
de la durée du poste durant ce cycle. 
Chaque Conférence Nationale devra tenir une réunion 
annuelle dans le but de fournir ses rapports et ses états financiers à la 
Conférence Mondiale et à ses auditeurs et aux autorités gouvernementales tel que 
stipulé par la loi.
 
(1) 
Des Sessions Spéciales des Conférences Nationales peuvent être convoquées par la 
Conférence Mondiale ou par le Comité Exécutif de la Conférence Nationale ou par 
toute autre personne autorisée par la Conférence Mondiale ou par la Conférence 
Nationale et ce, à l’endroit et au moment déterminés par celui qui les convoque. 
Une Session d’Urgence de la Conférence Mondiale ou de la Conférence Nationale 
devra être convoquée suite à une requête écrite par les détenteurs de postes 
représentant une majorité des Églises faisant partie de cette Conférence. Les 
Églises nouvellement admises sont considérées en tant qu’églises potentielles et 
sont exclues du vote dans les sessions de la Conférence Mondiale au cours de 
leur période de probation de sept années.
 
(2) 
Les sujets abordés lors d’une Session Spéciale ou d’Urgence d’une Conférence 
Nationale devront être:
(a)    
Les sujets spécifiés dans l’avis de convocation de la réunion et 
(b)    Tout 
autre sujet déterminé par une résolution présentée pendant la Session Spéciale 
ou d’Urgence et adoptée par au moins les deux tiers de ceux qui auront voté.
(c)  
Le quorum ne sera pas moins de cinquante pour cent des délégués éligibles 
ou, dans le cas de congrégations individuelles, pas moins de cinquante pour cent 
de la congrégation.
(3) 
Sujet aux conditions mentionnées ci-dessus, lors d’une Session Spéciale ou 
d’Urgence, on peut élire des officiers, d’autres personnes ou des comités et 
transiger toutes affaires ou tout autre acte comme une session régulière selon 
cette Constitution ou comme le Comité Exécutif peut, entre les sessions, élire, 
transiger ou agir.
L’avis de la date et de l’endroit de chaque session 
devra être donné au moins trois semaines, soit vingt et un jours avant la date 
d’ouverture de la dite session de la manière déterminée par celui qui la 
convoque selon la loi.
Chaque délégué aux sessions a droit à un vote sur 
chaque question. Le président de la session aura un vote délibérant. Dans le cas 
d’égalité des votes, il aura un vote prépondérant. Les questions administratives 
seront résolues par vote majoritaire. Les questions doctrinales sont déterminées 
par la Conférence Mondiale et publiées dans les médias. Les délégués aux 
sessions, qui vivent dans une région trop éloignée de l’endroit où se tiennent 
les réunions ordinaires, peuvent, selon les politiques de la Conférence 
Mondiale, voter par procuration et envoyer leur vote au président et aux 
secrétaires de chaque conférence. Dans tous les autres cas, chaque membre 
ordinaire a droit à un vote dans sa conférence locale.
Tel que réglementé ci-après, les Conférences 
Nationales en session auront le plein pouvoir de déterminer toutes les questions 
relatives à l’ordre et au bon gouvernement de leur Conférence et la bonne marche 
de leurs affaires. Les politiques et les résolutions adoptées par la Conférence 
Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) sont obligatoirement applicables à 
toutes les Conférences Nationales.  
Si la Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) cherchait à 
devenir membre d’une des Conférences Mondiales des Églises de Dieu, alors une 
telle résolution ne lierait en aucun cas une autre conférence, à moins que la 
résolution soit ratifiée par la Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes 
de Dieu (CCG). Une telle résolution ne devra compromettre la structure contenue 
dans Les Dépositions des Croyances de la Foi Chrétienne concernant la Divinité 
et la loi. Aucune résolution qui serait en contradiction avec la Loi Biblique ou 
qui mettrait en doute la souveraineté de Dieu et l’exposition Biblique de la 
nature de Dieu et de son Fils Jésus-Christ, ne liera la Conférence de Les 
Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) ou ses membres. Cette décision est, en premier 
lieu, celle de la Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG).
Section 1 :
(1) 
La Conférence Mondiale doit être composée des officiers en poste qui sont le Comité Exécutif  de la 
conférence (jusqu’à sept membres) et les membres du Conseil de la Conférence 
Régionale étant les directeurs nationaux et les directeurs régionaux. En région, 
la Conférence a le pouvoir d’agir et de se réunir en sous-comité sous la 
supervision des officiers de l’église pour toutes questions administratives. Le 
conseil entier peut être convoqué pour des questions doctrinales ou pour 
d’autres questions. Cependant, les deux officiers de l’Église peuvent, en tant 
que Coordonnateurs Généraux, exercer un droit de veto sur toute motion ou 
activité qu’ils jugent comme attaquant l’intégrité doctrinale et fonctionnelle 
de l’église pour laquelle elle a été fondée.
 
