Les Églises Chrétiennes de Dieu
[046A1]
Les Fils de Japhet :
(Édition
2.0
20120327-20140211)
Christian
Churches of God
Courriel: secretary@ccg.org
(Copyright © 2012, 2014 Wade Cox)
(Tr. 2012, rév 2014)
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Les Fils de Japhet Partie 1A : Les Fils de HN [046A1]
Pour
faire suite à la Partie 1, nous voyons que l’Annexe traite de la
répartition asiatique et tente d'isoler les Fils de HN en tant
que Groupe tribal.
"Tant
Sem que Japhet possédaient le même ADN-Y clé à l’Haplogroupe F.
Cet Haplogroupe a été porté par tous les fils de Sem et Japhet,
tandis que les fils de Cham ne possédaient pas ce lien, sauf la
Division Yap à M213. Le lien pour Hg F est P14, M89, M213. Tous
les Haplogroupes de G à R possèdent cette lignée.
D'après ce que nous voyons, les lignées de Sem et les tribus de
Sem à partir de F ont produit les Haplogroupes G, H, I et J. Le
grand supergroupe IJ a été un groupe combiné sémitique qui a
formé les peuples hébreux, y compris tous les Fils d’Arpacschad
comme ce supergroupe combiné. Les liens ont été trouvés sur les
liens S2 et S22. Le Groupe I s’est mêlé à tous les R1b et R1a
occidentaux.
Japhet a produit l’Haplogroupe K, et tous les groupes venant de
K sont les fils des fils de Japhet.
Les
fils de Japhet peuvent être identifiés à partir du tableau
d’ADN-Y, mais les mutations ne se produisent pas dès la rupture
des fils et donc certains des fils ont des descendants
d'Haplogroupes différents. Par exemple, les fils de Gomer
possèdent à la fois les combinaisons R1a et R1b, ainsi que
d'autres Haplogroupes. Certains des fils de Gomer énumérés par
la Bible ont développé les mêmes Haplogroupes que les autres
fils de Japhet.
Un
casse-tête qui est posé par la science moderne est celui de
l'origine des fils de HN, qui se sont séparés dans les
Haplogroupes N et O. Ils sont venus de l’Hg K et ils étaient une
seule ligne à M214, et à partir de cet ancêtre ils se séparent
en N (LLY22) et O (M175). Ces fils de HN ont produit un nombre
considérable de gens.
HN
est l'ancêtre des Huns et des fils de Han, étant les Chinois
Hans. La dissemblance n'est que par une voyelle entre deux
consonnes, étant Hun et Han. Ils ont tous deux eu le même
ancêtre HN à M214. Ce qui rend cela plus fascinant, c'est que
les Finlandais, un autre peuple magyar, de l’Hg N comme les
Huns, parlent des langues ouraliennes-altaïques. Les Hongrois
font partie de ce groupe comme le font les Turcs, Mongols,
Mandchous, Mandchous-Toungouses, Anciens Coréens et Japonais.
Les Mongols et les peuples liés sont le Groupe C hamitique et
les Japonais sont liés aux Tibétains dans le Groupe D avec
certains dans le Groupe C, mais cinquante pour cent des Japonais
sont aussi Hg O provenant du même groupe, tout comme les
Tibétains. Les Tibétains, qui semblent liés aux fils de Cusch,
sont également hamitiques Hg D, mais ils ont aussi cinquante
pour cent d’Hg O. Les Hans du Sud de la Chine du Sud sont Hg O
avec certains C et D. Les Sumatra ont plus de 50% de O et moins
de D (disons 5-10%). Les Malais ont moins, mais quelques Hg C
aussi. Les Hgs. C et D sont présentés dans l’étude
Les Fils de
Cham Partie II : Cusch (No. 045B).
Le
lien avec la division Yap et les fils de Sem et Cham à l’Hg F
est le plus étonnant. De tous les fils de Cham, les seuls à
conserver le lien avec les lignées Hg F sémitiques et japhétiques sont les groupes d’Hgs. D et E de la division YAP.
Ainsi, les Japonais et les Tibétains sont directement liés à
Japhet et Sem à travers M213 seulement. Cependant, ils sont
principalement japhétiques par
le mélange avec l’Hg O japhétique aussi.
Les
Lapons/Sami sont également Hg N, comme le sont certains
Ashkénazes lituaniens. La plupart des Ashkénazes sont Hg R1a.
Ashkenaz est une tribu de Gomer. Riphath est le second fils de
Gomer et la plupart de l’ADN-Y des Riphath est R1b.
Le
seul fils de Gomer qui pourrait se qualifier en tant que Fils de
HN est Togarma, qui occupe les parties les plus reculées du
Nord, ce qui est ce que nous voyons avec les Lapons/Sami et les
Finlandais et les tribus du nord de la Russie/Sibérie. Le
problème qui est posé par ce lien ADN-Y est que la Chine a aussi
K, et les Haplogroupes K, M et O s'étendent dans le Sud-est
asiatique dans les Malais à O avec certains C et D, et à Bornéo
et Sumatra à O avec certains C et K. Les Papous sont pour la
plupart Hg K, et les Papous de l’Ouest ou Jayans iriens sont Hg
M avec une quantité importante de C hamitique. Les Philippins et
les Polynésiens du Nord ont également un Hg O important. Les
Philippins ont environ 15% de mélange K, C et D, tandis que les
Maoris sont principalement C3, qui est hamitique cuschite.
Cependant, la langue maorie est liée à la langue malaise et à un
moment ils ont occupé une île de l’Archipel malais avant leur
départ pour les îles. C’était bien avant le 14ème
siècle puisqu’ils occupaient ce qui est aujourd’hui la
Nouvelle-Zélande à ce moment-là. Environ 20% des Aborigènes
d'Australie et des habitants du Détroit Torres sont aussi Hg K.
