Les Églises
Chrétiennes de Dieu
[B9]
Création versus Évolution [B9]
(Édition 3.0 20070728-20071122-20080609)
Dans cette étude nous regarderons la question de la Création contre l'argument de l'Évolution.
Christian Churches of
God
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2007, 2008 Wade Cox)
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Création versus Évolution [B9]
Ce qui s’est avéré
si particulièrement destructif à l'argument de la
Création est la position
présentée que les dinosaures
se promenaient dans l'Arche
avec les autres animaux
sauvés par Noé. Un tel
groupe, le
Creation Science
Evangelism Ministry
établi en 1989 par Kent
Hovind, est particulièrement
inquiétant. Hovind a établi un
site internet appelé Docteur
Dino à la fin des années
1990 et a commencé à
produire des articles et des
informations dont il a
profité financièrement. Il
détient trois diplômes
d'écoles ou d’universités
non-accréditées et se
catégorise lui-même comme
“Docteur” d’après un de
ces diplômes.
http://en.wikipedia.org/wiki/Kent_Hovind
Les évolutionnistes ont
profité de son manque de
qualifications d'éducation
formelle et de sa position
soutenant que des dinosaures
se promenaient avec les
humains sur l'Arche, comme
preuve de l'irrationalité de
la position Créationniste.
Ces gens sont en train de
causer d’importants dommages
à l'argument Créationniste
contrairement à la théorie
de l'Évolution qui est en
soi une théorie religieuse
manifestement discontinue et
philosophiquement absurde.
Apparemment, une preuve
anecdotique de la survie
d'animaux du genre
plésiosaure et d'autres
animaux semblables au
dinosaure aurait été
rapportée par la découverte
de peintures rupestres
autochtones en Australie.
Cela est supporté par des
observations européennes
jusqu'à la fin des années
1970. Une source rapportée
est la Rivière Hawkesbury au
nord de Sydney (voir le site
à
http://www.mysteriousaustralia.com/aboriginal_rockkart.html
(la photo supérieure : celui
du bas semble être un dingo
ou thylacine)). Le
plésiosaure était commun
partout en Australie et nous
avons trouvé un spécimen
complet fossilisé en opale
dans la mer intérieure qui
existait près des champs
d'opale de Lightning Ridge.
Les rapports mentionnent des
créatures entre 9 mètres et
18 mètres (de 30 pieds
jusqu’à 45-60 pieds) (un
était prétendument de 180
pieds ou 54 mètres) de
longueur avec une tête de
serpent géante et un énorme
corps qui forment deux
bosses peut-être à cause du
très long cou qui a été
décrit comme environ 61 cm
d'épaisseur (2 pieds). Ils
ont une grande tête de
serpent entre 60 cm et 1.5
mètres de largeur et plus
d'un mètre environ de
longueur et plus long que la
largeur. La queue est
d’environ quatre mètres (15
pieds) de longueur. Il est
appelé
le Mirreeulla
dans la langue autochtone
locale Dharuk. Il est appelé
Yarru (ou Yarrba) par les
gens de tribus Kuku Yalanji
de l’Extrême Nord du
Queensland, où on dit qu’il
occupe les grands bassins
d’eau de la région. Il y a
une légende à Victoria d'une
créature semblable mais avec
quatre pattes, mais qui n'a
jamais été confirmée. Les
longues périodes de temps
entre les rapports oculaires
peuvent indiquer une période
d'hibernation prolongée ou
une créature des mers
profondes qui fait surface
seulement rarement. Les
rapports d'animaux du
Queensland au Lac Galilée et
au Cap Sandy, Île Fraser et
en Australie Occidentale
entre Carnarvon et Broome,
aussi bien que le Hawkesbury
sont détaillés à
http://uqconnect.net/~zzlaueli/serpents.htm.
Les rapports oculaires de
l'Île Fraser dataient de
plus de huit ans tant par
les Autochtones que par les
Européens. Il a été aperçu
et attiré au Cap Sandy par
Mlle Lovell, en juin 1890.
Il a été nommé
Moha Moha par les
Aborigènes le nommant le
Camarade Impertinent Meebee,
signifiant la tortue
dangereuse, car il a
attaqué leurs camps et les a
forcés à se déplacer vers
l’intérieur en huit ans. On
lui a donné son nom
scientifique officiel propre
Chelosauria lovelli (le
lézard tortue de Mlle
Lovell). L'histoire a été
publiée dans le Journal
anglais,
Land and Water. Ces rapports oculaires et ceux en WA dataient
surtout de la fin du 19ème
siècle, mais certains
dataient seulement d’environ
vingt ans.
Le Pin Wollemi a été trouvé
dans un parc national en
Nouvelle-Galles du Sud, il
n’y a pas si longtemps et
jusqu'à ce qu'il ait été
trouvé, on le pensait
disparu avec les dinosaures,
prétendument, il y a plus de
63 millions d'années.
L'auteur a personnellement
observé un ancien Hêtre
Antarctique sur une arête
des forêts tropicales
humides de Wyangarie sur le
côté de la frontière du Nord
de la Nouvelle-Galles du Sud
(NSW).
Il y a très peu de preuves
validées à l’appui des
dinosaures coexistant avec
des humains sur la terre.
Ces fossiles vivants
rapportés sont des créatures
de mer ou amphibies et comme
telles, elles pourraient
avoir survécu au Déluge dans
cet environnement marin,
aussi bien que le cœlacanthe
attrapé il y a pas si
longtemps dans des eaux
sud-africaines et qu’on
pensait disparu depuis le
même temps. Il y a un
rapport de la coexistence
d’humains et de dinosaures
mais il n'est pas corroboré
par aucun autre rapport. Il
est trouvé
à
http://www.answersingenesis.org/creation/v18/i4/dinosaurs.asp
L'article est de Sergei
Golovin et concerne une
découverte au Turkménistan
par une équipe russe.
Golovin est rapporté en tant
qu’un diplômé de
l'Université d'État de
Simferopol en Ukraine. Ses
spécialités sont l'optique
de laser et la géophysique
et il a fait breveter des
inventions dans ces
domaines. Ses recherches ont
été publiées dans les
journaux de l'Académie de
Sciences de l'URSS et en
1992, il a fondé le Centre
Scientifique Chrétien
(créationniste) en Ukraine.
Golovin dit que cela a été
rapporté par le journaliste
Alexandre Bushev dans
l'édition du 31 janvier 1995
de Komsomolskaya Pravda,
un journal populaire de
l'ancienne URSS. Il est
rapporté avoir voyagé au
plateau près du village de
Khodga-Pil au Turkménistan
et avoir vu les empreintes
fossilisées de dinosaures et
d’humains ensemble.
L'article annoncé dans
Réponses en Genèse (Answers
in Genesis) affirme :
“Bushev a dit que chaque
mètre de la grande surface
du rocher d’un demi
kilomètre est couvert par
des empreintes de pas à
trois orteils ‘fait par des
dinosaures géants lors de
leur promenade du matin ou
du soir le long de la rive
de l’ancienne mer’. Le
plateau turkmène contient
plus de 3.000 empreintes de
pas.
Bushev a dit que le
scientifique turkmène Kurban
Amanniyazov considère ce
plateau Jurassique être âgé
d’au moins 200 millions
d'années.
‘Mais le fait le plus
mystérieux’, a ajouté Bushev,
‘est que parmi les
empreintes de pas de
dinosaures, des empreintes
de pas de pieds humains nus
ont été trouvées !’ Il a
suggéré que, parce que 'nous
savons’ que les humains sont
apparus beaucoup plus tard
que les dinosaures, il y
avait un extraterrestre ‘qui
a marché dans son maillot de
bain le long de la rive de
la mer’.
Ce rapport d’empreintes de
pas de dinosaures et
d’humains sur le Plateau
Kughitang-Tau n'est pas le
premier. La nouvelle a été
annoncée aux lecteurs de la
version anglaise
de Nouvelles de Moscou
en 1983 (No. 24, p. 10).
C'était pendant une période
où les communistes
contrôlaient strictement
l'aspect idéologique de
toutes les publications,
donc un article de cette
sorte pourrait être publié
seulement avec le
commentaire officiel d'un
représentant de la science
d’État officielle.
Le commentaire qu'ils ont donné à
ce moment-là était :
‘Qui sait, mais peut-être que nos très lointains ancêtres ont côtoyé des
dinosaures ?
