Les Églises Chrétiennes de Dieu
	
	[246]
	
	 
	
	
	La Doctrine du Péché Originel 
	Partie I : 
	Le Jardin d’Éden 
	
	(Édition 1.0 
	19980422-19980422) 
	
	Cet ouvrage porte sur la question du Jardin d'Éden, de la chute d'Adam et 
	Ève et de la Doctrine du Péché Originel.
	
	
	
		
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	 La Doctrine du Péché Originel Partie I [246]
	
	Le Jardin d'Éden 
	Genèse 1:1-2 
	Au commencement, 
	Dieu créa les cieux et la terre. 2 La terre était informe et 
	vide : il y avait des ténèbres à la surface de l’abîme, et l’esprit de Dieu 
	se mouvait au-dessus des eaux. (LSG) 
	Ici nous voyons la 
	création originale du Ciel et de la Terre. C'est le monde qui était alors 
	(2Pierre 3:5-6), auquel tous les fossiles et vestiges appartiennent, avant 
	qu'il ne devienne Tohu-bohu ou sans forme et vide. Il a été détruit à 
	nouveau aux jours de Noé par le déluge. Il était désolé ici suite à une 
	autre cause (cf. note aux versets 1 et 2 de la Companion Bible).
	 
	Les cieux et la 
	terre ont été créés par les elohim qui ont dit : Faisons l'homme à notre 
	image ; et tant les hommes que les femmes ont été faits à l'image d’elohim. 
	Il leur a été commandé d’aller de l'avant et de renouveler (ou de remplir) 
	la terre (Genèse 1:28 ; cf. Ps. 8 et Héb. 2:6-8).
	 
	Nous verrons au 
	Chapitre 2:1 et suiv. que les activités concernant les générations des cieux 
	et de la terre, au pluriel, découlent du chapitre 2 et de la création d'Adam 
	et Ève. 
	Genèse 2:1-17 Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur 
	armée. 2 Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait 
	faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu’il avait 
	faite. 3 Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce 
	qu’en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu’il avait créée en la 
	faisant. 4 Voici les origines des cieux et de la terre, quand ils 
	furent créés. Lorsque l’Éternel Dieu [Yahovah elohim] fit une terre et des 
	cieux, 5 aucun arbuste des champs n’était encore sur la terre, et 
	aucune herbe des champs ne germait encore : car l’Éternel Dieu n’avait pas 
	fait pleuvoir sur la terre, et il n’y avait point d’homme pour cultiver le 
	sol. 6 Mais une vapeur s’éleva de la terre, et arrosa toute la 
	surface du sol. 7 L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de 
	la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un 
	être vivant. 8 Puis l’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du 
	côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé. 9 
	L’Éternel Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à 
	voir et bons à manger, et l’arbre de la vie au milieu du jardin, et l’arbre 
	de la connaissance du bien et du mal. 10 Un fleuve sortait d’Éden 
	pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. 11 
	Le nom du premier est Pischon ; c’est celui qui entoure tout le pays de 
	Havila, où se trouve l’or. 12 L’or de ce pays est pur ; on y 
	trouve aussi le bdellium et la pierre d’onyx. 13 Le nom du second 
	fleuve est Guihon ; c’est celui qui entoure tout le pays de Cusch. 14 
	Le nom du troisième est Hiddékel ; c’est celui qui coule à l’orient de 
	l’Assyrie. Le quatrième fleuve, c’est l’Euphrate. 15 L’Éternel 
	Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et 
	pour le garder. 16 L’Éternel Dieu donna cet ordre à l’homme : Tu 
	pourras manger de tous les arbres du jardin ; 17 mais tu ne 
	mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où 
	tu en mangeras, tu mourras. (LSG) 
	Suite à cela, 
	nous voyons que la géographie n'était pas la même que nous avons 
	aujourd'hui, et que les rivières coulaient de manière différente. Le jardin 
	est clairement identifié comme étant la zone allant de la Syrie à l'Égypte 
	et englobant ce qui est aujourd’hui Israël.
	 
	Le Jardin 
	d'Éden, en tant que zone topographique portant sur les Quatre Fleuves du 
	Paradis, a été examiné dans le document d’étude 
	La Croix : Son Origine et Sa 
	Signification (No. 039). Les Quatre Fleuves du Paradis exprimés dans 
	la Croix Encerclée du 
	Soleil sont examinés dans cet ouvrage.
	 
	"La croix 
	encerclée du soleil semble représenter les quatre fleuves du paradis. La 
	Bible s’y réfère comme au fleuve qui sortait de l'Éden et se séparait en 
	quatre directions. La tradition veut que les quatre fleuves coulent dans des 
	directions opposées. La tradition se trouve dans le récit historique indien 
	Navaho de l'Âge des Commencements. Cette tradition se retrouve 
	également dans l'histoire du Paradis chinois de Kwen-lun. Les quatre 
	rivières apparaissent aussi dans le Rig Veda hindou, et le Vishnu 
	Purana les identifie comme le paradis de Brahma au sommet du monde. 
	Elles coulent elles aussi dans quatre directions (Talbot, ibid.). Cette 
	histoire se trouve parmi les mythes iraniens au sujet du bassin central 
	d’Ardi Sura, et est la Mer de la Vie des Kalmouks sibériens. Les Mandéens 
	d'Irak maintiennent la même tradition que la Genèse, comme les Babyloniens 
	parlaient aussi du Pays des Quatre Fleuves.
	 
	La maison de la 
	déesse grecque Calypso, dans le nombril de la mer, avait également la 
	fontaine centrale d’où émanaient quatre courants d’eau de directions 
	opposées.
	 
	L’Edda 
	scandinave parle de l'origine des eaux du monde dans la source
	
	Hvergelmir dans la terre des 
	dieux. Les Slaves les faisaient prendre origine de la pierre magique Alatuir 
	dans l'île paradisiaque de Bonyan. Talbot note que Brinton trouve les quatre 
	fleuves mystiques chez les Sioux, les Aztèques et les Mayas, comme Fornander 
	les a découverts dans le mythe polynésien (Talbot, p. 121).
	 
	Peu, voire 
	aucune, des nations possédant le souvenir ne peut indiquer une source 
	géographique quelconque de l'imagerie. Ainsi, quand les Babyloniens 
	invoquent Ishtar comme Dame, la Reine du pays des Quatre Fleuves d'Erech, ou 
	lorsque le texte égyptien à Dendera célèbre les quatre [bras du] Nil à 
	Éléphantine, l'imagerie est d'une mythologie antique, sans réalité 
	géographique actuelle les délimitant. Talbot soutient que la raison de la 
	disparité entre les paysages terrestres et mythiques est que les quatre 
	fleuves coulaient, non pas sur notre terre, mais à travers les quatre 
	quartiers de la 
	“patrie” polaire (Talbot, p. 121). Talbot (ibid.) estime que pour chaque 
	mythe dominant il y a des signes correspondants. Le signe des quatre fleuves 
	est la croix du soleil et la croix encerclée du soleil, 
	ce dernier signe illuminant le premier en montrant que les quatre cours 
	d'eau appartiennent à l'enceinte primitive. En sortant du centre polaire 
	(par exemple, du soleil central), les quatre fleuves s’écoulent aux quatre 
	coins de la Terre de Saturne (emphase ajoutée).
	 
	Ainsi, le 
	concept incarné dans le récit de la Genèse (Genèse 2:10), tout en ayant une 
	géographie spécifique attribuée aux quatre fleuves, représente également un 
	thème de base des rivières d'eau vive qui s’écoulaient de la source centrale 
	qui était Dieu à travers Son étoile du matin qui était alors Satan.
	 
	Ainsi, la source 
	centrale, qui alimentait les terres de l'Afrique ainsi que le Tigre et 
	l'Euphrate, avait une signification spirituelle qui a été attribuée au 
	système religieux babylonien jusqu'à Ishtar et jusqu’aux Égyptiens, ainsi 
	que dans le monde entier via le chamanisme à mesure qu’il était développé à 
	partir du système central. Le système babylonien était, essentiellement, 
	l'Animisme (voir 
	Babylonian Life and 
	History de Budge, 2e éd., Londres, 1925).
	 
	Ainsi, pour les 
	anciens, les quatre coins du monde avaient une signification 
	cosmologique particulière, qui se référait non pas à la géographie, mais à 
	la carte du royaume céleste. Talbot cite O'Neill comme l'un des rares 
	érudits à reconnaître cette qualité des mythiques 
	“quatre coins”. 
	Il ressort de toute étude complète du symbolique des mythes et de la 
	nomenclature des Quatre Quartiers que ces directions étaient considérées 
	dans l’orthodoxie stricte de la mythologie des cieux, non pas comme le NSEO 
	de chaque point quelconque, mais comme quatre divisions célestes réparties 
	autour du 
	“pôle”. 
	La croix du soleil ... comme symbole des quatre quartiers, appartient au 
	soleil central. Dans la cosmographie sacrée, la position centrale du 
	dieu soleil devient souvent la 
	“cinquième” direction. Pour comprendre un tel langage, il convient de penser 
	aux “directions” mythiques (ou bras de la croix) 
	comme des mouvements ou des flux d'énergie. Du grand dieu, les 
	éléments de la vie s’écoulent dans quatre directions. Le dieu lui-même, qui 
	incarne tous les éléments, est “ferme”, “inébranlable” ou “au
	repos”, son cinquième mouvement est celui de 
	la rotation lorsqu’il se tient à un endroit.
	 
	Les "directions" peuvent également être considérées comme des régions 
	: la région centrale (cinquième), et les quatre quartiers répartis autour 
	d’elle.
	 
	C'est pourquoi les Pythagoriciens considéraient le chiffre cinq comme un 
	représentant de l'axe fixe du monde. L'idée de Pythagore correspond 
	clairement à l'ancien symbolisme hindou des directions. En plus des quatre 
	directions standard, la doctrine hindoue en connaît une cinquième, appelée 
	la "direction fixe" le centre polaire (Talbot, p. 122-123).
	 
	Talbot identifie 
	aussi cette idée avec la Chine et aussi dans le symbolisme Nahuatl mexicain 
	avec cinq comme étant le nombre du centre (ibid.)" (tel que cité d’après le 
	document d’étude 
	
	
	La Croix : Son Origine et Sa Signification (No. 39) de CCG, 1997, pp. 4-5).
	 
	Ce thème est 
	commun à la plupart des peuples et constitue un noyau de leur ancienne 
	expérience religieuse. Les quatre rivières forment la base de l'enceinte 
	primitive que nous connaissons comme la Croix du Soleil. Le document 
	d’étude sur la Croix est essentiel pour comprendre ce qui se passe dans 
	cette Structure de la Genèse et dans la mythologie des cultes du Soleil 
	inspirés par Satan qui s’en est suivi, car ils sont maintenant endémiques au 
	symbolisme chrétien.
	 