(2) 
Les délégués aux Conférences Nationales doivent être:
(a)  
Accrédités par les églises dûment autorisées par la Conférence Mondiale à 
participer à la Conférence Nationale. Les églises peuvent être acceptées en 
Conférence quand la Conférence Mondiale a autorisé la formation de l’église 
locale et sa participation à la Conférence Nationale. Pour chaque portion de 10 
membres ou sa fraction majeure, chaque église aura droit à un délégué.
(b)  
Tous les membres du Comité Exécutif de la Conférence.
(c)  
Ceux qui résident dans le territoire de la Conférence et qui détiennent 
les lettres de créances, accréditations et certificats suivants émis
par cette conférence:
(i)   
Lettres de Créances Ministérielles etc.,
(ii)  
Lettres de Créances de Missionnaire etc.,
(iii) 
Lettres de Créances d’Évangéliste, de Rédacteur, de Média et de 
Littérature
(iv) 
Lettres de Créances d’Enseignants ou d’Instructeurs Bibliques etc.
 
(d)  
Un membre de la Conférence Mondiale présente, ou toute autre personne 
possédant des aptitudes importantes, tel que recommandé par le Comité Exécutif, 
ou par le comité dûment appointé en délégation, et accepté par vote des délégués 
en session. Le nombre de tels délégués ne doit pas excéder vingt pour cent des 
délégués dûment accrédités par les églises organisées.
 
(3) 
Ces mêmes délégués en général doivent avoir le droit de rencontrer les membres 
de l’église à laquelle ils appartiennent, et ils doivent avoir le plein droit de 
voter, dans cette église, sur tous les sujets soumis aux votes durant la session 
dûment constituée et convoquée.
 
Article 7 
Lettres de Créances, Accréditations et Certificats
Section 1 :
(1) 
La Conférence Mondiale par l’entremise soit du Coordonnateur Général, soit de 
l’Adjoint Coordonnateur Général, soit de leur représentant nommé régional ou 
national, a le pouvoir d’ordonner les ministres de l’église, soit anciens, soit 
diacres. À leur première rencontre suivant la session, les Comités Exécutifs de 
la Conférence Nationale détermineront qui sont les ministres approuvés à 
l’intérieur de leur juridiction et, par conséquent, remettront les lettres de 
créances, accréditations et certificats, à ces ministres et à toute autre 
personne que le Comité considérera apte à servir la cause de leur Conférence. 
Ils approuveront pour ordination de tels hommes qui auront démontré les preuves 
de leur appel dans le ministère et qui ont été recommandés par leur Conférence 
ou par une Conférence subdivisionnelle. Il n’est pas nécessaire d’ordonner à 
nouveau les Anciens venant de subdivisions de Les Églises Chrétiennes de Dieu 
(CCG). Aucun ministre ne sera rémunéré. Les ministres peuvent occuper un autre 
emploi rémunéré dans l’œuvre. Des allocations peuvent être payées aux membres 
des conseils. Nul membre d’un conseil ne peut aussi être un officier à la solde 
de l’église.
 
(2) 
Nul membre d’un conseil ne peut participer aux discussions, ni voter sur un 
sujet dans lequel le membre ou un parent possède un intérêt, soit financier, 
soit fiduciaire, et ce, jusqu’au troisième degré de consanguinité.
Section 2 :
(1) 
Les lettres de créances, accréditations et certificats alloués ou émis par le 
Comité Exécutif de la Conférence Nationale resteront en force et valides jusqu’à 
la tenue de la prochaine session régulière, à moins qu’ils soient annulés avant 
par le Comité Exécutif pour des motifs de démission, mauvaise conduite ou d’une 
résolution, suite à une mise en accusation devant une cour constituée par une 
Session Spéciale de la Conférence Nationale. Il n’est pas nécessaire de 
physiquement imprimer de nouveau les accréditations 
suite au processus de renouvellement des créances à chaque Année de 
Sabbat. Les accréditations sont assumées être en vigueur à moins que le 
renouvellement  des lettres de 
créances soit refusé et que les créances soient retirées.
 
(2) 
La Conférence Mondiale a le droit d’annuler l’accréditation de toute église ou 
de toute conférence nationale d’agir en tant qu’église ou conférence à 
l’intérieur du corps de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG). Cette révocation 
d’accréditation peut découler d’une question doctrinale ou de toute autre 
question. Toute église à qui on a retiré ses lettres de créances, pour des 
raisons doctrinales ou pour toute autre inconvenance, perd tous ses droits 
d’utiliser tout matériel appartenant à l’église ou d’agir de quelque façon que 
ce soit comme membre ou organisation faisant partie de Les Églises Chrétiennes 
de Dieu (CCG) ou de détenir, dans n’importe laquelle de ses conférences ou 
organisations, toute propriété ou biens au nom de Les Églises Chrétiennes de 
Dieu (CCG).  
(3) 
La révocation des lettres de créances d’un individu, d’une église ou d’une 
conférence est assujettie aux lois de la justice. Toute révocation doit être 
faite suite à une notification écrite de l’accusation. Le système de 
redressement est trouvé à l’Article 20. 
(4) 
Les droits d’auteur de tout le matériel appartiennent à la Conférence Mondiale, 
mais aucun ouvrage ne peut être supprimé par l’utilisation des droits d’auteur. 
Si une telle suppression devait se produire,
dans tous les cas, l’individu, ses 
héritiers ou ses successeurs, peuvent publier leur propre ouvrage dans l’intérêt 
public. Lorsqu’un tel ouvrage est contraire à la saine doctrine,
le dit ouvrage ne sera pas publié par la 
Conférence de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG). Comme mesure 
disciplinaire, l’auteur de cet ouvrage peut perdre son
poste ou son
statut de membre.  Seules 
les publications dûment autorisées par la Conférence Mondiale peuvent utiliser 
les noms, marques de commerce et logos des Églises Chrétiennes de Dieu. Tous les 
noms, marques de commerce, logos et droits d’auteur des conférences nationales 
comme, par exemple, le Christen Gemeenten 
van God aux Pays-Bas, appartiennent à Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) 
et sont autorisés, selon cette constitution, par la Conférence Mondiale. 
Article 8  
Élections
Section 1 :
(1)  
Les Conférences Nationales, en session régulière, éliront:
(a) Des Comités actifs en harmonie avec les principes 
établis par politique de la   
Conférence.
(b) 
Les officiers et les assistants officiers de la Conférence.
(c) 
Les membres du Comité Exécutif.
(d) 
Les secrétaires / directeurs/associés et assistants-directeurs de 
département
 
