Les Églises Chrétiennes de Dieu
[046A1]
 
 
Les Fils de Japhet : 
 
(Édition 
2.0 
20120327-20140211) 
 
Christian
Churches of God
 
Courriel: secretary@ccg.org
 
(Copyright © 2012, 2014 Wade Cox)
(Tr. 2012, rév 2014)
 
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Les Fils de Japhet Partie 1A : Les Fils de HN [046A1]
Pour 
				faire suite à la Partie 1, nous voyons que l’Annexe traite de la 
				répartition asiatique et tente d'isoler les Fils de HN en tant 
				que Groupe tribal.
"Tant 
				Sem que Japhet possédaient le même ADN-Y clé à l’Haplogroupe F. 
				Cet Haplogroupe a été porté par tous les fils de Sem et Japhet, 
				tandis que les fils de Cham ne possédaient pas ce lien, sauf la 
				Division Yap à M213. Le lien pour Hg F est P14, M89, M213. Tous 
				les Haplogroupes de G à R possèdent cette lignée.
				D'après ce que nous voyons, les lignées de Sem et les tribus de 
				Sem à partir de F ont produit les Haplogroupes G, H, I et J. Le 
				grand supergroupe IJ a été un groupe combiné sémitique qui a 
				formé les peuples hébreux, y compris tous les Fils d’Arpacschad 
				comme ce supergroupe combiné. Les liens ont été trouvés sur les 
				liens S2 et S22. Le Groupe I s’est mêlé à tous les R1b et R1a 
				occidentaux.
				Japhet a produit l’Haplogroupe K, et tous les groupes venant de 
				K sont les fils des fils de Japhet.
Les 
				fils de Japhet peuvent être identifiés à partir du tableau 
				d’ADN-Y, mais les mutations ne se produisent pas dès la rupture 
				des fils et donc certains des fils ont des descendants 
				d'Haplogroupes différents. Par exemple, les fils de Gomer 
				possèdent à la fois les combinaisons R1a et R1b, ainsi que 
				d'autres Haplogroupes. Certains des fils de Gomer énumérés par 
				la Bible ont développé les mêmes Haplogroupes que les autres 
				fils de Japhet.
Un 
				casse-tête qui est posé par la science moderne est celui de 
				l'origine des fils de HN, qui se sont séparés dans les 
				Haplogroupes N et O. Ils sont venus de l’Hg K et ils étaient une 
				seule ligne à M214, et à partir de cet ancêtre ils se séparent 
				en N (LLY22) et O (M175). Ces fils de HN ont produit un nombre 
				considérable de gens.
HN 
				est l'ancêtre des Huns et des fils de Han, étant les Chinois 
				Hans. La dissemblance n'est que par une voyelle entre deux 
				consonnes, étant Hun et Han. Ils ont tous deux eu le même 
				ancêtre HN à M214. Ce qui rend cela plus fascinant, c'est que 
				les Finlandais, un autre peuple magyar, de l’Hg N comme les 
				Huns, parlent des langues ouraliennes-altaïques. Les Hongrois 
				font partie de ce groupe comme le font les Turcs, Mongols, 
				Mandchous, Mandchous-Toungouses, Anciens Coréens et Japonais. 
				Les Mongols et les peuples liés sont le Groupe C hamitique et 
				les Japonais sont liés aux Tibétains dans le Groupe D avec 
				certains dans le Groupe C, mais cinquante pour cent des Japonais 
				sont aussi Hg O provenant du même groupe, tout comme les 
				Tibétains. Les Tibétains, qui semblent liés aux fils de Cusch, 
				sont également hamitiques Hg D, mais ils ont aussi cinquante 
				pour cent d’Hg O. Les Hans du Sud de la Chine du Sud sont Hg O 
				avec certains C et D. Les Sumatra ont plus de 50% de O et moins 
				de D (disons 5-10%). Les Malais ont moins, mais quelques Hg C 
				aussi. Les Hgs. C et D sont présentés dans l’étude 
				
				
				Les Fils de 
				Cham Partie II : Cusch (No. 045B).
Le 
				lien avec la division Yap et les fils de Sem et Cham à l’Hg F 
				est le plus étonnant. De tous les fils de Cham, les seuls à 
				conserver le lien avec les lignées Hg F sémitiques et japhétiques sont les groupes d’Hgs. D et E de la division YAP. 
				Ainsi, les Japonais et les Tibétains sont directement liés à 
				Japhet et Sem à travers M213 seulement. Cependant, ils sont 
				principalement japhétiques par 
				le mélange avec l’Hg O japhétique aussi.
Les 
				Lapons/Sami sont également Hg N, comme le sont certains 
				Ashkénazes lituaniens. La plupart des Ashkénazes sont Hg R1a. 
				Ashkenaz est une tribu de Gomer. Riphath est le second fils de 
				Gomer et la plupart de l’ADN-Y des Riphath est R1b.
Le 
				seul fils de Gomer qui pourrait se qualifier en tant que Fils de 
				HN est Togarma, qui occupe les parties les plus reculées du 
				Nord, ce qui est ce que nous voyons avec les Lapons/Sami et les 
				Finlandais et les tribus du nord de la Russie/Sibérie. Le 
				problème qui est posé par ce lien ADN-Y est que la Chine a aussi 
				K, et les Haplogroupes K, M et O s'étendent dans le Sud-est 
				asiatique dans les Malais à O avec certains C et D, et à Bornéo 
				et Sumatra à O avec certains C et K. Les Papous sont pour la 
				plupart Hg K, et les Papous de l’Ouest ou Jayans iriens sont Hg 
				M avec une quantité importante de C hamitique. Les Philippins et 
				les Polynésiens du Nord ont également un Hg O important. Les 
				Philippins ont environ 15% de mélange K, C et D, tandis que les 
				Maoris sont principalement C3, qui est hamitique cuschite. 
				Cependant, la langue maorie est liée à la langue malaise et à un 
				moment ils ont occupé une île de l’Archipel malais avant leur 
				départ pour les îles. C’était bien avant le 14ème 
				siècle puisqu’ils occupaient ce qui est aujourd’hui la 
				Nouvelle-Zélande à ce moment-là. Environ 20% des Aborigènes 
				d'Australie et des habitants du Détroit Torres sont aussi Hg K. 
				Ils ne sont donc pas un groupe homogène d'une origine, mais sont 
				de trois origines tribales distinctes de Cham à C4 et deux de 
				Japhet à Hgs. K et RxR1 de base. Ce sont des mutations 
				ultérieures. Ils sont venus en huit vagues ou groupes 
				linguistiques en Australie (consulter aussi l'étude 
				
				
				L'Origine Génétique des Nations (No. 265)).
				
