Message de la Nouvelle Lune et du Sabbat par Wade Cox
Chers Amis,
C'est la Nouvelle Lune du Premier
Jour du Cinquième Mois. Ce mois a traditionnellement été un mois de désastre
pour le Judaïsme lorsqu’il ne se comportait pas selon la Loi et le Témoignage.
La crise arrive habituellement le Neuvième et le Dixième jours d'Ab.
Si l'Église se comporte
correctement, elle n'a rien à craindre durant cette période. Nous sommes sous
la Grâce et soumis aux Lois de Dieu et la Foi de Jésus Christ. L'humanité est
soumise au dieu ou prince de ce monde et à ceux qui le servent et qui sont
aveugles (1Cor. 2:6,8 ; 2Cor. 4:4). C'est Satan qui aveugle les
hommes à l'évangile
de la Gloire de Dieu parce qu'ils n'ont aucune foi ou croyance et il influence
l'humanité à commettre le péché. Il est capable de tous nous influencer à
travers nos sens. Il est appelé le prince de la puissance de l'air (Éph. 2:2)
parce qu'il possède cette capacité. Il le fait à travers
le
pseudo-logon ou le faux témoignage qui émane par la force spirituelle,
que lui et l'Armée Déchue créent et utilisent. Ils utilisent les réactions
physiques et les émanations des gens eux-mêmes pour influencer les autres.
Dans ce sens, nous sommes des piles pour le faux témoignage et quelle
que
soit la
manière
que nous puissions être utilisés, cela fonctionne pour la destruction de notre
peuple.
Les pouvoirs qui existent ont
toujours connu la puissance de la propagande et c'est pourquoi ils ont cherché
à contrôler les cerveaux des autres. C'est pourquoi la religion a été une
arme politique à travers les âges. Le fait d’avoir une foi différente du
prince de l'état était considéré comme une sédition. Beaucoup de personnes
de la Foi ont été tuées pour ce fait. Le Sabbat Dernier, Benoît XVI a rétabli
la Messe Tridentine dans l'Église Catholique Romaine et a reculé les objectifs
de Vatican II de manière significative, en attirant des critiques des évêques
Français et Britanniques. Les évêques Anglais et Gallois avaient précédemment
obtenu une dispense sous la représentation du Cardinal Heenan de Westminster.
Le terme "Tridentine"
est tiré de Tridentinus, l'adjectif
Latin touchant à la ville de Trent en Italie et est utilisé pour se référer
au Concile qui a été tenu à Trent entre 1545 et 1563. Le terme est devenu une
désignation appliquée au rite de la Messe publiée par Pie V en 1570 en réponse
à une décision du Concile de Trent. Des éditions successives du Missel Romain
ont été produites entre ce temps et 1962. Des versions précédentes de la
Messe ont existé avant 1570 qui étaient très divergentes. Le pape Pie V a
rendu le missel de 1570 obligatoire partout dans l'Église Occidentale, à
l’exception de ces régions et ces ordres religieux très peu nombreux dont
les missels existants dataient d’avant 1370. La plupart de ces régions et
ordres ont adopté plus tard le Missel Romain standard. Les deux liturgies
non-Romaines les plus importantes qui continuent à être utilisées sont le
Rite Ambrosien et le Rite Mozarabe.
Par son motu proprio Summorum Pontificum du 7 juillet 2007, Benoît XVI a
permis l'utilisation du Rite Tridentine en tant qu’une forme extraordinaire de la célébration liturgique, comme "un
cas d'une utilisation double du même rite [Romain]". Il a souligné que
cette Messe "n'a jamais été juridiquement abrogée et, par conséquent,
en principe, était toujours permise."
En 1570, le Pape st. Pie V - dans
sa Bulle papale Quo Primum - a dit que
les prêtres pourraient utiliser le Rite Tridentine pour toujours, "sans
scrupule de conscience ou de crainte de pénalité".
Suivant le Deuxième Concile du
Vatican, son utilisation publique a été limitée par l'Église CR sous la
plupart des Évêques et le leader du mouvement réactionnaire a été
finalement excommunié à cause de sa position réactionnaire.
Après l'introduction de la
nouvelle Messe du Pape Paul VI, les seuls prêtres à qui a été donnée la
permission de dire publiquement la Messe Tridentine étaient les prêtres de
l'Angleterre et du Pays de Galles, grâce à un indult ( permission) accordé
par le Vatican au Cardinal Heenan de Westminster.
D’autres prêtres, comme le Béni
Padre Pio et le Béni Josemaria Escriva, le fondateur de l'Opus Dei, ont continué
à utiliser la vieille Messe à titre privé, de préférence au nouveau rite.