(2) (a)   
Les personnes élues conserveront leurs postes ou assignations respectifs pour 
sept (7) ans, à moins que leurs postes ou assignations soient terminés avant. 
Une terminaison de poste peut être décrétée par la Conférence Nationale en 
Session Spéciale ou par le Comité Exécutif.
(b) La Conférence Mondiale a le droit et le pouvoir de 
révoquer, pour une raison doctrinale ou pour toute autre raison, l’accréditation 
d’un individu ou d’une église à agir en tant que membre ou église à l’intérieur 
de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG).
 
(c) 
Si la terminaison de poste est faite par motif doctrinal, le motif doit 
être bien spécifié, à savoir comment la conduite, les croyances ou les 
enseignements sont en contradiction avec les croyances de Les Églises 
Chrétiennes de Dieu (CCG), telles que retrouvées dans le document "Les 
Dépositions des Croyances de la Foi Chrétienne". Aucun officier qui adopte une 
Divinité non-Unitarienne ou une autre Divinité différente de celle décrite dans 
l’incorporation de cette église, ne peut occuper un poste.
       
(d) 
Les terminaisons de poste pour autres motifs devront prendre en 
considération le baptême de la personne impliquée dans ce congédiement, à savoir 
si cette faute fut commise avant ou après le baptême. Nulle personne ne peut 
être renvoyée de l’église pour une faute commise avant le baptême et pardonnée 
au repentir. Les motifs doivent être déterminés en fonction de la loi. Si une 
personne agit au détriment de l’église et refuse d’obéir aux directives légales 
des anciens et des chefs de l’église, elle peut être renvoyée. Elle peut 
également être renvoyée si, après son baptême, elle commet un acte criminel. La 
détermination devra être faite en accord avec la justice. La décision peut être 
rendue au niveau national et ratifiée par la Conférence Mondiale ou celle-ci 
peut être prise directement par la Conférence Mondiale, à sa discrétion.
 
Section 2 :
(1)  
La Conférence Mondiale 
ou les Conférences Nationales, en Session, ou leur Comité Exécutif, entre les 
sessions, peuvent établir certains postes, positions et comités comme bon leur 
semble, en prescrire les tâches et les fonctions et y élire les personnes et 
changer ou  terminer de tels postes, 
positions ou comités.
(2)  
Les Églises Nationales 
Potentielles peuvent conduire des affaires internes pendant leur période de 
probation de sept ans mais ne peuvent pas participer aux votes sur les questions 
de la Conférence Mondiale. Leurs représentants aux divisions de conférence 
régionales peuvent fournir des conseils sans voter.
(3)  
Les 
Conférences nationales ont droit à un vote par conférence sur toutes questions 
incluant l'amendement de la constitution. 
(4)  
Aucun groupe de conférences 
nationales ne peut, par vote dans la Conférence Mondiale, engager des dépenses 
directes au-delà de la dîme de la dîme de toutes nations exigée selon la 
constitution. Toute aide en excédant de la dîme de la dîme est volontaire.
 
