Christian Churches of God

No. 215

 

 

 

Les Taux de Mutation de l’ADN :

La Science Moderne vs La Bible

 

(Édition 6.0 20070912-20071022-20071122-200071225-20080126-20090126)

 

La Science Moderne part du principe que l'ADN mitochondrial (ADNmt) ne provoque pas de mutation du génome humain. Cette prémisse a été prouvée comme étant fausse par l'Institut Pasteur. Les modèles mathématiques sont ainsi beaucoup trop étendus.

 

 

 

 

 

 

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 Les Taux de Mutation de l’ADN : La Science Moderne vs La Bible [215]

 

 


Lorsque l'analyse de l'ADN des personnes britanniques et irlandaises a été menée par les scientifiques d'Oxford et d'Irlande, nous avons constaté que les taux de mutation de l'ADNmt des clans ont été arrêtés à un taux standard d'un changement mutationnel tous les 20 000 ans. Les détails ont été inclus par Brian Sykes dans son ouvrage : Blood of the Isles, Exploring the genetic roots of our tribal history (Sang des Îles, Explorer les racines génétiques de notre histoire tribale) (Bantam Press, London et al, 2006, p. 150.). Ce taux standard de mutation a été appliqué à tous les clans. Le clan Ursula, une des soi-disant Sept Filles d'Ève en Europe, serait originaire de la Grèce Antique. Comme son ADNmt présente le plus de mutations, elle a donc été considérée comme la plus ancienne des clans féminins.

 

On supposait que cette femme avait coexisté avec les Néandertaliens. Ses descendants présentaient en moyenne 2,25 mutations par rapport à l’ADNmt d'Ursula elle-même. L'âge du squelette a donc été estimé à 2,25 x 20 000 = 45 000 ans (ibid.).

 

À partir de ces observations, on a supposé que les premiers Irlandais avaient construit leurs maisons à colombages sur les bords de la rivière Bann, au Mont Sandal, il y a quelque 9 000 ans, et qu'ils étaient les descendants de cette ancêtre grecque (ibid.). Cette vue est conforme à ce que nous savons des Irlandais, en ce que les premiers Irlandais venaient de la Grèce antique. Cependant, cela ne remonte pas à 9 000 ans.

 

Grâce aux travaux du Dr Richetti pour l'Institut Pasteur, nous savons maintenant que l'ADNmt provoque des mutations sur le génome humain tout entier et, donc logiquement, le métissage entre groupes tribaux provoque le mélange de l'ADNmt, et de là, une augmentation des mutations.

 

L'hypothèse des scientifiques concernant le taux de changements mutationnels ne repose sur aucun modèle fixe, et est basé sur l'hypothèse que l'ADNmt ne provoque pas de mutation du génome humain, ce que nous savons maintenant être faux. Cette question a déjà été examinée dans le document  L'Origine Génétique des Nations (No. 265).

 

Brian Sykes admet dans son ouvrage que : “c'est un malentendu fréquent et compréhensible (si tant est qu'une telle chose puisse exister) de penser que nous avons situé le squelette d'Ursula et les autres matriarches et avons ensuite résolu combien de temps elles ont vécu à partir de la datation au carbone. Mais ce n'est pas ainsi, tout cela a été accompli par des reconstructions” (ibid., p. 151). Il poursuit en expliquant qu’à partir des fragments d'ADN affichés sur la carte de l'Irlande, il pouvait voir que presque exactement 10 pour cent des hommes et des femmes irlandais sont les descendants directs maternels d’Ursula. Il convertit ensuite dix pour cent de la population de l'Irlande, qui est de 5,7 millions, à 570 000 Ursulans en Irlande. Ce calcul a été effectué en se basant sur le fait qu'il y avait 91 échantillons ursulans sur un total de 921 échantillons irlandais (ibid.). Il dit ensuite qu'en raison de l'ancienneté du clan, il n’a pu trouver que trois échantillons qui n'avaient pas été modifiés par rapport à l’ADNmt ursulan original. Il a ensuite poursuivi en déclarant que, comme tous les trois étaient des clients d'Oxford Ancestors, il savait où ils se trouvaient, et aucun d'entre eux ne vivaient en Irlande. L’un d’eux se trouve dans le Hampshire, un autre à Londres, et le troisième est à New York (ibid.).