Ils ne sont donc pas un groupe homogène d'une origine, mais sont
de trois origines tribales distinctes de Cham à C4 et deux de
Japhet à Hgs. K et RxR1 de base. Ce sont des mutations
ultérieures. Ils sont venus en huit vagues ou groupes
linguistiques en Australie (consulter aussi l'étude
L'Origine Génétique des Nations (No. 265)).
L'histoire des Huns est donnée comme suit.
Les Huns d'origine
étaient Hg. N de M214 avec les Asiatiques Hg. O.
Les gens de l’Haplogroupe N, à la fois les Finlandais et les Hongrois, se
considèrent comme les Magyars. Ce nom et l'ADN-Y les relient
puisque le même groupe tribal liait trois millénaires en
arrière.
Ils sont cependant
un peuple mixte
comme nous allons le
voir.
L’ADN-Y est
déterminé à partir de la lignée masculine par le Chromosome Y et
l'ADNmt est déterminé par le Chromosome X. L'ADNmt a porté
autant d'influence que le Y dans la détermination des
caractéristiques, et les hommes qui se marient à des femmes avec
un autre ADNmt transmettent à leur progéniture les systèmes et
les caractéristiques raciales des systèmes. Ainsi, un Hun Blanc
ou Noir de l’Ouest par tribu ou Finn ou Saami aura une apparence
différente à cause des femmes européennes avec lesquelles ils se
sont multipliés. Leurs hommes seront toujours ADN-Y Hg. N, sauf
s'ils sont des captifs ou alliés. Les Huns Bleus qui ont été
chassés par les Mongols avant l’année 1215 apparaîtront comme
Hg. N chez les hommes, mais leurs femmes auront croisé avec les
Mongols et les Chinois et ils auront une apparence asiatiques.
Tous les groupes
linguistiques altaïques ouraliens seront linguistiquement
similaires à l'origine, mais ils seront combinés d'un certain
nombre de systèmes ADN-Y. Le groupe comprend les Magyars et les
Saami à l'ouest et les Turques au Moyen-Orient (R1b et autres
Hgs), les Altaï, les Tartares, les Bouriates, les Neneks, les
Mongols (Hg. C3) Manchu/Tungus, certains Esquimaux de Sibérie,
et des Anciens Coréens et Japonais (Hg. O et D). Ils venaient de
la même région de l'Asie centrale autour de l'Oural et des
tribus environnantes (par exemple de l'Altaï). Ils
NE sont
cependant pas tous le même peuple dans l’ADN-Y et ils ont un
certain nombre de groupes ADNmt.
Les tribus
Magogites connues se révèlent être toutes R1b jusqu'ici
;
toutefois, certains Hongrois se disent de descendance Magogite
et cela peut être vrai dans certains cas, cependant, il n’en est
pas de même pour les Huns. Les Huns Hg. N et les Finlandais ne
sont pas Magogites d’après tous les tests connus à ce jour.
Les listes des
tests effectués à ce jour des Hongrois sont en effet
intéressantes. Budapest, au dix-neuvième siècle était appelée
Judapest par les Européens de l'Est et elle avait une
concentration massive de Juifs. Les E1, J et I dans les tests
trouvés là sont des Juifs d’Afrique du Nord et des Sémites. Les
allocations de test ADN-Y de régions tribales sont basées sur
les populations indigènes comme elles étaient en ca. 1500. Les
Khazars sont également venus après que les Mongols les aient
chassés en l’année 1215. Les Bulgares ont suivi les Huns aussi
dans ce qui est maintenant la Bulgarie. Les Magyars parmi eux et
les Finlandais étaient basés sur les cartes de N. McDonalds et
les tests sont un outil de référence. L’ouvrage
L'Origine Génétique
des Nations (No. 265) les traite aussi.
Les groupes E1 en
Hongrie étaient des Juifs d'Afrique du Nord basés de la Tunisie
à partir de contacts phéniciens. Hg. E comprend plus de 25% de
tous les Juifs européens. Hitler était un Juif E1b dans son
ADN-Y (E1b1b1) aussi provenant de l'Autriche voisine. Les tests
énumérés comme Magyar provenant du FTDNA semble être un test
d'un échantillon de la population juive hongroise.
Les revendications
Magogites des Hongrois diffèrent de la version des récits donnés
par Koestler dans l’ouvrage
"La Treizième Tribu",
où il donne un compte-rendu détaillé de la scission des Huns
blancs, noirs et bleus et donne les noms des prêtres qui se sont
rendus à l'est en 1213 pour amener les Huns bleus à l’ouest de
la Hongrie, mais quand ils sont arrivés là, les Huns bleus
avaient été chassés par les Mongols qui ont ensuite balayé
l'Europe en l’année 1215 en poussant les Khazars devant eux.
L'identification de l’ADN-Y Magyar est importante. Il peut y
avoir une distinction entre Magyars et autres Huns.
Nous
savons pertinemment que les Huns sont venus en Grande-Bretagne
au dixième siècle AEC (avant notre ère) et qu’ils ont été
défaits par les vassaux troyens britanniques et magogites à la
rivière Humber qui a été nommée d'après leur roi Humber. Ils
avaient vaincu les tribus germaniques du nord de l'Europe et
avaient pris une des princesses en otage, comme cela a été
enregistré. Après la défaite en Grande-Bretagne, il semble
qu’ils ont retraité via la Scandinavie pour éviter les Allemands
dans leur état de faiblesse et lors de cette retraite ils ont
laissé les Finlandais comme un groupe là en Scandinavie qui ont
déplacé les Lapons ou peut-être même les ont emmenés avec eux.
Ceci est enregistré
par Geoffery de Monmouth et un certain nombre d'autres anciens
historiens britanniques, et aussi les origines Magogites sont
discutées dans l’ouvrage
"Histoire
de l'Irlande" de MacGeoghegan-Mitchell, Sadlier NY 1868.