Section 1 : La 
Conférence Mondiale est telle que spécifiée ci-dessus. 
(1) 
Le Coordonnateur Général dirigera les affaires de la Conférence Mondiale. Il 
peut nommer et ordonner des officiers. Lui et l’Adjoint Coordonnateur Général, 
détermineront le salaire des employés sur la recommandation des conseils 
régionaux, en tenant compte des barèmes salariaux de chaque comité national.
(2) 
L’Adjoint Coordonnateur Général assistera le Coordonnateur Général dans la 
gestion  quotidienne des affaires de 
l’église. Pour une saine administration de l’église et lorsque jugé nécessaire, 
ils peuvent, à l’occasion, occuper un poste au niveau national ou régional. Ces 
deux officiers sont responsables de la préservation des doctrines de l’église. 
Ils sont responsables de l’administration de l’Église. En vertu de leur 
position, ils sont investis des rôles d’officiers de l’église tel que décrit 
dans la Bible et, spécialement, dans le Nouveau Testament (Éphésiens 4:11). Ils 
ont le pouvoir de nommer des personnes à ces positions pour le bon 
fonctionnement de l’église.
(3) 
Le Coordonnateur Général et l’Adjoint Coordonnateur Général devront être 
assistés par deux Assistants Coordonnateurs Généraux qui seront choisis par 
tirage au sort. Ils remplaceront le Coordonnateur Général et l’Adjoint 
Coordonnateur Général en l’année de Sabbat suivante lors du Dernier Grand Jour 
des fêtes du Septième Mois, pourvu que les Coordonnateurs Généraux actuels ne 
soient pas réélus lors des tirages au sort. 
(4) 
Le Secrétaire Trésorier 
Général est responsable de la bonne comptabilité de la dîme de la dîme et des 
autres offrandes et dons et de la bonne tenue des livres comptables de l’église. 
Le Secrétaire Trésorier conseillera les deux Coordonnateurs Généraux. Toute 
l’aide administrative nécessaire sera apportée au Secrétaire Trésorier dans 
l’exécution de ses tâches.
(5) 
Le Secrétaire Général sera assisté par deux Assistants Secrétaires Généraux.
(6) 
Ces officiers recevront une allocation au moins équivalente à celle d’un 
Coordonnateur National.
(7) 
Les Coordonnateurs régionaux sont aussi responsables de la supervision des 
nations à l’intérieur de leur région et devront recevoir une allocation 
équivalente telle que déterminée et au moins équivalente à celle d’un 
Coordonnateur national.
(1) 
Les officiers des Conférences Nationales seront : un président du Comité 
Exécutif, qui devra être le coordonnateur ou l’ancien senior, un secrétaire et 
un trésorier. (Le secrétaire et le trésorier peuvent être la même personne, soit 
le secrétaire trésorier). L’ancien senior est le ministre senior de l’église 
nationale.
 
(2) 
Il pourra y avoir d’autres officiers tels que jugés appropriés et approuvés lors 
d’une session de la Conférence Nationale et des assistants officiers, tels que 
déterminés par la Conférence en session ou par le Comité Exécutif. En l’absence 
du président, le comité peut nommer un président.
Section 3 :
(1) 
Le président supervisera le travail général de la Conférence Nationale. Il fera 
l’ouverture et présidera à toutes les sessions de la Conférence, ainsi qu’à 
toutes les réunions du Comité Exécutif mais, si le président désire qu’un membre 
du Comité Exécutif l’assiste en présidant aux sessions de la Conférence ou aux 
réunions du Comité Exécutif, il aura le pouvoir de le nommer à ce poste.
(2) 
Le Coordonnateur Général ou son Adjoint est responsable des tâches de la 
Conférence Mondiale.
Section 4 :
Le Secrétaire gardera un compte rendu du 
procès-verbal de la session de la Conférence, qu’elle soit au niveau National ou 
Mondial, et des réunions du Comité Exécutif, en plus d’accomplir toutes les 
tâches pertinentes à sa fonction.  
Les tâches de Secrétaire d’un Comité Régional peuvent être accomplies par un 
Secrétaire National ou par tout autre officier choisi pour cette tâche.
 
Section 5 :
(1) 
Le trésorier recevra toutes les sommes appartenant à la Conférence, en gardera 
une comptabilité et les déboursera selon les directives du Comité Exécutif. Il 
présentera un rapport complet de ces déboursés à toutes les sessions de la 
Conférence et à tout autre moment requis par le Comité Exécutif. Il accomplira 
toutes les autres fonctions relatives à son poste.
(2) 
Les Comités Nationaux paieront promptement à la Conférence Mondiale la dîme de 
la dîme ainsi que  les autres levées 
de fonds.
 
Section 6 :
(1) 
Les secrétaires de département et/ou les directeurs et/ou les associés et/ou les 
assistants directeurs  travailleront 
via leur président sous la direction du Comité Exécutif, et ils agiront à titre 
consultatif.
(2) 
Les tâches de la Conférence Mondiale devront être accomplies par, et sous les 
tâches du, Coordonnateur Général ou de son Adjoint.
 
Section 7 :
Tel que jugé nécessaire, les officiers s’assureront 
de la collecte et du catalogage appropriés des statistiques, rapports et 
vérifications des comptes de l’œuvre à l’intérieur du territoire de leur 
Conférence. Les durées des postes sont telles que spécifiées dans les différents 
articles et sont sujettes aux limites imposées à chaque conférence par cette 
constitution.
 
Section 8 : 
(1) 
Les officiers de chacune des Conférences Nationales gardent leurs postes à la 
discrétion des Comités Nationaux. Les officiers de la Conférence Mondiale 
gardent leurs postes à la discrétion des Coordonnateurs Généraux.
(2) 
Le renvoi devra être en accord avec les provisions de cette constitution et il 
peut être pour des motifs doctrinaux ou administratifs dans l’intérêt de 
l’église.
 