 

On pourrait soulever une objection quant à la propagation de l'échantillon, mais acceptons cela pour le moment.

 

Il procède ensuite à identifier les changements. Les mutations d'une seule étape ou génération de l'échantillon étaient au nombre de 22. Ensuite, il y a 23 mutations de deuxième génération ; 26 mutations de troisième génération, 10 mutations de quatrième génération, 5 mutations de cinquième génération, une de sixième génération, et une de septième génération (op. cit., p. 152).

 

Celui qui a connu le plus de changements générationnels depuis Ursula est un médecin à Chichester, dans le Sussex.

 

Ces nombres d’altérations sont ensuite utilisés pour calculer le nombre moyen d’altérations au cours de la période, ce qui est de 2,5 en moyenne, et la séquence de temps arbitraire d'un changement tous les 20 000 ans est utilisée pour déterminer l'origine à 50 000 ans, ce qui est plus ancien que l'âge théorique d'Ursula.

 

L'ADN mitochondrial desdits Aborigènes, par exemple, dans l’Haplogroupe N le plus courant, a montré peu d’altération. L’ADN-Y C et l’ADN-Y de base RxR1 de ces personnes ont montré une mutation spécifique à partir de C* de base à C4, dans deux sous-groupes qui sont uniques à l'Australie, et se sont développés à partir des groupes C* éparpillés de l'Inde au Vietnam en petits nombres, et sont du même ordre de développement que les Mongols C3 et les Maoris C2. (On trouve également les haplogroupes K et O2 dans les groupes maoris/polynésiens d’ascendance mélanésienne et du Sud-est asiatique. Cependant, plus de la moitié sont maintenant d'ascendance européenne (cf. Underhill, ‘Maori Origins, Y-Chromosome Haplotypes and Implications for Human History in the Pacific’, 2001). Pourtant, les Aborigènes sont également alloués à 45 000 ans en Australie, ce qui ne suit pas le raisonnement du modèle.) La raison pour laquelle il y a une légère altération est que les populations ont été isolées par tribus et, par conséquent, les mutations de l'ADNmt ont été réduites au minimum en raison de leur isolement. Le simple fait que RxR1 de base est la quatrième dernière mutation sur la chaîne masculine de l’Haplogroupe ADN-Y de 22 Haplogroupes est en totale contradiction avec la revendication selon laquelle ils seraient présents depuis 45 000 ans.

 

La différence de 5 000 ans entre les 45 000 ans pour Ursula et les 50 000 des échantillons est considérée comme étant dans la marge d'erreur mathématique permise pour les échantillons, mais, comme Brian Sykes l’admet lui-même, c’est bien au-delà des 9 000 ans permis pour la plus ancienne habitation irlandaise.

 

Il résout le problème en faisant valoir que la plupart des mutations doivent avoir eu lieu avant leur arrivée en Irlande. Ainsi, il doit être soutenu également qu’ils sont arrivés en tant que groupe homogène.

 

Cette divergence conduit également à affirmer que les ancêtres de ces gens étaient des chasseurs-cueilleurs paléolithiques et ne descendaient pas des populations paysannes du Moyen-Orient d'il y a moins de 10 000 ans (op. cit., pp. 152-153).

 

Brian Sykes et ses collègues ont constaté qu'en identifiant les 91 Ursulans irlandais, 68 avaient des séquences correspondantes ailleurs. Seulement 23 étaient uniques à l'Irlande (loc. cit., p. 155). Il en a déduit que la troisième séquence de mutation était à proximité et que la séquence de quatrième génération s'est donc produite en Irlande. En corrigeant ensuite les dates, le temps en Irlande a été ajusté à un peu plus de 7 000 ans, soit 7 300 ans. Certains soutiennent que les mutations spontanées séparées ont très bien pu se produire ailleurs aussi, mais cela n'a pas été examiné. L'équipe a admis que les dates pourraient varier de mille ans d’une manière ou d’une autre tout en restant dans les limites de l'estimation (ibid.). La possibilité qu'elles aient eu lieu plus tôt ou plus tard est donc évoquée. La fourchette pour tous les groupes est estimée entre 7 300 et 4 500 ans, mais les Ursulans sont le groupe d'origine en Irlande.