‘“La science pourra probablement répondre affirmativement dans l'avenir”, a
dit le Professeur Kurban
Amanniyazov, le chef de
l'expédition. “Cependant, à
présent, nous n'avons pas
assez de preuves pour
l’affirmer. Nous avons des
empreintes qui ressemblent à
des empreintes de pas
humaines, mais jusqu'à
présent, nous n'avons pas
réussi à déterminer, avec
une quelconque véracité
scientifique, à qui elles
appartiennent, après tout.
‘“Si nous pouvions prouver qu'elles appartiennent vraiment à un humanoïde,
alors cela créerait une
révolution dans la science
humaine. L'humanité
‘deviendrait plus vieille’
de trente fois et son
histoire serait âgée d’au
moins de 150 millions
d’années ?”’
Un des problèmes que nous avons aussi est que d'autres rapports d’empreintes
de pas de dinosaures et
d’humains ensemble ont été
démontrés comme étant des
empreintes de dinosaures
érodées. Les évolutionnistes
écartent ces revendications
en principe parce qu'elles
ne cadrent pas avec la
théorie. Les découvertes
doivent être corroborées et
adéquatement documentées. Si
cette affirmation est vraie,
alors nous disposons un
rapport de dinosaures
terrestres coexistant avec
des humains, mais de quel
type ? Il est certain que
l'âge des dinosaures devrait
être réduit considérablement
et que l'âge de
détermination des strates de
rocher devrait aussi être
réduit, comme nous le
verrons plus loin.
Rebecca Driver, une
journaliste indépendante
avec un diplôme en
Crypto-zoologie, est
rapportée à
http://www.answersingenesis.org/creation/v21/i1/aborigines.asp
comme traitant de mythes
autochtones australiens et
de légendes et les rapports
européens actuels de leurs
observations. Elle rapporte
des légendes selon
lesquelles il existait
autrefois des kangourous
carnivores qui ressemblaient
peut-être à la petite
bettongie rousse du type
kangourou qui a été observée
mâchant des os d’animaux et
volant des œufs de poulet.
La bettongie de terrier
apparentée est reconnue pour
manger des carcasses de
mouton. Elle affirme, “Dans
le passé cependant, qu’il y
avait des ‘bettongies
géantes’ qui pesaient
environ 70 kilogrammes et
qui mesuraient six ou sept
pieds de haut [soit 1,8 à
2,1 m].” Elle les identifie
comme des kangourous de type
propleopus.
Elle dit : “leurs dents
laissaient plus penser à
celles des carnivores qu'à
celles d’herbivores. Leurs
incisives inférieures
étaient pointues et étaient
horizontalement alignées, ce
qui en faisait de véritables
armes perçantes. Les
prémolaires étaient aussi
formées comme de grandes
lames 'de scie circulaire',
fortement dentelées et
conçues pour couper
des produits
alimentaires
coriaces.
Il y a peu de doute que le
Propleopus oscillans et
le P. chillagoensis
étaient les loups de la
famille du kangourou.”
Les évolutionnistes
prétendent qu'ils se sont
éteints il y a plus de 20
000 ans avec le Diprotodon
des Cavernes Jenolan. Ainsi,
selon le raisonnement
évolutionniste, les
Autochtones seraient
présents sur le continent
depuis plus de 20 000 ans
pour avoir ces légendes,
autrement nous devons
réduire la chronologie. La
probabilité que la légende a
été préservée intacte au
cours de ce temps est
fortement improbable. La
conclusion doit être qu'ils
se sont éteints dans le
souvenir des aborigènes
modernes, qui les ont
probablement tous tués. Nous
avons toujours des plantes
qui se sont adaptées pour
échapper au Diprotodon en
Australie. On devrait aussi
noter que quelques mythes
Autochtones sont issus
d’entités spirituelles et
non pas physiques comme
c’est évident des mythes
comme
le Serpent Unggud
examiné dans le texte du
Chapitre 1 du Mysticisme à
http://www.ccg.org/french/s/B7_1.html. Cependant, les
rapports d’observation
d'animaux connus réels ou de
reptiles doivent être pris
plus sérieusement. Le
contre-argument serait
logiquement que les
aborigènes ont rapporté des
découvertes squelettiques
mais ont rapporté des
observations de la réalité
vivante. Ces rapports
doivent être plus
exhaustivement évalués.
Causalité
Il y a une analyse de la
Causalité Singulière et la
position logique de
l'Évolution et de la Bible
dans l’étude
La Création : de la
Théologie Anthropomorphique
à l'Anthropologie
Théomorphique B5
et est publiée à
http://www.ccg.org/french/s/B5.html.
Les philosophes sont les
agents policiers des
universités et comme tels,
ils sont en mesure
d'abstraire et d’examiner
n’importe quel argument dans
n’importe quelle discipline
pour trouver sa logique, sa
vérité et sa validité.
L'évolution est inacceptable
parce que ses arguments sont
sans fondements et faux. Il
est déplorable de constater
les piètres efforts faits
par les philosophes en
général pour examiner ce que
sont les théories standard
enseignées dans les
institutions de hautes
études, telles que
l'Évolution et le
Réchauffement Global, qui
sont toutes deux fausses
aussi bien qu’illogiques.
Ces arguments sont fondés
sur de fausses hypothèses à
des fins politiques. Les
philosophes ont un devoir
d'examiner et d’exposer ces
fausses hypothèses mais la
majorité a été trop faible
pour le faire.
Quelques arguments des
Créationnistes de la Jeune
Terre (Young Earth Creation) sont illogiques et faux mais cela ne rend pas
les Évolutionnistes
corrects. Ils donnent
simplement à ces
protagonistes de l'Évolution
un homme de paille à
attaquer pour discréditer le
Créationnisme.
Ces personnes qui se disent
scientifiques
Évolutionnaires ne s’en
prennent pas par exemple à
Stephen Hawking et à Roger
Penrose à propos de leur
déclaration de la
singularité derrière la
création de l'univers dans
la position de 10 à la
puissance 10 à
la
123ème
puissance. Ils prouvent
simplement qu'il y a un
point (sélection de volume
espace phase [ou temps])
et uniquement un point
duquel l'univers a pu être
généré et cette singularité,
ils la comprennent comme
étant Dieu. La Physique
Atomique et la Théorie
Quantique nous ont démontré
que l'infrastructure
sous-jacente de l'univers
n'est pas physique. Il a
aussi maintenant été
démontré par la dégradation
des Mésons-K qu'il y a une
directivité au temps. Les
évolutionnistes ne veulent
pas examiner la logique et
la complexité de ces
problèmes. Ils font des
hypothèses et créent des
modèles mathématiques, qui
sont fondés sur de fausses
prémisses. N'importe quel
étudiant de première année
en philosophie échouerait
pour ne pas avoir été
capable de démolir ces
arguments absurdes.
La logique fondamentale
derrière la Bible est que la
création de l'univers est le
produit d'une intelligence
qui est une singularité.
Logiquement, cette
intelligence a une
obligation de communiquer
son intention et son but aux
éléments intelligents de la
création, si elle a un but
et un sens. La Bible est la
seule source cohérente en
notre possession qui
revendique être cette
révélation de la Singularité
qui en français, est appelée
Dieu.
La logique de l’École de La
Jeune Terre (The
Young Earth School)
proposant la présence de
dinosaures sur l’Arche peut
facilement être réfutée.
Les dinosaures étaient
disparus et ne pouvaient pas
avoir été sur l'Arche. Si
Dieu avait voulu les
préserver, ils auraient en
effet été sur l'Arche et non
détruits par la suite. Si
Dieu avait voulu que Noé
préserve les espèces dans
l'Arche, ils auraient fait
partie des rapports
post-déluge et du récit
Biblique aussi. Ils ne font
pas partie des récits
post-déluge et ils ne font
pas partie des récits
géologiques et historiques
post-déluge et donc, ils ne
pouvaient pas avoir été
présents sur l'Arche et ils
ont donc été destinés par
Dieu à être détruits.
La Bible n'exige pas
logiquement que la Terre ait
seulement six mille ans. La
Terre en Genèse est décrite
comme
devenant sans forme et vide,
ou Tohu et Bohu.
La description dans Genèse 1
n'exige pas que la Terre ait
été créée il y a six mille
ans et effectivement, la
description pourrait être
argumentée pour refléter
l'opposé.
La science se développe
actuellement
exponentiellement dans la
compréhension du processus
de l'univers. On comprend
maintenant que les systèmes
d'étoiles sont eux-mêmes des
instruments de création.
Dans cet argument pour
l'Évolution, il y a en effet
quelques arguments étranges
proposés par des personnes
qui se disent scientifiques
et anthropologues qui sont
basés sur de fausses
prémisses.