	La structure du 
	récit de la Genèse est au centre de la plupart des mythes, quel que soit le 
	côté du récit sur lequel ils reposent. Nous voyons à partir de la croix 
	encerclée du soleil que la croix centrale est abaissée en dessous du cercle 
	pour représenter le symbole de Vénus en tant que désir charnel et le symbole 
	de la femme. C’est un autre reflet de l'histoire que nous trouvons dans 
	l'Ancien Testament, de la Genèse et tout au long de la Bible jusqu’aux 
	récits du Nouveau Testament sur la chute et la relation de la femme sous la 
	loi.
	 
	Ce point de vue 
	est fondamental pour l'histoire de l'existence humaine. Le même combat est 
	raconté par les mythes des nations et dans les récits bibliques. Ce ne sont 
	pas des histoires différentes. Il s’agit du même récit, raconté selon des 
	perspectives différentes du Bien et du Mal, par deux forces spirituelles en 
	conflit.
	 
	Un fleuve donne 
	naissance à quatre fleuves et ce lien quintuple est le message derrière la 
	Croix du Soleil. Ce qui est en cause dans les récits est l'entité ou la 
	divinité qui contrôle ou est représentée par le symbolisme et, 
	essentiellement, qui est le vrai Dieu. La Croix du Soleil est un signe de la 
	rébellion et des affirmations de Lucifer en tant que contrôleur ou ‘adon.
	 
	Nous revenons 
	maintenant au récit de la Genèse.
	 
	Des Exemples 
	Positifs des Commandements
	Dans cette 
	section de la Genèse dans le Jardin, nous voyons que Dieu établit par un 
	exemple positif les Commandements, et les quatre premiers commandements 
	ressortent ici dans l'acte de la création et de la sanctification du jour du 
	Sabbat en tant qu’un jour de repos et qui était saint.
	 
	Donc, on voit 
	aussi au travers de ce texte l'ordonnance qui a été établie pour 
	responsabiliser directement Adam des interdictions portant sur les arbres.
	 
	C'est à partir 
	de ce temps que les animaux ont été créés. Dans le chapitre 1, ils sont 
	énumérés avant la création de l'homme le sixième jour. Ici, ils sont 
	derrière cette création mais avant la femme. 
	Genèse 2:18-25 L’Éternel Dieu dit : Il n’est pas bon que l’homme soit 
	seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. 19 L’Éternel Dieu 
	forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, 
	et il les fit venir vers l’homme, pour voir comment il les appellerait, et 
	afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l’homme. 20 
	Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous 
	les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide 
	semblable à lui. 21 Alors l’Éternel Dieu fit tomber un profond 
	sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; il prit une de ses côtes, et referma 
	la chair à sa place. 22 L’Éternel Dieu forma une femme de la côte 
	qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. 23 Et 
	l’homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma 
	chair ! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. 24 
	C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa 
	femme, et ils deviendront une seule chair. 25 L’homme et sa femme 
	étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point honte. (LSG) 
	Nous voyons ici 
	la structure de domination donnée à Adam qui a donné des noms à tout. Ce 
	processus de nommer une chose symbolisait le pouvoir sur cette chose dans 
	les temps anciens. Les noms indiquent l’autorité et la délégation du pouvoir 
	du nom porté.
	 
	La création 
	d'Ève à partir d'une côte d'Adam est similaire aux processus génétiques que 
	nous comprenons aujourd’hui. Dans cet acte aussi, l'institution du mariage 
	est mise en place dès le moment de la création d'Ève. Les termes homme 
	et femme sont l'hébreu ish et isha le féminin de ish.
	Ishi signifie mon mari (littéralement mon homme).
	 
	Adam signifie 
	rougeâtre (SHD 120) et vient du mot SHD 
	
	’adam qui signifie montrer du sang (sur le visage)
	pour faire rougir ou devenir rosâtre et être teint ou
	rendu rouge. Ainsi, Adam était un homme au teint rouge.
	 
	Le mot ish 
	est l'hébreu pour l'homme au sens général. Berithish signifie un 
	homme de l'alliance ou de la confédération comme un contrat fait en 
	passant entre des morceaux de chair (cf. SHD 1285). C'est le sens et la 
	dérivation du mot British 
	(Britannique). De Genèse 1:26 jusqu'à Genèse 2:23, le mot SHD 120 
	adam est utilisé. Le mot ish ici est utilisé pour la première 
	fois dans Genèse 2:23 et 2:24.
	 
	Cette 
	distinction est faite parce que cet acte d'union est applicable à tous les 
	êtres humains dans la création de Dieu. Cela a une signification pour ce qui 
	va suivre dans le chapitre suivant.
	 
	Ici nous voyons 
	la prochaine série de commandements établie. Les responsabilités envers les 
	parents ont été établies ici, tout comme les Septième et Huitième 
	Commandements. Dieu s’est réservé la propriété par commandement. Ainsi, 
	tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal est 
	le même en fait que tu ne voleras pas. Le Dixième Commandement 
	concernant la convoitise des biens d'autrui est également établi ici. La 
	vérité en reconnaissant ces normes renforce également le Vrai tout comme le 
	Faux témoignage.
	 
	Dans Genèse 
	chapitre 3, nous trouvons la plus puissante l’allégorie utilisée dans la 
	Bible. Le mot du verset 1 se réfère au Nachash ou celui qui brille 
	et est rendu comme serpent dans la version française. Ce celui qui 
	brille est le Chérubin Protecteur, l'Ange de Lumière ou le Porteur de 
	Lumière ou Lucifer du chapitre 14 d’Ésaïe et d’Ézéchiel 28:13-17.
	 
	Le même sens est 
	utilisé pour les serpents brûlants dans Nombres 21:6,9. Ils sont appelés 
	nachashim saraphim. Les serpents brûlants ont été ainsi appelés à cause 
	de la sensation de brûlure provoquées par les morsures, mais aussi 
	probablement parce qu'ils étaient conduits par des anges lorsqu’Israël a 
	parlé contre Dieu et contre Moïse pour les avoir amenés dans le désert. Le 
	terme saraph veut dire brûler. Les séraphins d'Ésaïe 6:2 
	étaient appelés ceux qui brûlent. Ainsi, l'armée angélique avait la face 
	colorée, brûlante (en feu) ou brillante.
	 
	Le serpent 
	ancien (dans 2Cor. 11:3) se transforme en ange de lumière (2Corinthiens 
	11:14). Ainsi, le serpent est utilisé comme une allégorie pour Satan qui a 
	parlé avec la femme et l'a trompée. Il y a beaucoup de choses qui se passent 
	dans cette section sur les arbres.
	 
	Genèse 3:1-5 Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des 
	champs, que l’Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il 
	réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? 2 
	La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.
	3 Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, 
	Dieu a dit : Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur 
	que vous ne mouriez. 4 Alors le serpent dit à la femme : Vous ne 
	mourrez point ; 5 mais Dieu sait que, le jour où vous en 
	mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, 
	connaissant le bien et le mal. (LSG) 
	Elohim est ici 
	le même mot au pluriel. Cette pluralité s'étend à plus d'un et en fait à 
	plus de deux mais plutôt à un elohim étendu. Abraham s'est entretenu avec 
	trois des elohim, ou anges, selon Genèse 18:2, où lui et Lot se sont 
	adressés à eux tous comme à Yahovah (Gen. 18:27 ; 19:18). Ceci a été changé 
	de Yahovah à Adonaï par les Sopherim pour cacher l'utilisation du pluriel 
	(cf. également les notes de la Companion Bible à ces versets et aussi 
	à Gen. 18:2 qui tentent de limiter elohim ici à une seule entité, mais 
	admettent que Yahovah est utilisé pour tous les trois).
	 
	Le mot 
	
	‘arum rendu subtil utilisé ici signifie en fait sage ou rusé ou prudent 
	(cf. Job 5:12 ; 15:5 ; Prov. 12:16,23 ; 13:16 ; 14:8,15,18 ; 22:3 ; 27:12 et 
	en relation avec Ézéchiel 28:12,13,17). Le mot 
	‘arum
	est également utilisé pour nus dans le chapitre précédent au verset 
	25. Ils étaient tous deux nus et ne connaissaient que le bien à partir de 
	l'injonction au verset 17. Ils n'avaient pas honte d'être devant elohim. 
	L'utilisation du terme bête au [chapitre] 3:1 est le sens même du mot
	zoon utilisé pour les quatre créatures vivantes dans Apocalypse 4:6-9 
	et 5:6, 8, 14, etc. Il est donc utilisé pour l’Armée dans les niveaux plus 
	hauts car ils avaient tous un seul Père qui les a tous créés (cf. Mal. 2:10 
	; Héb. 2:11). Nous pouvons en avoir le sens maintenant en regardant [le 
	livre d’] Ézéchiel. 
	Ézéchiel 28:12-17 Fils de l’homme, Prononce une complainte sur le roi de 
	Tyr ! Tu lui diras : Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Tu mettais le 
	sceau à la perfection, Tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. 13 
	Tu étais en Éden, le jardin de Dieu ; Tu étais couvert de toute espèce de 
	pierres précieuses, De sardoine, de topaze, de diamant, De chrysolithe, 
	d’onyx, de jaspe, De saphir, d’escarboucle, d’émeraude, et d’or ; Tes 
	tambourins et tes flûtes étaient à ton service, Préparés pour le jour où tu 
	fus créé. 14 Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes 
	déployées ; Je t’avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu ; Tu 
	marchais au milieu des pierres étincelantes. 15 Tu as été intègre 
	dans tes voies, Depuis le jour où tu fus créé Jusqu’à celui où l’iniquité a 
	été trouvée chez toi. 16 Par la grandeur de ton commerce Tu as 
	été rempli de violence, et tu as péché ; Je te précipite de la montagne de 
	Dieu, Et je te fais disparaître, chérubin protecteur, Du milieu des pierres 
	étincelantes. 17 Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté, Tu as 
	corrompu ta sagesse par ton éclat ; Je te jette par terre, Je te livre en 
	spectacle aux rois. (LSG) 
	Nous voyons donc 
	ici que le chérubin protecteur a été placé dans le jardin d'Éden et était 
	plein de sagesse. Ainsi, nous avons ici deux êtres dans le Jardin, Christ et 
	Satan. Satan est devenu corrompu en raison de sa brillance. Ainsi, sa 
	connaissance est devenue la cause de sa destruction.
	 
	Nous voyons ici 
	un nombre indéterminé d'arbres dont un seul ne pouvait pas être utilisé pour 
	nourriture. 
	On pouvait 
	accéder à l'arbre de vie avec les autres arbres de ce point de vue. Cet 
	arbre qui ne pouvait pas être mangé était l'arbre de la connaissance du bien 
	et du mal. Tous les autres arbres ne produisaient que du bien. Cet arbre 
	produisait la connaissance du bien et du mal. Le mal est en effet le péché, 
	qui est la transgression de la loi de Dieu. Ainsi, nous voyons que les lois 
	de Dieu procédaient de sa nature même et existaient depuis le début de la 
	création (voir les documents d’étude 
	Le Gouvernement de Dieu (No. 
	174) et L'Amour 
	et la Structure de la Loi (No. 200)).
	 