Ils ne semblent pas
être perdus comme les Finlandais à ce jour se réfèrent à
eux-mêmes comme des Magyars et leur langue est l’Uralique
altaïque d'origine comme elle est alliée à mais pas la même que
le hongrois. Ils ont plus en commun avec les Japonais qu'ils en
ont avec les langues d'Europe occidentale.
Les
Huns retournèrent en Asie dans ce qui est la Russie du Nord-est
et, selon Koestler, se sont regroupés en trois groupes : les
Huns Bleus, Blancs et Noirs. Ils sont restés en Asie dans le
vaste domaine des steppes jusqu'à ce qu'ils arrivent en Europe
et occupent ce qui est aujourd'hui la Hongrie depuis le neuvième
siècle. Ils ont été convertis du paganisme.
Le Moine Julianus a été envoyé
pour les chercher vers la fin du douzième siècle, selon
Koestler.
Donc, les trois cents ans auxquels se réfèrent les Hongrois dans
ce récit étaient au cours de la période allant des années 900
aux années 1200. Il les trouva et retourna. Après qu’il fût
retourné un groupe a été envoyé pour les inviter à revenir au
début du treizième siècle. Lorsque ce message est arrivé, ils
avaient été chassés par les Mongols avant l’année 1215. Leur
histoire est racontée par Arthur Koestler dans l’ouvrage
La Treizième Tribu. Ils
sont l'origine
probable du peuple
Hg. N
dans l'Extrême-Orient
également.
Les termes par
Koestler concernant les "Flèches" des tribus Huns n'ont pas été
réfutés ou développés et ses termes concernant les Huns blancs,
noirs et bleus n'ont pas été réfutés de façon sérieuse. Les
Ashkénazes l’ont tout simplement tué parce qu'il a exposé la
conversion des Khazars de l’année 740 et les origines des
Ashkénazes.
Donc, nous
ne sommes pas conscients
de la connexion
Magogite de ces premiers
Huns.
Il est également
important de noter qu'il y avait des Magogites à l'Est dans ce
qui est maintenant la région Urumqi de la région autonome
ouïghoure. Ceux-ci étaient des Celtes aux yeux bleus et aux
cheveux rouges qui sont sans aucun doute liés aux Magogites
Écossais et portaient des tartans similaires. Ils étaient dans
ce qui est maintenant la Chine occidentale ca. 1700 AEC. Les
hommes mesuraient 6 pieds 6" et les femmes étaient plus de 6
pieds. Les Magogites que nous connaissons sont de ce type et
sont à la base des Celtes scythes.
Howorth note que
les Huns sont mentionnés dans l'Europe par Ptolémée 175-182 AEC.
Ptolémée les mentionne les Chunni entre les Bastarnes et
Roxolans et les place sur le Dniepr (Hist. History Vol. 7 pp.
45-46). Ils sont positivement identifiés par Denys Periegetes
ca. 200. Il les identifie comme bordant la mer Caspienne dans
cet ordre les Scythes, les Huns, les Caspiani, les Albani, mais
ce sont de vagues références.
La première
histoire authentique d’eux en Europe vient de ca. 372 EC. Leur
chef était alors Balamir ou selon certains Manuscrits Balamber.
Ils ont commencé un mouvement vers l'ouest dans les steppes à
partir de leur maison au nord de la mer Caspienne. Ils soumirent
un certain nombre de nations obscures comme les Alpizuri,
Alcidzuir, Hammari, Tincarsi, et Boisci. Nous supposons qu'ils
ont pris leurs femmes et hommes comme esclaves. Ils ont ensuite
déménagé dans la région des puissants Alani ou Alains entre la
Volga et le Don. Après une longue lutte ils ont battu les Alains
et les ont enrôlés à leur service dans le mouvement vers
l'ouest. En fin de compte, les Alains et Suèves sont entrés en
Europe et se sont installés en Espagne et au Portugal.
Après un court
intervalle en l’année 374 les Huns sont entrés dans l'empire des
Ostrogoths (Greuthungi) gouverné par le vieil Ermaneric
(Hermanric) qui est mort tandis que l'attaque critique était
imminente (peut-être par sa propre main). Son fils Hunimund a
pris le relais et a fait une paix humiliante et des révoltes
ultérieures sous Withemir (Winithar) ont entraîné une nouvelle
défaite et finalement la mort du roi. Witheric son fils a
accepté la condition de vassalité aux Huns et aux Alains.
Balamir a alors
dirigé la horde à l'ouest contre les Wisigoths ou Tervingi qui
reconnurent l'autorité d’Athanaric. Athanaric se retrancha sur
le rempart-Greutung et le Dniester qui était la frontière avec
les Ostrogoths mais les Huns étaient sur lui en passant à gué
la rivière la nuit et sont tombés sur lui par surprise imposant
le retrait au secteur entre le Prut et le Danube, et il se mit à
rehausser l'ancien mur romain érigé par Trajan dans le nord-est
de Dacia. Avant que les fortifications soient complètes, les
Huns étaient sur lui à nouveau et ont forcé sa retraite au
Danube.
À la suite de cela,
les Wisigoths sous Alavivus et Fritigern ont obtenu
l'autorisation de l'empereur Valens en l’année 376 à s'installer
dans Thrace. Athanaric s’est réfugié en Transylvanie et ainsi a
offert peu de résistance aux Huns. En cinquante ans, les Huns
sont restés en paix et en fait ont aidé les Romains à certaines
occasions. En l’année 404-5 certaines tribus Huns sous un chef
Uldin ont assisté Honorius contre les Ostrogoths sous Radagaise
(ou Ratigar). Les Huns ont pris part à la bataille décisive
contre les Ostrogoths, près de Florence. Les Wisigoths devaient
aussi s'installer finalement en Espagne, et, finalement, les
Vandales aussi en Afrique du Nord.