Un exemple est l'utilisation
de technologies pour
artificiellement prolonger
l'âge de quelques sites
archéologiques. Un
anthropologue en Australie a
daté une découverte d'un
squelette humanoïde basée
sur les pierres trouvées
dans le secteur de la cavité
de l'estomac du spécimen. Il
a ensuite argumenté que le
spécimen avait un problème
intestinal et a mangé les
pierres pour se débarrasser
de la maladie. Cet argument
était si absurde que même
les autres anthropologues
ont été embarrassés et l’ont
déclaré absurde.
Cependant, il peut être constaté que très souvent, ce qui serait nécessaire
pour logiquement embarrasser
un scientifique ou un
anthropologue
évolutionniste, réussirait
aussi peut-être à arrêter un
train.
Quelques absurdités sont développées à des fins politiques. Par exemple, les
données de l'ADN et les
autres données historiques
de l'espèce humaine sont
basées sur une série de
fausses prémisses.
Fausse Prémisse 1 : Que l’ADNmt ne
cause pas des mutations dans
le Génome Humain.
Basé sur cette fausse
prémisse, un modèle
mathématique d’humains
modernes a été créé qui
étend le développement de
l'espèce humaine des Homo
sapiens sur plus de 130.000
ans.
Nous savons maintenant par
la recherche faite par
l'Institut Pasteur en France
que cette vue est
complètement fausse et que
l'ADN de mitochondrie des
femmes provoque la mutation
à travers le génome humain
entier. Malgré cette
importante découverte et les
implications évidentes pour
l'âge des humains modernes,
les modèles n'ont pas été
ajustés.
Fausse Prémisse 2 : Les Aborigènes
Modernes ont été présents en
Australie depuis 40.000 ans.
L'ADNY des Aborigènes tombe
en trois groupes
principaux : C4 qui est une
mutation à partir du groupe
C de base, lequel s’est
déplacé
des
côtes indiennes et du
Sud-est asiatique vers aussi
loin que le Vietnam,
qui est très ancienne, K, et
R de base ; et il y a un peu
d’ADN chinois plus récent
qui est Hg O. Les Haplotypes
K et R de base sont des
récentes mutations des
Haplotypes d’ADNY humain.
Jusqu’à 15 % des Aborigènes
modernes sont descendants de
la dernière mutation de la
chaîne de haplonte R de base
dérivés de K à P en Asie
Mineure et est dérivée des
ancêtres des Aryens et des
Dravidiens en Inde et des
Slaves et des Celtes de
l'Europe et de l'Asie
Centrale, et du Cameroun.
Ces arguments et mouvements
sont exposés en détail dans
l’œuvre
L'Origine Génétique des Nations (No. 265).
Les évolutionnistes
soutiennent que nous sommes
venus de l'Afrique, et
certains revendiquent même
notre origine comme étant il
y a 250.000 ans, parce que
l’unique lignée ADNmt
originale était Hg. L et
cela est aujourd'hui trouvé
principalement en Afrique et
chez les femmes
Afro-Américaines.
Ce que les scientifiques ont
prouvé en fait c’est que
tout l'ADN humain vient
d'une source originale
unique. Cela est le
Haplotype ADNmt L pour les
femmes et une seule lignée
qui s’est divisée en une
série de 19 Haplotypes
d’ADNY principales pour les
hommes. Toute la science
moderne de l'ADN est
parfaitement explicable par
le récit de la Bible à
partir d’Adam et d’Ève mais
les modèles mathématiques
sont trop étendus et sont
rejetés par les
Évolutionnistes, basés sur
la Fausse Prémisse 1
ci-dessus.
Fausse Prémisse 3 : Il a fallu des
millions d'années pour
déposer les strates
géologiques de la Terre.
Le fait est que des phénomènes naturels ont été observés se produisant
spontanément et les modèles
géologiques reposent sur une
série de fausses prémisses
subsidiaires.
Ce que nous avons vu dans le désastre du Mont St. Hélène aux États-Unis a
été la déposition de strates
en seulement quelques jours
et quelques heures, que l’on
pensait avoir pris des
millions d'années. Krakatoa
en Indonésie émerge aussi du
fond de la mer après un
siècle et demi, entre le
moment où il a explosé et
déposé sa cendre dans le
monde entier durant une
année.
L'auteur a parlé à des
géologues seniors à
l'université et dans le
système minier qui
soutiennent la vue que le
Déluge a déposé des strates
maintenant considérées être
âgées de millions d’années.
La
logique est que les
scientifiques recherchent
des éléments de preuve pour
une inondation au-dessus des
couches de roches qui est en
fait en elles-mêmes le
résidu même du Déluge. Les roches sédimentaires sont elles-mêmes un rapport historique du Déluge.
Désintégration Radioactive
Un autre aspect de
l'impossibilité des
revendications de certains
Évolutionnistes est la
décomposition de certaines
matières atomiques. Par
exemple, le plomb est formé
de la décomposition de
l'uranium, un autre atome
radioactif. Il y a une
restriction spécifique quant
à leur demi-vie radioactive
et au cours d'une période
spécifique de temps, le
plomb est formé. Ainsi, la
Terre doit être assez
vieille, au moins, pour
avoir formé du plomb et
assez jeune, au moins, pour
conserver les matières
originales. Cela pourrait
être logiquement soutenu
qu'il peut y avoir deux
corps célestes contenus dans
ce qui est maintenant la
Terre dont un est entré en
collision avec l'autre qui
porte toujours des
implications logiques des
chronologies des métaux
concernés.
Il y a d'autres arguments basés sur l’observation de la décomposition du
nucléon dans le perchlorate
de plomb qui visent à
détruire l’argument
Créationniste de la
Young Earth Creationist.
Nous examinerons plus loin la
logique de l’argument de
l’Uranium et du Plomb.
Fausse Prémisse 4 : La Calotte
Glaciaire d’Antarctique a
été paisible pendant des
centaines de milliers
d'années.
Les Anciens Rois des Mers
ont tracé la carte de
l'Archipel Antarctique
durant les trois derniers
millénaires et avant la
destruction de la
bibliothèque à Alexandrie,
et avant la Période Romaine
Chaude et la réformation de
la calotte glaciaire. Cette
carte a été incorporée par
la Marine Turque parmi ses
cartes en 1513 sous Piri
Reest. Elle montre les côtes
de l'Afrique et de
l'Amérique dans leurs
rapports corrects de
latitudes et de longitudes,
ce que nous ne savions pas
comment faire deux ou trois
siècles après que la carte a
été réimprimée par les
Turcs. Ces derniers non plus
ne savaient pas comment
calculer la position. Colomb
a simplement utilisé de
vieilles cartes pour se
rendre aux Amériques.
Les implications pour la
chronologie des strates sont
que les couches des calottes
glaciaires ne sont pas
simplement des couches
d'années, mais celles des
saisons et des changements.
La chronologie est beaucoup
plus courte. La raison pour
laquelle le modèle actuel
n'est pas rejeté, est que
les évolutionnistes ont
besoin de ces grandes lignes
chronologiques pour
argumenter en faveur du
changement évolutionniste.
Fausse Prémisse 5 : La température
de la Terre a été constante
depuis la dernière Période
Glaciaire, qui a eu lieu il
y a environ 10.000 ans et
qui, seulement maintenant,
est en train d’augmenter
rapidement.
Le fait est que la Terre a
une période Chaude tous les
mille ans et qui dure entre
350 et 450 ans. La
Température augmente de plus
de 2 degrés et cause la
hausse des niveaux de la mer
et la fonte de grandes
parties des calottes. La
Période Chaude Médiévale
était la dernière et a duré
du neuvième siècle jusqu’au
quatorzième siècle. La
précédente était la Période
Chaude Romaine et les
niveaux de mer ont été
démontrés comme étant de 2,1
m (7 pieds) plus hauts
qu'ils ne le sont
aujourd'hui. Le port
d’Éphèse est à 2,1 m
(7 pieds) au-dessus du
niveau de la mer et se
trouve dans les terres
intérieures à 1,6 km (7
milles) du port actuel à
Kusadasi en Turquie. Le
littoral Australien était
aussi anciennement à 2,1 m
(7 pieds) plus haut qu’il ne
l’est aujourd'hui,
probablement au cours de la
même période (voir l’étude
Le Réchauffement Global et
la Prophétie de la Bible
(No. 218)). N'importe quel article couvrant le sujet de la Création/Évolution et du
Réchauffement Global etc.
doit aborder ces questions,
sinon il doit être
simplement discrédité. Il
peut y avoir un aspect
d’élévation des plaques
impliqué.