	Ainsi, la 
	suggestion que les lois de Dieu n'ont pas été données avant le Sinaï et 
	données seulement à Israël est contraire aux déclarations et à l'intention 
	de la Torah elle-même. 
	Le Judaïsme 
	rabbinique tente de faire valoir qu'il existait une loi de Noé [des lois 
	noahides], que nous examinerons plus tard (voir le document d’étude La 
	Tradition des Lois Noahides). Cette affirmation selon laquelle Noé 
	n'avait pas les lois de Dieu et que les Gentils (Païens) avaient une loi 
	fondamentale contraire à la Torah ou inférieure à la Torah est une fiction 
	rabbinique conçue pour introduire furtivement les Gentils (Païens) au 
	Judaïsme rabbinique ou pharisien, en contradiction avec l'Écriture.
	 
	Les Arbres du 
	Jardin en tant qu’Êtres 
	Le concept que 
	nous devons également examiner est celui du terme arbre. L'arbre est 
	utilisé comme un terme pour un être spirituel de l’armée. Cet arbre de la 
	connaissance du bien et du mal représente également Satan et le système 
	qu'il a voulu mettre en place et avec lequel il a corrompu l’armée. Nous 
	allons examiner ce concept plus en détail plus tard.
	 
	Ézéchiel 31:3-18 Voici, l’Assyrie était un cèdre du Liban ; Ses branches 
	étaient belles, Son feuillage était touffu, sa tige élevée, Et sa cime 
	s’élançait au milieu d’épais rameaux. 4 Les eaux l’avaient fait 
	croître, L’abîme l’avait fait pousser en hauteur ; Des fleuves coulaient 
	autour du lieu où il était planté, Et envoyaient leurs canaux à tous les 
	arbres des champs. 5 C’est pourquoi sa tige s’élevait au-dessus 
	de tous les arbres des champs, Ses branches avaient multiplié, ses rameaux 
	s’étendaient, Par l’abondance des eaux qui l’avaient fait pousser. 6 
	Tous les oiseaux du ciel nichaient dans ses branches, Toutes les bêtes des 
	champs faisaient leurs petits sous ses rameaux, Et de nombreuses nations 
	habitaient toutes à son ombre. 7 Il était beau par sa grandeur, 
	par l’étendue de ses branches, Car ses racines plongeaient dans des eaux 
	abondantes. 8 Les cèdres du jardin de Dieu ne le surpassaient 
	point, Les cyprès n’égalaient point ses branches, Et les platanes n’étaient 
	point comme ses rameaux ; Aucun arbre du jardin de Dieu ne lui était 
	comparable en beauté. 9 Je l’avais embelli par la multitude de 
	ses branches, Et tous les arbres d’Éden, dans le jardin de Dieu, lui 
	portaient envie. 10 C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur, 
	l’Éternel : Parce qu’il avait une tige élevée, Parce qu’il lançait sa cime 
	au milieu d’épais rameaux, Et que son cœur était fier de sa hauteur, 11 
	Je l’ai livré entre les mains du héros des nations, Qui le traitera selon sa 
	méchanceté ; je l’ai chassé. 12 Des étrangers, les plus violents 
	des peuples, l’ont abattu et rejeté ; Ses branches sont tombées dans les 
	montagnes et dans toutes les vallées. Ses rameaux se sont brisés dans tous 
	les ravins du pays ; Et tous les peuples de la terre se sont retirés de son 
	ombre, Et l’ont abandonné. 13 Sur ses débris sont venus se poser 
	tous les oiseaux du ciel, Et toutes les bêtes des champs ont fait leur gîte 
	parmi ses rameaux, 
	Le texte montre 
	ici que nous parlons de l'armée déchue et en particulier du chérubin du 
	chapitre 28 d'Ézéchiel et du chapitre 14 d’Ésaïe, Lucifer qui est devenu 
	Satan et a été abattu sur les côtés de la fosse. 
	14 
	Afin que tous les arbres 
	près des eaux n’élèvent plus leur tige, Et qu’ils ne lancent plus leur cime 
	au milieu d’épais rameaux, Afin que tous les chênes arrosés d’eau ne gardent 
	plus leur hauteur ; Car tous sont livrés à la mort, aux profondeurs de la 
	terre, Parmi les enfants des hommes, Avec ceux qui descendent dans la fosse.
	
	
	 
	Ils ont été 
	livrés au milieu des enfants des hommes qui descendent avec eux dans la 
	fosse. Cela nous renseigne sur le sort de l’armée dans les derniers jours. 
	Sa chute dans ce processus était puissante. 
	15 
	Ainsi parle le Seigneur, 
	l’Éternel : Le jour où il est descendu dans le séjour des morts, J’ai 
	répandu le deuil, j’ai couvert l’abîme à cause de lui, Et j’en ai retenu les 
	fleuves ; Les grandes eaux ont été arrêtées ; J’ai rendu le Liban triste à 
	cause de lui, Et tous les arbres des champs ont été desséchés. 16 
	Par le bruit de sa chute j’ai fait trembler les nations, Quand je l’ai 
	précipité dans le séjour des morts, Avec ceux qui descendent dans la fosse ; 
	Tous les arbres d’Éden ont été consolés dans les profondeurs de la terre, 
	Les plus beaux et les meilleurs du Liban, Tous arrosés par les eaux. 17 
	Eux aussi sont descendus avec lui dans le séjour des morts, Vers ceux qui 
	ont péri par l’épée ; Ils étaient son bras et ils habitaient à son ombre 
	parmi les nations.  
	Ici, nous voyons 
	qu'il est identifié dans et avec l’Éden. 
	18 À qui ressembles-tu ainsi en gloire et en grandeur 
	Parmi les arbres d’Éden ? Tu seras précipité avec les arbres d’Éden Dans les 
	profondeurs de la terre, Tu seras couché au milieu des incirconcis, Avec 
	ceux qui ont péri par l’épée. Voilà Pharaon et toute sa multitude ! Dit le 
	Seigneur, l’Éternel. (LSG)
	 
	L’être auquel il 
	est fait référence ici, dans Ézéchiel, était à la fois l'Assyrien et Pharaon 
	et se trouvait dans le Jardin d'Éden comme un Cèdre du Liban et aucun 
	n’était aussi sage ou aussi beau que lui ou ne pouvait être égalé pour la 
	beauté et la perfection. L'Égypte et l'Assyrie étaient encore dans les reins 
	d'Adam et de l'autre côté du déluge au moment du Jardin d'Éden. Cet être ne 
	peut être que le chérubin protecteur qui a été chassé et les démons ou les 
	arbres qui se sont rebellés avec lui.
	 
	Ainsi, les 
	elohim dans le Jardin étaient multiples et sous la direction de Dieu quant à 
	ce qu'ils pouvaient ou ne pouvaient pas enseigner et faire. Le fait de se 
	nourrir des arbres n'était pas seulement pour la nourriture physique et les 
	fruits, mais aussi pour l'enseignement et la guidance.
	 
	Nous notons le 
	commentaire de Satan dans Genèse 3:1. Il a dit : Se peut-il que elohim 
	ait dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ! Ce n'était 
	pas vraiment une question, mais une affirmation d’iniquité. La femme répète 
	alors l'injonction avec la punition déclarée comme : Vous n’en mangerez 
	pas et vous n'y toucherez pas, de peur de mourir.
	 
	Le Nachash ou
	celui qui brille a alors dit :
	
	“vous ne mourrez pas sûrement. Car elohim sait que le jour où vous 
	en mangerez, vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des elohim connaissant 
	le bien et le mal.”
	 
	Il s’agit donc 
	ici d’un concept pluriel. Une fois que vous avez mangé, vos yeux sont 
	ouverts et vous serez comme des elohim. La pluralité des elohim est évidente 
	ici. Le terme Yahovah elohim est employé dans un sens spécifique à partir de 
	Genèse 2:4. Le Nachash n’utilise cependant pas ce terme qui implique une 
	certaine égalité entre des êtres dans ce sens.
	 
	L'utilisation 
	trinitaire du terme elohim et le fait de limiter à un triple aspect 
	obscurcit le sens ici. Nous savons que le destin de toute l'humanité est 
	d’être comme elohim mais par étapes. Nous le savons grâce à Zacharie 12:8 et 
	également au Psaume 82:6 qui a été répété par Christ dans Jean 10:34-35 et 
	inclus par lui comme élément faisant partie de la loi contrairement à la 
	division habituelle dans la Loi, les Psaumes et les écrits (cf. Lc. 24:44). 
	Christ fait référence aux Psaumes en tant que loi à deux reprises au moins.
	 
	Cette 
	distinction peut être délibérée et renvoie à la première notion de la 
	promesse, qui émerge ici sous sa première forme. Satan ne mentait donc pas à 
	Ève, il ne faisait que produire une fabrication, qui ne révélait pas les 
	profonds changements et conséquences qui découleraient de cet acte de 
	désobéissance. 
	La terre est 
	devenue maudite à cause de cette action d'Ève.
	 
	Pour aggraver le 
	problème, Satan a développé la Doctrine de l'Âme Immortelle, de sorte que 
	l'immortalité ou la vie aionienne, qui est accordée par Dieu par 
	l'obéissance, est présentée comme un attribut intrinsèque de l'individu. 
	Ainsi, le mensonge Vous ne mourrez pas sûrement est désormais 
	endémique à la théologie mondiale (voir les études 
	L’Âme (No. 92) et 
	L'Immortalité (No. 165)). 
	 
	Satan donnait à 
	Ève le choix ici, et le problème comporte plusieurs aspects. Ces personnes 
	ont été créées et placées sous le Messie en tant qu’Ange de Yahovah. On leur 
	a donné un système qui était suffisant pour leur parfaite subsistance.
	 
	L'essence du 
	litige ici, c'est que la connaissance du bien et du mal était considérée par 
	Satan comme le moyen de commettre des erreurs ; permettant la liberté de se 
	tromper ou la liberté d'expérimenter le système sous n’importe quel régime.
	 
	Deux Arbres ou 
	Plus ? 
	Ici, l'histoire 
	est confinée à celle de deux arbres. L’un des arbres était la connaissance 
	du bien seulement et la confiance dans l'autorité déléguée de Dieu par 
	l'Esprit Saint. L'autre arbre était celui de la connaissance du Bien et du 
	Mal, et que ces deux arbres étaient des arbres littéraux avec des fruits 
	littéraux d'un type non spécifié. Les deux arbres sont répertoriés comme 
	l'Arbre de Vie et l'Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal. Cependant, 
	il y avait plus d'arbres à manger qu'un seul, à savoir l'Arbre de Vie.
	 
	Le fruit défendu 
	conférait donc un type de pensée ou de connaissance de et par lui-même. Il 
	s’agit d’une explication un peu simpliste de la parabole ou de l’allégorie, 
	qui ne parvient pas à résoudre un certain nombre de questions d'ordre 
	philosophique très sérieuses, qui méritent de recevoir une certaine 
	reconnaissance.
	 