(1)  
La Conférence Nationale en session ou son Comité Exécutif entre les 
sessions :
(a)  
Nommera les agents, ministres, missionnaires et toutes autres personnes 
jugées nécessaires pour continuer l’œuvre de la Conférence Nationale et,
(b)   Peut terminer 
ou modifier toutes nominations.
(2) 
La Conférence Mondiale, par l’entremise du Coordonnateur Général ou, en 
son absence, de l’Adjoint :
(a)  
Nommera les agents, ministres, missionnaires et toutes autres personnes 
jugées nécessaires pour continuer l’œuvre de la Conférence, et
(b)  
Peut terminer ou modifier toutes nominations.
 
Article 11 
Comité Exécutif 
Section 1 :
Lors de chaque session régulière, la Conférence 
Nationale élira un Comité Exécutif qui comprendra un président et un secrétaire 
ainsi que tous les autres membres jugés nécessaires jusqu’à un total de dix, 
pour un total de douze membres. Le quorum consistera en cinquante pour cent des 
membres élus de chaque comité à tous les niveaux.
Section 2 :
(1) 
Entre les sessions, le Comité Exécutif s’occupera des affaires de la Conférence 
Nationale et pourra exercer les mêmes pouvoirs que la Conférence Nationale en 
session, tel que prévu dans cette Constitution et qui ne sont pas exclusives à 
la Conférence Nationale en session, telle que la nomination des officiels pour 
le septennium. Le Comité Exécutif est assujetti à la Conférence Nationale et à 
toutes directives concernant les politiques ou autres ainsi qu’à toutes 
réglementations données ou adoptées par la Conférence Nationale en session.
 
(2) 
Chaque Conférence 
Nationale et chaque officier sont assujettis à la politique de coordination des 
officiers de la Conférence Mondiale en général ou en vigueur à l’intérieur d’une 
région ou des activités missionnaires.
 
Section 3 :
Le Comité Exécutif de chaque Conférence Nationale, 
entre les sessions, peut retirer de son poste n’importe quel officier de sa 
Conférence ou enlever n’importe quel membre de son Comité Exécutif, en autant 
qu’une telle action reçoit l’appui d’au moins deux tiers des membres du Comité 
Exécutif, exprimé soit par un vote personnel, soit par la signature d’une 
résolution écrite soumise à tous les membres du Comité Exécutif. Des copies 
séparées de cette résolution peuvent être signées dans ce but. Une telle action 
peut être portée en appel devant une Session Spéciale de la Conférence qui peut 
être convoquée pour cette raison. Cet appel doit être fait par écrit au 
président, qui devra prendre les mesures nécessaires pour convoquer une Session 
Spéciale de la Conférence.
 