L’Uranium et le Plomb
L'uranium se décompose en
plomb. Le plomb est capable
de bloquer la matière
radioactive à cause de ses
propriétés résiduelles après
ce processus de
décomposition. À partir du
bulletin d'informations sur
le web à
http://www.ieer.org/fctsheet/uranium.html,
nous sommes en mesure de
voir une analyse succincte
du processus Uranium-Plomb.
“Découvert pour la première fois au 18ème siècle, l'uranium est un élément trouvé partout sur Terre, mais principalement en quantités de trace. En 1938, les physiciens allemands Otto Hahn et Fritz Strassmann ont prouvé que l'uranium pouvait être séparé en parties afin de produire de l'énergie. L'uranium est le combustible principal pour les réacteurs nucléaires et la matière première principale pour les armes nucléaires. L'uranium naturel se compose de trois isotopes : uranium-238, uranium-235, et uranium-234. Les isotopes d’uranium sont radioactifs. Les noyaux des éléments radioactifs sont instables, signifiant qu’ils sont transformés en d'autres éléments, se faisant typiquement par l'émission de particules (et parfois par l’absorption de particules). Ce processus, connu comme la décomposition radioactive, donne généralement lieu à l'émission de particules alpha ou bêta à partir du noyau. Il est souvent également accompagné par l'émission de radiation gamma qui est un rayonnement électromagnétique, comme des rayons-X. Ces trois sortes de radiation ont en quelques aspects des propriétés radicalement différentes, mais sont toutes des radiations ionisantes--chacune étant suffisamment énergique pour briser des liaisons chimiques et possédant de ce fait la capacité d'endommager ou de détruire les cellules vivantes.
Résumé des Isotopes de l’Uranium |
||||
Isotope |
Pourcentage en uranium naturel |
Nombre de Protons |
Nombre
de Neutrons |
Demi-vie (en années) |
Uranium-238 |
99.284 |
92 |
146 |
4.46 milliards |
Uranium-235 |
0.711 |
92 |
143 |
704 million |
Uranium-234 |
0.0055 |
92 |
142 |
245000 |
L'uranium-238, est l'isotope le plus répandu dans le minerai d'uranium, a une demi-vie d'environ 4.5 milliards d'années ; c'est-à-dire que la moitié des atomes dans n'importe quel échantillon se décomposerait en ce nombre d’années. L’uranium-238 se décompose par émission d’alpha dans le thorium-234, qui lui-même se décompose par émission de bêta en protactinium-234, qui se décompose par émission de bêta en uranium-234, et ainsi de suite. Les divers produits de décomposition, (quelquefois appelés "progéniture" ou "filles") forment une série, commençant de l'uranium-238. Après plusieurs autres décompositions d'alpha et de bêta, les séries se terminent avec l'isotope stable de plomb-206.
L'uranium-238
émet des particules alpha, qui sont moins pénétrantes que
d'autres formes de radiation, et de faibles rayons gamma.
Tant qu'il demeure à l'extérieur du corps, l'uranium pose
peu de risque physiologique (principalement par les rayons
gamma). Si inhalé ou ingéré cependant, sa radioactivité pose
des risques accrus de cancer des os et de cancer du poumon.
L'uranium est aussi chimiquement toxique à de hautes
concentrations et peut endommager les organes internes,
notamment les reins. Des études sur des animaux suggèrent
que l'uranium peut affecter la reproduction, le fœtus en
développement, et augmenter
le risque de leucémie et de cancers des tissus mous.
La propriété de
l'uranium qui est importante pour les armes nucléaires et
l’énergie nucléaire est sa capacité de se fissionner, ou de
se diviser en deux fragments plus légers lorsque bombardée
avec des neutrons, ce qui libère de l'énergie dans le
processus. Parmi les isotopes d’uranium trouvés dans la
nature, seulement l'uranium-235 peut entraîner une réaction
en chaîne-- une réaction dans laquelle chaque fission
produit assez de neutrons pour en déclencher d’autres, de
sorte que le processus de fission peut-être maintenu sans
aucune source externe de neutrons. En revanche,
l'uranium-238 ne peut pas entraîner une réaction en chaîne,
mais il peut être converti en plutonium-239, qui lui, peut
en déclencher une. Le
Plutonium-239, pratiquement inexistant dans la nature, a été
utilisé dans la première bombe atomique testée le 16 juillet
1945 et celle qui a été lâchée sur Nagasaki le 9 août 1945.”
L'argument est
donc avancé que l’Uranium-238, ayant une demi-vie de 4.46
milliards d'années, a commencé à se décomposer en
Uranium-234. L'Uranium-235 est aussi trouvé dans
l'échantillon et ne fait pas partie du processus de
décomposition en Uranium-234.
L'Uranium-235 a
une demi-vie de 704 millions d'années, sa présence également
répartie dans les dépôts d'uranium indique que l'âge de la
Terre ne peut pas être plus de 704 millions d'années.
Cependant, sa quantité de dépôt est de 0.711 et la somme de
ses neutrons est de 143 contre 142 dans l'Uranium-234.
Seulement l'Uranium-235 peut soutenir une réaction en
chaîne. Sa condition dans la nature est raisonnablement
stable et se situe tôt dans son processus de décomposition
de demi-vie et donc la Terre peut être supposée comme étant
âgée de moins de 704 millions d'années. Il y a, cependant,
de larges dépôts de son résidu de plomb, ce qui pose un
autre problème.
L'argument que
la Terre a évolué à partir de la structure atomique
nécessite alors un âge d'au moins 4.47 milliards d'années vu
que nous avons du plomb stable sur la planète qui est le
sous-produit de la décomposition de l'Uranium-238.
L'objection
évidente consiste dans le fait que nous avons aussi de
l'Uranium-235 stable, qui est le plus disposé à une réaction
en chaîne et donc les dépôts d'Uranium doivent être le
résultat d’une combinaison. Ainsi, les Créationnistes
argumentent en faveur d’une Création Divine, combinant ces
éléments et particules.
L'argument
Évolutionniste serait que le Big Bang a créé l'uranium
initial et depuis 4.47 milliards d'années (voir ci-dessous),
nous avons été en mouvement et en décomposition. L'objection
évidente à la question est l’U235 et l'Évolutionniste
s’objecterait en argumentant qu'il a dû venir d'un autre
corps céleste qui est entré en collision avec la Terre. La
logique est encore fautive vu que la production de l'U235 a
dû avoir eu lieu il y a moins de 704 millions d'années et il
s’est uniformément distribué.
L'argument ne
peut pas être avancé que la collision avec la Terre s’est
produite au-delà de 704 millions d'années sinon la demi-vie
serait expirée et c'est beaucoup trop tôt dans sa demi-vie.
Ainsi, l'infusion d'U235 doit avoir été universelle et au
cours des derniers millions d'années. La distribution
également répartie et peu nombreuse de l'U235 dans les
dépôts d'uranium indique une infusion naturelle et dans un
ordre de grandeur, ou un âge d’environ 2 millions d’années
au maximum.
L'existence du
plomb côte à côte avec l'uranium crée aussi un problème pour
les Évolutionnistes, qui ne peut pas être résolu par aucun
des systèmes de logique.
L’U238 ne
pouvait pas avoir créé une réaction en chaîne, à moins qu'il
n'ait été provoqué par le Plutonium-239, qui est
pratiquement inexistant dans la nature. Ainsi, nous avons un
argument qui soutient la Création beaucoup plus que
l'Évolution.
L'objection est
qu’on ne peut pas avoir un dépôt harmonieux d'uranium évolué
d'U238, d’U235 et d’U234 avec du plomb stable. Les
chronologies ne permettent pas la décomposition de toutes
les parties en leurs produits finis, tout en conservant les
autres parties telles que l’U235 en sa forme relativement
non-décomposée, selon notre compréhension scientifique
actuelle.
L'argument de
la décomposition de matériaux est complexe, mais elle est
directionnelle dans le temps, découlant de notre observation
des mésons K également (voir
La Création
etc. B5
au
Chapitre 1).
Âge de la Terre selon Évolutionnistes
Les
évolutionnistes dans la Science moderne soutiennent que
l'âge de la Terre et du reste du système solaire est
d’environ 4.55 milliards d'années (plus ou moins environ 1
%). Ils affirment que cette valeur est tirée de plusieurs
lignes différentes de preuves.