En l’année 409 les
Huns, dit-on ont franchi le Danube et ont envahi la Bulgarie
sous peut-être le même chef (Uldis). Cependant, de nombreuses
désertions les ont fait reculer. Cela nous amène maintenant à
l'époque de Théodose II et nous pouvons traiter avec le récit
donné par Ammien Marcellin dans la seconde moitié du quatrième
siècle. Son récit et celui d’Attila sont importants pour
comprendre leur allure et conduite. Nous allons voir à partir de
ce récit qu’ils ne ressemblaient à rien aux Magogites
occidentaux.
Selon Ammien
Marcellin les Huns ne se sont jamais abrités sous un toit. Ils
ont évité les maisons comme nous évitons les tombes. Ils n'ont
pas une telle chose comme une cabane avec un toit de chaume et
de roseaux. Leurs femmes ont élevé leurs jeunes dans des wagons
et ont cousu leurs vêtements légers à base de lin et de peaux de
rats des champs. Ils ont été rapportés comme ne se changeant pas
ou ne lavant pas leurs vêtements, ni les enlevant jusqu'à ce
qu'ils se déchirent. Ils portaient des bonnets ronds et
couvraient leurs jambes avec la peau des chevreaux. Leurs
chaussures ne sont pas faites en fonction des formes et sont
impropres à la marche et ainsi ne sont pas adaptées à des
batailles d'infanterie. Ils montent des chevaux et rarement en
descendent et étaient souvent connus pour dormir dessus. Le
récit dit qu'il n'y avait pas une personne dans l'ensemble de la
nation qui ne pouvait rester jour et nuit à cheval. Ils achètent
et vendent, mangent et boivent et s’allongent sur le cou de la
monture. Ils ont tous tenu un conseil à cheval. Ils n'ont pas de
roi, mais se contentent avec le gouvernement de leurs nobles et
sous leur dirigeant forcent leur chemin à travers tous les
obstacles.
Quand ils sont
provoqués ils se battent et dans la bataille ils forment comme
un grand corps criant extrêmement fort. Ils s'appuient sur une
grande vitesse et l'élément de surprise. Ils peuvent
soudainement se disperser et se reformer. Ils infligent de
lourdes pertes et se dispersent ensuite dans des formations
irrégulières sur les plaines. Ils évitent les forts ou les
retranchements et sont toujours mobiles dans ou hors de combat.
Ils utilisent des flèches à pointe d'os et quand rapprochés se
battent avec une épée, sans égard à la sécurité personnelle et
utilisent des torsades pour enchevêtrer leurs adversaires.
Les Goths et les
Vandales ont été obligés de se déplacer en Europe par les Huns,
mais la puissance des Huns ne se reflète pas dans leurs
réalisations ou leur structure établie. Ils étaient victorieux
de la Volga au Danube mais leur force publique a été détruite
par la discorde constante des chefs indépendants. Ils étaient
incapables de former un gouvernement stable, sauf sous des chefs
puissants comme Attila. Leur bravoure a été consommée les bras
croisés dans les excursions obscures et prédatrices. Ammien
Marcellin dit qu’ils ont également réduit leur dignité nationale
en servant sous les bannières d'ennemis en fuite dans l'espoir
de butin ou des mots à cet effet.
Le récit d'Attila
indique que, sous lui, ils sont devenus à nouveau la terreur du
monde. C'est sous Attila que les Huns ont commencé ce qui est
devenu la chute de l'Empire romain. C'est sous l'oncle d'Attila
Roas ou Rugilas que les Huns se sont insérés dans les limites de
ce qui est maintenant la Hongrie moderne comme un pays de
chasseurs et de bergers. Cependant, ils ne sont pas restés
entièrement là, mais ce que nous comprenons comme les Magyars
sont revenus là ca. 894 et c'est à partir de cet événement que
la Hongrie a été formée. Tant les Finlandais que les Hongrois
prétendent être Magyars. Si les Magyars sont distincts des Huns,
alors nous devons examiner deux mouvements historiques distincts
et tribus. Notez également que les Huns étaient distincts des
Scythes qui, nous connaissons, étaient des Magogites. Les Huns
sous Attila ont défait les Scythes.
Theodoius a été
obligé de payer aux Huns un tribut de 350 livres d'or, mais l’a
déguisé sous le titre de Général qu’il a conféré au roi des
Huns. La nature perfide de la cour de Byzance n'a pas aidé
l'instabilité. Également quatre nations soumises aux Huns se
sont rebellées. Une de ces quatre était les Bavarois. La paix de
l'empire a été brisée par la mort de Rugilas et il a été succédé
par ses deux neveux Attila et Bleda. Ils ont immédiatement
doublé le tribut à 700 livres d'or et percevaient des amendes et
ont crucifié un certain nombre de jeunes hommes nobles dans les
territoires de l'empire. Ils ont ensuite attaqué l'Allemagne
(Bavière étant l'un) et la Scythie qui avait déclaré leur
indépendance. Bleda a été contraint de prendre sa propre vie
comme Attila est apparu le plus dominant.
Attila fils de
Mundzuk a revendiqué sa descendance noble et peut-être royale
des Huns qui avaient attaqué la Chine. La description d’Attila
selon un historien gothique de l'époque était qu'il portait la
marque de son origine nationale. On dit qu’il exhibait la
véritable déformation d'un kalmouk moderne ; une grosse tête, un
teint basané, de petits yeux profondément enracinés, un nez
plat, quelques poils à la place de la barbe, les épaules larges,
et un corps carré court, une force nerveuse d'une forme
disproportionnée. Il roulait les yeux comme pour semer la
terreur, mais il avait la réputation d'être accessible et était
capable de pitié et de pardon et il était considéré comme un
maître juste et indulgent. Il se plaisait dans la guerre, mais
quand il a mûri sa tête et sa disposition de maturité ont
contribué à la conquête du Nord (ibid.,
Hist. Hist. p. 49).