	Nous voyons ici 
	dans ce chapitre qu'il y avait plus de deux arbres et que tous les autres 
	arbres pouvaient être utilisés pour nourriture. Un seul arbre ne le pouvait 
	pas. Ainsi, c’est tout le système alimentaire qui a été mis en place et pas 
	un seul arbre.
	 
	L'arbre de la 
	connaissance du bien et du mal leur était interdit et Satan savait qu'il 
	était ainsi interdit. Il a conduit Ève à se laisser piéger, puis Adam s’est 
	laissé piéger de la même manière. Ceci est en soi une violation de la loi 
	dans Exode 23:2.
	 
	La punition pour 
	avoir mangé ce fruit était la mort. Cela signifie que si Adam n'avait pas 
	mangé ce fruit, il est évident qu'il ne serait pas mort. Sinon, la sanction 
	n'aurait pas de sens et il serait mort de toute façon. Ainsi, nous parlons 
	de la mort dans une terminologie complexe.
	 
	Lorsque Satan a 
	dit, vous ne mourrez point, il considérait les effets à long terme du 
	plan de Dieu, alors que ce n'était pas la volonté de Dieu que toute chair 
	périsse (2Pierre 3:9). Donc, techniquement, c’était essentiellement vrai. 
	Ces gens, même dans le péché, auraient la résurrection étendue à eux. Mais 
	Dieu a dit qu'ils allaient sûrement mourir.
	 
	Ainsi, nous 
	voyons ici que le plan de salut comportait deux aspects. Si Adam et Ève 
	avaient obéi, ils ne seraient pas morts. Toutefois, le plan était qu'ils 
	devaient devenir elohim et donc des êtres spirituels. Il a donc dû y avoir 
	un changement fondamental dans le plan concernant la Première Résurrection.
	 
	Il nous reste 
	deux choix : 
	1. Adam et Ève 
	et le monde obéissant ne seraient pas morts et ils seraient alors devenus 
	des êtres spirituels. 
	Cela aurait été le cas 
	également par le changement ou transformation en des êtres spirituels soit :
	A. Au début du 
	système millénaire ;
	ou
	B. À un moment 
	donné dans la séquence, comme nous le voyons avec Énoch qui était juste et 
	qui marchait avec Dieu. Il n'était plus parce que Dieu le prit (Genèse 
	5:24).
	 
	La disparition 
	d'Énoch ainsi que celle d'Élie a été examinée dans le document d’étude 
	Les Témoins (incluant les 
	Deux Témoins) (No. 135).
	 
	2. Si les 
	descendants étaient désobéissants, ils auraient péché et seraient morts, et 
	donc la Première Résurrection aurait été superflue et ils seraient tous 
	allés à la Deuxième Résurrection ou bien ils auraient été admis à la 
	Première Résurrection sur repentance et donc trois systèmes efficaces 
	auraient été mis en place. Les 144000 auraient ainsi pu constituer un autre 
	groupe avec seulement la grande multitude de la Première Résurrection.
	 
	Mais cela heurte 
	l'omniscience de Dieu, qui connaissait le résultat et connaissait les élus, 
	les ayant écrits dans le livre de vie de l'Agneau, avant la fondation du 
	monde. L'agneau a également été immolé avant la fondation du monde et donc 
	on assiste à un événement connu.
	 
	Si Satan et 
	l'Armée n'avaient pas tenté Ève, alors leur position au sein de l’Armée 
	n’aurait pas pu être testée. Ainsi, la chute dans Genèse chapitre 3 était 
	autant un test ou bien plus pour Satan que pour Adam et Ève.
	 
	Nous perdons de 
	vue ce fait et que, à partir de ce point, Satan a mis en place un système 
	religieux et un pouvoir anciens.
	 
	Les Pommes à 
	Rome 
	Nous savons que 
	le fruit est souvent symbolisé par une pomme, mais il n'y a pas de preuve 
	directe de cette conjecture dans la Bible. Le concept de la pomme vient de 
	la mythologie grecque et romaine. Connue sous le nom de Pomme de 
	discorde, elle a été lancée par Éris, qui était la personnification de 
	la discorde, dans l'assemblée des dieux (theoi ou elohim). La pomme d'or a 
	été disputée par Junon, Minerve et Vénus (cf. Oxford Universal Dictionary, 
	3e éd., 1964, p. 86). La pomme d’or est également un autre terme pour 
	désigner l'orbe du couronnement du Royaume-Uni (ibid.).
	 
	Ainsi, l'idée 
	que cette structure centrale de la Discorde soit semée par un morceau de 
	fruit, qui s'articule autour d'une pomme, est ancienne et est également 
	commune aux systèmes non-hébreux. La thèse de la structure de Vénus en tant 
	qu’Étoile du Matin ou Étoile du Soir est peut-être plus importante que nous 
	pourrions le penser au premier abord. L’importance de Vénus est examinée 
	dans les documents d’étude 
	Le Veau d'Or (No. 222) 
	et Les Origines de Noël 
	et de Easter/Pâques (No. 235).
	 
	On retrouve dans 
	les légendes de Junon, depuis les temps anciens, l'idée que le serpent était 
	identifié à la chasteté de la femme. Cette idée a été transmise depuis les 
	temps anciens aux temps plus modernes.
	 
	Les Romains 
	considéraient cette idée de chasteté religieuse comme importante pour 
	approcher les dieux. 
	C’était au cœur 
	de l'idéal du temple de Vesta. C'est avec Juno Sospita au Lanuvium que nous 
	voyons l'idée primitive transmise dans les temps historiques (Encyclopedia 
	of Religion and Ethics) (ERE article Chastity, 3, pp. 
	496-497)
	 
	Une fois qu’une 
	jeune fille était choisie, elle offrait un gâteau au Temple Serpent. Si le 
	gâteau était accepté, cela prouvait la virginité de la jeune fille et lui 
	assurait du bien, une bonne santé pour l'année. Si le serpent refusait le 
	gâteau, on pensait que l'inverse était vrai (ibid.).
	 
	Nous avons ici 
	l'inverse direct du concept où l'offrande de viande sous forme de gâteau 
	était offerte au serpent en gage de la chasteté de la jeune fille. En 
	d'autres termes, le concept était que le serpent était le gardien et l'objet 
	de la chasteté de la femme. Cela nous donne une idée de l’idée qui se cache 
	derrière la parabole présentée ici au chapitre 3 de la Genèse.
	 
	À tout le moins, 
	le lien était fait dans l'esprit des Gréco-romains qu'il y avait une 
	relation avec le serpent et la chasteté de l'ancien système. 
	
	 
	Jupiter, Junon 
	et Minerve étaient les grands trias ou Trinité du culte du Capitole à Rome. 
	W. Warde Fowler est d'avis que la religion romaine était plus démoniaque 
	plutôt que polythéiste (ERE Roman Religion, vol. 10, p. 823 et 
	suiv.). Ainsi, le concept était que le daemon était l'essence de 
	l'être et, de là, un individu pouvait devenir un dieu grâce à l'immortalité 
	du daemon ou de l'essence de l'individu ou anciennement de l’individu 
	postérieur. La forme originelle de ce concept était celle de Jupiter 
	Feretrius dont le numen ou l'esprit aurait résidé dans un chêne sacré sur la 
	colline du Capitole. Romulus, dit-on, aurait fixé le premier trophée (spolia 
	opima) d'un ennemi vaincu. Ce point de vue était partagé par les Suèves 
	germaniques (cf. ERE ibid.) et était donc commun aux Teutons ainsi qu’aux 
	Latins. On sait aussi qu'il était endémique chez les Celtes et tous les 
	Aryens (voir le document d’étude 
	Les Origines de Noël et de 
	Easter/Pâques (No. 235)). Ainsi, le système assyro-babylonien 
	semble avoir cette vision où l'arbre était représentatif de l’être ou de la 
	divinité et il y a donc un sens derrière l'utilisation des termes ici dans 
	le texte hébreu.
	 
	Le nom de la 
	divinité Jupiter a été dérivé du terme Diovis pater (qui est 
	dérivé de la racine div. "Briller"). Ainsi, le père brillant était connu 
	comme la divinité du soleil, de la lumière, des tempêtes et des cieux sous 
	quelque forme que ce soit. Cette compréhension est importante pour la 
	compréhension de la pensée ancienne et du symbolisme religieux en général. 
	Quand la Bible parle d’Arbres, c'est à travers les prophètes qui 
	traitent des systèmes religieux des Anciens en général. Ces êtres spirituels 
	sont représentés sous formes d’arbres comme on le voit ci-dessus. L'ancienne 
	religion primitive des Latins, comme celle des Teutons et de tous les 
	Aryens, y compris les Celtes, se déroulait dans des bosquets et en général 
	des bosquets de chênes ou d’autres arbres mentionnés dans le document 
	d’étude Les Origines de 
	Noël et de Easter/Pâques (No. 235) et le document d’étude 
	La Croix : Son Origine et Sa 
	Signification (No. 39). Le culte du chêne a formé l'image celtique 
	de Zeus (Max Tyr. Diss., viii) et avait un caractère sacro-saint 
	(Pline HN, xvi. 44 cf. ERE. Celtes, p. 295 cf. 
	La Croix : Son Origine et Sa 
	Signification (No. 039)).
	 
	Les frênes et 
	les ifs en Irlande étaient vénérés plus que le chêne, mais chaque arbre 
	représentait un aspect des divinités du système du Soleil (La 
	Croix : Son Origine et Sa Signification (No. 039), ibid., p. 9 et 
	suiv.). Les arbres avaient une signification particulière pour les divinités 
	à des fins spécifiques. Le culte central de Jupiter Optimus Maximus, de 
	Junon et de Minerve au Capitole était en fait d'origine étrusque, et le 
	temple qui s’y trouve montre des preuves indubitables de la conception 
	étrusque. Le culte triune (trinitaire) était considéré comme n’étant pas 
	d’origine romaine mais était courant chez les Grecs, et en Étrurie, il était 
	représenté par les noms Tinia, Thalna et Minerva (ERE, 10, p. 830). 
	Cette forme idéalisée du système triune a été mis au Capitole à Rome pour 
	montrer la forme dominante de l'État romain dans l'esprit de son peuple, et 
	pour vaincre et dominer les anciens cultes, unissant ainsi l'État.
	 
	Les Étrusques 
	n’étaient pas originaires d'Étrurie et étaient originaires d’Asie Mineure. 
	Les divinités grecques ont été introduites à partir du cinquième siècle 
	avant notre ère. En 493 AEC (avant notre ère), un temple a été construit 
	pour les trias grecs de Déméter, Perséphone et Dionysos sous les noms 
	romains de Cérès Liber et Libera. Apollon et les 
	oracles de la Sibylle ont suivi en 431 avant notre ère. Nous voyons donc 
	Artémis sous le nom de Diane et Aphrodite sous le nom de Vénus. Vénus était 
	autrefois une ancienne divinité romaine du jardin. Les rites grecs et 
	romains ont tous deux été déclarés licites et nous constatons un degré 
	étonnant de syncrétisme et d'identification dans le système romain. Ce qui 
	ressort de l'ensemble du groupe et des systèmes religieux en général, c’est 
	que nous avons des vues anciennes communes, qui attribuent la réalité au 
	cadre que nous voyons représenté dans le Jardin d'Éden, non seulement par 
	les Hébreux mais aussi par l'ancien monde tout entier.
	 