Les
scientifiques sont forcés d'admettre que l'âge de la Terre
ne peut pas être calculé directement des matériaux qui se
trouvent uniquement sur la Terre. L'argument général est
qu'il y a évidence que l'énergie de l'accumulation de la
Terre a causé la fonte de la surface. Ils prétendent aussi
que les processus d'érosion et le recyclage cortical ont
apparemment détruit toute la surface initiale.
Les roches les
plus vieilles trouvées jusqu'ici sur la Terre sont datées
par les Évolutionnistes à environ 3.8 à 3.9 milliards
d'années en utilisant des méthodes radio métriques de
datation. Certaines de ces roches sont sédimentaires et
pourraient bien être reliées au Déluge mais les
Évolutionnistes ne disputent pas ce point-là. L'inclusion
des minéraux qui ont été épuisés est tenue pour être aussi
vieille que 4.1 à 4.2 milliards d'années. Les
évolutionnistes admettent que des roches de cet âge sont
relativement rares. Ils prétendent que des roches qui sont
au moins de 3.5 milliards d'années ont été trouvées en
Amérique du Nord, au Groenland, en Australie, en Afrique et
en Asie selon les propriétés radioactives des atomes montrés
ci-dessus.
L'argument des
Évolutionnistes est que la Terre doit être au moins aussi
vieille que toute structure présente et donc lorsqu’ils
trouvent des roches avec les propriétés de décomposition
montrées ci-dessus, ils prétendent immédiatement que la
Terre est aussi vieille que cette propriété de
décomposition. Ensuite, ils prétendent que cette limite
inférieure est conforme avec les 4.55 milliards d'années
bien qu'ils n'aient aucune preuve qui provient de la Terre
ayant une structure valide.
Les
évolutionnistes admettent qu'ils utilisent l'argument basé
sur la décomposition vers le plomb comme étant le moyen le
plus direct pour calculer l'âge de la Terre. C'est fait en
utilisant un âge isochrone Pb/Pb, tiré des échantillons de
la Terre et de météorites. Cela implique la mesure de trois
isotopes de plomb (Pb-206, Pb-207 et Pb-208 ou Pb-204). Un
graphique est préparé du Pb-206/Pb-204 versus le
Pb-207/Pb-204.
Ils supposent
que le système solaire a été formé d'une masse commune de
matière, qui était uniformément distribuée en termes de
proportions d'isotope Pb. Ensuite, ils soutiennent alors que
les graphiques initiaux pour tous les objets de cette masse
de matière coïncideraient sur un point unique de la courbe
graphique.
Au cours du
temps, les quantités de Pb-206 et Pb-207 changeront dans
quelques échantillons, comme ces isotopes sont les produits
finis de la décomposition de l'uranium (U-238 se décompose
en Pb-206 et l'U-235 se décompose en Pb-207). Cela cause les
points de données de se séparer les uns des autres. Plus la
proportion d'uranium-plomb d'une roche est élevée, plus les
valeurs de Pb-206/Pb-204 et Pb-207/Pb-204 changeront avec le
temps.
Ils basent
l'argument sur la prémisse que si la source du système
solaire était également uniformément distribuée en ce qui
concerne les proportions d'isotope d'uranium, alors les
points de données se situeront toujours sur une ligne
unique. Ils soutiennent ensuite qu’à partir de la pente de
la ligne, ils sont capables de calculer le temps écoulé
depuis que la masse de matière est devenue séparée en objets
distincts.
On voit le
problème avec cet argument dans la demi-vie des particules
d'U238 et d’U235 et l’énorme différence de la demi-vie des
particules et le fait que l'U 235 est présent en divers
états de décomposition, comme l’est l’U238 et le produit
fini final du plomb sous les deux formes, Pb 206 et Pb 207,
sont de même disponibles.
Donc, l'origine de la Terre devait être variable selon leur
argument, ou est le produit d'interactions au cours du temps
et/ou de l'interférence d'une autre source qui a changé sa
structure. Les Créationnistes soutiennent que
cette entité est la singularité que nous appelons Dieu.
La Seconde Loi de la
Thermodynamique et l'Entropie dans la Création
La Seconde Loi
de la Thermodynamique ne permet pas la Théorie de
l'Évolution pour des chronologies telles qu’exprimées par
les Évolutionnistes. Aucun processus spontané n'est possible
dans un système isolé et requiert une interférence ou
entrants (inputs) externes.
L'entropie de
systèmes isolés est soumise aux absolus. Un processus de
système isolé peut arriver seulement s'il augmente
l'entropie totale du système.
Ainsi, le
système peut, soit rester le même, soit subir un certain
processus physique qui augmente l'entropie. Les processus
qui diminuent l'entropie totale d'un système isolé ne se
produisent pas. Si un système est en équilibre, par
définition, aucun processus spontané ne se produit et donc
le système se situe à l'entropie maximale (cf. l'article sur
la Seconde Loi à Wikipédia
http://en.wikipedia.org/wiki/Second_law_of_thermodynamics).
L'évolution est en fait un processus spontané. Ce processus
n'a pas été formellement observé, mais est un processus
hypothétique assumé comme étant l'origine des espèces. Le
récit géologique est manifestement discontinu et l'hypothèse
est non prouvée. Le fait que nous partageons les systèmes de
vie avec des chimpanzés, des vers de terre et des souris ne
signifie pas logiquement que nous sommes issus de quelconque
d'entre eux.
De Clausius, la formulation la plus simple de la Seconde Loi, la formule
pour la chaleur, spécifie :
La chaleur ne peut pas spontanément s’écouler d'un matériau de température
inférieure à un matériau de température plus élevée.
“D'une façon informelle, ‘La chaleur ne s’écoule pas du froid au chaud’, ce
qui est évidemment vrai à partir de l'expérience de tous les
jours. Notez que par la définition mathématique
d'entropie, un processus dans lequel la chaleur
s’écoule du froid au chaud voit l'entropie diminuer, donc la
formule de l'entropie du deuxième principe [ou seconde loi]
implique directement la formule pour la chaleur (ibid.).
“Une troisième
formulation du deuxième principe, la formule de la machine
thermique, par Lord Kelvin,
est
:
Il est
impossible de convertir la chaleur complètement en travail.
Autrement dit,
il est impossible d'extraire l'énergie de la chaleur d'une
source d'énergie à une température élevée et convertir
ensuite toute l'énergie en travail. On doit dissiper au
moins un peu d'énergie pour chauffer un refroidisseur à
basse température. Donc, une machine thermique avec une
efficacité de 100 % est thermodynamiquement impossible.
La
thermodynamique est une théorie des systèmes macroscopiques
en équilibre et donc le deuxième principe s'applique
seulement aux systèmes macroscopiques avec des températures
bien définies. Aucune violation du deuxième principe de la
thermodynamique n'a jamais été observée dans un système
macroscopique. Mais sur l’échelle de quelques atomes, le
deuxième principe ne s'applique pas ; par exemple, dans un
système de deux molécules, il est possible pour une molécule
se déplaçant plus lentement ("froide") de transférer de
l'énergie à une molécule se déplaçant plus rapidement
("chaude"). De tels minuscules systèmes sont à l'extérieur
du domaine de la thermodynamique, mais ils peuvent être
examinés en utilisant la
mécanique statistique. Pour n'importe quel système isolé
avec une masse de plus que quelques picogrammes, le deuxième
principe est vrai à quelques parties par millions près.”
“Dans un sens général, le deuxième principe dit que des différences de
température entre des systèmes en contact ont tendance à
s’équilibrer et qu’un
travail peut être obtenu de ces différences non-équilibrées,
mais cette perte de chaleur se produit, sous la forme
d'entropie, lorsqu’un travail est fait.
Des différences de pression, de densité et
particulièrement des différences de température, ont toutes
tendance à s’équilibrer si l'occasion est donnée. Cela
signifie qu'un système isolé
en viendra finalement à une température uniforme.” (ibid.)
“Aucun travail utile ne peut être tiré d'un
système isolé en l'équilibre ; il doit toujours y avoir une
source d'énergie externe et un refroidisseur pour
dissipation de chaleur. Par définition, les machines à
mouvement perpétuel du
deuxième type devraient violer le deuxième
principe pour pouvoir fonctionner.”
Aussi, la chaleur ne s’écoule pas du froid aux corps
chauds, mais cette vue a été contraire à la Théorie
Calorique de la science il y a deux siècles.