Attila a été
considéré comme un Mongol et lui et Ghenghis ont été classés
comme des Scythes et les deux étaient des généraux prudents et
prospères. Attila avait l’apparence d'un kalmouk qui est une
tribu asiatique qui était dans le domaine de la Dzhungaria
linguistiquement dérivé du terme “Hungaria” et l’ouest de la
Mongolie. Leur ADN est comme suit. Ce n'est pas C3 des Mongols,
mais Hg. N1 des Finlandais de l’ouest et des Magyars que nous
voyons dans les textes suivants.
La diversité du
chromosome-Y dans les Kalmouks aux niveaux ethniques et tribaux
Boris Malyarchuk,
Miroslava Derenko, Galina Denisova, Sanj Khoyt, Marcin Woz'niak,
Tomasz Grzybowski, et Ilya Zakharov
“Les
Kalmouks mongoliques qui habitent actuellement les steppes de la
région de la Volga ont des ancêtres d'Asie centrale et sont
organisés en groupes tribaux. Les relations génétiques entre ces
tribus et leur origine sont restées obscures. Nous avons analysé
17 séquences microsatellites et 44 polymorphismes binaires du
chromosome-Y chez 426 individus principalement de trois grandes
tribus des Kalmouks (les Torguuds, Do ¨rwo¨ ds et Khoshuuds).
Parmi ces tribus, les Do ¨rwo¨ ds et Torguuds, aussi bien que
les Kalmouks collectivement en tant que groupe ethnique, ont
montré des affinités génétiques relativement proches les uns des
autres et aux Mongols et les Kazakhs Altaï, alors que les
Khoshuuds étaient clairement séparés de chacun d’eux, ensemble
avec les Mandchous, les Tibétains ou Evenks (selon l'algorithme
utilisé pour calculer les distances génétiques). Les résultats
génétiques indiquent également que le flux génétique paternel
des Européens de l'Est aux Kalmouks est très petit, en dépit de
leur cohabitation dans la steppe de la mer Caspienne du Nord au
cours des 380 dernières années. La survenue d'ensemble unique
d'haplotypes N1c-Tat dans les Khoshuuds, qui remonte à environ
340 ans et est susceptible d'avoir une ascendance Europe de
l'Est, est considérée comme un résultat de contacts
interethniques qui ont eu lieu peu de temps après l'apparition
des tribus kalmouk dans la région Volga de l'Oural.
Journal of Human Genetics
advance online publication, 17 October 2013 ;
doi:10.1038/jhg.2013.108
L'influence
européenne de l’Est provient probablement des invasions des Huns
de ce temps ou plus tôt.
Les provinces des Huns sous Attila se sont étendues de Thuringe
qui était au-delà du Danube jusqu’en Allemagne et peuvent être
inclues par la latitude d’influence. Il s’est interposé dans les
affaires des puissants Francs, et un de ses officiers a presque
exterminé les Bourguignons du Rhin. Il a soumis la Scandinavie
probablement par son association Magyar avec les Finlandais et
les Huns ont dérivé les tributs de fourrure à partir de là où
aucun autre n’avait fait ainsi. Il régnait sur les rives de la
Volga. Il a soumis le Khan de la Geougen et il a envoyé des
ambassadeurs pour négocier une alliance d'égalité avec la Chine.
Il a dominé, sans révolte dans sa vie, les Gépides et les
Ostrogoths qui se distinguaient par leur nombre, la bravoure et
le mérite personnel de leurs chefs. Ils s'étendaient du Danube à
Tanaïs.
Sous le règne
d'Arcadius, père de Théodose, une bande de Huns aventureux avait
ravagé les provinces de l'Est ramenant les riches dépouilles et
d'innombrables captifs. Ils avançaient par des chemins secrets
sur les rives de la mer Caspienne, ont traversé les montagnes de
l'Arménie, ont passé le Tigre, l'Euphrate et l'Halys, ont ajouté
la race des chevaux de Cappadoce pour compléter leur cavalerie,
et ont occupé Cilia et Antioche. L’Égypte et la Palestine
tremblaient à leur approche. L'Est se souvint de ce raid quand
ils ont été confrontés aux forces supérieures d'Attila. Les Huns
envahirent alors aussi loin que chez les Media et ont engagé les
Perses dans Médie, mais ont été forcés de se retirer.
Les Vandales ont
été maintenus en Afrique grâce à la puissance d'Attila et les
Romains de Rome et de Constantinople se sont lancés dans une
course de récupération. Au travers des fins commerciales et la
trahison sur le Danube le conflit a été intensifié et Attila a
progressé dans une série de batailles. Deux premières batailles
étaient sur les rives de l’Utus et sous les murs de
Marcianopolis sur les vastes plaines entre le Danube et le mont
Hémus. Le commandant romain Arnegisclus a été tué dans la
seconde bataille. Sous une commande déficiente les Romains se
sont retirés de la Chersonèse de Thrace. Dans cette péninsule
étroite la troisième et dernière bataille a été menée. Dans
cette bataille Attila a pris le contrôle total de la zone. Sans
résistance ou pitié, il a ravagé les provinces de Thrace et de
Macédoine de l'Hellespont à Thermopyles et la ville de
Constantinople. Ils ont infligé la calamité sur 70 villes de
l'Empire d'Orient. Le récent tremblement de terre et la perte de
58 tours avaient affaibli la détermination et le moral des
forces à Constantinople et ils étaient faibles et mous.
Les Mongols sous
Gengis ont effectivement envisagé l'extermination totale du
peuple chinois et les activités pastorales des Huns n’étaient
pas moins barbares. Les Huns sous Attila n'étaient pas moins
tentés d'anéantir ce qu'ils considéraient comme une civilisation
occidentale décadente. C'était un mandarin qui a convaincu les
Mongols de ne pas anéantir la Chine et de la transformer en
terres pastorales comme ils l'avaient prévu. Gengis a tué un
total de 4 347 000 personnes dans les capitales du Khorasan.