Section 4 :
Le Comité Exécutif devra annuellement évaluer et établir 
le salaire de tous les employés de sa Conférence et établir une politique 
salariale et d’allocations pour des Conférences subdivisionelles, telles 
qu’établies.
Section 5 :
Des réunions extraordinaires d’un Comité Exécutif 
peuvent être convoquées en tout temps et à tout endroit par le président ou, 
dans un cas d’urgence, par le secrétaire d’une Conférence Nationale ou par trois 
membres du dit comité. Le quorum sera constitué de cinquante pour cent des 
membres élus du Comité Exécutif.
***
(1) 
La Conférence Mondiale a le droit de détenir des biens immobiliers et elle a le 
pouvoir d’acquérir des terrains, bâtir des édifices, acheter de l’équipement et 
établir des institutions telles que considérées nécessaires et appropriées pour 
l’avancement de ses buts et devoirs. Ces biens lui appartiennent à perpétuité.
(2) 
Les Conférences Nationales ont le droit d’acquérir des terrains, de bâtir des 
édifices, d’établir des institutions ou d’acheter des équipements nécessaires 
pour assumer leurs tâches et responsabilités telles que déterminées par cette 
Constitution.
(3) 
Par nécessité et à ce propos, les activités de la Conférence Mondiale se font à 
l’intérieur des frontières nationales d’une ou des autres Conférences 
Nationales. Dans ces  cas, la 
propriété est sous le contrôle de la Conférence Mondiale. 
Section 2 :
(1) 
Lorsqu’une Conférence Nationale cesse ses activités ou est radiée et qu’elle ne 
fait plus partie du corps de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG), les biens 
immobiliers et les argents qui restent devront être placés en fiducie, sous la 
supervision de la Conférence Mondiale, jusqu’au rétablissement de l’église ou 
jusqu’à ce que le reste des membres se regroupe sous la supervision de la 
Conférence Mondiale.
(2) 
Les biens immobiliers et les argents peuvent être transférés à la Conférence 
Mondiale selon les lois des nations impliquées. Selon l’entente d’autorisation 
de l’Église, la dîme de la dîme doit être obligatoirement transférée. 
(1) 
Le ministère doit être composé de ceux appelés Anciens et Diacres. Les anciens 
sont des ministres de l’église ordonnés pour administrer les Sacrements et dont 
les lettres de créances ont été fournies par l’église. Les Anciens peuvent 
ordonner d’autres ministres selon les politiques de l’église. Les diacres sont 
ordonnés pour accomplir une des deux fonctions. Ils peuvent prendre charge des 
tâches relatives au bien-être de l’église, afin de permettre aux Anciens de 
mieux se concentrer sur des sujets plus appropriés ou les diacres peuvent être 
ordonnés pour éprouver leur convenance pour l’ordination permanente d’Ancien.
Les Diacres n’ont pas le droit d’ordonner de leur 
propre chef. Les Diacres Évangélistes peuvent être ordonnés comme évêque 
auxiliaire et recevoir le pouvoir d’ordonner pour des buts missionnaires par la 
Conférence Mondiale à la discrétion du Coordonnateur Général. Ils peuvent 
administrer les sacrements de l’Église, soit le Baptême et le Dîner du Seigneur. 
Les Anciens (et, lorsque décrété, aussi les Diacres) peuvent occuper les postes 
suivants :
(a) 
Coordonnateur de Conférence aux niveaux Mondial et National.
(b) Évangéliste dans le cas de directeurs de collèges et 
de missions médiatiques. Bibliquement, les diacres, comme Philippe, ont aussi 
remplit cette fonction (Actes 6:5; 21:8).
(c) Le poste de Président Régional d’une Conférence 
Subdivisionnelle est une nomination pastorale. Il peut, selon le choix, être 
appelé coordonnateur ou pasteur. À l’intérieur des territoires subdivisionels ou 
des conférences de la Conférence Nationale, les diacres peuvent être nommés 
coordonnateurs.
(d) Dans chacune des églises, les ministres ordonnés 
devraient être des anciens. Lorsqu’il y a plus d’un ancien, un coordonnateur
ou président devra être nommé. Le 
conseil des anciens dans chaque Église ne doit pas dépasser sept membres. On ne 
doit pas nommer des anciens simplement parce qu’il y a un poste vacant. Tous les 
anciens et tous les diacres détiennent leur accréditation pour prêcher dans 
toutes les Conférences. Leurs accréditations devront être renouvelées à chaque 
année Sabbatique. Les Anciens sont nommés 
en permanence mais ils peuvent uniquement prêcher au nom de l’Église s’ils ont 
la sanction Sabbatique.
(e) Des Diacres ou des Diaconesses devront être nommés 
dans chacune des églises. Le Diaconat ne doit pas excéder sept dans chaque 
église.
(f) Les chefs de missions des autres nations ou régions 
peuvent être nommés en poste selon les termes cités de (a) à (e).
(2) Les Conférences imposeront les mains sur les 
détenteurs de poste. Le Président d’une Conférence Nationale peut, selon la 
politique de la Conférence, ordonner des anciens et des diacres entre les 
sessions. Le Coordonnateur Général ou l’Adjoint de la Conférence Mondiale ou une 
personne nommée, peut ordonner en tout temps pour tout besoin particulier. 
(1) (a) Selon Lévitique chapitre 27, Nombres chapitre 18, 
Deutéronome chapitres 12 et 26, les dîmes doivent être payées à chaque 
Conférence Nationale. 
(b) 
Une comptabilité doit être tenue et vérifiée. 
(c) Les Conférences Subdivisionnelles, lorsqu’elles 
existent, doivent payer la dîme de la dîme à la Conférence Nationale.
(d) Chaque Conférence Nationale doit payer la dîme de la 
dîme à la Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG).
(e) Les conférences subdivisionnelles ne peuvent être 
établies qu’avec la permission de la Conférence Mondiale et seulement quand 
l’administration au niveau national est difficile, à cause du trop grand nombre.
(2) (a) 
Les dîmes doivent être comptabilisées comme la première dîme et la dîme d’aide 
sociale de la troisième année.
(b) Lorsque le système de sécurité sociale est adéquat, 
le paiement d’une aide additionnelle peut être annulé. Tel que cité dans 