L'utilisation revendiquée du cœur
de la Messe Tridentine est affirmée comme ayant commencé avec Grégoire I lors
de l'établissement du Saint Empire Romain environ 590 EC (Ère Courante).
Cependant, l'affirmation que ceux-ci étaient similaires est incorrecte.
La Messe Tridentine est
essentiellement le service revendiqué ou le rite du Saint Empire Romain et de
ses sociétés secrètes de la Contre-Réforme à Trent. Ainsi, ces sociétés
impérialistes parmi le Catholicisme Romain utilisent cet ordre de service en
tant qu’une partie de leur liturgie pour cette raison.
La première liturgie à Rome était
en Grec et le Latin n'a probablement pas été utilisé avant la fin du troisième
siècle.
Il n'y avait aucune liturgie à
Rome autre que l'utilisation de la Bible et l'explication de ses textes par le
Président de l'Assemblée, comme nous savons de Justin Martyr et d’Hippolyte
et aussi de Novatien.
Justin Martyr (env. 148-154) dans
sa Première Apologie, au Chapitre 65,
note la pratique du baptême et de la communion après ce baptême par toutes
personnes présentes. Au Chapitre 63, Justin explique comment Dieu est apparu à
Moïse à travers l'Ange de Dieu qui était Jésus Christ, également nommé
Ange aussi bien qu’Apôtre. Après que le baptême est expliqué, il explique
le deuxième sacrement de l'Eucharistie,
qui signifie littéralement action de grâces,
tel que tiré de Matthieu 26:27. Il cite Luc 22:19 concernant le pain et le vin
en tant que le corps et le sang de Christ étant pris, pas simplement comme le
pain et le vin, mais comme le corps et le sang de Christ qui, par la
transmutation, nourrit l’élu baptisé de l'Église. Le terme
Action de grâces ou Eucharistia en Grec sont tirés des paroles de Christ,
qui est maintenant devenu Eucharist
dans la langue anglaise Il note que la fausse pratique avait été introduite
par le Mithraïsme du Pain et de l'Eau dans l'initiation au Mithraïsme, qui
remplaçait le vin comme substitut païen. Le rite Catholique Romain postérieur
a enlevé le vin de l'église et l'a seulement permis au clergé, donnant en
effet crédit au rite Mithraïque au dessus du rite biblique.
La doctrine de Transsubstantiation
a prétendument surgi aussi à Rome au temps de Justin où il dit : "Ce
n’est pas en tant que pain ordinaire ni boisson ordinaire que nous prenons
ceux-ci ; mais puisque Jésus Christ notre Sauveur a été fait chair par la
parole de Dieu et avait la chair et le sang pour notre salut, ainsi de même,
nous avons été enseignés que la nourriture qui a été bénie par la prière
de sa parole, et de laquelle notre
sang et chair sont nourris par la transmutation, est la chair et le sang de ce Jésus
qui a été fait chair ”. Les catholiques citent continuellement mal ce texte
pour soutenir la transsubstantiation.
L'expression est faite
naturellement comme quelqu’un qui croit que c'est du pain, mais non pas
simplement du pain ordinaire. Gelasius, l'évêque de Rome en 490 EC, a dit en
expliquant les doctrines que : “Par les sacrements, nous sommes rendus
participants de la nature divine et toutefois la substance et la nature du pain
et du vin ne cessent pas d'y être présentes” (cf. l'original dans les
Antiquités Binghams, livre xv, ch. 5 selon fn. 6
à ANF, Vol. 1, p. 185).
Justin continue et explique l’opinion
des apôtres dans les évangiles et cite ensuite Luc naturellement et on ne
pouvait pas prétendre qu'il était affirmé que la chair réelle et le sang réel
de Christ ont remplacé le pain - et ce n'était pas compris ainsi par les
Romains ou d'autres Églises Catholiques pendant au moins les cinq premiers siècles,
comme nous le constatons de l'explication même du pape.
Dans les Chapitres 66 et 67, il note la pratique récemment introduite du culte du Dimanche qui a été introduite à Rome en plus du Sabbat peut-être aussi tôt que 110 EC, mais certainement pas plus tôt et seulement là.