Maru, Neisabur, et Herat. Si Attila avait égalé Tamerlan dans
ses ravages cela aurait pu être pire mais Attila a pris ces
prisonniers et les répartis au milieu de son armée.
L'interaction des Huns avec les Goths pourrait aussi l’avoir
atténué. Le fait que les Huns étaient un peuple brut et ne
valorisaient pas diverses compétences
"civilisées"
au-dessus de
l'autre signifie que l'on peut gagner sa liberté par l'exercice
du courage ou de la loyauté et Attila n'a ainsi pas tué comme
les Mongols et les Tartares avaient fait.
En fin de compte les Huns étaient un conglomérat de nations
scythes et d’esclaves européens et asiatiques. Cependant, à leur
base, ils étaient Mongols occidentaux avec le noyau de l'ADN-Y
des Kalmouks ou plus tard Kalmyks et étaient liés aux Bouriates
également et étaient Hg. N1.
Les origines de la Chine
Le Déplacement de l'Ouest
Les
Chinois sont venus de l'ouest et des montagnes et se sont
installés dans le méandre du fleuve Jaune. Ces groupes se sont
également répandus dans l'Est, le Nord-est, le Sud et le Sud-est
se mêlant aux groupes énumérés avec les groupes dans les
Haplogroupes différents qui composent ce qui est maintenant
reconnu comme les Chinois et les diverses tribus ou nations
asiatiques qui sont des Hgs. énumérés ci-dessus.
(Comme nous l'avons écrit dans l’ouvrage Mysticisme au Chapitre
8 Asie de l'Est – la Chine et le Japon à
http://www.ccg.org/french/s/b7_8.html )
“E.T.C. Werner devait écrire en 1922 dans Myths and Legends of China,
Graham Brash (Pte) Ltd, Singapore, réimpression de 1988 :
En attendant la découverte d'une preuve décisive, la
conclusion provisoire suivante le recommande grandement - à
savoir, que les ancêtres du peuple chinois sont venus de
l'ouest, à partir de Akkadia ou Elam (Mésopotamie ou Iran
Modern), ou de Khotan, ou (plus probablement) de Akkadia ou Elam
par l'intermédiaire de Khotan, comme une tribu nomade ou
pastorale ou un groupe de tribus nomades ou pastorales, ou comme
des vagues successives d'immigrants, ont atteint ce qui est
maintenant la Chine proprement dite à son coin nord-ouest, se
sont installés autour du coude du fleuve Jaune, se sont étendus
vers le nord-est, vers l'est et vers le sud, conquérant,
absorbant, ou poussant devant eux les aborigènes dans ce qui est
aujourd'hui le sud et le sud-ouest de la Chine. Ces races
autochtones, qui représentent une vague ou les vagues des
immigrants néolithiques de l'Asie occidentale plutôt que les
immigrants à tête relativement haute dans la Chine du Nord (qui
sont arrivés vers le vingt-cinquième ou vingt-quatrième siècle
av. J.C.), et qui ont laissé une si profonde impression sur les
Japonais, se sont mixés et mariés avec les Chinois dans le sud,
produisant finalement les différences marquées, dans les traits
physiques, mentaux et émotionnels, dans les sentiments, les
idées, les langues, les processus et les produits, des Chinois
du Nord, qui sont si remarquables à nos jours (p. 17).
La Chine primitive est une région relativement petite. Ce :
territoire autour du coude du fleuve Jaune a une
superficie d'environ 80.000 km carrés, et a été progressivement
étendu à la côte maritime au nord-est jusqu'à longitude 119o,
lorsque sa superficie est à peu près doublée. Il avait une
population de peut-être un million augmentant avec l'expansion à
deux millions de personnes. Cela peut être appelé enfant de la
Chine. Sa période (la Période Féodale) était dans les deux mille
ans entre les vingt-quatrième et troisième siècles av. J.C. (p.
18).
C'est le domaine où les provinces modernes du Chansi, Chen-si, et Honan
se rejoignent et qui a été prolongé en direction de l'est vers
le golfe de Chihli, à quelque 1000 km de long par 500 km de
large. Au cours des deux premiers millénaires, cette région est
restée assez constante, mais dans le sud, chou ou les colonies,
les noyaux de la population chinoise, se sont accrues en taille
grâce à la conquête de territoires voisins.
L'histoire chinoise commence traditionnellement avec la dynastie Shang ca
1523-1122 AEC dont la capitale était An Yang dans le nord de la
province de Honan. Les documents traditionnels parlent de la
dynastie des Hia, mais rien de significatif n’est connu d’elle.
Les Chinois eux-mêmes n'avaient aucune trace de quoi que ce soit
qui la précède. Au vingtième siècle, il a été constaté qu'une
autre époque l’a précédé appelée la culture Lung-Shan, qui
comporte des éléments de poterie montrant la similitude et le
changement. Les pré-humanoïdes tels que les découvertes dans la
Caverne Choukoutienne (découverte 1930 et fouillée par Pei) de
l'homme de Pékin n'ont rien à voir avec les découvertes
ultérieures mentionnées par R.M. & C.H. Berndt (Aboriginal Man in Australia, 1ère éd. 1965, Angus et
Robertson pp. 30, 32-33) des humanoïdes mongoloïdes, eskimoïdes
et mélanésoïdes modernes trouvés dans le même groupe à un niveau
beaucoup plus postérieur. (cf.
An Introduction to Chinese
Civilisation éd. Meskill et al.1973, pp. 4-7)
Selon
Historians' History of the World,
vol.