l’article 15, la Conférence Mondiale déterminera tout besoin d’aide au niveau 
international. 
(c) Tel que consigné dans " Les Dépositions des 
Croyances" et la doctrine sur les dîmes et publié dans le calendrier de 
l’église, la dîme de la troisième année est déterminée à partir de la deuxième 
dîme durant la troisième année du cycle de sept ans du système du Jubilé.
(3) Les Offrandes doivent être recueillies trois fois 
par année, avant le matin du premier Jour Saint des Pains sans Levain, de la 
Fête des Tentes et le jour de la Pentecôte, durant les trois périodes des 
fêtes. 
Chaque Conférence est responsable du bien-être de ses 
propres gens. Si le Comité Exécutif le décide, une Conférence peut venir en aide 
à d’autres territoires. La coordination doit être faite par la Conférence 
Mondiale et par les Coordonnateurs ou Directeurs Régionaux.
(1) 
La Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) coordonne la 
production des sites Internet, des magasines et des publications et elle détient 
les droits et le contrôle sur ces publications. Aucune publication ne doit 
entrer en conflit avec les doctrines de la Conférence Mondiale.
(2) 
Les Conférences Nationales ou Subdivisionnelles peuvent mener des campagnes 
médiatiques par leur personnel ordonné. Les Conférences Nationales sont 
responsables des médias nationaux. Les campagnes dans les autres nations doivent 
être menées à l’intérieur des territoires de responsabilité tel que convenu 
entre la Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) et la 
Conférence Nationale et le Comité Régional de la nation impliquée, s’il y a 
lieu. Les Subdivisions peuvent fournir une aide comme il est requis plus haut.  
(3) 
Les droits d’auteur (Copyright) de tout le matériel appartiennent à la 
Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG), à l’exception de 
la provision fournie dans l’Article 7 section 2 (4) citée plus haut.
(4) 
Les campagnes médiatiques nationales et locales doivent être approuvées par la 
Conférence Mondiale afin d’assurer la convenance doctrinale et ce, en accord 
avec "Les Dépositions des Croyances".
(5) Les documents académiques ou de même nature, doivent être 
révisés par les Coordonnateurs Nationaux du Comité Exécutif et envoyés pour 
examen à la Conférence Mondiale et ce, avant que la conférence en fasse la 
sanction par la publication.
(1) La Conférence Nationale sera responsable de l’organisation et de 
la détermination, avec leurs subdivisions, s’il y en a, des sites de Fête et de 
Conférence pour les Fêtes de la Pâque, de la Pentecôte et des Tentes, requises 
par Deutéronome 16:6 et Lévitique 23. 
(2) 
Les sites de Fête et de Conférence seront la responsabilité des territoires 
locaux et sous-divisions telles qu’établies. Ils peuvent être tenus en 
conjonction avec des régions adjacentes selon des arrangements convenables. Les 
déplacements entre les différents sites de Conférence doivent être permis selon 
des arrangements par l’administration de la Conférence Mondiale.
(1) 
Les dates des activités ou des jours saints annuels doivent être en accord avec 
le calendrier approuvé par la Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de 
Dieu (CCG) et en accord avec les lois Bibliques qui les régissent. La 
détermination des dates des Jours Saints doit être établie à partir de 
l’observation astronomique de la Nouvelle Lune par conjonction.
Les Jours Saints doivent être tels que retrouvés dans 
Lévitique 23 et à partir des textes relatifs aux Nouvelles Lunes. 
a) Le Sabbat doit demeurer le septième jour de la 
semaine, communément appelé samedi, en accord avec le calcul continu. C’est à 
dire à partir de la Fin du Crépuscule Nautique du Soir (FCNS ou EENT en anglais) 
du vendredi jusqu’à la Fin du Crépuscule Nautique du Soir du samedi.
b) La Fête connue sous le nom de la Pâque consiste en 
deux jours. Le premier jour ou le Dîner du Seigneur tombe le 14 de Nisan; le 
repas de la Pâque d’Exode 12 a lieu le deuxième jour, soit le 15 de Nisan qui 
est le Premier Jour Saint de la Fête des Pains sans Levain qui continue ensuite 
pour sept jours et se termine le Dernier Jour Saint de la Fête. Aucun pain avec 
levain ne doit être mangé avant la fin du Dernier Jour Saint. 
c) La date de la Pentecôte se calcule à compter de 
l’Offrande de la Gerbe Agitée, le dimanche qui tombe durant la Fête des Pains 
sans Levain, et elle doit être un dimanche.
d) Les Fêtes des Trompettes, le Jour des Expiations et 
la Fête des Tentes ou des Tabernacles qui se tiennent durant le septième mois 
appelé Tishri doivent être calculées à partir de l’observation astronomique de 
la Nouvelle Lune du septième mois. 
e) Les Nouvelles Lunes sont observées et le Premier 
Jour du Premier mois est un jour d’assemblée solennelle pour la sanctification 
de l’Église qui est le Temple de Dieu. Le septième jour du premier mois est la 
Sanctification des Gens Simples et Erronés (Ézéchiel 45:18-20).
(1) 
Cette Conférence reconnaîtra l’accréditation comme membre de la Conférence 
Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) telle qu’elle est formée et où 
elle est en opération en accord avec les lois de Dieu. 
Une telle accréditation de membre constituera une reconnaissance des églises 
existantes qui désirent s‘associer à cette Conférence.
(2) 
Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) reconnaissent la cérémonie du baptême 
d’adultes conféré aux membres par des Églises de Dieu qui observent le Sabbat et 
dont les membres ont été baptisés dans le corps de Jésus-Christ, au nom du Père 
et par la puissance de l’Esprit Saint et non dans une secte ou une dénomination. 
Cette reconnaissance ne nécessite pas que la personne soit rebaptisée. La 
politique pour certaines églises spécifiques devra être déterminée par la 
Conférence Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG).
Section 1 :