 

L'histoire des Irlandais est très claire et bien documentée. Les Milésiens ne sont pas venus en Irlande avant ca. 500 AEC (avant l’ère courante), en provenance de l'Espagne. Les Tuatha de Danann sont les survivants des colonies d'origine qui ont régné le plus longtemps, survivant aux Formoriens et aux Firbolgs et se déplaçant en Grande-Bretagne. Parmi ces mutations Ursula, la plus grande est en Angleterre, où nous pourrions nous attendre à voir plus de mutations en raison de leur déplacement en Grande-Bretagne. Il n'y a qu'une seule mutation de sixième et septième génération, cinq mutations de cinquième génération, et 10 mutations de quatrième génération.

 

On pourrait donc supposer que seulement deux séquences réelles de mutation se sont établies et que nous assistons actuellement au début de la série suivante. Sur cette base, même en tenant compte des séquences de temps étendues, nous sommes en dessous des 9 000 ans. Cependant, ces mutations se produisent à un rythme beaucoup plus rapide que celui autorisé, et nous pouvons voir cela plus clairement à partir de l’ADN-Y.

 

Les taux de la Bible sont fixés à 7 mutations sur 4 300 ans à compter de la mutation d’Ursula des Haplogroupes L M et N de l’ADNmt, que nous pouvons supposer être les trois groupes de base avec les fils de Noé. Nous pouvons admettre 7 sur 4 200, ce qui rend le taux de mutation d'une mutation tous les 600 ans. Cela signifierait alors que les quatre générations de mutations en Irlande remontent à 2800 ans, époque à laquelle les Tuatha de Danann régnaient sur l’Irlande, avant les Milésiens. Ainsi, le récit historique est corroboré par les archives génétiques de l’ADNmt lorsqu'elles sont comparées au récit de la Bible, et les trois séquences de temps concordent lorsque le modèle génétique est ajusté en conséquence. Si nous l'ajustons en tenant compte de la fragmentation des haplogroupes sur une plus longue période de temps, alors nous voyons que le groupe Ursula se fond simplement dans le groupe le plus prépondérant des femmes milésiennes arrivées il y a 2 500 ans.

 

Les mutations de l’ADN-Y

Il existe deux types de mutations de l’ADN-Y. Le premier est un système stable paternel qui serait beaucoup plus lent à muter que l'ADNmt, il est allégué qu’il faudrait des dizaines de milliers d'années pour qu'il mute, avec seulement une seule séquence de mutation entre les clans. La seconde séquence est beaucoup plus rapide à muter et ressemble à une répétition de la séquence telle que TAGA répétée 12 fois. Cela s'apparente à un bégaiement, et l’ADN-Y perd ou gagne l’une de ces séquences beaucoup plus rapidement. Cette perte et ce gain ont pour résultat de diviser l’Haplogroupe en des centaines de lignées paternelles. Ces mutations sont soutenues par des scientifiques de se produire tous les 1500 ans environ. Cette période est bien inférieure aux 20 000 ans alloués aux Haplogroupes féminins. Ces chiffres sont encore beaucoup trop anciens – et nous allons voir ci-dessous qu'ils sont bien inférieurs à cela. Les clans connexes aux États-Unis et en Grande-Bretagne ont connu des mutations en une seule étape en moins de deux cents ans.

 

Nous disposons déjà de preuves documentées de changements de l’ADN-Y en une, deux et trois étapes de mutations entre père et fils sur de multiples Haplogroupes. Les hypothèses standard sont tout simplement fausses, et se sont révélées fausses par des tests d’ADN menés et validés par une université. Les tests ont montré que deux frères issus du même père peuvent être séparés par une, deux, voire trois étapes de mutations et que les trois peuvent présenter des mutations divergentes. Les modèles sont erronés. Il est désormais prouvé que les séquences de temps sont beaucoup plus courtes qu'on ne le pensait initialement. Cependant, reconnaître ce fait signifie que les modèles évolutionnistes doivent être raccourcis. Les évolutionnistes refusent tout simplement de modifier leur paradigme religieux. Les causes des mutations sont variées, elles sont provoquées par des virus et par des radiations, tant naturelles qu'induises.