				L'histoire des Huns est donnée comme suit.
				
				Les Huns d'origine 
				étaient Hg. N de M214 avec les Asiatiques Hg. O.
				
				Les gens de l’Haplogroupe N, à la fois les Finlandais et les Hongrois, se 
				considèrent comme les Magyars. Ce nom et l'ADN-Y les relient 
				puisque le même groupe tribal liait trois millénaires en 
				arrière. 
				Ils sont cependant
				un peuple mixte
				comme nous allons le 
				voir.
				
				L’ADN-Y est 
				déterminé à partir de la lignée masculine par le Chromosome Y et 
				l'ADNmt est déterminé par le Chromosome X. L'ADNmt a porté 
				autant d'influence que le Y dans la détermination des 
				caractéristiques, et les hommes qui se marient à des femmes avec 
				un autre ADNmt transmettent à leur progéniture les systèmes et 
				les caractéristiques raciales des systèmes. Ainsi, un Hun Blanc 
				ou Noir de l’Ouest par tribu ou Finn ou Saami aura une apparence 
				différente à cause des femmes européennes avec lesquelles ils se 
				sont multipliés. Leurs hommes seront toujours ADN-Y Hg. N, sauf 
				s'ils sont des captifs ou alliés. Les Huns Bleus qui ont été 
				chassés par les Mongols avant l’année 1215 apparaîtront comme 
				Hg. N chez les hommes, mais leurs femmes auront croisé avec les 
				Mongols et les Chinois et ils auront une apparence asiatiques.
				
				Tous les groupes 
				linguistiques altaïques ouraliens seront linguistiquement 
				similaires à l'origine, mais ils seront combinés d'un certain 
				nombre de systèmes ADN-Y. Le groupe comprend les Magyars et les 
				Saami à l'ouest et les Turques au Moyen-Orient (R1b et autres 
				Hgs), les Altaï, les Tartares, les Bouriates, les Neneks, les 
				Mongols (Hg. C3) Manchu/Tungus, certains Esquimaux de Sibérie, 
				et des Anciens Coréens et Japonais (Hg. O et D). Ils venaient de 
				la même région de l'Asie centrale autour de l'Oural et des 
				tribus environnantes (par exemple de l'Altaï). Ils 
				NE sont 
				cependant pas tous le même peuple dans l’ADN-Y et ils ont un 
				certain nombre de groupes ADNmt.
				
				Les tribus 
				Magogites connues se révèlent être toutes R1b jusqu'ici 
				; 
				toutefois, certains Hongrois se disent de descendance Magogite 
				et cela peut être vrai dans certains cas, cependant, il n’en est 
				pas de même pour les Huns. Les Huns Hg. N et les Finlandais ne 
				sont pas Magogites d’après tous les tests connus à ce jour.
				
				Les listes des 
				tests effectués à ce jour des Hongrois sont en effet 
				intéressantes. Budapest, au dix-neuvième siècle était appelée 
				Judapest par les Européens de l'Est et elle avait une 
				concentration massive de Juifs. Les E1, J et I dans les tests 
				trouvés là sont des Juifs d’Afrique du Nord et des Sémites. Les 
				allocations de test ADN-Y de régions tribales sont basées sur 
				les populations indigènes comme elles étaient en ca. 1500. Les 
				Khazars sont également venus après que les Mongols les aient 
				chassés en l’année 1215. Les Bulgares ont suivi les Huns aussi 
				dans ce qui est maintenant la Bulgarie. Les Magyars parmi eux et 
				les Finlandais étaient basés sur les cartes de N. McDonalds et 
				les tests sont un outil de référence. L’ouvrage
				
				L'Origine Génétique 
				des Nations (No. 265) les traite aussi.
				
				Les groupes E1 en 
				Hongrie étaient des Juifs d'Afrique du Nord basés de la Tunisie 
				à partir de contacts phéniciens. Hg. E comprend plus de 25% de 
				tous les Juifs européens. Hitler était un Juif E1b dans son 
				ADN-Y (E1b1b1) aussi provenant de l'Autriche voisine. Les tests 
				énumérés comme Magyar provenant du FTDNA semble être un test 
				d'un échantillon de la population juive hongroise.
				
				Les revendications 
				Magogites des Hongrois diffèrent de la version des récits donnés 
				par Koestler dans l’ouvrage 
				"La Treizième Tribu", 
				où il donne un compte-rendu détaillé de la scission des Huns 
				blancs, noirs et bleus et donne les noms des prêtres qui se sont 
				rendus à l'est en 1213 pour amener les Huns bleus à l’ouest de 
				la Hongrie, mais quand ils sont arrivés là, les Huns bleus 
				avaient été chassés par les Mongols qui ont ensuite balayé 
				l'Europe en l’année 1215 en poussant les Khazars devant eux. 
				L'identification de l’ADN-Y Magyar est importante. Il peut y 
				avoir une distinction entre Magyars et autres Huns.
				
Nous 
				savons pertinemment que les Huns sont venus en Grande-Bretagne 
				au dixième siècle AEC (avant notre ère) et qu’ils ont été 
				défaits par les vassaux troyens britanniques et magogites à la 
				rivière Humber qui a été nommée d'après leur roi Humber. Ils 
				avaient vaincu les tribus germaniques du nord de l'Europe et 
				avaient pris une des princesses en otage, comme cela a été 
				enregistré. Après la défaite en Grande-Bretagne, il semble 
				qu’ils ont retraité via la Scandinavie pour éviter les Allemands 
				dans leur état de faiblesse et lors de cette retraite ils ont 
				laissé les Finlandais comme un groupe là en Scandinavie qui ont 
				déplacé les Lapons ou peut-être même les ont emmenés avec eux.
				Ceci est enregistré 
				par Geoffery de Monmouth et un certain nombre d'autres anciens 
				historiens britanniques, et aussi les origines Magogites sont 
				discutées dans l’ouvrage 
				"Histoire 
				de l'Irlande" de MacGeoghegan-Mitchell, Sadlier NY 1868.
				