XXIV, p. 542, le premier monarque tangible de la Chine était
Hwang-ti. Son tombeau est conservé dans la province Chensi. Le
nom de sa femme était Impératrice Se-Ling-she. Il aurait régné
au vingt-septième siècle AEC, cependant, cette histoire
primitive est un peu apocryphe. Confucius (Kung-Fu-Tseu) (549
AEC) donne quelques données historiques du règne de Yaou
prétendument de 2356 AEC, mais cela ne tient pas la critique
(ibid.). Il a été succédé par Shun comme roi. À la mort de Shun,
le "Grand" Yu, qui a été utilisé pour évacuer les eaux du
déluge, qui avait visité la Chine, est devenu roi. Le calibre
des rois diminué jusqu'à Kee (1818-1766 AEC) était aussi
despotique que sa maison a été détruite et la nouvelle dynastie
des Shang a commencé. Le souverain, Tang, était apparemment
juste et a aboli l'oppression. Curieusement il a régné au moment
de la sécheresse de sept ans. La famine de Genèse 41:54 peut, en
fait, avoir été dans ‘toutes’ les terres. En 1153 AEC la
dynastie des Shang s’est terminée et le tyran Chow a dirigé
l’‘empire’. Vers 1121 AEC des ambassadeurs sont venus de ce qui
est appelé la Cochinchine (c.-à-d. sud du Vietnam, qui faisait
autrefois partie de l'Indochine).
De l'analyse de Bernard Karlgren dans A Catalogue of the Chinese
Bronzes in the Alfred F. Pillsbury Collection, (The
University of Minnesota Press, pour le Minneapolis Institute of
Arts, 1952), il semble y avoir quatre périodes principales des
styles avant la Ch’in. Celles-ci sont Yin-Shang (1525-1028 AEC),
Premier Chow (1027-c.900 AEC), Moyen Chow (c.900-c.600 AEC) et
Huai (c. 600-c.222 AEC). Ces identifications peuvent se révéler
d'une importance dans l'identification de l’altération des
systèmes culturels et religieux. Le point de coupure est en 1525
AEC pour les formes de décor en bronze, ce qui peut aussi avoir
une signification à isoler les premiers mouvements des échelles
de temps mythiques.
Un peu plus de deux cents ans avant l'ère chrétienne, la Chine est
devenue l'objet d'une quatrième dynastie, appelée Tsin (Sinnim?
Ou Ch'in/Chine). Le souverain de cette dynastie, qui a
accidentellement provoqué, en recrutant un homme sur trois, la
construction de la Grande Muraille de Chine pour empêcher les
tribus du Nord d’entrer, a tenté d'établir une dynastie qui a
régné du début à la fin des temps par la collecte et la
combustion de tous les registres connus. Toutefois, cela a été
contrecarré par la découverte des livres de Confucius et sa
dynastie s'est éteinte à la mort de son fils (ibid., p. 543).
Les Hans ont alors commencé à étendre l'empire.
Cette destruction des registres accorde nécessairement une grande
dépendance sur l'exactitude de Confucius, mais d'après ce que
nous savons des études ethnolinguistiques et anthropologiques,
on peut construire une image assez précise de la structure
sociale et religieuse des tribus d'Asie de l'Est depuis les
premiers âges.
En 221 AEC, tous les États féodaux dans lesquels ce territoire a été
divisé et qui ont sans cesse combattu les uns contre les autres,
ont été subjugués et absorbés par l'état de Ch’in (soi-disant
donc la Chine). La forme monarchique de gouvernement, qui devait
durer vingt-et-un siècles, a été mis en place (Werner, pp.
26-27).
Durant les premiers siècles de la Période
Monarchique, qui a duré à partir de 221 avant JC à 1912, elle
s’était étendue vers le sud à un point tel qu'elle comprenait
toutes les Dix-huit Provinces qui constituent ce qu'on appelle
la Chine proprement dite des temps modernes, à l'exception d'une
partie de l'ouest du Kansu et les parties supérieures de
Ssuch'uan et Yunnan. Au moment de la conquête mandchoue au début
du dix-septième siècle après JC elle embrassait tout le
territoire situé entre la latitude 18 o et 40 o
N. et la longitude 98 ° et 122 ° E. (les
Dix-huit Provinces ou la Chine proprement dite), avec l'ajout de
vastes territoires périphériques de la Mandchourie, la Mongolie,
Ili, Koko-nor, le Tibet, et la Corée, avec suzeraineté sur la
Birmanie et l'Annam - une superficie de plus de 13.000.000 km
carrés, y compris les 5,000,000 km carrés couverts par les
Dix-huit Provinces. En règle générale, ce territoire est
montagneux à l'ouest, s’inclinant graduellement vers la mer à
l'est (p. 18).
Il est généralement admis que, à leur arrivée, les Chinois se sont battus
avec les tribus autochtones, exterminant, en absorbant ou en les
chassant vers le sud. La dynastie des Hans a duré de 205 AEC à
226 EC et a été distinguée par ses prouesses militaires. Les
Chinois aussi tard que ce siècle étaient toujours friands de se
référer à eux-mêmes comme les fils de Han. Entre 194 AEC et 1414
EC les Chinois ont annexé la Corée, le Sinkiang (connu comme le
nouveau territoire ou Turkestan oriental), la Mandchourie,
Formose, le Tibet et la Mongolie. Le Tibet a de nouveau été
ajouté à l'empire sous Sun-che (1644-1661) à la mise en place de
la dynastie mandchou-tartre [Ta] tsing (grande pureté). La
Formose et la Corée ont été annexées par le Japon en 1895 et
1910 respectivement. Werner soutient que :
les Chinois ‘ont choisi les yeux du pays’ et par
conséquent les tribus non-chinoises vivent maintenant dans les
forêts et les marais malsains du sud, ou dans les régions
montagneuses difficiles d'accès, parfois même dans les arbres
(une promotion volontaire, et non obligatoire), bien que
plusieurs, comme les Dog Jung à Fukien, conservent les colonies
comme des îles au sein de la race dominante.
Au troisième siècle avant JC commencèrent les
relations hostiles des Chinois avec les nomades du nord, qui ont
continué tout au long de la plus grande partie de leur histoire.