 

Le clan le plus fréquent en Irlande est ce qu'on appelle le clan Oisin, et c'est un clan gaélique moins répandu dans les zones où l'invasion anglo-normande s’est produite. Dans le Sud-est, où leur influence s'est le plus fait sentir, en particulier dans le Leinster, Oisin représente environ 73% de la population. Dans l'Ulster, au nord-est, il représente 81%, tandis qu’à Munster, au sud-ouest, il représente 95%, et dans le Connacht, à l'ouest de l'Irlande, il atteint 98% de tous les hommes (op. cit., p. 160).

 

En revanche, pour l'ADNmt, les sept grands clans maternels européens et la plupart des clans mineurs étaient présents en Irlande, et ils étaient plus ou moins également répartis entre les quatre provinces.

 

La signature du clan ADN-Y Oisin se retrouve également chez les Basques en Espagne, en Galice et dans les Orcades. Elle est appelée l’Haplotype modal de l'Atlantique (AMH) et présente les répétitions comme suit : 11-24-13-13-12-14-12-12-10-6 sur la séquence d'Oxford.

 

Il existe en Écosse et en Angleterre et indique l'influence celtique à travers les Îles. Geoffrey de Monmouth rapporte que les Celtes de Troie y ont trouvé les Magogites et les ont subjugués quand ils ont envahi la Grande-Bretagne.

 

Le clan se trouve en effet là où on s'attendrait à ce que les Irlandais aient voyagé selon leur histoire. Ce sont les fils de Japhet par Magog, et peut-être aussi Gomer.

 

La section principale de l'Haplogroupe I (Îles) en Irlande, qui était à l'origine celui des Tuatha de Danann, s’est déplacée en Angleterre et en Écosse et a fusionné avec le Hg I qui est arrivé avec la Horde anglo-saxonne et les Vikings. Dan de l'Ouest est mélangé maintenant avec les autres tribus en Grande-Bretagne.

 

Taux de Changements

L'objection évidente au modèle mathématique à un changement tous les 20 000 ans n'est pas vraiment sollicitée par le milieu universitaire.

 

Le taux de changement variable entre les groupes d’ADN-Y et d'ADNmt montre une variation distincte du taux de changements selon les régions entre l’ADN-Y et l'ADN mitochondrial et parmi les groupes d'ADNmt et ADN-Y eux-mêmes.

 

Par exemple, comme nous l'avons vu chez les Irlandais milésiens, il existe neuf variations majeures d’Haplogroupes dans la lignée, puis une série de variations supplémentaires de R1b à R1b1c7 – qui est l’ADN-Y de base des descendants de Neill des Neuf Otages qui ont vécu il y a quelque 1 600 années et qui représente la lignée de quelque 5% de tous les Irlandais. La lignée de Neill a impliqué 11 mutations d’Haplogroupe par rapport à la lignée originelle d'Adam. Certaines de ces mutations ont donné naissance à deux ou trois sous-groupes.

 

Sur la base de 20 000 ans pour une mutation, nous prenons en considération jusqu'à 200 000 ans pour les changements mutationnels de l’ADN-Y.

 

Nous savons que Neill a vécu au cinquième siècle de notre ère, et il y a eu une série de changements mutationnels dans l’ADN-Y, qui « bégaie » plus rapidement depuis ce temps-là. Si nous regardons l’ADN-Y des O'Neill, des Geoghegan et des Higgins et de la multitude d'autres clans qui descendent de lui, nous pouvons voir que le bégaiement mute tous les cent ou deux cents ans. Au lieu de prendre cet aspect au sérieux et de comparer le récit généalogique de l'Irlande avec les tests réels d’ADN-Y, qui montrent le taux de mutation beaucoup plus rapide que prévu, certains universitaires ont même contesté son existence plutôt que d'accepter le fait que le modèle évolutionniste est erroné et artificiellement prolongé. Le critère approprié consiste à mettre en place les généalogies connues et à mesurer chaque bégaiement de chaque lignée. La séquence de temps est connue avec précision.

 

L'autre exemple parfait de test est celui de Gengis Khan, qui est l’aïeul le plus prolifique que le monde ait connu. Neill arrive seulement à la deuxième place.