				Ils ne semblent pas 
				être perdus comme les Finlandais à ce jour se réfèrent à 
				eux-mêmes comme des Magyars et leur langue est l’Uralique 
				altaïque d'origine comme elle est alliée à mais pas la même que 
				le hongrois. Ils ont plus en commun avec les Japonais qu'ils en 
				ont avec les langues d'Europe occidentale.
				
Les 
				Huns retournèrent en Asie dans ce qui est la Russie du Nord-est 
				et, selon Koestler, se sont regroupés en trois groupes : les 
				Huns Bleus, Blancs et Noirs. Ils sont restés en Asie dans le 
				vaste domaine des steppes jusqu'à ce qu'ils arrivent en Europe 
				et occupent ce qui est aujourd'hui la Hongrie depuis le neuvième 
				siècle. Ils ont été convertis du paganisme. 
				Le Moine Julianus a été envoyé 
				pour les chercher vers la fin du douzième siècle, selon 
				Koestler. 
				Donc, les trois cents ans auxquels se réfèrent les Hongrois dans 
				ce récit étaient au cours de la période allant des années 900 
				aux années 1200. Il les trouva et retourna. Après qu’il fût 
				retourné un groupe a été envoyé pour les inviter à revenir au 
				début du treizième siècle. Lorsque ce message est arrivé, ils 
				avaient été chassés par les Mongols avant l’année 1215. Leur 
				histoire est racontée par Arthur Koestler dans l’ouvrage 
				La Treizième Tribu. Ils
				sont l'origine 
				probable du peuple
				Hg. N
				dans l'Extrême-Orient
				également.
				
				Les termes par 
				Koestler concernant les "Flèches" des tribus Huns n'ont pas été 
				réfutés ou développés et ses termes concernant les Huns blancs, 
				noirs et bleus n'ont pas été réfutés de façon sérieuse. Les 
				Ashkénazes l’ont tout simplement tué parce qu'il a exposé la 
				conversion des Khazars de l’année 740 et les origines des 
				Ashkénazes.
				
				Donc, nous
				ne sommes pas conscients
				de la connexion 
				Magogite de ces premiers
				Huns.
				
				Il est également 
				important de noter qu'il y avait des Magogites à l'Est dans ce 
				qui est maintenant la région Urumqi de la région autonome 
				ouïghoure. Ceux-ci étaient des Celtes aux yeux bleus et aux 
				cheveux rouges qui sont sans aucun doute liés aux Magogites 
				Écossais et portaient des tartans similaires. Ils étaient dans 
				ce qui est maintenant la Chine occidentale ca. 1700 AEC. Les 
				hommes mesuraient 6 pieds 6" et les femmes étaient plus de 6 
				pieds. Les Magogites que nous connaissons sont de ce type et 
				sont à la base des Celtes scythes.
				
				Howorth note que 
				les Huns sont mentionnés dans l'Europe par Ptolémée 175-182 AEC. 
				Ptolémée les mentionne les Chunni entre les Bastarnes et 
				Roxolans et les place sur le Dniepr (Hist. History Vol. 7 pp. 
				45-46). Ils sont positivement identifiés par Denys Periegetes 
				ca. 200. Il les identifie comme bordant la mer Caspienne dans 
				cet ordre les Scythes, les Huns, les Caspiani, les Albani, mais 
				ce sont de vagues références.
				
				La première 
				histoire authentique d’eux en Europe vient de ca. 372 EC. Leur 
				chef était alors Balamir ou selon certains Manuscrits Balamber. 
				Ils ont commencé un mouvement vers l'ouest dans les steppes à 
				partir de leur maison au nord de la mer Caspienne. Ils soumirent 
				un certain nombre de nations obscures comme les Alpizuri, 
				Alcidzuir, Hammari, Tincarsi, et Boisci. Nous supposons qu'ils 
				ont pris leurs femmes et hommes comme esclaves. Ils ont ensuite 
				déménagé dans la région des puissants Alani ou Alains entre la 
				Volga et le Don. Après une longue lutte ils ont battu les Alains 
				et les ont enrôlés à leur service dans le mouvement vers 
				l'ouest. En fin de compte, les Alains et Suèves sont entrés en 
				Europe et se sont installés en Espagne et au Portugal.
				
				Après un court 
				intervalle en l’année 374 les Huns sont entrés dans l'empire des 
				Ostrogoths (Greuthungi) gouverné par le vieil Ermaneric 
				(Hermanric) qui est mort tandis que l'attaque critique était 
				imminente (peut-être par sa propre main). Son fils Hunimund a 
				pris le relais et a fait une paix humiliante et des révoltes 
				ultérieures sous Withemir (Winithar) ont entraîné une nouvelle 
				défaite et finalement la mort du roi. Witheric son fils a 
				accepté la condition de vassalité aux Huns et aux Alains.
				
				Balamir a alors 
				dirigé la horde à l'ouest contre les Wisigoths ou Tervingi qui 
				reconnurent l'autorité d’Athanaric. Athanaric se retrancha sur 
				le rempart-Greutung et le Dniester qui était la frontière avec 
				les Ostrogoths mais les Huns étaient sur lui en passant à gué 
				la rivière la nuit et sont tombés sur lui par surprise imposant 
				le retrait au secteur entre le Prut et le Danube, et il se mit à 
				rehausser l'ancien mur romain érigé par Trajan dans le nord-est 
				de Dacia. Avant que les fortifications soient complètes, les 
				Huns étaient sur lui à nouveau et ont forcé sa retraite au 
				Danube.
				
				À la suite de cela, 
				les Wisigoths sous Alavivus et Fritigern ont obtenu 
				l'autorisation de l'empereur Valens en l’année 376 à s'installer 
				dans Thrace. Athanaric s’est réfugié en Transylvanie et ainsi a 
				offert peu de résistance aux Huns. En cinquante ans, les Huns 
				sont restés en paix et en fait ont aidé les Romains à certaines 
				occasions. En l’année 404-5 certaines tribus Huns sous un chef 
				Uldin ont assisté Honorius contre les Ostrogoths sous Radagaise 
				(ou Ratigar). Les Huns ont pris part à la bataille décisive 
				contre les Ostrogoths, près de Florence. Les Wisigoths devaient 
				aussi s'installer finalement en Espagne, et, finalement, les 
				Vandales aussi en Afrique du Nord.
				