Wikipédia affirme aussi que :
“Établie au 19ème siècle, la déclaration
Kelvin-Planck du Deuxième Principe
dit, "Il est impossible pour un dispositif quelconque qui
fonctionne sur un cycle de
recevoir de la chaleur d'un
réservoir unique et de produire un travail net." Cela a été
démontré comme étant l’équivalent à la déclaration de
Clausius.
L'hypothèse d'Ergodicité
est également importante pour l'approche de Boltzmann. Elle
dit que, au cours de longues périodes de temps, le temps
passé dans une certaine région de l'espace de phase des
micro-états avec la même énergie est proportionnel au volume
de cette région, c'est-à-dire que tous les micro-états
accessibles sont également probables au cours d’une longue
période de temps. En d’autres mots, elle dit que la moyenne
d’un paramètre d’un procédé dans le temps et la moyenne de
l'ensemble statistique est la même.” (ibid.)
La mécanique
quantique a aussi été utilisée pour prouver le Deuxième
Principe en montrant que l'Entropie Von Neuman locale est à
sa valeur maximale avec une extrêmement haute probabilité et
est valable pour une grande classe de systèmes quantiques
isolés tels qu’un gaz dans un contenant. Un tel système
plein est pur et n'a aucune entropie. Cependant, de la
thermodynamique quantique, l'enchevêtrement entre le gaz et
le contenant provoque une augmentation de l'entropie locale
du gaz.
Descriptions informelles
“Le deuxième principe
peut être énoncé de diverses façons succinctes, y compris :
Il est
impossible de produire un travail dans un environnement en
utilisant un processus cyclique connecté à un réservoir de
chaleur unique (Kelvin, 1851).
Il est
impossible d'effectuer un processus cyclique en utilisant
une machine connectée à deux réservoirs de chaleur qui
auront comme seul effet le transfert d'une quantité de
chaleur du réservoir basse température au réservoir haute
température (Clausius, 1854).
Si un travail
thermodynamique doit être
fait à un taux fini, de
l'énergie libre doit être dépensée.”
Clausius a dit
le 24 avril 1865 que “l'entropie de l'univers tend vers un
maximum.” Cependant, le terme est trop général et les
systèmes doivent être définis” (ibid.). Les évolutionnistes
le considèrent comme étant un problème car l'univers est
alors par définition dans un état qui distribuera également
la chaleur à travers le système et au cours de la période de
temps hypothétique ou permise pour l'univers, l'entropie
devrait être à sa valeur maximale.
Cependant, nous savons que l'univers forme de nouveaux systèmes et élimine
de vieux systèmes en tout temps. La fonction du soleil en
tant que machine thermique devrait avoir tendance à
l'entropie et le système solaire devrait se refroidir. La
chronologie de son refroidissement est sérieusement en
question étant donnée la fonction de sa production de
chaleur. Aucune explication adéquate pour le soleil n'est
consentie ou expliquée entièrement dans le contexte du
Deuxième Principe.
La maintenance de l'univers peut
seulement se produire par une force qui le supporte au
niveau mécanique ou sous-atomique quantique et cette
substance est définie selon divers termes tels que les
quarks et ceux-ci sont eux-mêmes soumis à des
infrastructures non-physiques encore plus petites. Cette vue
tient aussi de la mécanique statistique où l'explication du
Deuxième Principe stipule qu'une matière est composée
d'atomes et de molécules qui sont en mouvement constant.
Cependant, le mouvement est aussi dérivé de sous-particules
plus petites qui elles-mêmes sont formées de forces qui ne
peuvent pas être décrites physiquement et sont des états
non-physiques.
“Un ensemble particulier de positions et de vitesses pour chaque particule
dans le système est appelé
un micro-état du système et à cause du mouvement constant,
le système change constamment son micro-état. La mécanique
statistique postule que, en équilibre, chaque micro-état
dans lequel le système pourrait se trouver est également
probable d'arriver et quand cette supposition est faite, il
mène directement à la conclusion que le deuxième principe
doit être valable du sens statistique. Autrement dit, le
deuxième principe sera valable en moyenne, selon une
variation statistique de l'ordre de 1/√N où N est le
nombre de particules dans le système. Pour des situations
(macroscopiques) de tous les jours, la probabilité que le
deuxième principe sera violé est pratiquement nulle.
Cependant, pour des systèmes avec un petit nombre de
particules, les paramètres thermodynamiques, y compris
l'entropie, peuvent montrer des déviations statistiques
significatives des valeurs prévisibles selon le deuxième
principe. La théorie thermodynamique classique ne traite pas
de ces variations statistiques.” (ibid.)
Donc, la seule
façon de soutenir l'univers est par l'infusion d'énergie
dans le système grâce à des états quantiques ou par la
Création de ces macro-états dans les systèmes solaires qui
varient en âge ; et l'univers se recrée ainsi à un niveau
non-physique vers l'état macroscopique. La source de
l'énergie non-physique, nous l’appelons
l'Esprit et c'est
la création de la singularité au point du volume espace
phase [ou temps] que nous appelons “le doigt de Dieu”, c’est
à dire, le point exact où Dieu a créé l'univers. Les choses
que l'on voit sont faites à partir de choses qui sont
invisibles. La création est continuelle.
Lumière et Distance
L'univers est
très lointain et ses galaxies les plus éloignées sont à des
milliers d'années-lumière de distance entre elles. Plusieurs
étoiles et même des galaxies que nous voyons ont déjà
explosé ou se sont effondrées mais nous voyons encore leur
lumière. C'est un fait que nous savons maintenant que
l'univers s'éloigne rapidement du point central initial à
une vitesse énorme et nous ne connaissons pas encore (à
cause de la vitesse de ce mouvement) exactement quel âge il
a vraiment.
Singes et Humains
Quelques
Évolutionnistes prétendent que nous ne descendons pas des
singes, mais d'un ancêtre commun. Les plus ouverts admettent
que le premier ancêtre serait appelé un singe. En gros, les
Évolutionnistes croient qu'un petit groupe de créatures
s’est détaché du groupe principal de primates généralement
et sont devenues isolées de façon reproductive, menant à une
nouvelle espèce (spéciation allopathique). Le groupe
principal a continué et n'a pas disparu. Des Créationnistes
utilisent aussi cet argument pour expliquer des variations
dans l'espèce après la création.
Le fait est que
l'espèce humaine n'a pas formé de nouvelles espèces, mais
plutôt a simplement changé pour s'adapter à de nouvelles
circonstances. Un exemple de cela est dans la baisse de
Myéline à mesure qu’ils s’éloignaient de l'équateur au cours
du temps afin d’absorber assez de vitamine D et les
changements aux Haplotypes d'ADNY et ADNmt formant des
groupes tribaux variables. Ceux qui ont demeuré assez près
des tropiques ont conservé la couleur de peau brune de la
lignée de l’ADNmt L de Ève et la couleur originale d'Adam
(la branche pré-haplotype A et SRY 10831.1 etc.).
Ainsi,
l'argument Créationniste implique la séparation
d'information génétique existante et des changements ou des
pertes par mutation. L'évolution exige la génération de
millions indicibles de nouveaux matériels génétiques
L'idée de la
transmission de caractères acquis a été entièrement
discréditée. Ces arguments sont parfois destinés aux
Créationnistes. Par exemple, il est parfois avancé qu'une
côte a été retirée d’Adam pour créer Ève et selon ce point,
les hommes devraient avoir une côte en moins que les femmes
pour que la Bible soit vraie. La logique est incorrecte et
en effet, nous savons maintenant qu'une autre côte aurait pu
être reconstituée si la membrane periosteum avait été
laissée intacte.
Les
évolutionnistes adhèrent à une théorie qui exige une
transition d'atomes physiques jusqu’à un organisme vivant et
spécifiquement un homme moderne. Aucun tel changement n'a
été observé se produire même à une augmentation mineure de
l'information génétique. Tout ce que nous avons vu sont des
changements significatifs quand un gène de contrôle est
activé ou désactivé. Si l'Évolution était vraie, de tels
changements de mutation seraient partout évidents. Ils ne
sont pas évidents et la théorie est donc une hypothèse non
soutenue et sans valeur en tant que théorie scientifique.
Test des Primates
Une des pratiques les plus trompeuses des
anthropologues est de cacher l'ADN des primates testés. Par
exemple, nous savons que l'ADN des Néandertaliens n'avait
rien du tout à voir avec celui des humains modernes mais les
structures ne sont pas analysées et discutées publiquement.
Les revendications faites pour une ascendance d’hominidés
peuvent être clairement réfutées par la production de l’ADNY
et ADNmt des découvertes, cependant cela n'est pas fait
publiquement comme cela ne soutient pas la théorie.