	L'ancien Dieu 
	romain Sylvanus, divinité des champs, des bois et des frontières, a été 
	considéré comme un lutin ou une créature de cauchemar lors de l'accouchement 
	par les femmes (cf. ERE, art. Birth, 2, p. 649).
	 
	Dans l'ancien 
	système romain, la religion était basée sur la vieille idée selon laquelle 
	il n'y avait que deux classes d'êtres intermédiaires entre les hommes et la 
	Divinité Divine. Ces deux classes étaient tout d'abord les âmes des morts, 
	ce qui rejoint et s'inscrit dans le concept de l'âme après la mort ou 
	l’argument tu ne mourras pas sûrement et la deuxième classe était 
	celle de certains esprits qui assistent à la vie de chaque être humain 
	(ERE art. Demons and Spirits, 4, p. 620 et suiv.)
	 
	C'est l'idée 
	ancienne originale qui n’attribuait aucune limite fixe aux êtres spirituels 
	en ce sens qu'ils pouvaient agir en tant que des esprits sur et à travers 
	les êtres humains sans division spécifique. C’est pourquoi nous voyons la 
	possession par de multiples démons. Le polythéisme n'était pas le système 
	originel. Ces êtres spirituels ont reçu des identités parmi les Grecs et 
	cette idée a été adoptée par les Romains, et c’est devenu ce que nous 
	comprenons comme polythéisme. Ce n’était pas si ancien. L'idée ancienne 
	était que le Père-de-Tous avait créé tous les theoi ou dieux et que chaque 
	nation, ou ville ou État avait été attribué à un être spirituel. Il n'y 
	avait cependant aucune division claire des entités. Les entités pouvaient 
	également représenter un groupe collectif.
	 
	Ces êtres 
	spirituels ont été identifiés avec et comme des arbres dans lesquels leur 
	esprit et leur essence résidaient. Ils pourraient néanmoins agir sur et à 
	travers les humains comme une forme de Daemonia.
	 
	L'Esprit en tant 
	qu’un Être Séparé 
	Nous sommes 
	maintenant en mesure de comprendre l'allégorie et le contexte dans lequel 
	elle s’inscrit quand elle a été écrite et avant cela quand elle était 
	racontée comme une histoire à des générations d'hommes anciens, à la fois 
	avant et après la période du déluge. Il existe d'innombrables exemples de 
	cette vision d’une notion de personnalité invisible séparée quoique 
	étroitement liée à la vie de l'homme visible individuel. Les Perses 
	l'appelaient le fravashi, les Égyptiens, le ka, les Grecs la
	psyché. La division romaine nous montrera comment elle était comprise 
	et ce qui se passe dans cette division. Le terme appliqué à l'esprit chez 
	les individus est le genius dont dérive notre terme. L’ancien symbole 
	babylonien des 
	Genii
	[Génies] était un être à 
	tête d’aigle. Les anciens Italiens attribuaient une entité distincte à cet 
	ancien Genius isolé de l'homme lui-même et à qui a été attribué le 
	pouvoir de la multiplication de la race. Le lit conjugal, placé dans 
	l'Atrium d'une ancienne Maison romaine, était le plus clairement appelé 
	lectus genialis, 
	et nous y voyons un concept lié au mariage et à l’union commune 
	décrite dans la Genèse. À partir de ce concept, nous obtenons les termes
	 pour faire plaisir à son génie.
	 
	La Matrone de la 
	maison appelait ce pouvoir son juno et la déesse postérieure Junon 
	est simplement une généralisation et une glorification des junones 
	séparées des femmes. Maintenant, nous en arrivons au concept du système 
	triune. Nous avons Jupiter comme la manifestation physique de la structure 
	et de la divinité et de la capacité masculine des Génies. Le Junon est la 
	manifestation collective de la capacité spirituelle féminine du peuple. Ces 
	éléments sont entrés dans l’existence des individus et sont sortis de 
	l'existence avec eux tout en étant capables d'exercer une forte influence 
	sur eux et de déterminer leur "fortune" en quelque sorte (ERE, 4, p. 621).
	 
	La relation avec 
	la doctrine de la transmigration de l'âme est visible là où l'être n’a pas 
	alors cessé d’exister avec le corps.
	 
	Avec le temps, 
	l'absurdité logique a consisté à inventer les Génies des grands dieux alors 
	qu’ils étaient en fait les génies eux-mêmes et représentatifs de la 
	structure collective. Cela est devenu le polythéisme corrompu de ce système. 
	En effet, le système triune original de Rome et de tous les Aryens était un 
	culte géant de la fertilité dont la Trinité était le symbole suprême de 
	l'interaction collective du serpent et du couple ici à l'Éden. Le serpent 
	était identifié comme le symbole à la fois du génie et du juno.
	 
	Horace déclare 
	que le génie est un dieu, mais déclare qu'il est sujet à la mort (Ep. II, 
	ii, 188 cf. ERE 4, p. 621). Les Grecs représentaient le génie par 
	tuche mais parfois daemon est considéré exactement à la lumière 
	du 
	genius [génie] romain. Nous avons donc affaire à l'opinion commune 
	selon laquelle le 
	genius [génie] (ou daemon) est un dieu qui est assujetti à 
	la mort, mais qui a une influence sur la vie des hommes et des femmes et qui 
	est représenté par un arbre.
	 
	L'un des dieux a 
	provoqué une dissension au sein du royaume divin en jetant la pomme divine 
	de discorde et a provoqué la dissension, étant la source de la lutte entre 
	les symboles masculins et féminins de la fertilité collective qui était 
	exactement la façon dont nous percevons Adam et Ève où Ève est la mère de 
	tous.
	 
	Le Soleil, la 
	Lune et les Étoiles Parmi les Anciennes Religions 
	Le grec Zeus, 
	dans sa plus ancienne épithète, Wide Eye, est le porteur de la 
	lumière du jour, de là, le porteur de lumière et le dieu soleil. À cet 
	égard, Jupiter et Zeus sont les mêmes. La relation avec les Celtes se 
	poursuit non seulement avec le chêne ou le Duir en tant que Zeus/Jupiter 
	mais aussi avec les autres arbres dans leurs caractères sacrés relatifs aux 
	divinités des Mystères dont Apollo. Les Druides (c.-à-d. du chêne) 
	utilisaient même des caractères grecs pour les actes publics (voir le 
	document d’étude La Croix 
	: Son Origine et Sa Signification (No. 039)).
	 
	La Réincarnation 
	Celtique 
	 
	Les Celtes 
	semblaient avoir le système des neufs chamans anciens lié à leur système de 
	culte et de réincarnation.
	 
	Il semble qu'un 
	aspect des fouilles archéologiques de 1978 à 1979, par Jorg Biel et son 
	équipe, du Chef de clan Hochdorf de Bade Wurtemberg ait pu être négligé. La 
	tombe contenait un site funéraire complet non pillé. Par conséquent, nous 
	pouvons tirer des conclusions de ce tombeau qui ne nous seraient peut-être 
	pas accessibles autrement.
	 
	Le tombeau 
	contenait un grand chaudron en bronze italien datant vers 530 AEC (avant 
	notre ère) et un ensemble de neuf plats en bronze pour répondre aux besoins 
	de neuf personnes. Il y avait également neuf cornes pour boire, la neuvième 
	étant plus grande que les autres. Cela a été considéré comme une indication 
	du symposium idéal grec, et le grand chaudron de vin indique encore que la 
	fête ou le symposium dans l'après-vie (l’au-delà) était en conformité avec 
	les attentes des Celtes en étant transmigrés à un autre corps dans un autre 
	lieu à la mort.
	 
	Les autres 
	articles funéraires, y compris les chariots et sa garde-robe, ne seront pas 
	examinés, si ce n’est pour dire que c'était une tenue raffinée et non de 
	nature militaire. Cette explication peut être poussée beaucoup plus loin. 
	L'explication du symposium grec n'était pas loin de la vérité, mais une 
	banalisation des opinions religieuses exprimées ici dans la tombe.
	 
	Dans le document 
	d’étude La Croix : Son 
	Origine et Sa Signification (No. 039) (3e éd. CCG, 1994, 1997, p. 
	10), une référence a été faite aux images du soleil, des symboles des 
	swastikas [croix gammées], des triskèles et de cercles et 
	croix gravés dans des images en bronze du dieu Dispater. Le symbole S 
	apparaît sur les pièces de monnaie. Neuf de ces symboles S sont suspendus 
	à un anneau porté par le Dieu à la roue. L'ERE (art. Celts, pp. 
	301-302) dit : 
	Plusieurs explications ont été données de cette figure : la plus probable 
	est celle qui le reconnaît comme un coup de foudre.
	 
	Or, il ne s’agit 
	là que d'une explication partielle ; et il semble que les explications 
	données jusqu’à présent sur ces questions soient tout à fait trop banales.
	 
	Le S est 
	exactement ce qu'il prétend être dans la mythologie standard, à savoir un 
	serpent. Ce serpent est associé aux cultes des Mystères et se trouve 
	exactement dans la séquence de neuf que nous voyons avec Dispater. Les neuf 
	liens du serpent peuvent être trouvés avec les neuf serpents qui gardent les 
	couloirs dans le royaume du dieu Seker. Les premier, troisième et neuvième 
	serpents sont symbolisés par un ankh qui est inclus dans leur nom (voir 
	Budge, The Book of the Dead Arkana, Londres, xcv, f. cf. Cox ; 
	La Croix : Son Origine et Sa Signification (No. 039) ibid., La 
	Croix Ankh, p. 6)
	 
	Nous voyons donc 
	ce qui se passe dans le soi-disant Symposium des Grecs et les préparatifs de 
	fête des neuf lieux du Chef de clan celte Hochdorf.
	 
	La Roue de 
	Dispater est la Roue de la Renaissance des Celtes Hyperboréens. Ce système 
	religieux, centré sur Apollo chez les Celtes Hyperboréens vivant sur le 
	Danube, est à l’origine de la formation de la Philosophie en tant que 
	religion (cf. Burnet, Early Greek Philosophy, 4e éd. Black, London, 
	1958, p. 81 ss.).
	 
	Ce qui se passe, 
	c'est que les neuf serpents du système égyptien et les neuf serpents des 
	Celtes traitent du système de la réincarnation du système de l'âme mis en 
	place également parmi les Grecs anciens. Ces cultes se sont répandus en 
	Thrace comme la forme dionysiaque des mystères. 
	Dionysius 
	y était associé à des 
	beuveries. Chez les Romains, c'était comme des fêtes bacchanales de Bacchus. 
	C’est également comme des rituels orphiques, etc. C’est Pythagore qui a 
	amené l'école de Délos en Italie (Burnet, ibid.).
	 