				En l’année 409 les 
				Huns, dit-on ont franchi le Danube et ont envahi la Bulgarie 
				sous peut-être le même chef (Uldis). Cependant, de nombreuses 
				désertions les ont fait reculer. Cela nous amène maintenant à 
				l'époque de Théodose II et nous pouvons traiter avec le récit 
				donné par Ammien Marcellin dans la seconde moitié du quatrième 
				siècle. Son récit et celui d’Attila sont importants pour 
				comprendre leur allure et conduite. Nous allons voir à partir de 
				ce récit qu’ils ne ressemblaient à rien aux Magogites 
				occidentaux.
				
				Selon Ammien 
				Marcellin les Huns ne se sont jamais abrités sous un toit. Ils 
				ont évité les maisons comme nous évitons les tombes. Ils n'ont 
				pas une telle chose comme une cabane avec un toit de chaume et 
				de roseaux. Leurs femmes ont élevé leurs jeunes dans des wagons 
				et ont cousu leurs vêtements légers à base de lin et de peaux de 
				rats des champs. Ils ont été rapportés comme ne se changeant pas 
				ou ne lavant pas leurs vêtements, ni les enlevant jusqu'à ce 
				qu'ils se déchirent. Ils portaient des bonnets ronds et 
				couvraient leurs jambes avec la peau des chevreaux. Leurs 
				chaussures ne sont pas faites en fonction des formes et sont 
				impropres à la marche et ainsi ne sont pas adaptées à des 
				batailles d'infanterie. Ils montent des chevaux et rarement en 
				descendent et étaient souvent connus pour dormir dessus. Le 
				récit dit qu'il n'y avait pas une personne dans l'ensemble de la 
				nation qui ne pouvait rester jour et nuit à cheval. Ils achètent 
				et vendent, mangent et boivent et s’allongent sur le cou de la 
				monture. Ils ont tous tenu un conseil à cheval. Ils n'ont pas de 
				roi, mais se contentent avec le gouvernement de leurs nobles et 
				sous leur dirigeant forcent leur chemin à travers tous les 
				obstacles.
				
				Quand ils sont 
				provoqués ils se battent et dans la bataille ils forment comme 
				un grand corps criant extrêmement fort. Ils s'appuient sur une 
				grande vitesse et l'élément de surprise. Ils peuvent 
				soudainement se disperser et se reformer. Ils infligent de 
				lourdes pertes et se dispersent ensuite dans des formations 
				irrégulières sur les plaines. Ils évitent les forts ou les 
				retranchements et sont toujours mobiles dans ou hors de combat. 
				Ils utilisent des flèches à pointe d'os et quand rapprochés se 
				battent avec une épée, sans égard à la sécurité personnelle et 
				utilisent des torsades pour enchevêtrer leurs adversaires.
				
				Les Goths et les 
				Vandales ont été obligés de se déplacer en Europe par les Huns, 
				mais la puissance des Huns ne se reflète pas dans leurs 
				réalisations ou leur structure établie. Ils étaient victorieux 
				de la Volga au Danube mais leur force publique a été détruite 
				par la discorde constante des chefs indépendants. Ils étaient 
				incapables de former un gouvernement stable, sauf sous des chefs 
				puissants comme Attila. Leur bravoure a été consommée les bras 
				croisés dans les excursions obscures et prédatrices. Ammien 
				Marcellin dit qu’ils ont également réduit leur dignité nationale 
				en servant sous les bannières d'ennemis en fuite dans l'espoir 
				de butin ou des mots à cet effet.
				
				Le récit d'Attila 
				indique que, sous lui, ils sont devenus à nouveau la terreur du 
				monde. C'est sous Attila que les Huns ont commencé ce qui est 
				devenu la chute de l'Empire romain. C'est sous l'oncle d'Attila 
				Roas ou Rugilas que les Huns se sont insérés dans les limites de 
				ce qui est maintenant la Hongrie moderne comme un pays de 
				chasseurs et de bergers. Cependant, ils ne sont pas restés 
				entièrement là, mais ce que nous comprenons comme les Magyars 
				sont revenus là ca. 894 et c'est à partir de cet événement que 
				la Hongrie a été formée. Tant les Finlandais que les Hongrois 
				prétendent être Magyars. Si les Magyars sont distincts des Huns, 
				alors nous devons examiner deux mouvements historiques distincts 
				et tribus. Notez également que les Huns étaient distincts des 
				Scythes qui, nous connaissons, étaient des Magogites. Les Huns 
				sous Attila ont défait les Scythes.
				
				Theodoius a été 
				obligé de payer aux Huns un tribut de 350 livres d'or, mais l’a 
				déguisé sous le titre de Général qu’il a conféré au roi des 
				Huns. La nature perfide de la cour de Byzance n'a pas aidé 
				l'instabilité. Également quatre nations soumises aux Huns se 
				sont rebellées. Une de ces quatre était les Bavarois. La paix de 
				l'empire a été brisée par la mort de Rugilas et il a été succédé 
				par ses deux neveux Attila et Bleda. Ils ont immédiatement 
				doublé le tribut à 700 livres d'or et percevaient des amendes et 
				ont crucifié un certain nombre de jeunes hommes nobles dans les 
				territoires de l'empire. Ils ont ensuite attaqué l'Allemagne 
				(Bavière étant l'un) et la Scythie qui avait déclaré leur 
				indépendance. Bleda a été contraint de prendre sa propre vie 
				comme Attila est apparu le plus dominant.
				
				Attila fils de 
				Mundzuk a revendiqué sa descendance noble et peut-être royale 
				des Huns qui avaient attaqué la Chine. La description d’Attila 
				selon un historien gothique de l'époque était qu'il portait la 
				marque de son origine nationale. On dit qu’il exhibait la 
				véritable déformation d'un kalmouk moderne ; une grosse tête, un 
				teint basané, de petits yeux profondément enracinés, un nez 
				plat, quelques poils à la place de la barbe, les épaules larges, 
				et un corps carré court, une force nerveuse d'une forme 
				disproportionnée. Il roulait les yeux comme pour semer la 
				terreur, mais il avait la réputation d'être accessible et était 
				capable de pitié et de pardon et il était considéré comme un 
				maître juste et indulgent. Il se plaisait dans la guerre, mais 
				quand il a mûri sa tête et sa disposition de maturité ont 
				contribué à la conquête du Nord (ibid.,
				Hist. Hist. p. 49).
				
