Les Églises Chrétiennes de Dieu
[067C]
Les Hittites dans la Maison de David
(Édition 2.0
20100115-20250525)
Il y a beaucoup d'aspects surprenants
et peu compris quant à la taille et l'étendue de la Maison de David et la
façon dont elle s'est étendue pour couvrir les nations. Elle a étendu les
familles messianiques et incorporé ce qui sont essentiellement des lignées
hittites.
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2010, 2025 Wade Cox)
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Les Hittites dans la Maison de David [067C]
Note : Après la publication de ce document, les généalogistes britanniques et
gallois nous ont contactés et ont affirmé que l'ouvrage constituait un récit
tout à fait exact des rois britanniques et gallois, du premier siècle avant
notre ère jusqu'aux derniers princes de Galles.
En recherchant les aspects de
l'histoire des nations, il est devenu évident à quel point la structure de
l'ADN était pour l'identité des peuples et leur distribution et
interdépendance.
Le schéma de base a été écrit pour
expliquer la structure d'un seul homme Adam et d’une seule femme Ève et où
la progéniture s’est développée et dispersée. Cette étude est
L'Origine Génétique des Nations (No. 265).
Les Fils de Noé ont été décrits dans
leurs branches respectives de Sem, Cham et Japhet. L'histoire de la Bible
s'inscrit parfaitement dans la structure de l’ADN-Y et explique parfaitement
la propagation des êtres humains et leur origine. En fait, elle rend un
non-sens complet de la Théorie de l'Évolution une fois que les périodes de
temps correctes des mutations sont prises en compte.
Ce sont ces mutations qui en fait sont
devenues évidentes et pertinentes pour comprendre les mutations de l’ADN-Y
dans la Maison de David. Cet ADN comprend ce qui est en fait l’ADN-Y hittite
qui a fusionné dans la lignée davidique au dixième siècle avant notre ère.
Quand l'auteur faisait des recherches
sur son ADN-Y des choses étranges se sont produites avec les résultats. Il y
avait une série de mutations en deux, trois et quatre étapes qui se sont
produites qui se sont propagées à la fois en Europe et en Asie et au
Moyen-Orient. Les 12 premières sections ont été testées et ont conduit à une
concordance au spectre d’action très large avec un certain nombre de groupes
de personnes. Ce qui était intéressant c’était le nombre de trois
concordances de mutation en étape avec les Lévites parmi les Juifs russes et
lituaniens s'étendant de l’Haplogroupe (Hg.) R1b même dans l’Haplogroupe
(Hg.) N en Lituanie.
Ce qui devait s’avérer quelque peu
énigmatique a été une concordance en trois étapes avec un Palestinien de
l’Hg. RxR1 de base. Cette concordance devait se révéler pertinente pour des
dé
couvertes ultérieures.
Il y avait des concordances de
mutation aussi loin qu’en Sibérie et en Espagne avec une famille aussi à
Cuba, probablement en provenance d'Espagne.
Ces découvertes étaient quelque peu en
contradiction avec le fait que mon ADN-Y était un sous-groupe connu de la
gamme scandinave celte et s’étendait sur toute la Grande-Bretagne dans les
îles écossaises des Shetland et les Orcades, au Danemark et en Islande et,
assez étrangement, dans le mélange européen des Esquimaux du Groenland.
L'explication de cela est assez facile
et a résolu en elle-même une énigme de longue date des Scandinaves. Nous
savions qu’au début de la Période Médiévale Chaude le Groenland est devenu
sans glace en été et pouvait être cultivé. Ce point de vue a été mis à
l'épreuve quand Éric le Rouge s'est impliqué dans une vive discussion lors
d’un banquet à Thulé (aujourd'hui Islande) en 996 et a tué un autre et plus
puissant Thane. Il a pris le chemin de la discrétion et a chargé la famille
et a ramé jusqu’au Groenland. La famille l’a colonisé pendant les 450 années
suivantes et a continué à coloniser les régions du nord de l'Amérique du
Nord. On pensait que les Esquimaux les avaient éliminés car c’est devenu
plus froid à l'Ère Glaciaire récente de 1450-1760 EC. D'après les tests ADN,
il semble que la famille n'avait pas été éliminée du tout. Ils ont
simplement rejoint les Esquimaux et se sont adaptés aux conditions froides
et sont toujours là à ce jour.
L'explication Évolutionniste standard
des Celtes scandinaves c'est qu'ils sont venus du Moyen-Orient il y a des
dizaines de milliers d'années et se sont installés en Europe du Nord-Ouest
avec un groupe aussi dans ce qui est l’Allemagne de l'Est.
Le problème est que cela ne cadre pas
avec ce qui est connu de l'histoire britannique et les documents anciens.
Les documents historiques montrent que
les premiers habitants de la Grande-Bretagne étaient un groupe de Magogites
qui sont venus dans ce qui est maintenant la région de la mer Noire et qui
ont été appelés Scythes. Les Irlandais originaux ont également été décrits
comme venant de cette région de la Grèce/Thrace et de la Scythie. Ces
personnes en Grande-Bretagne ont été subjuguées par un groupe de Hittites du
royaume de Wilusia, selon les premiers historiens britanniques. Leur
capitale à Troie a été détruite par l'alliance hellénique dans la guerre de
Troie. Troie est tombée en l'an 1054 avant notre ère, ce qui était les deux
dernières années du règne d'Eli en tant que juge en Israël, et les histoires
irlandaises désignent cet état de fait (voir MacGeoghegan-Mitchell,
The History of Ireland, Sadlier &
Co., 1868, Chapitres 2ff.).