Au jour,
appelé Dimanche, tous ceux qui vivent dans les villes ou dans la campagne se
réunissent à un endroit, et les mémoires des apôtres ou les écrits des prophètes
sont lus, aussi longtemps que le temps le permet ; ensuite, lorsque le lecteur a
terminé, le président instruit verbalement, et exhorte à imiter ces bonnes
choses. Ensuite, nous nous levons tous ensemble et prions et, comme nous avons
dit auparavant, lorsque notre prière est terminée, le pain et le vin et l'eau
sont apportés et le président offre de la même manière des prières et des
actions de grâces, selon sa capacité et les gens consentent, en disant Amen ; et
il y a une distribution pour chacun et une participation sur quoi on a donné des
actions de grâces et à ceux qui sont absents, une portion est envoyée par les
diacres.
La langue utilisée était le
Grec, à l’exception du mot hébreu Amen
que Justin explique en Grec (γένοιτο
: qu’il en soit ainsi), disant que par cela que "toutes les personnes présentes
expriment leur consentement" lorsque le président des frères "a
conclu les prières et les actions de grâces." Le terme
président des frères peut être
légitimement traduit comme un des frères
qui présidait (cf. fn. 4 au ch. 65,
ANF, Vol. 1, p. 185). L'erreur des doctrines de la Crucifixion du Vendredi
et de la Résurrection du Dimanche a été adoptée par Justin du culte d’Attis
à Rome en ce temps–là.
Donc, le Latin n'était pas la
langue originale de l'Église ; ce n'est pas non plus une exigence qu’il
en soit ainsi.
La Messe Tridentine a été
introduite de nouveau pour présenter la prémisse de base de l'Église
Catholique qui a été établie de la question de la Bulle Unam Sanctam qui exige que tous les Chrétiens appartiennent à l'Église
Catholique Romaine (voir l’étude
La Théorie de la Guerre Juste
(No. 110)). Benoît XVI a déclaré de nouveau clairement qu'il
ne considère pas Vatican II comme dotant les autres églises de légitimité et
déclare que la présumée “Succession Apostolique” de leurs évêques est
l'identification de l'Église Catholique Romaine en tant que la véritable église.
Le fait que les apôtres considéreraient
l'Église Catholique Romaine comme étant hérétique - et, en effet, leurs
successeurs légitimes Polycarpe et Polycrates qui ont été formés par eux,
particulièrement par Jean, la considérait en effet comme hérétique dans le
schisme causé par Rome dans
Les Disputes Quartodécimanes
(No. 277) et aussi lorsque Hippolyte l’a dénoncée au début
du Troisième siècle - semble sans pertinence.
L'Église Catholique Romaine et
toutes les institutions qui pratiquent un tel rite, ne comprennent pas que le
baptême des enfants ne confère pas le salut de quiconque. La succession est
dans le Corps de Christ telle que conférée par le baptême d’un adulte
consciencieux et par l’imposition des mains par des représentants élus du
Corps pour la réception de l'Esprit Saint.
L'affirmation Catholique Romaine
de succession apostolique est comparable aux prêtres accusés et exécutés au
Sinaï, qui revendiquaient la succession parce qu'ils étaient aussi Lévites.
Le Christianisme et le Judaïsme
et l'Islam doivent comprendre qu’une discussion avec Rome sur de tels sujets
est futile et attribue tout simplement à l'Église CR un statut qu’elle ne mérite
pas, ni ne comprend. Lorsqu’ils ont pu nous tuer, nous, les vrais Chrétiens,
ils l’ont fait et lorsqu’ils pourront le faire, ils le feront de nouveau ;
et d'autres se joindront à eux pour le faire aussi (voir Apo. 18:1-24 et aussi
http://www.holocaustrevealed.org/
disponible en langue anglaise seulement). L'Holocauste a été institué par des
Catholiques et des Luthériens Européens qui ont cherché à s’unir et à
supprimer ceux qui n'étaient pas d'accord avec eux. Rien n'a changé. Nous
voyons maintenant qu'ils ont réarrangé les buts de nouveau pour cacher le
dessein. Le premier camp de concentration en Europe a été introduit par
Luthern Diaconate à Hambourg et tous les camps ont été établis par décrets
des Nazis. Les Franciscains ont établi le camp en Croatie. Les Espagnols ont
envoyé leurs prisonniers là aussi.
La propagande est un outil
puissant dans les mains des réactionnaires. Un ours portant des livres est
comparable à l'âne chargé de livres des Landes de l'Islam couronnées, tant
condamné par le Prophète. Aucun des deux ne comprend le contenu. La
prononciation ou répétition insensée de phrases mémorisées dans une langue
étrangère est une tradition païenne condamnée par Christ (Matt. 6:7).
“L'Olive Bénédictine” a un
trajet déjà tracé, semble-t-il (voir l’étude
Le Dernier Pape (No. 288)).
Les Derniers Jours verront plusieurs autres mourir également.
Wade Cox
Coordonnateur
Général
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