L'ADN non contaminé peut d'habitude être aisément
extrait à partir de n'importe quelle dent trouvée sur
n'importe quel fossile lorsqu’elle est effectuée par les
professionnels qui évitent l'auto-contamination de l'objet
ou du site.
Cela devrait être obligatoire pour chaque découverte
de fossile d’être testé et le registre d'ADN extrait dans
des conditions de laboratoire et publié pour la discussion
publique. Une telle publication doit être dans les douze
mois. Comme les fonds publics ou université sont impliqués
dans la plupart des découvertes, cela devrait être facile de
légiférer et de contrôler.
Toutes les découvertes en Australie doivent être
testées et publiées. Qu'elles ne soient pas correctement
testées et documentées, c’est parce que les théories et la
politique des terres Autochtones et des paradigmes
d'Anthropologue et l'intérêt personnel sont en conflit avec
la publication ouverte.
Des mythes autochtones sont tenus sacro-saints sur
des faits scientifiques en Australie et dans les Amériques
et ailleurs. La théorie évolutionniste utilisée à ces fins
n'est pas la science.
Métaux et Datation Archéologique
Les métaux ont
été façonnés avant le Déluge et Tubal-Caïn (Genèse 4:22)
était censément le premier artisan de métaux tels que le
laiton et le fer. Ainsi, le fer était connu avant le Déluge
et selon la Bible, avant le prétendu Âge de Bronze. Le
laiton est obtenu en utilisant du cuivre et du zinc et c'est
un processus difficile à développer et il a été établi au
Royaume-Uni seulement après la Réforme. Le mot utilisé pour
le laiton dans l'Ancien Testament était SHD 5178
Necosheth,
provenant de 5154
Nechushah, signifiant cuivre et utilisé aussi pour le
laiton et l'acier. Ainsi, nous devons conclure que le
premier emploi du terme était pour le cuivre et c’est le
terme probable pour le métal de base en Genèse 4:22. Le fer
est le mot barzel (SHD 1270).
Le plomb est un
métal qui a été utilisé depuis le Déluge et il était connu
précédemment. Des haches en cuivre étaient connues durant
l'Âge de Pierre. Le plus ancien humain que nous avons trouvé
dans le glacier des Alpes italiennes avait une telle hache
en cuivre sur sa personne.
Les
Archéologues Modernes postdatent la première culture de
métal à environ 7250-6750 AEC à
Çatal Hüyük, près de Konya, au Sud-est de la Turquie. Ces
dates créent un problème pour les partisans Créationnistes
Young Earth
Creationists,
revendiquant la date de 4004 AEC, et effectivement pour tout
Créationnistes qui suivent le Texte Massorétique et non pas
la Septante et qui soutiennent que la Terre devait commencer
en 4004 AEC ou plus tard. Le conflit est examiné dans
l’Appendice B de l’étude
Les Grandes Lignes de la Chronologie de L’Âge [272] (3ième édition)
Le problème se
trouve dans les systèmes qui sont utilisés pour dater les
âges si éloignés. Le problème réel provient de la
variabilité du carbone dans les items mesurés pour la
datation au carbone et les contaminations de strates de
roche en thermo luminescence.
Les Eaux Primordiales
Les
Créationnistes
Young Earth Creationists ont
un sérieux problème dans la logique des textes utilisés en
Genèse 1:1-2. Genèse 1:1 dit : “Au commencement, Dieu créa
le ciel et la terre”.
Le premier verset était un terme compris comme étant la
Création dans l'éternité passée. Cela était compris par les
Apôtres comme étant ‘le monde qui fut alors’. Ce monde était
celui avant la création de cet âge. Nous voyons maintenant
ses fossiles et ses "restes" (cf. 2Pierre 3:3-4).
Genèse 1:2
continue ensuite à dire :
"et
la terre était sans forme et vide (c'est-à-dire tohu
et bohu) et il y avait des
ténèbres à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se
mouvait au-dessus des eaux". La
science de cette affirmation est que la Terre existait et
qu’il y avait des ténèbres qui la couvrait et des eaux en
elle. Le terme utilisé pour eaux est SHD 4325
mayim, qui est le mot standard de l’Ancien Testament
pour n'importe quelle forme d'eaux, y compris l'urine ou
l'urination. Ceci était toujours compris comme étant le
chaos primordial qui a fait de la terre une désolation. Cela
ne sous-entend pas logiquement que rien n’y était présent au
moment où cela s’est produit et la distance entre les
versets 1 et 2 couvre des aeons de temps et la destruction
de la planète et des âges auparavant. Cela semble inclure la
grande majorité des dinosaures, sinon tous. La séquence dans
le chapitre indique une réorganisation du système solaire et
de ses planètes et de ses lunes et nos restes fossiles
semblent confirmer cette désolation et cette reconstruction.
Ce serait
scientifiquement impossible pour une planète de conserver de
l’H2O dans de grandes étendues d’eaux comme
mentionnées dans Genèse 1:2 et de ne pas avoir le système
solaire plus ou moins en place seulement plus tard. Il y a
une grande quantité d'eau dans notre système solaire et ces
eaux sont ajoutées à la Terre sur une base continuelle, ce
que nous avons découvert récemment. L'origine de l'eau dans
le système solaire est inconnue jusqu’à présent et peut
avoir été expulsée d'un autre corps planétaire tel que Mars
ou Phaéton, avant de devenir la ceinture d'astéroïde.
La condensation provenant d'un nuage de gaz tourbillonnant
en divers gaz et minéraux peut être argumentée par les
Créationnistes pour avoir eu lieu il y a 6000 ans, mais la
science présente quelques problèmes pour ce processus et les
dinosaures n'étaient certainement pas capables de survivre
du moins après le Déluge. Donc, leur existence aurait été
limitée à 2000 ans selon cette vue.
Ce n'est pas
nécessaire bibliquement qu'ils aient existé jusqu'au Déluge
et certainement pas après. C'est un argument possible qu'ils
puissent avoir été créés en 4004 AEC mais le texte indique
que le Serpent a été forcé de se déplacer sur son ventre dès
le moment du jardin d'Éden et donc, l'argument permet en
fait un âge précédant la création d'Adam où Satan et les
Élohim déchus ont créé les dinosaures. Leur but peut avoir
été purement pratique, afin de fertiliser l'environnement de
la Terre.
Un autre
problème se trouve avec les mammouths dans le permafrost en
Sibérie, qui sont allégués être âgés de 44.000 ans. Leur
chair est bien préservée et un nouveau bébé mammouth a
récemment été trouvé en bon état en Sibérie vu que le
permafrost est en train de fondre. La base scientifique de
la datation est considérée comme une conjecture. Les
Créationnistes de la Nouvelle Terre seraient obligés de
limiter les mammouths à une existence beaucoup plus récente
et ces mammouths ont été examinés et des herbes tempérées
ont été trouvées dans leurs bouches, qui sont maintenant
trouvées à des latitudes beaucoup plus au Sud. L’existence
de nourriture dans leur bouche est distincte du contenu de
leur estomac qui a été trouvé dans des mastodontes en
Amérique du Nord. Les indications montrent qu'il y a eu un
déplacement de pôle très récent à partir de l'Amérique du
Nord jusqu’à l'Océan Arctique et de là, une augmentation
aussi des niveaux de mer et un gel subit des mammouths.
L'Éden
Le récit du
jardin d'Éden en Genèse place les limites du territoire
comme étant délimité par le fleuve Pishôn en Havilah, qui
est le fleuve se trouvant à l'Ouest de l'Euphrate, au Nord (Pallukat),
se délimitant à l’Est à Shur, dans les pays du désert
connectés avec Ophir. L'autre fleuve est Gihon à l'Est du
Tigre, qui est le pays de Kherkhah et Khoaspes qui s’élève
dans les montagnes du Kassi ou les territoires originaux de
Cush et de là, c’est pourquoi il est confondu avec les
Cushites du Sud ou les Cushites Africains en
Éthiopie. Le fleuve
Hiddekel est le mot Accadien pour le Tigre, en tant que
Idiqla ou l'encerclement. Le suivant est l'Euphrate,
qui est tiré du mot pherath. Le grec Euphrates
vient du perse antique Ufratu.
La création
d'Adam s’est produite au Moyen-Orient dans la région
délimitée par ces fleuves.