Ce fut le début de la destruction de
l'Empire hittite, qui a continué jusqu'à ce que les Assyriens les aient
éradiqués comme Empire hittite et a pris leur place.
En Grande-Bretagne ces gens ont pris
le contrôle à partir du dixième siècle avant notre ère. Ils ont repoussé une
invasion des Huns au Xème siècle sous le roi Hun Humber qui fut
vaincu et tué à la rivière Humber nommée d'après lui. Les Cymry hittites
troyens ont continué de contrôler pendant les 1400 années suivantes avec des
conflits entre eux et les Pictes du Nord jusqu'à ce que les Anglo-Saxons
soient entrés en Grande-Bretagne après les Jutes après la retraite des
Romains. Pendant de nombreux siècles ils ont échangé avec le Moyen-Orient et
les Phéniciens et à partir d'eux ils ont reçu une exposition à Juda et ses
marchands.
C'est dans cette lignée que nous
voyons des développements très intéressants. C’est aussi probablement
l'origine de la même structure ADN-Y que nous devions trouver parmi des gens
du Moyen-Orient dans des endroits surprenants.
Un exemple de ceci est la séquence de
tests pour déterminer les origines de l’ADN-Y de la famille Cox, de Surrey,
qui devait conduire à un développement très intéressant.
Les tests initiaux classaient la
lignée comme des Celtes Scandinaves à R1b1c qui a ensuite été remaniée dans
la structure de l'Haplogroupe R1b comme R1b1b, puis avec d'autres tests à
R1b1b2a1a4 à partir de la séquence DYS 67 au groupe U106 positif au L48.
Le contact avec d'autres dans ce
groupe a vu l'affirmation que le lien de l’ADN-Y était de la Maison de David
en Juda et de nombreux membres du groupe étaient des Juifs d'Israël et
d'Espagne.
Bien sûr, cela a été compris comme
étant impossible. Cependant, le contact a allégué cela pour être vrai. Ces
lignées ont été énoncées pour être démontrables généalogiquement.
Ce point de vue a coïncidé avec ceux
exprimés par une autre concordance plus tôt avec une vieille famille
britannique qui a affirmé qu'ils étaient des Juifs séfarades persécutés dans
les persécutions de 1205 en Grande-Bretagne et conduits à la clandestinité.
Cette enquête devait aboutir à des
résultats surprenants en ce qui concerne la Maison de David et sa structure
d’ADN-Y.
L’Hg. R dans la Maison de David
La plupart des gens qui savent quelque
chose sur l’ADN-Y seront d'accord que l’Hg. R est un ADN-Y non sémitique et
découle en termes bibliques des Fils de Japhet. Il est sans doute concentré
dans le Nord de l'Europe et de l'Asie et est également lié aux Amérindiens
Hg. Q qui ont également découlé de l’ancêtre Hg. P qui à son tour est
descendu d’un lien ancestral Hg. K, qui est lié aux Phéniciens et séparé des
liens hébreux ancestraux Hg. I et J. Si David était quelque chose il aurait
été un Hébreu IJ.
Après avoir été confronté aux
affirmations étonnantes de ces Juifs qui ont réclamé être de la lignée de
David, la recherche supplémentaire sur le groupe U106 lié à la sous
structure R1b a de plus rapporté des découvertes des plus étonnantes.
Il a été montré qu'au moins deux
grandes lignées de la maison de David étaient en fait Hg. R. La plupart
étaient R1b, mais une était en fait R1a et toutes ont été déclarées de muter
de manière significative les unes des autres.
Cette découverte rend un non-sens
complet de la théorie de l'Évolution et détruit les prémisses des délais de
mutation de l’ADN-Y.
Pour que ces gens soient liés à un
seul ancêtre ils ont dû descendre d'un ancêtre RxR1 de base qui s’est marié
dans la lignée davidique Royale et être absorbés par la structure
généalogique juste après David. En d'autres termes, ils devaient avoir
épousé une des filles de David ou de sa lignée féminine. Ceci est tout à
fait possible généalogiquement puisque les généalogies de Juda ne
mentionnent pas les femmes et les lignées prennent le nom du mari, même si
une origine généalogique est prise dans la lignée féminine. Ce n’est que
rarement que les femmes sont mentionnées. Ce fait est prouvé par la
généalogie dans Luc chapitre 3 qui se termine par Joseph, fils de Héli, mais
est largement connu et reconnu par Juda que la lignée dans Luc 3 est celle
de Mariam la mère de Christ et la généalogie dans Matthieu chapitre 1 est
celle de Joseph à travers Jéchonias ou Jeconia.
Ce qui s'est passé, c'est que deux des
lignées majeures de la Maison Royale de David en Juda sont les descendants
des Celtes qui ne pouvaient venir en Juda en importance qu’après la chute de
l'empire hittite, dans le nord, ce qui devait avoir arrivé à la suite de la
chute de Troie en 1054 avant notre ère. Il n'y a qu'un seul hittite assez
célèbre et assez puissant pour être entré dans la famille de David et David
a en effet forcé cette situation lui-même.
L'homme était l'un des Trente d'Israël
et David l’a fait tuer pour prendre sa femme. Cet homme était Urie le
Hittite et sa femme était Bath-Shéba la mère de Salomon.
La Bible est muette quant à savoir si
Bath-Shéba a eu un ou plusieurs fils précédemment et elle est simplement
présentée comme perdant le premier enfant de David et ensuite comme portant
Salomon. Cependant, la loi de Dieu en dit long sur la nécessité d'Urie
d’avoir eu l'occasion de produire une descendance par sa femme avant qu'il
ne soit utilisé dans la bataille. Qu'il eût fait ainsi est manifeste par le
fait qu'il ne se souciait pas de le faire quand il revint à Jérusalem. Il
n’a pas cohabité avec Bath-Shéba quand c’était en fait souhaité et prévu
qu'il ait la possibilité de le faire.