				Attila a été 
				considéré comme un Mongol et lui et Ghenghis ont été classés 
				comme des Scythes et les deux étaient des généraux prudents et 
				prospères. Attila avait l’apparence d'un kalmouk qui est une 
				tribu asiatique qui était dans le domaine de la Dzhungaria 
				linguistiquement dérivé du terme “Hungaria” et l’ouest de la 
				Mongolie. Leur ADN est comme suit. Ce n'est pas C3 des Mongols, 
				mais Hg. N1 des Finlandais de l’ouest et des Magyars que nous 
				voyons dans les textes suivants.
				
				La diversité du 
				chromosome-Y dans les Kalmouks aux niveaux ethniques et tribaux
				
				Boris Malyarchuk, 
				Miroslava Derenko, Galina Denisova, Sanj Khoyt, Marcin Woz'niak, 
				Tomasz Grzybowski, et Ilya Zakharov
				
				
				“Les 
				Kalmouks mongoliques qui habitent actuellement les steppes de la 
				région de la Volga ont des ancêtres d'Asie centrale et sont 
				organisés en groupes tribaux. Les relations génétiques entre ces 
				tribus et leur origine sont restées obscures. Nous avons analysé 
				17 séquences microsatellites et 44 polymorphismes binaires du 
				chromosome-Y chez 426 individus principalement de trois grandes 
				tribus des Kalmouks (les Torguuds, Do ¨rwo¨ ds et Khoshuuds). 
				Parmi ces tribus, les Do ¨rwo¨ ds et Torguuds, aussi bien que 
				les Kalmouks collectivement en tant que groupe ethnique, ont 
				montré des affinités génétiques relativement proches les uns des 
				autres et aux Mongols et les Kazakhs Altaï, alors que les 
				Khoshuuds étaient clairement séparés de chacun d’eux, ensemble 
				avec les Mandchous, les Tibétains ou Evenks (selon l'algorithme 
				utilisé pour calculer les distances génétiques). Les résultats 
				génétiques indiquent également que le flux génétique paternel 
				des Européens de l'Est aux Kalmouks est très petit, en dépit de 
				leur cohabitation dans la steppe de la mer Caspienne du Nord au 
				cours des 380 dernières années. La survenue d'ensemble unique 
				d'haplotypes N1c-Tat dans les Khoshuuds, qui remonte à environ 
				340 ans et est susceptible d'avoir une ascendance Europe de 
				l'Est, est considérée comme un résultat de contacts 
				interethniques qui ont eu lieu peu de temps après l'apparition 
				des tribus kalmouk dans la région Volga de l'Oural.
				
				
				Journal of Human Genetics
				
				advance online publication, 17 October 2013 ; 
				doi:10.1038/jhg.2013.108
				L'influence 
				européenne de l’Est provient probablement des invasions des Huns 
				de ce temps ou plus tôt.
				
				Les provinces des Huns sous Attila se sont étendues de Thuringe 
				qui était au-delà du Danube jusqu’en Allemagne et peuvent être 
				inclues par la latitude d’influence. Il s’est interposé dans les 
				affaires des puissants Francs, et un de ses officiers a presque 
				exterminé les Bourguignons du Rhin. Il a soumis la Scandinavie 
				probablement par son association Magyar avec les Finlandais et 
				les Huns ont dérivé les tributs de fourrure à partir de là où 
				aucun autre n’avait fait ainsi. Il régnait sur les rives de la 
				Volga. Il a soumis le Khan de la Geougen et il a envoyé des 
				ambassadeurs pour négocier une alliance d'égalité avec la Chine. 
				Il a dominé, sans révolte dans sa vie, les Gépides et les 
				Ostrogoths qui se distinguaient par leur nombre, la bravoure et 
				le mérite personnel de leurs chefs. Ils s'étendaient du Danube à 
				Tanaïs.
				
				Sous le règne 
				d'Arcadius, père de Théodose, une bande de Huns aventureux avait 
				ravagé les provinces de l'Est ramenant les riches dépouilles et 
				d'innombrables captifs. Ils avançaient par des chemins secrets 
				sur les rives de la mer Caspienne, ont traversé les montagnes de 
				l'Arménie, ont passé le Tigre, l'Euphrate et l'Halys, ont ajouté 
				la race des chevaux de Cappadoce pour compléter leur cavalerie, 
				et ont occupé Cilia et Antioche. L’Égypte et la Palestine 
				tremblaient à leur approche. L'Est se souvint de ce raid quand 
				ils ont été confrontés aux forces supérieures d'Attila. Les Huns 
				envahirent alors aussi loin que chez les Media et ont engagé les 
				Perses dans Médie, mais ont été forcés de se retirer.
				
				Les Vandales ont 
				été maintenus en Afrique grâce à la puissance d'Attila et les 
				Romains de Rome et de Constantinople se sont lancés dans une 
				course de récupération. Au travers des fins commerciales et la 
				trahison sur le Danube le conflit a été intensifié et Attila a 
				progressé dans une série de batailles. Deux premières batailles 
				étaient sur les rives de l’Utus et sous les murs de 
				Marcianopolis sur les vastes plaines entre le Danube et le mont 
				Hémus. Le commandant romain Arnegisclus a été tué dans la 
				seconde bataille. Sous une commande déficiente les Romains se 
				sont retirés de la Chersonèse de Thrace. Dans cette péninsule 
				étroite la troisième et dernière bataille a été menée. Dans 
				cette bataille Attila a pris le contrôle total de la zone. Sans 
				résistance ou pitié, il a ravagé les provinces de Thrace et de 
				Macédoine de l'Hellespont à Thermopyles et la ville de 
				Constantinople. Ils ont infligé la calamité sur 70 villes de 
				l'Empire d'Orient. Le récent tremblement de terre et la perte de 
				58 tours avaient affaibli la détermination et le moral des 
				forces à Constantinople et ils étaient faibles et mous.
				
				Les Mongols sous 
				Gengis ont effectivement envisagé l'extermination totale du 
				peuple chinois et les activités pastorales des Huns n’étaient 
				pas moins barbares. Les Huns sous Attila n'étaient pas moins 
				tentés d'anéantir ce qu'ils considéraient comme une civilisation 
				occidentale décadente. C'était un mandarin qui a convaincu les 
				Mongols de ne pas anéantir la Chine et de la transformer en 
				terres pastorales comme ils l'avaient prévu. Gengis a tué un 
				total de 4 347 000 personnes dans les capitales du Khorasan. 
				Maru, Neisabur, et Herat. Si Attila avait égalé Tamerlan dans 
				ses ravages cela aurait pu être pire mais Attila a pris ces 
				prisonniers et les répartis au milieu de son armée. 
				L'interaction des Huns avec les Goths pourrait aussi l’avoir 
				atténué. Le fait que les Huns étaient un peuple brut et ne 
				valorisaient pas diverses compétences 
				
				"civilisées" 
				au-dessus de 
				l'autre signifie que l'on peut gagner sa liberté par l'exercice 
				du courage ou de la loyauté et Attila n'a ainsi pas tué comme 
				les Mongols et les Tartares avaient fait.
				