	Les neuf 
	serpents ou démons sont apaisés à chaque niveau d'ascension jusqu’au 
	neuvième et dernier niveau. Ce neuvième niveau est l’entrée finale au siège 
	du dieu et donc du contrôle de la vie et de la renaissance.
	 
	L'ankh est basé 
	sur le même concept que le symbole de Vénus et dérive à nouveau comme une 
	forme de la Croix Encerclée du Soleil avec la croix relocalisée au-dessous 
	du cercle.
	 
	Ankh-em-beu-mit est le neuvième serpent 
	dans le système égyptien. C'est trop d'avoir une similarité distincte de 
	systèmes avec une tradition d'origine commune de la prêtrise et ensuite 
	d’ignorer les conclusions évidentes qui doivent être tirées des types de 
	systèmes. Le serpent est représentatif de l'armée dans la langue des 
	anciens. L'hébreu est exemplaire et les formes du Celtique, en particulier 
	le P brittonique, sont associées au punique et à l’hébreu.
	 
	Les Druides 
	parmi les Celtes sont venus d'Égypte avec les Gadeliens et ont été repris 
	par les Milésiens en Espagne ou en Iberia parmi les Gadeliens (MacGeohagen 
	et Mitchell, 
	History of Ireland, Sadlier, New York, 1868, p. 42). Les Grecs qui étaient en contact avec 
	eux étaient les anciens Graeci Vetustissimi. Les Grecs et les Romains 
	plus modernes ne connaissaient pas la Grande-Bretagne (ibid.).
	 
	On peut 
	logiquement conclure que l'ancien Chef de clan Hochdorf a en fait été 
	préparé aux rites initiatiques de l'ascension à travers les neuf niveaux de 
	l'au-delà. Chaque niveau était gardé par un être spirituel, symbolisé par le 
	serpent à chaque niveau. De même, les sept niveaux du Hekkalot dans le 
	mysticisme Merkabah parmi le Judaïsme kabbalistique sont gardés par un ange. 
	Rappelez-vous que le mot hébreu pour Séraphin est associé avec le terme de
	serpent brûlant comme celui qui brille. Ce système était le 
	même de l'Égypte à l'Inde, en passant par l’Asie et au-delà.
	 
	Le neuvième 
	niveau était indiqué par la taille de la neuvième corne à boire et par la 
	taille et la puissance relatives de la divinité. Le modèle du symposium 
	était donc, d’une certaine manière, un rite de passage participatif et donc, 
	idéalement, ne concernait que les hommes (cf. Smiths 
	
	Dictionary of Greek and 
	Roman Antiquities art 
	Symposium, Londres 1851, p. 1082 et suiv.).
	 
	Les conclusions 
	concernant les points communs ne sont pas tirées par l'érudition moderne car 
	le paradigme de l'archéologie européenne moderne exclut une telle communauté 
	de points de vue et nécessite une genèse ethnoculturelle autochtone des 
	Celtes qui est continuellement fabriquée. 
	
	 
	Comme nous le 
	verrons, les légendes sont les mêmes et renvoient à ce texte biblique 
	concernant le Jardin d'Éden. Les anciens systèmes religieux ont un contexte 
	similaire.
	 
	Le Culte en 
	Commun 
	 
	Le soleil, la 
	lune et les étoiles du matin et du soir sont présentés comme des objets de 
	culte commun aux Aryens, aux tribus de la Baltique et aux Teutons, aux 
	Perses. Tous ces éléments ont un rapport avec les phénomènes du ciel liés à 
	la lumière. Cela remonte aux plus anciens concepts religieux communs à tous 
	les Aryens, avant leur dispersion (cf. ERE, 
	
	The Aryan Religion, 2, p. 34 et suiv.)
	 
	Il semble que 
	(d’après des informations provenant des Teutons de l'Ouest) il y avait une 
	ancienne divinité féminine également de la Sunna, qui était en vieil 
	allemand Sunnen-aband ou signifiant à l’origine la veille du 
	dimanche. 
	
	 
	À partir de ce 
	concept, le feu vient comme un objet sacré, venant sur la terre par le feu 
	comme la foudre et donc les cultes de Vesta à Rome, d’‘Estin
	en Grèce et de Fistia en Arcadie comme Foyer ou mère de 
	Foyer sont autant de concepts liés à cette ancienne structure aryenne. C’est 
	lié au chêne en tant qu’arbre symbolisant le dieu qui a donné la fertilité à 
	l'état collectif dans l'individu à travers les esprits qui contrôlent les 
	hommes.
	 
	Les autres 
	arbres symbolisent différents aspects de la divinité, transmis plus tard 
	sous un autre nom (cf. 
	Les Origines de Noël et de Easter/Pâques (No. 235)). Ils 
	étaient tous à l'origine considérés et compris comme [des] fils de Dieu.
	 
	Ces dieux 
	n’avaient auparavant pas reçu de noms distincts autres que celui de ce 
	système du Soleil, de la Lune et de l'étoile du Matin et du système de 
	fertilité qu'il représentait. Il était secondaire que les Aryens aient 
	produit des noms et des personnifications pour ces divinités ou identités. 
	Ainsi, nous trouvons dans l'ancienne histoire de la Genèse l'allégorie du 
	serpent comme Celui qui brille et l'arbre d'Éden.
	 
	Par son action, 
	nous tirons la dissension entre l’armée et l'explication de la pomme d'or à 
	l'époque romaine comme nous le voyons ci-dessus.
	 
	Le troisième 
	élément de cette histoire est la Minerve, la déesse qui s’est battue avec 
	Jupiter et Junon. Le nom est dérivé d'une racine ancienne qui a entièrement 
	disparu dans les anciennes langues italiennes et Schreader considère que 
	cela doit être très ancien (ERE 4, p. 35). Le nom (Menese ova a les 
	formes grecques menos et menes os). Cela semble être lié au 
	concept de la déesse originelle du matin qui, en teutonique, était appelée
	Ostara, qui était aussi la déesse du printemps et était liée, comme 
	nous l'avons vu, au système Ishtar [ou Astarté] des Assyro-Babyloniens (voir 
	le document d’étude Les 
	Origines de Noël et de Easter/Pâques (No. 235)).
	 
	Ici, Minerve est 
	en compétition avec Vénus en tant qu’Étoile du Matin et du Soir. Ainsi, nous 
	avons le mâle collectif en tant que Jupiter, la femelle collective en tant 
	que Junon et l'Étoile du Matin ou le porteur de lumière en tant que Minerve 
	et Lucifer.
	 
	Ainsi, nous 
	sommes de retour au système ancien expliqué dans la Genèse et compris mais 
	déformé par les Aryens et tout le système basé sur l'anima ou les 
	esprits, qui habitaient les humains et influençaient le déroulement de la 
	création. Les Aryens ont emprunté ce système aux Sémites et aux Sumériens 
	dès la période indo-iranienne (ERE, 4, p. 36). Cette explication tordue du 
	système parmi les Assyro-Babyloniens est devenue l'Animisme et est entrée 
	dans le système religieux mondial comme Chamanisme chez les nomades et a 
	développé des ordres plus élevés de mysticisme parmi les peuples plus 
	sédentaires.
	 
	Le mysticisme 
	développe cette structure d'ascension vers ces êtres par la contemplation.
	 
	L'explication de 
	ce qui se passe dans Genèse chapitre 3 est loin d'être une allégorie 
	triviale. Elle constitue la base de l'explication des systèmes religieux du 
	monde et de la division nette entre la Bible et l'ensemble du système basé 
	sur les cultes païens symbolisés par les systèmes basés sur Noël et 
	Easter/Pâques et l’ensemble des systèmes de solstice.
	 
	Les systèmes 
	religieux le montrent anciennement. Stonehenge a été construit sur une 
	période allant de 5000 ans à 3500 ans. Stonehenge présente toutes les 
	caractéristiques du système du solstice d'hiver. Les tranchées de cendres 
	indiquent des feux sacrés. L'orientation est sur le solstice. La pierre est 
	grise, ce qui indique qu’il s’agit d’une pierre pour allumer des feux de 
	chêne sacrés. L'échelle de temps est à la fois avant et après celle 
	généralement attribuée au déluge. Ce système de solstice est l'ancienne 
	religion de l’armée.
	 
	C’est la 
	distinction entre l'ancien système des Assyro-Babyloniens et la Bible. Nous 
	en voyons l’exemple lorsque Hermès et Apollo développent également les 
	concepts contenus dans la Bible. Apollo signifie : "Celui du troupeau." 
	Hermès signifie : "Celui des pierres" ou "Celui du tas de pierres" (voir 
	ERE, Aryan Religion, 4, p. 36).
	 
	Ce titre des 
	pierres est progressivement venu à représenter le Messager des dieux et 
	le protecteur des voyageurs et c’est pourquoi des cairns ont été érigés sur 
	les routes (cf. La Croix 
	: Son Origine et Sa Signification (No. 039), pp. 12-15).
	 
	Celui du troupeau 
	ou de la bergerie est 
	devenu aussi celui du parc à bestiaux.
	 
	Dès les premiers 
	temps, Apollo était lié à Phoibos ou le Brillant en tant que divinité 
	solaire (ERE ibid.).
	 
	Le dieu-soleil
	Phoebus ouvrait les enclos du bétail dans la matinée et conduisait le 
	bétail au pâturage. La divinité des limites de la forêt comme Sylvanus 
	semble être la pierre angulaire des limites et nous développons ces concepts 
	jadis en de nombreuses personnalités à facettes, qu’ils n’étaient pas 
	compris à l’origine.
	 
	Ce que nous 
	avons ici, ce sont les mêmes concepts que ceux mentionnés dans la Bible dont 
	la compréhension s’est perdue à travers les cultes primitifs.
	 
	Le Phobos ou le 
	Lucifer (Ésaïe 14:12), le Porteur de Lumière était le chérubin protecteur 
	oint qui se promenait parmi les pierres de feu (Ézéchiel 28:14).
	 
	Le messager des 
	elohim est le Memra ou Ange de Yahovah. Le titre d'Étoile du Matin et de 
	Porteur de Lumière a été attribué à Satan et est en train d’être transféré 
	au Messie. Les fonctions du Messie ont été usurpées par Satan et il est 
	devenu l’enseignant (maître) de l'humanité. Cette fonction d'enseignement 
	est, comme nous le voyons dans le Livre d'Hénoch, la compréhension commune 
	des anciens Hébreux en ce qui concerne la chute de l’Armée.
	 
	Ce que nous 
	semblons voir est un ancien concept commun qui s’est effondré dans la 
	banalité par une mauvaise interprétation ultérieure de ce qui se passait 
	dans les histoires des nations. La théologie défectueuse des théologiens de 
	l’église primitive des quatrième et cinquième siècles n’est pas la moins 
	responsable. Dieu avait établi les nations en fonction du nombre des fils de 
	Dieu (cf. Deut. 32:8 RSV, voir aussi la LXX ; 1 Clément et les MMM sur ce 
	texte). Il a placé l'humanité sous ces êtres.
	 