Le fait que Beth-Shéba eût l'occasion
de marier son fils dans la Maison de David est incontestable. Elle était
l'épouse favorite du roi et la mère du roi désigné, à savoir Salomon, et
tout Israël le savait. La meilleure façon pour elle de placer son fils par
Urie dans la Maison Royale était de faire en sorte qu’il épouse une des
filles de David par une autre femme et il n'est nullement question d'inceste
impliquée.
Il s'ensuit donc comme une question de
logique qu'une telle union aurait produit l’ADN-Y hittite Hg. R dans la
généalogie de David.
Pour la présence de R1b et aussi d’une
petite quantité de R1a ADN-Y, il doit être supposé que l’ADN-Y original a dû
être RxR1 de base. Ainsi, après 900 avant notre ère l’ADN-Y s’est scindé en
R1B puis a encore muté en une ramification R1a. Le fait que l’ADN-Y est
trouvé dans les clans davidiques les plus puissants de Juda est la preuve de
ce scénario.
Il s'agit donc d'une question de fait
que cet ADN-Y est en soi un marqueur des lignées hittites dans la Maison
Royale de David par l'une des filles de David. C'est un argument des plus
puissants que la lignée royale de David a été étendue aux païens et que le
salut était et est offert aux Gentils, et que cette lignée est de la lignée
de David et Urie le Hittite par Bath-Shéba. Il est peu probable que cela ait
été par un mariage avec les filles de Salomon, car cela est interdit par la
loi biblique.
Cette lignée de l’ADN-Y R1b est
aujourd'hui parmi les Bretons. Le fait est encore attesté par la
compréhension généalogique qu'un élément majeur de cet ADN-Y est dérivé du
nom de famille ou mot signifiant, fils
d'Isaac (c.-à-d. Cox). D'autres familles sont liées à cet ADN-Y en
Angleterre et aussi en Espagne et ailleurs.
Ce même ADN-Y s'étend en Écosse et
dans les îles Shetland, et à l'Islande et au Danemark. Il est très dispersé.
La tendance est de s'asseoir sur la
découverte plutôt que d'offenser les scientifiques avec leurs théories
favorites basées sur la théorie de l'évolution et des cycles de mutation ou
les familles concernées. C’est une découverte beaucoup trop importante pour
permettre que cela se produise.
La Maison de David avec les
Britanniques et son impact sur l'Église celtique
Un autre ancêtre a été appelé Bran le
Béni. Il a été affirmé par les historiens/généalogistes d'être le gendre de
Joseph d'Arimathée, et sa femme Anna a été affirmée être la cousine de la
Vierge Mariam et l'une des Desposyni. Ainsi, toute cette famille et sa
progéniture sont les Desposyni ou la famille de Jésus-Christ. La mention par
Geoffrey de Monmouth que Marius, le fils présumé d’Arviragus, épousa la
fille de Bran le Béni est une confusion de nom puisque Marius était la forme
latinisée d’Arviragus dans sa forme simplifiée Meurig. C'était Arviragus sr.
qui a épousé la fille de Bran le Béni. Geoffrey dit qu'il a vécu à Rome
pendant un certain temps. Leur fils Coel a épousé la fille de Cyllin, fils
de Caradog, son cousin au second degré. C'est aussi notre lignée familiale.
Le problème est discuté dans l’ouvrage de Mike Ashley,
Mammoth Book of British Kings and
Queens, Carroll et Graf, 1999, p. 78).
Caradog était un Britannique des Cantu
(40 EC), les Catuvellauni et Silures (43-51) qui ont combattu les Romains.
Il a d'abord été défait dans Kent. Son fils ou son frère (ou peut-être le
fils/neveu) Togodumnos a été tué à la tête d'une seconde armée, quelque part
dans le Hampshire. On pense que Togodumnos était le chef des Dumnoniae de
Devon et Cornwall (c.-à-d. Tog y Dymnaint dont le vrai nom était peut-être
Guiderius, mais il est suggéré comme Arviragus l'aîné également).
L'Empereur Claudius, avec l'armée sous
Aulus Plautius, a capturé Caradog et Arviragus après la grande défaite au
Pays de Galles, et sa trahison par Cartimandua des Brigantes Magogites de ce
qui est maintenant le Lancashire. Claudius a amené toute la famille dans les
chaînes à Rome. Caradog a littéralement discuté sa sortie pour ne pas être
exécuté (étranglé après un Triomphe Romain) et a été épargné avec la
famille. Lui et toute la famille ont été baptisés sous l'Apôtre Paul. Son
fils Linus semble avoir déjà été baptisé par les Apôtres et, selon
Hippolyte, Linus a été nommé l'un des Soixante-dix. Il est devenu le premier
évêque de Rome (consulter l’étude
L'Origine de l'Église Chrétienne en Grande-Bretagne (No. 266)).
Il serait donc allé au pays de Canaan avec le père de sa tante Anna, à
savoir Joseph, à l'époque de Christ. Joseph a été considéré comme un
négociant en métaux avec la Grande-Bretagne.
Après que Caradog (ou
lat.
Caratacus) fût décédé, apparemment empoisonné en même temps que Claudius en
54 EC, Cyllin et Coel, son gendre et sa famille, sont retournés en
Angleterre pour reprendre le travail commencé par Aristobule, évêque de
Grande-Bretagne et l'un des Soixante-dix (ce groupe des Soixante-dix étant
envoyé de Rome). La famille est devenue des sujets ou des chefs de clients
en Grande-Bretagne, des Romains et ont été en mesure de consolider l'Église.