				En fin de compte les Huns étaient un conglomérat de nations 
				scythes et d’esclaves européens et asiatiques. Cependant, à leur 
				base, ils étaient Mongols occidentaux avec le noyau de l'ADN-Y 
				des Kalmouks ou plus tard Kalmyks et étaient liés aux Bouriates 
				également et étaient Hg. N1.
				
				
				Les origines de la Chine 
				
				Le Déplacement de l'Ouest 
Les 
				Chinois sont venus de l'ouest et des montagnes et se sont 
				installés dans le méandre du fleuve Jaune. Ces groupes se sont 
				également répandus dans l'Est, le Nord-est, le Sud et le Sud-est 
				se mêlant aux groupes énumérés avec les groupes dans les 
				Haplogroupes différents qui composent ce qui est maintenant 
				reconnu comme les Chinois et les diverses tribus ou nations 
				asiatiques qui sont des Hgs. énumérés ci-dessus.
				(Comme nous l'avons écrit dans l’ouvrage Mysticisme au Chapitre 
				8 Asie de l'Est – la Chine et le Japon à 
				
				http://www.ccg.org/french/s/b7_8.html )
				                       
				
				 
				“E.T.C. Werner devait écrire en 1922 dans Myths and Legends of China, 
				Graham Brash (Pte) Ltd, Singapore, réimpression de 1988 :
				En attendant la découverte d'une preuve décisive, la 
				conclusion provisoire suivante le recommande grandement - à 
				savoir, que les ancêtres du peuple chinois sont venus de 
				l'ouest, à partir de Akkadia ou Elam (Mésopotamie ou Iran 
				Modern), ou de Khotan, ou (plus probablement) de Akkadia ou Elam 
				par l'intermédiaire de Khotan, comme une tribu nomade ou 
				pastorale ou un groupe de tribus nomades ou pastorales, ou comme 
				des vagues successives d'immigrants, ont atteint ce qui est 
				maintenant la Chine proprement dite à son coin nord-ouest, se 
				sont installés autour du coude du fleuve Jaune, se sont étendus 
				vers le nord-est, vers l'est et vers le sud, conquérant, 
				absorbant, ou poussant devant eux les aborigènes dans ce qui est 
				aujourd'hui le sud et le sud-ouest de la Chine. Ces races 
				autochtones, qui représentent une vague ou les vagues des 
				immigrants néolithiques de l'Asie occidentale plutôt que les 
				immigrants à tête relativement haute dans la Chine du Nord (qui 
				sont arrivés vers le vingt-cinquième ou vingt-quatrième siècle 
				av. J.C.), et qui ont laissé une si profonde impression sur les 
				Japonais, se sont mixés et mariés avec les Chinois dans le sud, 
				produisant finalement les différences marquées, dans les traits 
				physiques, mentaux et émotionnels, dans les sentiments, les 
				idées, les langues, les processus et les produits, des Chinois 
				du Nord, qui sont si remarquables à nos jours (p. 17).
				
				La Chine primitive est une région relativement petite. Ce :
				territoire autour du coude du fleuve Jaune a une 
				superficie d'environ 80.000 km carrés, et a été progressivement 
				étendu à la côte maritime au nord-est jusqu'à longitude 119o, 
				lorsque sa superficie est à peu près doublée. Il avait une 
				population de peut-être un million augmentant avec l'expansion à 
				deux millions de personnes. Cela peut être appelé enfant de la 
				Chine. Sa période (la Période Féodale) était dans les deux mille 
				ans entre les vingt-quatrième et troisième siècles av. J.C. (p. 
				18).
				
				C'est le domaine où les provinces modernes du Chansi, Chen-si, et Honan 
				se rejoignent et qui a été prolongé en direction de l'est vers 
				le golfe de Chihli, à quelque 1000 km de long par 500 km de 
				large. Au cours des deux premiers millénaires, cette région est 
				restée assez constante, mais dans le sud, chou ou les colonies, 
				les noyaux de la population chinoise, se sont accrues en taille 
				grâce à la conquête de territoires voisins.
				
				L'histoire chinoise commence traditionnellement avec la dynastie Shang ca 
				1523-1122 AEC dont la capitale était An Yang dans le nord de la 
				province de Honan. Les documents traditionnels parlent de la 
				dynastie des Hia, mais rien de significatif n’est connu d’elle. 
				Les Chinois eux-mêmes n'avaient aucune trace de quoi que ce soit 
				qui la précède. Au vingtième siècle, il a été constaté qu'une 
				autre époque l’a précédé appelée la culture Lung-Shan, qui 
				comporte des éléments de poterie montrant la similitude et le 
				changement. Les pré-humanoïdes tels que les découvertes dans la 
				Caverne Choukoutienne (découverte 1930 et fouillée par Pei) de 
				l'homme de Pékin n'ont rien à voir avec les découvertes 
				ultérieures mentionnées par R.M. & C.H. Berndt (Aboriginal Man in Australia, 1ère éd. 1965, Angus et 
				Robertson pp. 30, 32-33) des humanoïdes mongoloïdes, eskimoïdes 
				et mélanésoïdes modernes trouvés dans le même groupe à un niveau 
				beaucoup plus postérieur. (cf.
				An Introduction to Chinese 
				Civilisation éd. Meskill et al.1973, pp. 4-7)
				
				Selon 
				Historians' History of the World, 
				vol. 
				