	Israël a été 
	placé sous l’autorité de Yahovah comme sa portion (Deut. 32:9). Les autres 
	nations étaient placées sous les autres membres de l'Armée. C'est pourquoi 
	le texte de Deutéronome 32:8 a été changé (modifié) par le Judaïsme 
	rabbinique après la chute du temple dans le texte massorétique (voir le 
	document d’étude La 
	Préexistence de Jésus-Christ (No. 243)).
	 
	Deux Routes ; 
	Deux Systèmes 
	Nous voyons 
	maintenant que les arbres représentent les systèmes d'ordre et d'expérience. 
	Dieu avait mis en place un système dans lequel l'humanité aurait pu produire 
	un système sans mort ni péché et par ce système aurait pu arriver à la 
	connaissance de la vérité et de la vie éternelle.
	 
	C'est 
	essentiellement de cette façon que l'Armée a été créée. Tous les êtres 
	étaient des produits de Dieu le Père et étaient soumis à Sa volonté pour la 
	rétention [conservation] de l'Esprit Saint. Il était Eloah en tant que le 
	seul vrai Dieu singulier dès le commencement, qui, comme l’ont dit Christ, 
	les apôtres et les écrivains de l’église tels qu’Irénée, n’avait rien de 
	commun avec lui-même (cf. Jean 17:3 ; 1 Jean 5:20 etc. et cf. Irénée dans 
	Contres les Hérésies tel que cité dans le document d’étude 
	La Première Théologie de la 
	Divinité (No. 127)). En d'autres termes, il n'y avait pas 
	deux ou trois dieux, au commencement, il n’y avait que le seul vrai Dieu.
	 
	La structure 
	dépendait de la volonté du Père et agissait dans le cadre de celle-ci. Le 
	système mis en place sur la terre consistait à placer Adam auprès de l'Ange 
	de Yahovah ou Yahovah elohim. Cet être était Elohim et Yahovah, et Jacob 
	lutta avec lui et l'emporta, comme nous le voyons dans Osée 12:3-5. Yahovah 
	des Armées est le mémorial de cet elohim. En d'autres termes, il tire son 
	nom et son autorité de Yahovah des Armées (cf. le document d’étude 
	L'Ange de YHVH (No. 24)).
	 
	Ainsi, Adam a 
	été placé sous le Messie qui portait le titre de Yahovah elohim. Satan a 
	essayé de les persuader de suivre un autre système et de le faire à sa 
	façon. En ce sens, c’était aussi un test pour Azazel qui est devenu Satan. 
	Satan voulait passer l'humanité au crible et l'accuser devant Dieu. Il 
	s’agit essentiellement de l’adéquation de la création adamique.
	 
	La Tentation 
	Nous en arrivons 
	maintenant à la question de la tentation et de la chute. Ève a-t-elle mangé 
	un fruit au sens propre ? Comment le fait de manger cela lui a-t-il ouvert 
	les yeux ? Comment cela a-t-il impliqué Satan et Adam ? La question évidente 
	qui a été posée au cours des siècles est la suivante : S’agissait-il d’un 
	acte sexuel ? Les réponses sont sous deux formes. Elles dépendent 
	essentiellement du temps.
	 
	Dans les temps 
	anciens, jusqu'à Augustin d'Hippone (écrivant vers 405 EC), la réponse 
	unanime était oui, il s’Agissait de fornication. Les Anges se livraient à la 
	fornication avec les femmes. La Bible contient un certain nombre de 
	références claires à ce fait. Les anciens écrits non bibliques ont également 
	des références ou des interprétations similaires, voire identiques, et ces 
	idées ne se limitent pas à l'ancien Israël. Dans son ouvrage Antiquités des 
	Juifs (Livre, 1, 3, 1), Josephus dit que certains anges : 
	Ont fait de Dieu leur ennemi, car de nombreux anges de Dieu se sont 
	joints aux femmes et ont engendré des fils qui se sont avérés injustes.
	 
	William Whiston, 
	dans la note en bas de page à ce verset dit que : 
	Cette idée que les anges déchus étaient en quelque sorte les pères des 
	anciens géants, était l'opinion constante de l'Antiquité (Complete Works 
	Kregel, 1981, p. 28).
	 
	L’idée n'était 
	pas simplement qu’une autre lignée l'avait fait, puisque cela était 
	directement importé dans le NT dans Corinthiens par Paul, où il dit : 
	1Corinthiens 11:9-10 et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, 
	mais la femme a été créée à cause de l’homme. 10 C’est pourquoi 
	la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité 
	dont elle dépend. (LSG)
	 
	Nous savons 
	aussi par Jude, le frère de Jésus-Christ, que c’était le cas selon lui. 
	Jude 6-7 qu’il a réservé pour le jugement du grand jour, enchaînés 
	éternellement par les ténèbres, les anges qui n’ont pas gardé leur dignité, 
	mais qui ont abandonné leur propre demeure ; 7 que Sodome et 
	Gomorrhe et les villes voisines, qui se livrèrent comme eux à l’impudicité 
	et à des vices contre nature, sont données en exemple, subissant la peine 
	d’un feu éternel. (LSG)
	 
	La version KJV 
	dit la fornication (SGD 1608 ekporneusasai de ekporneuo 
	pour être tout à fait non chaste) plutôt que vices (luxures) contre nature 
	et c’était l'opinion des autres textes également comme le Livre d'Hénoch.
	 
	Ainsi le sens 
	des textes découle du concept de la création de la femme et du fait que les 
	femmes n’étaient pas chastes avec les anges.
	 
	Telle était 
	l'opinion de l'Antiquité et c’est le sens de Genèse 6:4, où des enfants leur 
	furent nés et où les descendants des géants n’ont pas été attribués à la 
	résurrection (cf. les documents d’étude 
	Les Nephilim (No. 154) 
	et aussi La Résurrection 
	des Morts (No. 143)). Ceux-ci étaient connus sous le nom de 
	Rephaïm et ils n'avaient aucune résurrection (cf. Ésaïe 26:13). 
	C’étaient les autres seigneurs qui régnaient sur les hommes. 
	Ésaïe 26:13-14 
	Éternel, notre Dieu, d’autres maîtres que toi ont dominé sur nous ; Mais 
	c’est grâce à toi seul que nous invoquons ton nom. 14 Ceux qui 
	sont morts ne revivront pas, Des ombres ne se relèveront pas ; Car tu les as 
	châtiés, tu les as anéantis, Et tu en as détruit tout souvenir. (LSG) Le 
	terme d'autres maîtres (seigneurs) est SHD 113 'adon ou 
	souverain ou contrôleur comme humain ou divin, mais c’est ce mot 
	qui est utilisé dans le Psaume 136:3 et nous le voyons utilisé dans Genèse 
	19:2 et Deutéronome 10:17.
	 
	Dans ce 
	contexte, nous voyons au moins qu'une certaine forme de conscience sexuelle 
	était impliquée entre Ève et Satan.
	 
	Le point de vue 
	des autres anciens systèmes religieux depuis le déluge semble véhiculer ce 
	concept dans toutes les facettes de leur symbolisme. Le triune ou la Trinité 
	telle qu’elle était comprise autrefois, était le symbole du Soleil et de la 
	Lune et de l'Étoile du Matin agissant de concert dans la fertilité. Le 
	double aspect de cette trinité dans le système babylonien et d’Ishtar (que 
	nous avons vu du document d’étude 
	Le Veau d'Or (No. 222)) 
	se rapporte au Ciel et à la Terre. Ainsi, l'anima (qui ne peut être 
	qu’un faux esprit) entre dans les hommes en vertu des activités de Satan en 
	tant qu’Étoile du Matin, de concert avec les aspects masculin et féminin.
	 
	Ainsi, tout le 
	symbolisme est corrompu ; du Soleil de Justice et de la Lune, l'Église et de 
	l’Esprit Saint agissant de concert [sont corrompus] à trois êtres distincts 
	des élus en tant que l'église.
	 
	Augustin 
	d'Hippone 
	Le second 
	scénario a été introduit par Augustin d'Hippone au début du cinquième 
	siècle. Il s’opposa à l'idée que Seth avait été de la véritable lignée 
	adamique et que Caïn s’était marié avec la progéniture de l'armée déchue et 
	que sa progéniture n’était pas pure dans leurs générations, comme Noé était 
	pur ou parfait dans ses générations (Gen. 6:9) (cf. La Genèse Apocryphe,
	MMM, cf. Vermes, The Dead Sea scrolls in English, 2e éd., Pelican 1975, 
	p. 215 et suiv.).
	 
	Augustin, dans 
	son ouvrage la Cité de Dieu (Livre XV, XXIII, NPNF première 
	série, vol. 2, p. 303 et suiv.) décréta que les anges n'avaient pas cohabité 
	avec des femmes humaines et que les fils de Dieu étaient la lignée pure de 
	Seth et les fils des hommes étaient la progéniture de Caïn, et les géants 
	qui devaient être détruits étaient les descendants de Caïn.
	 
	Ce joli petit 
	scénario bien rangé s’adaptait à tous ceux qui ne pouvaient pas soutenir 
	(raisonner) la vérité de la Bible comme un texte inspiré littéral. Cela a 
	donné à l’église chrétienne opérant sous l'égide de l'empire une réponse 
	claire et nette qui satisferait la curiosité et ne laisserait aucune 
	question en suspens. En d’autres termes, cela a servi le but d'un clergé non 
	informé jusqu’aux découvertes scientifiques de la révolution industrielle.
	 
	Les gens se sont 
	libérés d'une église aveugle et ils ont commencé à creuser le passé et avec 
	lui ils ont découvert que la terre était vieille et qu’il y avait d'autres 
	animaux plus anciens que l'homme et qu’il y avait d'autres types d’homme 
	plus anciens qui n'avaient rien à voir avec eux. Puis toute l'histoire 
	d'Augustin a commencé à s'écrouler.
	 
	Curieusement, 
	cela a été abandonné plus tôt au sein même de l’église qui l'avait avancée, 
	à savoir l'Église Catholique. Sa branche romaine a récemment accepté la 
	théorie de l'évolution plutôt que d'accepter la vérité littérale de la 
	Bible.
	 
	Les plus grands 
	défenseurs de la théorie augustinienne de la sélection des lignées, comme 
	nous l’appellerons, étaient en fait les sectes fondamentalistes qui 
	s’opposaient à l'Église Catholique Romaine, mais qui leur ressemblaient le 
	plus dans leur organisation. Ce point de vue rendait très difficile la 
	compréhension de toute allégorie ou signification profonde dans les textes 
	de la Genèse.
	 
	Il ne fait aucun 
	doute que l'armée déchue est considérée par la Bible comme ayant commis une 
	fornication avec des femelles humaines. Si la première instance de celle-ci 
	impliquait un acte sexuel ou non, nous ne pouvons pas le dire. Il semble y 
	avoir eu une certaine forme de compréhension qui a accompagné les actes des 
	femmes agissant à l'instigation du serpent ou Nachash, et que cet acte l’a 
	fait jeter (tomber) à terre et l’a rabaissé plutôt qu’élevé, tel que nous le 
	voyons par la punition qui lui a été infligée.
	 