Linus fut martyrisé à Rome avec plusieurs de l'Église primitive.
Donc, nous pouvons en déduire que même
si Caradog et les Bretons ne voulaient pas les Romains là et que plusieurs
sont morts pour l'empêcher, l'occasion a été utilisée par Dieu pour
continuer à établir l'Église en Grande-Bretagne et au nord de la Gaule. Paul
a pu utiliser la famille de Caradog, y compris celle d’Arviragus, pour
établir l'Église à Rome et en Grande-Bretagne. Rome a été utilisée pour
consolider la Grande-Bretagne et la préparer pour les années à venir où la
Réforme se produirait, puis plus tard, le message des Derniers Jours serait
promulgué à partir de ses gens qui devaient se propager dans le monde
entier. Les Celtes étaient en mesure de résister au paganisme de Rome et de
rester des Chrétiens libres pendant des siècles.
L'Église a établi le Christianisme
Sabbatarien en Grande-Bretagne et l'a planté en France contre une forte
opposition.
Cette histoire est bien connue, mais
les Trinitaires de Rome se sont donné beaucoup de mal pour dissimuler et
corrompre les histoires et pour discréditer leur véracité après 664 EC
lorsque leurs doctrines ont été forcées à la Grande-Bretagne à la pointe
d'une épée. Il y aura une dernière tentative pour détruire le peuple de
Dieu, mais ce sera un échec (pour les précédentes tentatives voir aussi
l'étude
La Vierge Mariam et la Famille de Jésus Christ
(No. 232)).
L'Étendue de la Lignée en
Grande-Bretagne
Pour donner une idée de l'étendue de
la Famille de Christ en Grande-Bretagne et le Commonwealth, la lignée qui
suit démontrera l'étendue de la dispersion.
La lignée est fils d’Ewart William,
fils de William Charles, fils de Thomas (Thomas William Martyn Cox de Surrey
et Sydney) fils de Thomas Joseph Cox de Surrey marié à Emma Martyn Stocker
fille de William Martyn Stocker, fils de Joseph Stocker et de Mary Martyn de
Broadclyst dans le Devon. Les Stocker de Broadclyst sont venus là de
Winchester et leur lignée remonte à un Thane dans la cour d'Alfred le Grand.
Eux aussi étaient une ancienne famille britannique qui partageait ce
patrimoine. Winchester était la capitale dans les temps anciens.
Mary Martyn épouse de Joseph Stocker
était la fille de William Martyn de Broadclyst. Le nom de William Martyn est
devenu un marqueur généalogique de la famille et nous allons maintenant
rester avec cette lignée pour les huit prochains siècles jusqu’à ce que nous
quittions les Conquêtes Normandes et partions au pays de Galles et les
lignées anciennes britanniques. Certaines des ramifications seront
mentionnées parce qu'elles indiquent l'étendue de la portée des lignées et
leur diversité.
William était le fils d'Anthony Martyn
et d’Elizabeth Voysey de Broadclyst. Les Voysey sont les rejetons de la
maison seigneuriale de Vesci. Voysey est la traduction dévonienne
(Dumnonian) du nom Vesci. Ils étaient clercs de la paroisse de Broadclyst
pour plus de deux cents ans, en commençant par Clément Voysey, lorsque les
registres paroissiaux ont d'abord été ouverts. Leur lignée s’est également
mariée dans les Veale de Cornwall descendants de William Veale cousin de
Christopher des Veale de Gloucester et aussi les Tucker. Ils sont de nos
lignées (Les Chevaliers de Gloucester).
Les Veale possèdent une lignée mérovingienne, de même que toute la famille
se mariant en eux. Ils remontent également à Harding du Danemark et Eadnoth
le Staller, intendant d’Edward le Confesseur.
Anthony Martyn était le fils d'Edward
fils de John, fils d’Anthony, fils d’Anthony, fils de John, fils de Richard,
fils de William.
Les Martyn détenaient des terres dans
le Dorset et le Devon et la veuve de William résidait dans Clyst House. Les
fils marchands étaient à Exeter et à Londres ou à Athelhampton.
La lignée Martyn de William Martyn
remonte alors à William Martyn de Kemys (ou Chemais) dans le Pembrokeshire
et est assez bien connue, bien souvent confondue par la généalogie Mormon.
La famille Martyn du Sud-Ouest basée dans le Devon est maintenant assez
étendue dans le monde entier.
La division de Martyn à Athelhampton
dans le Dorset provenait de la lignée de Nicholas Martyn fils de William
Martyn. Cette lignée des premiers Bretons et Desposyni est également allée à
la lignée des Spencer et est donc également trouvée dans Sir Winston
Churchill, les Comptes Spencer et la Princesse Diana et donc avec les
Princes William et Harry.
La démarcation des Martyn dans les
lignées galloises est venue des grands-parents de Nicholas Martyn. Son père
était Nicolas Martyn, fils de William Martyn, fils de Robert Fitz Martyn,
fils du Baron Martyn de Tours Lords de Kemys dans le Pembrokeshire. Martyn
de Tours a épousé Geva de Burci, fille de Serlo de Burci des conquêtes
normandes. Elle s'est remariée à un William de Falaise, mais la plupart des
terres furent dévolues au fils Robert FitzMartyn. De lui Fitz Martyn est
devenu le nom de la lignée raccourcissant à Martyn.