Durant les six premiers siècles de notre ère il y avait des
rapports avec Rome, la Parthie, la Turquie, la Mésopotamie,
Ceylan, l'Inde et l'Indochine, et au septième siècle avec les
Arabes. L'Europe a été introduite dans l'environnement
sociologique par les voyageurs chrétiens. Du dixième au
treizième siècle, le nord était occupé par les Kitans et
Nuchens, et l'Empire entier était sous emprise mongole pendant
quatre-vingt-huit années aux treizième et quatorzième siècles.
Des relations de nature commerciale et religieuse ont eu lieu
avec les pays voisins au cours des quatre siècles suivants. Des
relations diplomatiques régulières avec les nations occidentales
ont été établies à la suite d'une série de guerres dans les
dix-huitième et dix-neuvième siècles (pp. 20-21).
La Chine a acquis et perdu des territoires à de nombreuses reprises au
cours de son histoire. De 73 à 48 AEC "'toute l'Asie, du Japon
jusqu’à la mer Caspienne, était tributaire de l'Empire du
Milieu' à savoir la Chine" (ibid., p. 27). Durant la dynastie
des Sung du Sud (1127-1280) les Tartares mongols possédaient la
moitié nord de la Chine, aussi loin que le fleuve Yangtze, et
dans la dynastie Yuan (1280-1368) ils ont conquis l'ensemble du
pays. Pendant la période 1644-1912 il était sous la domination
des Mandchous.”
Malais
Les
Malais se sont établis dans les Archipels du Sud-est asiatique
et les systèmes insulaires qui gardaient la lignée aux montagnes
du sud de la Thaïlande. Ils se sont déplacés aux Philippines et
dans le système polynésien du Nord, qui est principalement Hg O.
Ils ont continué vers l'ouest dans l'océan Indien jusqu'à
Madagascar et ont également installé des groupes en Afrique du
Sud. Le conflit en Malaisie et en Indonésie entre les Chinois et
les Malais est un héritage de l'expansion Han dans le Sud et la
suppression des tribus du Sud et l'expulsion de la Chine. Le
même conflit existe entre les Japonais, les Tibétains et les
Coréens ainsi que les Mandchous et les Mongols et les tribus
sibériennes. Beaucoup d'entre eux portent néanmoins l'héritage
des systèmes Hg O de l'Asie.
La
question se pose quant à savoir comment les fils de HN peuvent
varier autant dans leur coloration et types de cheveux et de
peau. La réponse se trouve dans l'ADN mitochondrial des femmes
et l'absorption de l'ADN mitochondrial de type asiatique des
peuples conquis. L'ADNmt de la femme est tout à fait distinct et
séparé des deux groupes dans l'Ouest et en Asie de l'Est.
Les
datations évolutionnistes prolongées sont un non-sens
fantaisiste et ne résistent pas à l'examen.
Le
développement des routes commerciales en Asie du Sud-est
s'étendait de la Mer Rouge en Inde et dans le système ethnique
Tonkin avec sa capitale à Hanoi tenant bon jusque vers 150 EC et
même après quand Canton captura le rôle de celle-ci au troisième
siècle (cf. F.J. Moorhead,
A History of Malaya And Her Neighbours, Vol. 1, Longmans de
la Malaisie, 1965, p. 3).
Le
soi-disant homme primitif de l'Indonésie à Flores s’est avéré
être une forme ultérieure dégénérée des Haplogroupes de l’ADN-Y
modernes et très peu de publications sont faites des découvertes
de l’ADN-Y et l'ADNmt dans la région.
Le
développement des voies commerciales du Sud-est de l’Asie a été
étroitement lié au développement religieux indien et après le
développement du Bouddhisme le système indien d'expédition et
commercial a pu se développer sans les systèmes rigides de
castes de l'Hindouisme qui régnaient sous l'Indianisation
précoce de l'Asie du Sud-est et ce système a donné lieu plus
tard aux commerçants musulmans (cf.
Le Mysticisme
Chapitre 9 Les Systèmes Asiatiques du Sud-est (No. B7_9)).
Les divers systèmes d'ADNmt de l'Extrême-Orient ont eu lieu suite aux
niveaux élevés de radiation de fonds à partir des régions telles
que le Kerala et les mutations sont connues pour se produire à
un rythme tellement rapide comme par une génération de
grands-mères, mères et filles chacune ayant différentes
mutations liées à la radiation de fonds naturelle.
Signification du mot Han
Le
mot Han n'est pas propre au groupe appelé les Chinois Hans. Le
mot semble être altaïque ouralien et fait partie intrinsèque du
concept coréen de l'amour vertueux de Dieu. Les Coréens
regardent Han comme la base de leur relation avec Dieu en tant
que fils de Dieu. Ce Han des Coréens est le sens de l'amour
vertueux et la responsabilité et le remords qui vient, après la
remise de tout et de tout effort, du rejet de cet amour vertueux
et cette responsabilité. C'est le sentiment de la douleur
vertueuse de Dieu dans Son rejet par l’humanité dans la
création, et la douleur vertueuse des parents dans leur rejet
par leur progéniture.
Han,
c'est l'angoisse et la tristesse infinie de l'espoir et de
l'amour non partagé, tel que Dieu l'a éprouvé pour la création
et de Son amour et Sa bonté immuables.
En ce
sens, les Fils de HN portent tous ce nom en tant que marqueur
tribal de la fraternité comme fils de Dieu séparés de Dieu par
le péché du monde, dans un désir sans fin de l'amour et de la
restauration avec le Dieu Suprême du Ciel. Les Chinois
L'appellent Shang Di et leur tribu principale se considère comme
comprenant les fils de Dieu remplis de Han. Tels sont aussi les
fils Magyars de HN comme les Huns et les Finlandais en tant que
fils de Dieu remplis de ce HN comme un vif désir de
réconciliation à Dieu. Ainsi HN était un fils de Dieu comme l'un
des descendants de Noé.
Voir
le tableau de l’ADN-Y en annexe ci-dessous.
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