				XXIV, p. 542, le premier monarque tangible de la Chine était 
				Hwang-ti. Son tombeau est conservé dans la province Chensi. Le 
				nom de sa femme était Impératrice Se-Ling-she. Il aurait régné 
				au vingt-septième siècle AEC, cependant, cette histoire 
				primitive est un peu apocryphe. Confucius (Kung-Fu-Tseu) (549 
				AEC) donne quelques données historiques du règne de Yaou 
				prétendument de 2356 AEC, mais cela ne tient pas la critique 
				(ibid.). Il a été succédé par Shun comme roi. À la mort de Shun, 
				le "Grand" Yu, qui a été utilisé pour évacuer les eaux du 
				déluge, qui avait visité la Chine, est devenu roi. Le calibre 
				des rois diminué jusqu'à Kee (1818-1766 AEC) était aussi 
				despotique que sa maison a été détruite et la nouvelle dynastie 
				des Shang a commencé. Le souverain, Tang, était apparemment 
				juste et a aboli l'oppression. Curieusement il a régné au moment 
				de la sécheresse de sept ans. La famine de Genèse 41:54 peut, en 
				fait, avoir été dans ‘toutes’ les terres. En 1153 AEC la 
				dynastie des Shang s’est terminée et le tyran Chow a dirigé 
				l’‘empire’. Vers 1121 AEC des ambassadeurs sont venus de ce qui 
				est appelé la Cochinchine (c.-à-d. sud du Vietnam, qui faisait 
				autrefois partie de l'Indochine).
				
				De l'analyse de Bernard Karlgren dans A Catalogue of the Chinese 
				Bronzes in the Alfred F. Pillsbury Collection, (The 
				University of Minnesota Press, pour le Minneapolis Institute of 
				Arts, 1952), il semble y avoir quatre périodes principales des 
				styles avant la Ch’in. Celles-ci sont Yin-Shang (1525-1028 AEC), 
				Premier Chow (1027-c.900 AEC), Moyen Chow (c.900-c.600 AEC) et 
				Huai (c. 600-c.222 AEC). Ces identifications peuvent se révéler 
				d'une importance dans l'identification de l’altération des 
				systèmes culturels et religieux. Le point de coupure est en 1525 
				AEC pour les formes de décor en bronze, ce qui peut aussi avoir 
				une signification à isoler les premiers mouvements des échelles 
				de temps mythiques.
				
				Un peu plus de deux cents ans avant l'ère chrétienne, la Chine est 
				devenue l'objet d'une quatrième dynastie, appelée Tsin (Sinnim? 
				Ou Ch'in/Chine). Le souverain de cette dynastie, qui a 
				accidentellement provoqué, en recrutant un homme sur trois, la 
				construction de la Grande Muraille de Chine pour empêcher les 
				tribus du Nord d’entrer, a tenté d'établir une dynastie qui a 
				régné du début à la fin des temps par la collecte et la 
				combustion de tous les registres connus. Toutefois, cela a été 
				contrecarré par la découverte des livres de Confucius et sa 
				dynastie s'est éteinte à la mort de son fils (ibid., p. 543). 
				Les Hans ont alors commencé à étendre l'empire.
				
				Cette destruction des registres accorde nécessairement une grande 
				dépendance sur l'exactitude de Confucius, mais d'après ce que 
				nous savons des études ethnolinguistiques et anthropologiques, 
				on peut construire une image assez précise de la structure 
				sociale et religieuse des tribus d'Asie de l'Est depuis les 
				premiers âges.
				
				En 221 AEC, tous les États féodaux dans lesquels ce territoire a été 
				divisé et qui ont sans cesse combattu les uns contre les autres, 
				ont été subjugués et absorbés par l'état de Ch’in (soi-disant 
				donc la Chine). La forme monarchique de gouvernement, qui devait 
				durer vingt-et-un siècles, a été mis en place (Werner, pp. 
				26-27).
				Durant les premiers siècles de la Période 
				Monarchique, qui a duré à partir de 221 avant JC à 1912, elle 
				s’était étendue vers le sud à un point tel qu'elle comprenait 
				toutes les Dix-huit Provinces qui constituent ce qu'on appelle 
				la Chine proprement dite des temps modernes, à l'exception d'une 
				partie de l'ouest du Kansu et les parties supérieures de 
				Ssuch'uan et Yunnan. Au moment de la conquête mandchoue au début 
				du dix-septième siècle après JC elle embrassait tout le 
				territoire situé entre la latitude 18 o et 40 o 
				N. et la longitude 98 ° et 122 ° E. (les 
				Dix-huit Provinces ou la Chine proprement dite), avec l'ajout de 
				vastes territoires périphériques de la Mandchourie, la Mongolie, 
				Ili, Koko-nor, le Tibet, et la Corée, avec suzeraineté sur la 
				Birmanie et l'Annam - une superficie de plus de 13.000.000 km 
				carrés, y compris les 5,000,000 km carrés couverts par les 
				Dix-huit Provinces. En règle générale, ce territoire est 
				montagneux à l'ouest, s’inclinant graduellement vers la mer à 
				l'est (p. 18).
				
				Il est généralement admis que, à leur arrivée, les Chinois se sont battus 
				avec les tribus autochtones, exterminant, en absorbant ou en les 
				chassant vers le sud. La dynastie des Hans a duré de 205 AEC à 
				226 EC et a été distinguée par ses prouesses militaires. Les 
				Chinois aussi tard que ce siècle étaient toujours friands de se 
				référer à eux-mêmes comme les fils de Han. Entre 194 AEC et 1414 
				EC les Chinois ont annexé la Corée, le Sinkiang (connu comme le 
				nouveau territoire ou Turkestan oriental), la Mandchourie, 
				Formose, le Tibet et la Mongolie. Le Tibet a de nouveau été 
				ajouté à l'empire sous Sun-che (1644-1661) à la mise en place de 
				la dynastie mandchou-tartre [Ta] tsing (grande pureté). La 
				Formose et la Corée ont été annexées par le Japon en 1895 et 
				1910 respectivement. Werner soutient que :
				les Chinois ‘ont choisi les yeux du pays’ et par 
				conséquent les tribus non-chinoises vivent maintenant dans les 
				forêts et les marais malsains du sud, ou dans les régions 
				montagneuses difficiles d'accès, parfois même dans les arbres 
				(une promotion volontaire, et non obligatoire), bien que 
				plusieurs, comme les Dog Jung à Fukien, conservent les colonies 
				comme des îles au sein de la race dominante.
				Au troisième siècle avant JC commencèrent les 
				relations hostiles des Chinois avec les nomades du nord, qui ont 
				continué tout au long de la plus grande partie de leur histoire. 
				Durant les six premiers siècles de notre ère il y avait des 
				rapports avec Rome, la Parthie, la Turquie, la Mésopotamie, 
				Ceylan, l'Inde et l'Indochine, et au septième siècle avec les 
				Arabes. L'Europe a été introduite dans l'environnement 
				sociologique par les voyageurs chrétiens. Du dixième au 
				treizième siècle, le nord était occupé par les Kitans et 
				Nuchens, et l'Empire entier était sous emprise mongole pendant 
				quatre-vingt-huit années aux treizième et quatorzième siècles. 
				Des relations de nature commerciale et religieuse ont eu lieu 
				avec les pays voisins au cours des quatre siècles suivants. Des 
				relations diplomatiques régulières avec les nations occidentales 
				ont été établies à la suite d'une série de guerres dans les 
				dix-huitième et dix-neuvième siècles (pp. 20-21).
				