La femme de Nicholas était Maud De
Brien(ne) fille d’Eve (Eva) De Tracy et Guy de Brien descendant de Jean de
Brienne de Jérusalem et HRE épousa Berengeria Infanta fille d'Alphonse et de
Berengaria de Castille. Eve était la fille de Henry de Tracy de Barnstaple
dans le Devon.
Les lignées Martyn se sont divisées en
deux grandes lignées et ensuite dans de vastes sous lignées dont plusieurs
n’ont pas correctement été enregistrées avant que les registres de l'église
aient commencé dans le Devon.
L'aîné William Martyn a marié Angharad
verch (ou ferch) Rhys princesse de Galles et à partir de là nous revenons à
l'Antique Britannique.
La Connexion du Pays de Galles
La lignée du Pays de Galles à partir
de Angharad (aussi Angarad) verch (fille de) Rhys Prince de Galles du Sud et
Roi de Deheubarth (né ca. 1132 Irlande, m. 28 Avril 1197 à 65 ans) se
présente comme suit ci-dessous. De Rhys ap (fils de) Gruffydd la dynastie
entière des Tudor a jailli avec une extension massive en Angleterre. Cette
lignée descendait de Llywarch de Dyfed par Elen qui a épousé Hywel Dda ap
Cadell, ap Rhodri Mawr (marié à Angarad) (voir Ashley M., ibid., p. 331 ;
les numéros et les références d'Ashley ont été retenus pour permettre la
référence croisée facile au livre et ses informations biographiques).
La lignée passant par Hywel Dda est
Rhys ap Griffith ap Rhys ap Tewder ap Cadell ap Einion, ap Owain, ap Hywel
Dda (marié à Elen verch Llywarch de Dyfed, voir ci-dessous) ap Cadell, ap
Rhodri Mawr (marié à Angharad verch Meurig). Ces deux lignées des femmes
sont d'une importance aussi puisque Angharad descendait par son père Meurig
parmi les fils de Cunedda par Ceredig (Ashley tableau 4, p. 140).
Rhodri était le fils de Merfyn ap
Essyllt (marié à Gwirad (Ashley NA8), ap Cynan ap Rhodri. Cynan avait aussi
une lignée putative dans la lignée de Caradog (Ashley ibid., ED 14) des fils
de Owain ap Einion et frère de Cadwallon ap Einion ap Cunedda.
La lignée de Cadwallon a continué
comme Rhodri ap Idwal, ap Cadwaladr ap Cadwallon, ap Cadfan, ap Iago, ap
Beli, ap Rhun, ap Maelgwyn, ap Cadwallon, ap Einion, ap Cunedda (ca. 450s).
Cunedda a eu neuf fils :
Tybion (dont la lignée était de
Mierionydd) ; Edern, Rhuton, Dunant (dont la lignée était de Dunoding),
Einion (dont la lignée était de Gwynedd Rhos) ; Dogfael, Ceredig (dont la
lignée était Ceredigion) ; Osfael et Afloeg.
La progéniture de Cunedda qui a régné
dans le Gwent et Glywysing est incluse dans Ashley ibid., p. 122. Ce tableau
comprend les dirigeants d’Ergyng et de la Bretagne.
Cunedda a épousé Gwawl la fille de
Coel Hen dont les lignées sont allées aux Celtes du Nord ainsi que du Pays
de Galles et sa lignée a aussi passé à la lignée d’Oswy de Northumbrie dans
son mariage avec Rhiainmelt fille de Rhoeth ap Rhun ap Urien ap Cinmarc ap
Merchiaun ap Gurgust ap Ceneu ap Coel Hen.
Coel Hen a épousé Ystradwal la fille
de Cadafa ap Cynan ap Eudaf, qui descendait de Coel ap Cadfan. C'était
Cadfan qui a épousé Gwladys fille de Lucius, ap Coel I. Coel a épousé la
fille Cyllin fils de Caratacus (Caradog) qui a été capturé par les Romains
avec son frère Arviragus et leurs familles et emmenés à Rome. Son fils Linus
le frère de Cyllin était l'un des Soixante-dix et le premier évêque de Rome
étant nommé par l'Apôtre Paul. Beaucoup a été fait pour saper ce dossier par
l'Église romaine (consulter aussi l'étude
L’Origine de l'Église
Chrétienne en Grande-Bretagne (No. 266)). On pense que le troisième fils Guiderius était peut-être le Togidumnus
tué par les Romains dans le sud-ouest de la Grande-Bretagne. Certains
affirment que Coel Hen était de la tribu des Brigantes, mais si c'est le
cas, il était un Magogite. L'autre affirmation qui est la plus probable
c’est qu'il était des Votadini. John Morris affirme qu'il était
Dux Bellorum (Duc Guerre) de la Grande-Bretagne, mais selon Ashley,
ce n'est pas prouvé (ibid., p. 97).
Caratacus était le fils de Cunobelin
ap Tasciovanus.
Arviragus frère de Caratacus (qui est
son nom romanisé) avait un fils nommé Meurig (appelé Marius par les Romains)
qui a épousé la fille de Prasutagus roi des Iceni et mari de Boudica (qui a
dirigé la révolte des Iceni contre les Romains après l’avoir violée ainsi
que sa fille. Elle et les Iceni ont brûlé Colchester, la capitale d'alors).
Sa lignée est putative d’Antedios ap Addedormarusbut mais elle est certaine
de leurs ancêtres Mandubracius ap Imanuentus.
La lignée d’Arviragus et Lucius ap
Coel I descendait aussi de Bran le Béni et s'étend également à une autre
lignée des Britanniques à travers Ceretic ap Cynloyp ap Cinhil ap Cursalem
ap Fer ap Confer ap Cunedd à Coel fils de Cadfan et Glwadys la fille de
Lucius ap Coel I.