 

Dans l'ADNmt, il y a trois changements pour le N de base, ce qui donne au supergroupe N un âge de 60 000 ans selon les évolutionnistes. Toutefois, le taux complet de l’Haplogroupe pour se rendre à K de base est de cinq changements mutationnels à K, ce qui donne à la lignée originale d’Ève seulement 100 000 ans ; si l'on ajoute les changements mineurs au sein de K et U, qui est la lignée maternelle de K, cela donne 80 000 ans sur la base des mutations directes de l’Haplogroupe.

 

La situation réelle est donc que l’ADN-Y mâle mute presque deux fois plus vite que l’ADN féminin en sous-groupes distincts au sein des mêmes groupes ethniques.

 

Il existe en fait 22 sous-groupes distincts d’ADN-Y (y compris R2) et 30 Haplogroupes d’ADNmt (y compris AuB).

 

La conclusion évidente que nous tirons de ces éléments est que le taux de changements dépend de l'exposition à différents systèmes d’ADNmt, qui impose de lui-même les changements dans les deux systèmes au niveau du génome humain.

 

Les Effets des Radiations sur l'ADN mitochondrial

Il a également été démontré récemment que la radiation affecte les taux de changements de l'ADNmt. Les expériences ont été menées dans des zones de radiation naturelle et avec un contrôle des radiations de faible niveau.

 

Les expériences ont été menées au Kerala, en Inde. Jusqu'à récemment, les scientifiques ont supposé que la radiation ne causait que des lésions sur l'ADN, mais il ne fait désormais plus aucun doute que les variations de la radiation naturelle au fil du temps ont provoqué des mutations dans l'ADNmt humain à des fréquences pouvant atteindre une ou deux générations.

 

Les effets des changements de l’ADNmt affectent le génome humain et auront des répercussions de mutations sur la structure ADN-Y. Les implications pour les modèles évolutionnistes sont énormes. Les séquences de temps et les modèles sont beaucoup trop longs, compte tenu des résultats.

 

Le document de référence est le suivant :

 

La radioactivité naturelle et les mutations de l'ADN mitochondrial humain

Lucy Forster*, dagger , Dagger , Peter Forster dagger ,§, Sabine Lutz-Bonengel, Horst Willkomm ||, et Bernd Brinkmann*

 

Comme indiqué, l'équipe a testé les effets des radiations naturelles de fond et a constaté que la radiation affectait les taux de changements de mutations de l’ADNmt. Par exemple, si vous êtes né dans la région testée au Kerala, vous subiriez des mutations rapides de l'ADNmt, qui affecteront également la structure de ADN-Y. Ainsi, les comparaisons de l'ADN entre ces différents groupes peuvent ainsi varier d'un groupe à l'autre sur une période de temps beaucoup plus courte que prévue. L'équipe a déclaré :

 

"L'observation selon laquelle la radiation accélère les mutations ponctuelles est inattendue, à première vue, car jusqu'à récemment, on pensait que la radiation générait des lésions de l'ADN principalement (1). Une explication possible est fournie par notre observation supplémentaire selon laquelle ces mutations ponctuelles associées à des radiations sont également des points chauds évolutionnaires, ce qui indique que la radiation augmente indirectement le mécanisme normal (évolutionnaire) de mutation des cellules (5).”

 

... Tels que démontrés, nos résultats sur l’ADNmt appuient fortement l'hypothèse d'une accélération du mécanisme de mutation évolutionnaire de l'ADN par radiation.

http://www.pnas.org/cgi/content/full/99/21/13950

 

Le Système de la Bible

Historiquement, nous savons que les Milésiens sont arrivés en Irlande ca. 500 AEC. Ceux qui étaient là avant étaient les Tuatha de Danann, qui ont gouverné l'Irlande pendant des siècles auparavant et appartenaient à l’Haplogroupe I. Ces gens se sont aussi répandus en Grande-Bretagne, et, de là, la majorité d'entre eux ne se trouvent plus en Irlande, mais en Grande-Bretagne ; et leurs femmes s'y trouvent également. Il s'agit du sous-groupe Hg I (Îles). D'un point de vue biblique, ils sont nés au plus tôt au dix-huitième siècle AEC (avant notre ère).