(1) 
Chaque membre de l’Église pourra faire appel à un système de recours de griefs. 
Chaque église devra mettre en place un tribunal constitué d’anciens, de diacres 
et de toute la congrégation ou de la majorité disponible, afin d’entendre la 
cause dans les 30 jours ou à toute autre date acceptée par tous les partis.
(2) 
L’appel doit être fait aux conférences subdivisionnelles telles que formées ou à 
la Conférence Nationale en Session ou en Session Spéciale. Lorsque le processus 
a été initié par la Conférence Mondiale, la structure entière est déterminée par 
la Conférence Mondiale avec l’aide de la Conférence Nationale au besoin.
Section 2 :
(1) 
Aucun membre ne doit être désaffilié, c’est à dire perdre son accréditation de 
membre de l’église (contrairement à une affiliation sans droit de vote avec 
l’église) pour tout motif autre que Biblique, lequel doit être fourni par écrit. 
Un tel avis ne peut être donné moins de trois semaines avant la date prévue pour 
la réunion et le membre a la possibilité de comparaître devant la congrégation 
tel que cité dans la section 1, un droit qu’il peut refuser. Lorsqu’un membre 
est accusé d’avoir fomenté la discorde ou la division ou la déloyauté dans 
l’Église, il doit être prouvé que ce membre tente actuellement de diviser 
l’Église et qu’il n’est pas tout simplement en désaccord avec l’interprétation 
d’un texte Biblique (autre que la loi et cette Constitution).
(2) 
Il est requis de chaque membre de respecter et maintenir la constitution
qui comprend les règlements de l’association.
(3) Le renvoi d’un poste pour des raisons non-doctrinales ne donne 
pas à la personne le droit au recours défini dans cette section. Les Églises 
Chrétiennes de Dieu (CCG) se réservent le droit de congédiement à l’intérieur 
des obligations contractuelles imposées à chacune des parties selon le lieu du 
travail et les ententes de probation. Dans les cas où il y a eu irrégularités, 
le recours est disponible à l’intérieur des lois de la nation impliquée. 
Section 1 :
(1) 
Toutes les Conférences doivent faire vérifier annuellement leurs livres 
comptables.
(2) 
Les États Financiers Annuels doivent être approuvés au niveau de la Conférence 
Nationale et envoyés à la Conférence Mondiale.
(3) 
L’Année Fiscale est couverte du 1 Nisan au 1 Nisan selon le Calendrier de 
l’Église. 
(4) 
Les documents sont exécutés par les officiers de chaque Conférence, soit le 
Président et les Secrétaires. 
(5) Des comptes bancaires doivent être ouverts par les Secrétaires 
et Trésoriers des différentes conférences sous la direction des officiers de la 
Conférence. Les églises peuvent avoir des comptes pour les activités locales. 
Tous les autres comptes doivent être contrôlés par les Trésoriers sous la 
direction des Comités Exécutifs ou des Coordonnateurs Généraux.
(6) 
Les Conférences Nationales ne doivent pas emprunter de l’argent sans le 
consentement de la Conférence Mondiale.
(7) 
Les Coordonnateurs, les Directeurs et les Officiers de l’Église doivent être 
indemnisés pour les activités qu’ils accomplissent pour leur conférence.
(8) Chaque Conférence doit se procurer de l’assurance responsabilité 
publique pour indemniser l’église en cas de blessure ou accident.
(9) 
La responsabilité de tous les membres de toutes les conférences et les 
organisations associées ou subsidiaires et de ceux en affiliation se limite à 
$US20 ou son équivalent. 
Le Sceau Officiel de l’Église doit être gardé par le 
Secrétaire Général au nom du Coordonnateur Général qui en dirige son 
utilisation. Les Conférences Nationales peuvent être autorisées à garder les 
sceaux communs de leurs Conférences Nationales et à les utiliser sous la 
gouverne de leurs Comités Exécutifs en accord avec la politique établie par la 
Conférence Mondiale.
(1) 
Toute personne baptisée est éligible à se joindre en tant que membre. Cette 
démarche doit être ratifiée par le Comité Exécutif de la Conférence Nationale et 
sous la supervision de la Conférence Mondiale, tel que prévu dans cette 
constitution. Les individus peuvent se voir accorder le droit de vote comme 
membre par invitation, après une période d’essai de pas moins de trois ans 
complets, incluant l’observance des périodes de fêtes complètes.
(2) 
Une liste des membres doit être tenue à jour au niveau des Conférences Nationale 
et Mondiale. L’admission à la confrérie ne veut pas nécessairement dire 
l’obtention du droit de vote comme membre de l’Église. La liste de personnes 
pour les deux catégories d’admission doit être tenue à jour par les Secrétaires 
à chaque niveau.
(1) (a) 
Cette Constitution peut être amendée par une résolution de la Conférence 
Mondiale de Les Églises Chrétiennes de Dieu (CCG) en session et acceptée par une 
majorité d’au moins les trois quarts des délégués votants et sujette au droit de 
veto des Coordonnateurs Généraux. 
(b) Aucun amendement ne peut être proposé sans le consentement des 
Coordonnateurs Généraux. 
(c) 
Les amendements au niveau de la Constitution Nationale, qui n’entrent pas en 
conflit avec cette constitution, peuvent être considérés avec le consentement du 
Comité Exécutif. L’avis pour un tel amendement devra avoir été donné au 
Secrétaire au plus tard deux mois avant la date de la tenue de la Session et, 
dans un tel cas, l’avis de convocation de la Session devra expliquer 
l’amendement en question.
(2) 
Avant que soit soumis tout amendement de Constitutions Subdivisionnelles (ce qui 
signifie de Conférences Régionale ou Nationale) à une Conférence en session, 
l’amendement doit en premier lieu être référé par le Comité Exécutif de la 
Conférence Subdivisionnelle, si elle existe, au Comité Exécutif de la Conférence 
Nationale qui prendra en considération l’amendement et donnera son rapport par 
écrit à la Conférence Mondiale et à d’autres sessions, par la suite.
(Amendement 2008)
       (rév. 
2018)