La lignée de Coel Hen (probablement le
vieux Roi Cole de la comptine), qui a épousé Ystradwal de cette lignée,
descendait de Bran par son fils Beli et son fils Amalech (Avallach) par
Eudelen fils d’Amalech.
Gwawl fille de Coel Hen a marié
Cunedda qui descendait aussi de Bran par Amalech comme suit :
Cunedda ap Edern ap Paternus ap Tacit
ap Cein ap Guocein ap Doli ap Guordoli ap Dyfwn ap Gurdumn ap Amgualoyt ap
Angeurit ap Oumun ap Dyfwn ap Brithguein ap Eugein ap Amalech ap Beli ap
Bran le Béni ap Llyr (roi Lear) (marié à Penardun verch Llud ap Beli Mawr
(dirigeante britannique ca. 100 avant notre ère)). Le Roi Lear (le
personnage de Shakespeare) était le fils de Caswallon ap Beli Mawr et donc
Lear et Pernadun étaient cousins.
C’était le chef Arviragus des
Siluriens qui a donné les douze hides de terre à l'Église, à la demande de
Joseph et de son neveu Linus ap Caradog pour construire l'église de
Glastonbury. Ainsi mes/nos ancêtres ont fondé l'église en Grande-Bretagne
avec Aristobule (Aristobulus) évêque de Grande-Bretagne et aussi l'un des
Soixante-dix avec Linus. La fille de Cyllin et le fils de Meurig (Marius),
fils de Arviragus c’est-à-dire Coel I sont retournés en Grande-Bretagne à
partir de Rome et ont établi l'église avec leur fils Lucius et son fils
Cadfan (marié à Gwladys).
Les tableaux généalogiques et les
cartes des tribus celtiques ont été élaborés et sont répertoriés sur le site
de l'Héritage d'Abraham.
Bran le Béni est appelé “le Béni” en
raison de sa relation et son mariage. Il a épousé Anne, fille de Joseph
d’Arimathée. Joseph était l'oncle de la Vierge Mariam et le grand-oncle de
Jésus-Christ. Il était un descendant de la Maison Royale de David et un
membre du Sanhédrin et sa lignée était comprise pour être celle dans Luc
chapitre 3.
Il s'ensuit donc (peu importe combien
c’est avancé) que les descendants de Bran le Béni en Grande-Bretagne sont
les Desposyni et sont la Famille de Christ, et c'est pourquoi tant d'efforts
ont été faits après le synode de Whitby en 664 EC pour détruire les dossiers
des lignées et discréditer la compréhension par l'Église romaine à la fois
en Grande-Bretagne et en Europe. Cela a été fait à la fois par l'Église
romaine et les Anglo-Saxons, et les Normands après eux, pour des raisons de
pouvoir et de contrôle de la religion. Toutefois, les activités de Joseph
sont inscrites dans les légendes et les chants des anciens Britanniques.
Heureusement, comme on peut le voir à
partir de ces lignées ils ont désormais pénétré pratiquement toutes les
familles de la Grande-Bretagne. Il faudrait exterminer tous les Anglo-Celtes
dans le Commonwealth britannique et aux États-Unis pour se débarrasser de la
famille de Christ.
Ils devront alors s’en prendre à la
France et l'Allemagne du Nord pour les éliminer. Cependant, les familles
royales d'Europe ont été pénétrées par les lignées de la Maison Royale de
David. Les Mérovingiens ont introduit la lignée et l’ont étendue dans toute
l'Europe.
Donc elle est aussi étendue dans les
“rois Fisher” des Scandinaves et est arrivée avec les Vikings.
La lignée mérovingienne avec sa
descendance davidique a également été apportée en Angleterre sous de
nombreuses formes et nous pouvons voir qu'elle s’étend aussi dans les Veale
de Cornwall et de Gloucester, ainsi que dans les lignées des Plantagenet à
Henri II et plus tard d’en haut comme ceux des rois Fisher ci-dessus. Ces
lignées ont été également réparties tout au long de la Grande-Bretagne.
Les Celtes en Écosse
Le royaume de Strathclyde a été formé
à partir de la lignée de Coel à Cynloyp et son fils Ceretic. Il y avait
aussi une lignée putative à Tutagul (Ashley DA2).
Ceretic a produit deux lignées, la
lignée principale étant par Cinuit. La lignée principale de Cinuit est venue
par Dumnagual. Ses quatre fils étaient Clinoch (FB4) Cinbelin (DA 22)
Garwynwyn et Inganach (marié à Brychan) et leur fils lluan a épousé Gabrhain
et ils se sont mariés et ont produit les Écossais Dal Riata en Irlande
d'Ulster et en Écosse à partir de la connexion irlandaise (voir ci-dessous).
Ainsi, les lignées des Britanniques
sont allées en Irlande de Strathclyde et sont revenues de l'Irlande aux
Celtes britanniques et écossais dans ce qui est aujourd'hui le Pays de
Galles et l'Angleterre et l'Écosse.
L’Extension de l'Église
Celtique en Irlande
Ma lignée irlandaise est du clan de
Geohegan de Meath et le comté de Kings de ma mère Sylvia fille de William
Padget fils de James Padget marié à Jane Geohegan fille de William Geohegan
de Kiama, sœur de Laurence Geohegan de Scarborough Angleterre
arrière-arrière-petit-fils de Charles Geoghegan d'Irlande descendant direct
d’Eohegan ou “Petit Cheval”, 3ème fils de Neill aux Neuf Otages.