 

Leur ADN-Y ne pouvait pas être antérieur à 2400 AEC, date de la naissance de Sem. Nous savons avec certitude que le groupe sémitique Hg J est venu du groupe I et englobe les premiers Juifs et Lévites des groupes J1 et J2. Par conséquent, ces deux groupes doivent être postérieurs à l'Exode de 1448 AEC, sinon l’ADN arabe/édomite a pénétré dans les Cohenim. Nous savons pour un fait que l’ADN-Y Ashkénazi Khazar a été introduit chez les Lévites, dont plus de la moitié d'entre eux sont des Khazars R1a (voir le document L’Origine Génétique des Nations (No. 265)).

 

La mutation a pu se produire après le premier siècle EC (l’ère courante), puisque la période après le système du Temple dans la première moitié du deuxième siècle a vu la dispersion complète. Les Lemba se sont installés au Zimbabwe sur le fleuve Limpopo, et ils ont conservé cette mutation, on la retrouve également au sein du clan Buba qui revendique descendre de Cohen. Leur déplacement a eu lieu avant la construction de la ville de pierre au Zimbabwe, qu'ils prétendent avoir construite. Les historiens modernes prétendent que les Shona l’ont construite autour de 1100-1400 EC. Elle a été abandonnée peu de temps avant que les Portugais ne la découvrent au 16ème siècle. Ils pourraient avoir quitté le Moyen-Orient à tout moment au cours du premier millénaire de notre ère.

 

D'un point de vue biblique, les 22 Haplogroupes de l’ADN-Y ne peuvent pas avoir plus de 4300 ans. Les taux de changement pour A, B, C et les racines D, E, E3B sont tous chamitiques, et C et F se divisent à partir des fils de Noé.

 

Toutes les lignées sémites et japhéthites proviennent de F. Les Sémites sont G, H, I, J (J venant de I). Toutes les lignées japhéthites proviennent de K.

 

Ainsi, avec sept divisions jusqu’à R1b, nous avons un taux de mutations d'un sur quatre cents ans au maximum absolu.

 

C'est ce que nous voyons avec les groupes familiaux qui sont allés, par exemple, aux États-Unis, il y a quatre cents ans ou moins, et nous obtenons des preuves de mutations en une seule étape dans les mêmes familles en moins de deux cents ans.

 

Les Celtes R1b se sont divisés en une série de sous-groupes en cinq mutations au cours des deux mille dernières années, ce qui signifie que les mutations se produisent tous les deux cents ans.

 

Lorsqu'ils sont isolés dans un système tribal stable d’ADN-Y et d'ADNmt, il y a peu de mutations au cours de la même période de temps, comme nous le voyons avec les Aborigènes d'Australie.

 

Compte tenu des taux de changement dans cette perspective, on pourrait s'attendre à voir des changements de 2,5 à 400 équivaloir à un taux de base stable de 7 x 400 ou 2800 ans.

 

C'est le temps où nous aurions pu nous attendre, en fait, à voir les Tuatha de Danann bien établis en Irlande, et les Troyens entrer en Grande-Bretagne après la chute de Troie en 1054 AEC – selon les histoires du dixième siècle avant notre ère jusqu'à la fin du premier millénaire de l'ère actuelle.

 

Nous savons pour un fait que les mutations se produisent plus qu’une fois en vingt mille ans à partir de l'observation historique et la distribution des tribus et des langues.

 

Les évolutionnistes ont clairement tort et travaillent dans un vide qu'ils se sont eux-mêmes imposé.

 

Changement du DYS de l'ADN-Y

En plus de l'effet de l'ADNmt sur la structure de l’ADN-Y, nous savons maintenant qu'il y a des taux relatifs de mutation dans les différents DYS de l’ADN-Y, qui sont les groupes qui déterminent les Haplogroupes et les Clades du système de l’ADN-Y.

 

Par exemple, le taux de mutation de DYS 439 est 50 fois plus rapide que ne l’est DYS 426 ... DYS 439 est donc un séparateur généalogique, alors que DYS 426 est un séparateur anthologique. Nous ne savons pas pourquoi 426 est si stable, mais nous disposons apparemment de nombreuses données qui le prouvent.