				La Chine a acquis et perdu des territoires à de nombreuses reprises au 
				cours de son histoire. De 73 à 48 AEC "'toute l'Asie, du Japon 
				jusqu’à la mer Caspienne, était tributaire de l'Empire du 
				Milieu' à savoir la Chine" (ibid., p. 27). Durant la dynastie 
				des Sung du Sud (1127-1280) les Tartares mongols possédaient la 
				moitié nord de la Chine, aussi loin que le fleuve Yangtze, et 
				dans la dynastie Yuan (1280-1368) ils ont conquis l'ensemble du 
				pays. Pendant la période 1644-1912 il était sous la domination 
				des Mandchous.”
				Malais                
				
Les 
				Malais se sont établis dans les Archipels du Sud-est asiatique 
				et les systèmes insulaires qui gardaient la lignée aux montagnes 
				du sud de la Thaïlande. Ils se sont déplacés aux Philippines et 
				dans le système polynésien du Nord, qui est principalement Hg O. 
				Ils ont continué vers l'ouest dans l'océan Indien jusqu'à 
				Madagascar et ont également installé des groupes en Afrique du 
				Sud. Le conflit en Malaisie et en Indonésie entre les Chinois et 
				les Malais est un héritage de l'expansion Han dans le Sud et la 
				suppression des tribus du Sud et l'expulsion de la Chine. Le 
				même conflit existe entre les Japonais, les Tibétains et les 
				Coréens ainsi que les Mandchous et les Mongols et les tribus 
				sibériennes. Beaucoup d'entre eux portent néanmoins l'héritage 
				des systèmes Hg O de l'Asie.
La 
				question se pose quant à savoir comment les fils de HN peuvent 
				varier autant dans leur coloration et types de cheveux et de 
				peau. La réponse se trouve dans l'ADN mitochondrial des femmes 
				et l'absorption de l'ADN mitochondrial de type asiatique des 
				peuples conquis. L'ADNmt de la femme est tout à fait distinct et 
				séparé des deux groupes dans l'Ouest et en Asie de l'Est.
Les 
				datations évolutionnistes prolongées sont un non-sens 
				fantaisiste et ne résistent pas à l'examen. 
Le 
				développement des routes commerciales en Asie du Sud-est 
				s'étendait de la Mer Rouge en Inde et dans le système ethnique 
				Tonkin avec sa capitale à Hanoi tenant bon jusque vers 150 EC et 
				même après quand Canton captura le rôle de celle-ci au troisième 
				siècle (cf. F.J. Moorhead, 
				A History of Malaya And Her Neighbours, Vol. 1, Longmans de 
				la Malaisie, 1965, p. 3).  
				
Le 
				soi-disant homme primitif de l'Indonésie à Flores s’est avéré 
				être une forme ultérieure dégénérée des Haplogroupes de l’ADN-Y 
				modernes et très peu de publications sont faites des découvertes 
				de l’ADN-Y et l'ADNmt dans la région. 
Le 
				développement des voies commerciales du Sud-est de l’Asie a été 
				étroitement lié au développement religieux indien et après le 
				développement du Bouddhisme le système indien d'expédition et 
				commercial a pu se développer sans les systèmes rigides de 
				castes de l'Hindouisme qui régnaient sous l'Indianisation 
				précoce de l'Asie du Sud-est et ce système a donné lieu plus 
				tard aux commerçants musulmans (cf. 
				
				Le Mysticisme 
				Chapitre 9 Les Systèmes Asiatiques du Sud-est (No. B7_9)).  
				
				
				Les divers systèmes d'ADNmt de l'Extrême-Orient ont eu lieu suite aux 
				niveaux élevés de radiation de fonds à partir des régions telles 
				que le Kerala et les mutations sont connues pour se produire à 
				un rythme tellement rapide comme par une génération de 
				grands-mères, mères et filles chacune ayant différentes 
				mutations liées à la radiation de fonds naturelle.
				
				
				Signification du mot Han
Le 
				mot Han n'est pas propre au groupe appelé les Chinois Hans. Le 
				mot semble être altaïque ouralien et fait partie intrinsèque du 
				concept coréen de l'amour vertueux de Dieu. Les Coréens 
				regardent Han comme la base de leur relation avec Dieu en tant 
				que fils de Dieu. Ce Han des Coréens est le sens de l'amour 
				vertueux et la responsabilité et le remords qui vient, après la 
				remise de tout et de tout effort, du rejet de cet amour vertueux 
				et cette responsabilité. C'est le sentiment de la douleur 
				vertueuse de Dieu dans Son rejet par l’humanité dans la 
				création, et la douleur vertueuse des parents dans leur rejet 
				par leur progéniture.
Han, 
				c'est l'angoisse et la tristesse infinie de l'espoir et de 
				l'amour non partagé, tel que Dieu l'a éprouvé pour la création 
				et de Son amour et Sa bonté immuables.
En ce 
				sens, les Fils de HN portent tous ce nom en tant que marqueur 
				tribal de la fraternité comme fils de Dieu séparés de Dieu par 
				le péché du monde, dans un désir sans fin de l'amour et de la 
				restauration avec le Dieu Suprême du Ciel. Les Chinois 
				L'appellent Shang Di et leur tribu principale se considère comme 
				comprenant les fils de Dieu remplis de Han. Tels sont aussi les 
				fils Magyars de HN comme les Huns et les Finlandais en tant que 
				fils de Dieu remplis de ce HN comme un vif désir de 
				réconciliation à Dieu. Ainsi HN était un fils de Dieu comme l'un 
				des descendants de Noé.   
Voir 
				le tableau de l’ADN-Y en annexe ci-dessous.
				
								
								
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