Il est possible que l'existence des deux calottes
sur la terre avant que le Déluge ait placé les niveaux de
mer à environ 160 pieds (49 mètres), et la Mer Méditerranée
aurait ainsi été une plaine avec la rivière Occidentale qui
la traverse sur une distance beaucoup plus grande et la
région Kushite du Sud peut en effet avoir été la limite sud
– mais ce n'est pas
nécessaire pour le récit.
Les hausses du
niveau de mer étaient plus élevées et la région du
Moyen-Orient était beaucoup plus humide durant les âges
jusqu’à la période Chaude Romaine au Premier siècle AEC
jusqu’au quatrième siècle EC. La carte de Piri Reest montre
les niveaux d’eau comme étant plus élevés et les terres plus
humides, durant ces périodes. La carte a été placée dans la
bibliothèque en Alexandrie, des siècles avant qu'elle n'ait
été brûlée par les Musulmans et pendant le temps de la
Période Chaude Romaine. Des copies des cartes Antiques sont
dans l’œuvre de Hapgood Maps of the Ancient Sea Kings
et la carte de Piri Reest de 1513, basée sur la carte
d'Alexandrie, est dans l’œuvre de Cyrus Gordon Before
Columbus (Turnstone Press London 1972, pp. 71-73).
Cette carte des
côtes Atlantiques incluant l'Antarctique ne pouvait pas
avoir été faite plus tard que le cinquième siècle de l'Ère
Courante. Le Passage de Drake est omis comme l’est aussi une
section de la côte de l'Amérique du Sud, mais elle est en
relation directe avec l’Afrique et est bien dessinée. La
carte est plus ou moins en accord avec le littoral d’environ
2,1 m (7 pieds) plus haut et beaucoup plus chaud, ayant des
lacs et plus d'humidité en Afrique et en Espagne. Les
territoires se retrouvant au Nord de la Bretagne ne sont pas
montrés et cela serait en accord avec une hausse des niveaux
de la mer.
Ainsi, les
modèles évolutionnistes en état stationnaire sont
complètement erronés et des mini-périodes glaciaires se
produisent chaque mille ans. Nous sommes présentement en
train de sortir d'une période glacière et les pôles montrent
une preuve de la fonte. Ils pourraient plus tard suivre le
déplacement du pôle magnétique et même se déplacer en
Russie/Sibérie, ce qui provoquera la chute des niveaux de
mer à long terme en mettant une autre calotte glaciaire sur
terre. La hausse de la mer peut en fait être à court terme.
Les modèles
actuels du Réchauffement Global ne tiennent pas compte de
la Période Chaude Médiévale ainsi que la Période
Chaude Romaine, ni d’une autre période qui a eu lieu au
moment de David et ni d’une autre au moment du Déluge. Le
Déluge lui-même peut bien avoir été causé par la fonte de la
Calotte Canadienne et le déplacement du pôle vers
l’Arctique, provoquant ainsi la hausse des niveaux de la
Méditerranée et causant l’inondation de la plupart des
premières civilisations là et causant la congélation des
mammouths en Sibérie. Cela aurait changé le climat partout,
particulièrement celui de l'Est et de l'Australie et de la
Nouvelle-Zélande significativement.
Cela aurait vu
l'extermination de Kartan, une entreprise de technologie des
outils dans les régions Côtières de l'Australie (voir aussi
l’œuvre de Cox,
La Création :
De la Théologie Anthropomorphique à l'Anthropologie
Théomorphique (B5)).
L'existence de flore en Antarctique, qui commence maintenant
à faire apparaître des graines dormantes depuis fort
longtemps, est une preuve de ce que ces cartes antiques
semblent nous dire.
Objection de Polonium Halos
Un des problèmes majeurs faisant face aux
Évolutionnistes est l'existence du granit de Halos Polonium.
Nous avons vu le retard dans la désintégration du
système d'Uranium à partir d’U238 à travers la séquence
jusqu’à U234 et du Polonium dans les séquences finales avant
qu'il ne se stabilise au Plomb 206, qui est stable. Les
scientifiques savent depuis des décennies que le granit
métamorphique de la Terre a du Halos Polonium au Polonium
218 qui théoriquement ne dure seulement que dans son état
libre pendant 3.11 minutes avant qu'il ne se décompose
immédiatement au Plomb 214. Dans cet état, il dure 26,8
minutes et se désintègre immédiatement au Bismuth 214 où il
dure 19,9 minutes. Il se décompose alors au Polonium 214 qui
a une demi-vie de 163 microsecondes avant de passer au Plomb
210, qui dure 22,3 ans avant de se métamorphoser en Bismuth
210 avec une demi-vie de 5.01 jours avant de se
métamorphoser en Polonium 210 avec une demi-vie de 138 jours
avant qu'il ne se transforme en Plomb 206.
Vous n’avez pas besoin d’être un professeur de
Mathématiques pour comprendre que ce processus a une
demi-vie combinée de moins de 23 ans et, donc, ces
structures indiquent que l'événement de Création qui a eu
comme conséquence les granits métamorphiques était partout
en moins d’un jubilé, et de prendre au piège et de limiter
des Halos Polonium à 3.11 minutes devait être un événement
immédiat de durée de création moins de trois minutes. Les
Halos Polonium qui étaient le résultat de l'événement sont
uniformément répartis partout dans les granits de la Terre
sur tous les continents. L'effet du Halo a été pris au piège
dans les granits immédiatement et a laissé une signature
témoin de l'événement. L'événement de Création devait ainsi
être plus de trois minutes et, à partir de la présence
d'U235 et ses produits de demi-vie ci-dessus, nous voyons
que l'événement de Création a eu lieu pas plus loin en
arrière qu'il y a 700 millions d’années.
Résumé
Les conclusions sont :
La Bible n'exige pas que la Terre soit âgée de 6000 ans. Seulement la Recréation et la création d'Adam sont de cet ordre.
Les conclusions Évolutionnistes quant à l'âge du système Solaire sont basées sur la décomposition de l'uranium en plomb et les arguments sont logiquement incohérents ou conflictuels, étant donné la demi-vie des structures utilisées.
La distance des galaxies par rapport à notre système basé sur la vitesse de la lumière est affectée par le décalage vers le rouge (redshift) et le mouvement de galaxies en s’éloignant du point d'origine à grande vitesse et l'âge de l'univers n'est pas basé directement sur la distance des corps en termes d'années-lumière.
Les Dinosaures peuvent avoir existé à la création d'Adam sur terre mais nous n'en avons aucune preuve directe. Les découvertes en Turkménistan doivent être correctement examinées et documentées. La preuve de dinosaures marins des temps modernes comme les créatures du type plésiosaure au Loch Ness et dans le Hawkesbury est en grande partie anecdotique et doit être examinée plus rigoureusement. Nous avons une preuve physique directe du cœlacanthe encore en existence et donc les chronologies pourraient bien être grossièrement prolongées.
La connaissance humaine a varié au cours du temps et les gens de la Méditerranée ont dressé la carte de l'Amérique du Sud et de l’Antarctique il y a environ deux mille ans. Ils avaient une plus grande connaissance que celle qui existait jusqu'à très récemment. (C'est seulement dans les trente dernières années que nous avons été capables de dresser la carte du bassin Antarctique par satellite.) Nous devons donc conclure qu'il n'y avait aucune calotte sur le bassin de l'ouest, du moins.
Les suppositions Évolutionnistes basées sur l'âge des Calottes sont fausses et les âges et les implications doivent être recalculés.
Les arguments actuels quant au Réchauffement Global, étant basés uniquement sur les émissions du 20ème siècle, sont faux et ignorent les Périodes de Réchauffement Millénaires qui sont évidemment arrivées à chaque millénaire depuis des milliers d'années. Les changements de Pôle ont aussi des implications massives pour l'âge de la Terre et sont déformés par les Évolutionnistes sur une fausse chronologie.
L'ADN humain indique que le récit Biblique est correct selon les nations. Les chronologies utilisées pour le dépistage de la structure d'ADN sont grossièrement déformées à cause de l'échec de tenir compte des percées scientifiques modernes quant à la mutation de l’ADNmt du Génome Humain.
Les techniques des Évolutionnistes pour dater sont analytiquement incorrectes et doivent être complètement repensées.
L'Évolution est une hypothèse manifestement discontinue qui n'a aucun appui démontrable et est en fait une religion basée sur la foi en sa théorie sans preuve. Elle n'a aucune base pour être enseignée en tant que fait dans les institutions d'étude.
L'examen de l'argument de la Création versus Évolution doit
être effectué d’une façon disciplinée et dans un forum
ouvert.
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