La lignée est sur le site l’Héritage d’Abraham à l’url :
www.abrahams-legacy.org/geoghegans.html.
La lignée de Neill est importante, car
au moins 5% de la population totale de l'Irlande est directement descendu de
lui, pour ne pas mentionner les Écossais et de nombreuses familles anglaises
qui sont aussi descendus de ses ancêtres aussi. Ainsi, un nombre incroyable
d’Écossais partagent cette lignée irlandaise et, comme nous le verrons,
aussi une relation à la Maison de David.
Neill était un guerrier en Irlande qui
a eu un certain nombre d'épouses et de concubines. Il a été proclamé Haut
Roi en Irlande à Tara. Il a envahi la Grande-Bretagne et a renommé Alba
Scotland (Écosse), d’après l’ancêtre milésienne Scota. L'originale Scota
était une princesse de la 18ème dynastie Ahmosid de l'Égypte et
elle, avec son mari Niul et son fils Gaodhal Glas (d’après qui les Gadéliens
sont nommés), a traversé la Mer Rouge avec Moïse dans la Multitude Mélangée.
Niul avait reçu la terre de Campus Cyrunt et la main de la fille du pharaon
en mariage à cause de ses efforts dans les guerres nubiennes du Sud. Leur
loyauté envers Israël les vit persécutés par l'Égypte et ils ont dû quitter
les terres qui leur avaient été données par le pharaon précédent.
Pour revenir à Neill aux Neuf Otages,
sa famille avait établi les Écossais Dal Riata comme nous le verrons
ci-dessous.
Après avoir envahi la Grande-Bretagne,
Neill a alors envahi l'Europe et était presque responsable pour l’expulsion
des Romains de la Gaule. Il a pris 200 prisonniers dans les chaînes à
l'Irlande. Il fut lui-même assassiné plus tard par le fils du roi de
Leinster. Un des 200 esclaves/prisonniers était un homme du nom de Patrick
de Tours, le neveu ou le fils de Martyn de Tours (les comptes rendus varient
en fonction de la dénomination, la lignée Martyn du Devon ci-dessus est
aussi descendue de cette famille dans la Conquête Normande de 1066 avec le
Baron Martyn de Tours). Patrick a remboursé Neill en convertissant son
arrière-arrière-petit-fils à la Foi Chrétienne. Ce petit-fils a été nommé
(en anglais) Columba. Il est devenu le grand Sabbatarien Saint Columba
d'Iona et a continué à consolider la Foi Chrétienne chez les Celtes
Irlandais et les Écossais. Il était le plus grand Ecclésiastique Sabbatarien
des Celtes. Il a ensuite formé ceux comme Aiden de Lindisfarne et l'Église
Sabbatarienne a été développée à travers eux, même si les conciles ont vu
l'Église celtique faiblir et pratiquement aller dans la clandestinité après
664 EC à Whitby.
Neill n'avait aucune idée que ce qu'il
faisait allait changer à jamais l'Irlande. Dieu les a tous utilisés pour un
but. Columba a progressé avec la Foi, même s'il aurait sans doute été plus
puissant et plus riche avec une épée dans sa main, mais pas plus durablement
célèbre. Il a prédit sa propre mort le jour du Sabbat.
L'Ascendance Milésienne des Écossais Dal Riata et des O'Neills et de Dyfed
Les rois de Dal Riata prennent leur
ascendance du Fedlimid Milésien (T118).
Ses deux lignées majeures étaient des
fils Fiachu et Conn. Le tableau ancestral est à Ashley ibid., p. 194
(tableau 8).
La lignée qui s’est mariée dans les
Britanniques et qui est devenue la lignée galloise est de Fiachu jusqu’à
Elen qui a épousé Hywel Dda (EB15 ; EC23) (Ashley tableau 17). La lignée des
O'Neill et Geoghegan irlandais est de Conn et son fils Art.
La lignée jusqu’à Elen est Elen v.
Llywarch (EC21) de Dyfed (le frère de Rhodri (EC22) ap Hyfaidd (EC20) ap
Tangwystyl (marié à Bledri) ap Owain (EC18) (Frère de Rhain (EC17) père de
Tryffin (EC19).
Leur père était Maredudd (EC16) ap
Tewdys (EC15) ap Rhain (EC14) ap Cadwgan (EC13) ap Cathen (EC12) ap
Gwylyddien (EC11) ap Nowy (EC10) ap Arthwyr (EC9) ap Pedr (EC8) ap Cyngar
(EC7) ap Vortepor (EC6) ap Aircol (EC5) ap Tryffin (EC4) ap Aed (EC3) ap
Corath (EC2) ap Eochaid (EC1) ap Artchorp ap Angus ap Fiachu ap Fedlimid
(T118).
L’autre fils de Fedlimid d'Irlande
Conn (T120) a produit les lignées d’Art (T122) et Saraid qui a épousé Conair
(T122) ap Moglama.
Les descendants de Saraid et Conair
étaient Corbred (Q40) père de Eochaid (T126) père de Athirco (Q829),
Findacher (Q831), Thrinkind (Q834?) Romaich (Q836), Angus (Q837) père
d'Eochaid, père d'Erc qui était le père de Loarn, Fergus (FC1) et Angus.
Loarn était le père de Muirdach et
Fergus était le père de Domangart. De ces deux-là les Écossais Dal Riata
furent les descendants (voir les Tableaux d’Ashley 8 et 9, pp. 194 et 195).
L'importance de cette lignée de
Fedlimid était que le prophète Jérémie avait pris la princesse héritière au
trône de Juda et placé la lignée en Irlande parmi les Tuatha de Danaan.