 

L'Université de l'Arizona a mené de nombreux travaux sur les variations des marqueurs DYS, mais ceux-ci n'ont pas encore été publiés et nous n'avons donc pas l'avantage d'étudier les taux de changements relatifs importants.

 

Le marqueur le plus important pour aider à déterminer la différence entre le R1b celtique et le sémitique I est le suivant : si vous êtes un 12 à DYS 426 vous serez Q ou R, et si vous êtes un 11, vous serez n’importe où ailleurs sur l'arbre. L’Haplogroupe Q est le marqueur amérindien, et R est le proto-aryen couvrant à la fois les Slaves et les Celtes, et certains Indiens du sous-continent, les Aryens Nord-africains et les Aborigènes d'Australie. L’Haplogroupe I est dérivé du marqueur de base IJ à S2 et S22, qui est un marqueur sémitique et hébreu.

 

Ce marqueur est indiqué comme étant 50 fois plus stable que le DYS 439. Par exemple, certaines familles ont noté le changement de mutation au sein de leur famille en l'espace de 300 ans, et les mêmes familles en Grande-Bretagne, en Australie et en Amérique peuvent présenter des mutations dans le marqueur 439 depuis leur installation sur ces terres, alors que leur DYS 426 est constant comme l’ont été tous les autres, y compris les Celtes, les Amérindiens et d'autres groupes.

 

Ce à quoi nous semblons assister est un miracle de la création humaine où Dieu a simplement confondu les gens de Babylone en définissant les séquences d’ADN-Y dans quelques-uns des DYS, ce qui a assuré leur séparation distincte en peuples ayant des caractéristiques et des capacités linguistiques différentes, puis a permis une variation plus rapide dans d’autres DYS qui ont permis de suivre distinctement les familles et les lignées généalogiques. Ceci est la promesse que pas une seule semence de blé ne serait perdue dans la dispersion des peuples.

 

Jusqu’à maintenant, nous ne savons pas la base des DYS fixes et les taux de variation des marqueurs 67 à 99. Nous sommes paralysés à l'heure actuelle par la réticence des universitaires à publier tant que leur carrière de chercheurs n'est pas protégée. Cela repose en tout cas sur un paradigme évolutionniste.

 

Lorsque nous disposerons des détails, les pièces du puzzle s'assembleront et nous serons sans doute en mesure d'examiner les changements de l’ADN-Y et de l'ADNmt et de déterminer leurs taux avec plus de précision.

 

Il s'avère que ce processus est beaucoup plus rapide qu'on ne le pensait initialement. Les taux de changements plus lents n'indiquent pas un âge avancé de l’HG stable, mais plutôt la fixation des nations.

 

Le Changement Viral et Bactérien

La science a désormais démontré qu'environ 8% de l'ADN humain provient de bactéries et de rétrovirus et que ces changements peuvent se produire du jour au lendemain. Par exemple, un village est touché par un virus et cela modifie la structure de l'ADN littéralement en moins de 24 heures (cf. ABC Catalyst programme sur les Changements Viraux et Bactériens de l'ADN).

 

Nous pouvons voir à quel point il est facile d'apporter des modifications au système d'ADN humain et de modifier la nature de la structure raciale humaine. Nous savons que ces événements se sont produits à deux moments précis dans la structure biblique, et nous savons maintenant que le changement progressif se produit de plus en plus rapidement avec les rétrovirus, les bactéries, la radiation de fond et l'introduction des mutations de l'ADNmt elles-mêmes, qui provoquent une mutation supplémentaire à travers le génome humain.

 

Les modèles évolutionnistes s'avèrent désormais être une plaisanterie à chaque nouvelle découverte scientifique. L'ADN humain a été modifié et cette modification a entraîné la mort et la désintégration de l'intégrité du processus de reproduction de l'ADN, de là, une espérance de vie de plus en plus courte. La dispersion de Babel a été un second événement majeur et nous n'avons aucune idée réelle de l'importance des changements qui y ont été apportés pour accomplir le dessein de Dieu. Cela pourrait simplement avoir été réalisé à l'aide d'une série de virus.

 

Les changements se produisent de plus en plus rapidement et nous le savons, mais les évolutionnistes déforment les faits.

 

 

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