Lorsque les Milésiens ont envahi et sont venus pour régner en Irlande cette
lignée a également passé dans les rois milésiens et donc, de notre ancêtre
Fedlimid, la descendance davidique s’est répandue non seulement dans les
Écossais Dal Riata, mais aussi dans les maisons de Dyfed. De là, elle est
allée au Pays de Galles et, de là, dans les lignées ci-dessus. En outre,
elle est entrée en Northumbrie. Elle s'est également rendue dans les O'Neill
et dans les Geoghegan (et les Higgins et les autres familles descendant de
Niall). Ces lignées étaient par la lignée d’Art (T122) ap Conn. Art était le
frère de Saraid, ancêtre des Riata Dal (cet aspect sera examiné plus en
détail dans l’étude à la partie D, Jérémie et la Maison de David (No. 67D)).
Les Tuatha Dé Danaan aussi, comme un
groupe de personnes, se sont déplacés en grand nombre en Grande-Bretagne et
dans leurs lignées aussi apportées des premières lignées de la Maison de
David sur les Israélites de leur Haplogroupe I qui se sont mariés avec les
Celtes Britanniques en nombre important et puis dans les Anglo-Saxons. Cette
union est la base de l'union d'Éphraïm et de Dan dans la prophétie comme la
nouvelle Joseph (consulter l'étude
L’Origine Génétique des Nations (No. 265)).
La lignée d’Art ap Conn ap Fedlimid
était Cormac Mac Art (T125) à ses fils Cairbre (T127) à Fiacha (T128) à
Muirdach (T130) à Eochaid (T132) à Niall (T134).
Trois des fils Neill étaient Loeguire
(T136) (père de Crimthan) et aussi Eogan et Conall. Eogan était le père de
Murtagh par Erc la fille Loarn des Dal Riata. Elle a également eu un fils de
Conall ap Niell et leur fils Fedlimid était le père de Colum Cille ou St
Columba d'Iona qui était le cousin des lignées Geoghegan et O'Neill.
Le Lion de Juda se retrouve sur le
bouclier des Geoghegan et est un lion Rouge avec Geoghegan mais le lion
apparaît comme un Bleu et aussi un Lion Vert sur les autres Clans milésiens.
Les armes de Geoghegan est un bouclier argent avec un gueules (rouge) à lion
rampant et trois mains rouges (d'Ulster) une dans chacun des coins du
bouclier.
Murtagh ap Muirdach ap Eogan était le
père de Domnal (T142) à partir duquel les rois O'Neill d'Irlande étaient les
descendants. Il a également engendré Baetan (T145) qui, par sa petite-fille
Fina verch Colman (T151) a passé les lignées en Northumbrie par mariage à
Oswy (L16) (voir le tableau 15 d’Ashley).
Ainsi, le lien est allé des Celtes
britanniques de Strathclyde à l'Irlande et à nouveau comme un double lien de
l'Irlande en Écosse et au Pays de Galles ainsi qu’en Northumbrie puis en
Angleterre en général.
Les lignées davidiques sont partout
dans les îles Britanniques et dans tout le Commonwealth et les États-Unis
dans une multitude de familles qui prennent toutes leurs noms d'un ou de
plusieurs de ces ancêtres. Les lignées sont arrivées de cinq (et en fait
six) directions comme on peut le voir ci-dessus.
La voie traditionnelle ancienne et
imparfaitement décrite était par Jérémie et la princesse héritière au trône
fille de Sédécias à l'Irlande et à partir de là, en Écosse, en Angleterre et
au Pays de Galles. Ainsi, le renversement était dans trois directions non
seulement à une séquence de trois, comme expliqué par les “Israélites
britanniques”, comme nous le verrons dans la partie D.
La seconde méthode est via les
Desposyni et la famille de Christ à partir du mariage de Bran le Béni à Anna
fille de Joseph d’Arimathée. Cette avenue est devenue très répandue et
beaucoup a été fait pour la discréditer. Cette lignée a établi le
Christianisme en Grande-Bretagne et en Gaule du Nord.
La troisième avenue est via les
lignées françaises des Mérovingiens qui retracent également la lignée de
nouveau à Antenor I roi des Cimmériens environ 500 AEC. Ce sont les vestiges
des Hittites wilusiens de Troie aussi, de là les Cymry ou Cimmériens. Ils
avaient délibérément introduit la lignée davidique par des mariages
arrangés.
La quatrième entrée était via les
Israélites des tribus du Nord qui s'étaient mêlés avec les Anglo-Saxons en
Parthie et sont venus sous Odin et se sont mêlés aux Britanniques originaux,
qui étaient à la fois des Celtes riphathiens et magogites comme l’étaient
les Anglo-Saxons eux-mêmes. Les distinctions sont dans les haplogroupes de
l’ADN-Y, mais le métissage a détruit toute séparation des gens complètement.
La cinquième méthode était dans
l'entrée des Juifs séfarades en Grande-Bretagne depuis le début et de leur
métissage surtout après les persécutions de 1205.
Notre famille a tous les cinq (plus)
liens.
La Maison de David est étendue dans
tout le Commonwealth britannique et les États-Unis et une grande partie de
celle-ci à travers les lignées féminines. Elle est omniprésente et
impossible à différencier maintenant, sauf en isolant l’ADN-Y mais cela ne
peut pas éradiquer le fait des croisements de l'ADNmt aussi. Les lignées
d’ADN-Y en Juda montrent un ancêtre Celte hittite, mais cela ne change rien
au fait des croisements davidiques massifs.
Le message est que le salut est maintenant offert aux Gentils et se
poursuivra en masse.
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