	Que ce premier 
	acte ait impliqué un acte sexuel ou non, cela a certainement été considéré 
	comme ayant conduit à cet acte dans la progéniture de la femme. Nier ce 
	fait, revient à nier les mots simples du texte biblique.
	 
	Mariage 
	Le sens du 
	mariage et de la progéniture est l'intention claire de Genèse 1:28. Adam a 
	reçu la femme pour être sa compagne et ils ont été unis comme une seule 
	chair et il leur a été dit de remplir la terre. C'est le même commandement 
	qui a été donné à Noé après le déluge.
	 
	Ils ont donc 
	considéré qu’il s’agissait de relations conjugales établies et n’ont pas eu 
	honte. Cependant, nous verrons plus tard que lorsqu’Adam et Ève ont commis 
	un péché, ils ont eu honte et se sont fabriqué des tabliers de feuilles pour 
	cacher leur nudité. Les premiers actes n’impliquaient pas la honte, les 
	seconds actes, manifestement, ont impliqué la honte et ils ont été poussés 
	par Satan dans cette affaire.
	 
	Dieu avait donné 
	à Adam l’instruction claire de lui obéir et de ne pas manger de ce fruit. 
	Cette femme avait désobéi à son mari et à son elohim, à la demande d'un 
	autre être. Adam avait la responsabilité envers sa femme de diriger et 
	d'être fort, ce qui n’était pas le cas. Il lui a permis de pécher et elle 
	n'était plus sans péché devant Dieu.
	 
	De la même 
	manière, le second Adam est responsable de son épouse, l'église, et il est 
	chargé de la placer sans tache devant Dieu. Sous cet aspect, le lien du 
	mariage a été établi avant la chute et est saint.
	 
	Le Déluge 
	Le but de 
	l'adversaire était d'interférer avec le plan de Dieu, et cette interférence 
	a frappé le but même de la création et a causé le déluge. Il avait porté 
	atteinte à la création à tel point qu’à l’époque du déluge, ils étaient 
	inaptes et devaient être détruits, ne laissant en vie que des personnes de 
	générations parfaites.
	 
	Ainsi, la 
	structure de cette rébellion était intrinsèquement sexuelle puisqu’elle 
	tentait de frapper la capacité génétique de la création. Il semble que cela 
	ait été arrêté. Mais les problèmes génétiques ont poursuivi à réduire la 
	capacité de la création.
	 
	Le Gouvernement 
	Ce qui n'est pas 
	examiné dans cette affaire, c’est que le gouvernement de la planète a été 
	placé sous la coupe de Satan en tant qu’Étoile du Matin ou Porteur de 
	Lumière. Le Gouvernement n'a pas été placé sous Jésus Christ. Ainsi, le 
	système que Dieu avait mis en place depuis au moins aussi longtemps que la 
	chute a dû être donné à Satan.
	 
	Le Péché 
	Originel a donc eu pour effet immédiat de retirer la création humaine du 
	Jardin d'Éden et sa relation avec Dieu. Dans le Jardin, le Ruach de Dieu se 
	mouvait et Adam et Ève avaient la capacité de converser avec Dieu. 
	Genèse 3:8-12 
	Alors ils 
	entendirent la voix de l’Éternel Dieu [Yahovah elohim], qui parcourait le 
	jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de 
	l’Éternel Dieu [Yahovah elohim], au milieu des arbres du jardin. 9 
	Mais l’Éternel Dieu [Yahovah elohim] appela l’homme, et lui dit : Où es-tu ?
	10 Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu 
	peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. 11 Et l’Éternel 
	Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre 
	dont je t’avais défendu de manger ? 12 L’homme répondit : La 
	femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. 
	(LSG) 
	Ici, ils 
	s’étaient coupés de l'Esprit Saint ou Ruach de Dieu. Ils ont entendu le son 
	de Yahovah elohim. Il s'agissait de la brise (SHD 7307) du Jardin ou 
	la fraîcheur ou le ruach du jour. L'Esprit du jour était le Ruach.
	 
	Ils avaient 
	péché, et ils se sont cachés loin de Dieu au milieu des arbres du Jardin. La 
	première question de l'Ancien Testament est la question de Dieu au pécheur 
	qui se cache (Genèse 3:9). Yahovah elohim dit à Adam et Ève : "Où es-tu 
	?"
	 
	Ceci est en 
	contraste total à la première question dans le NT dans Matt. 2:2) du pécheur 
	qui dit : ‘où es-tu ?’ 
	Matthieu 2:2  et dirent : Où 
	est le roi des Juifs qui vient de naître ? Car nous avons vu son étoile en 
	Orient, et nous sommes venus pour l’adorer. (LSG) 
	Ici nous avons 
	des Mages ou hommes sages qui cherchent le Fils de Dieu et la rédemption 
	qu’ils avaient perdue quand Adam a péché. Ainsi, l'être qui les recherchait 
	dans le Jardin était recherché par les sages lorsqu’il venait pour les 
	racheter. Cette sagesse n’est pas venue des hommes, mais du Ciel.
	 
	Adam entendit le 
	son et se cacha, car il était nu. Cette connaissance qu’il ne possédait pas 
	auparavant est venue du fait de connaître le bien et le mal. L'argument 
	avancé selon lequel seule la connaissance du bien était la voie de Dieu 
	n'est pas vrai.
	 
	En outre, nous 
	savons que l'être était l'Ange de Yahovah ou Yahovah Elohim, car nous savons 
	qu’aucun homme n'a jamais vu Dieu ou entendu sa voix sur le témoignage de 
	cet être en tant que Jésus-Christ (Jean 5:37). 
	Jean 5:37 Et le Père qui m’a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. 
	Vous n’avez jamais entendu sa voix, vous n’avez point vu sa face, (LSG)
	 
	Donc, ce Yahovah 
	elohim, basé sur le témoignage de Jésus-Christ (et des apôtres), n’était pas 
	le seul vrai Dieu.
	 
	Nous voyons plus 
	loin que ce que Satan avait dit était en fait vrai et que la connaissance du 
	bien et du mal, était nécessaire pour s’éloigner du statut d’elohim.
	 
	Qu'est-ce que le 
	Yahovah elohim a dit aux autres ? 
	Genèse 3:21-24 L’Éternel Dieu [Yahovah elohim] fit à Adam et à sa femme 
	des habits de peau, et il les en revêtit. 22 L’Éternel Dieu dit : 
	Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien 
	et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre 
	de vie, d’en manger, et de vivre éternellement. 23 Et l’Éternel 
	Dieu le chassa du jardin d’Éden, pour qu’il cultivât la terre, d’où il avait 
	été pris. 24 C’est ainsi qu’il chassa Adam ; et il mit à l’orient 
	du jardin d’Éden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder 
	le chemin de l’arbre de vie. (LSG)
	 
	Tous ces êtres 
	avaient la connaissance du bien et du mal. Et Yahovah Elohim dit : voici, 
	l'homme est devenu comme l'un d'entre nous pour la connaissance du bien et 
	du mal. Maintenant, de peur qu'il ne prenne de l'arbre de vie, n'en 
	mange et ne vive éternellement, il devait être banni du jardin.
	 
	De la même 
	manière, les démons se sont vu refuser l'accès à l'arbre de vie sur une base 
	permanente. En ce sens, ils n'étaient plus 
	“immortels” dans le sens d'avoir une vie aionion, mais ont été confinés 
	dans le temps et l'espace comme nous le voyons dans les textes ici et dans 
	les évangiles du NT en général. Ainsi, la connaissance du bien et du mal, 
	combinée à l'arbre de vie, les rendaient elohim.
	 
	Satan était 
	correct dans ce qu'il a dit à Ève. Lui, en tant que Chérubin, avait cette 
	connaissance, tout comme le Yahovah elohim ou le commandant délégué qui 
	régnait au nom de Yahovah des Armées, qui est ce que cet être était.
	 
	Donc, il est 
	absurde d'affirmer qu’un arbre a nécessairement conduit à la mort. L'arbre a 
	été interdit parce que Dieu avait un plan, qui aurait permis aux humains de 
	progresser vers le statut d’elohim au sein d'une structure différente de 
	celle que nous connaissons maintenant.
	 
	Ayant provoqué 
	cela, Satan s’est alors vu confier la responsabilité de mener la création à 
	son terme et pour cela il sera jugé. La façon dont il a décidé de traiter 
	les êtres humains a dicté la façon dont lui et le Messie devaient eux-mêmes 
	faire l’expérience de la création.
	 
	Négligence 
	coupable 
	Il y a là un 
	argument très sérieux dans le Déterminisme. Si Dieu connaissait et a placé 
	les deux êtres ici en charge de la création et s’Il savait que Satan 
	nuirait, Il a une responsabilité dans les événements. Étant omniscient, Il 
	doit avoir su, car autrement le Messie ne pouvait pas avoir été l'agneau 
	immolé avant la fondation du monde.
	 
	Soit Dieu n'a 
	pas instruit correctement Yahovah elohim, soit Il voulait permettre à ces 
	deux êtres de déterminer par leurs propres actions la méthodologie du plan 
	de salut pendant la durée de l'épreuve. Par la non-intervention, Dieu 
	pouvait aussi tester l’Armée dans ses responsabilités à tous les niveaux.
	 
	Christ en tant 
	que Yahovah elohim agissant par délégation et n’étant pas omniscient comme 
	nous le voyons à partir des textes ultérieurs, a dû soit ne pas avoir été 
	informé, soit avoir contribué à la chute en n’agissant pas.
	 
	Dans les deux 
	cas, le transfert de contrôle a été affecté de Yahovah elohim au Nachash qui 
	fut jeté à terre. Ce Nachash, en tant qu’Étoile du Matin, avait encore accès 
	au trône de Dieu sur une base répétitive comme nous le voyons dans Job 1:6 ; 
	2:1.
	 
	La terre a 
	ensuite été maudite à cause de la transgression d'Adam et Ève. C'est tout le 
	concept qui se cache derrière Deutéronome 32:8. La loi était donc en vigueur 
	à partir de là et les malédictions sont entrées en vigueur.
	 
	Si le Yahovah 
	elohim n'a pas agi pour protéger, il est coupable de la même manière que les 
	parents sont coupables, s’ils ne parviennent pas à protéger leur enfant 
	contre les dangers qui vont entraîner la mort.
	 
	Toute la 
	structure semble avoir été initiée par Dieu pour tester les elohim d'abord, 
	puis le fait de leur avoir donné la structure et les alternatives leur 
	permettant de mener la création à son terme.
	 
	Les Esprits ici 
	sont de deux sortes. La première est celui de l'obéissance et la seconde est 
	celui du désir d'être en dehors de la volonté de Dieu. Ce format est 
	essentiellement ce qui a été induit ici. Il ne fait aucun doute que cela a 
	induit un sentiment de conscience de leur condition par rapport à l'elohim.
	 
	Ainsi nous ne 
	parlons pas d'une prise de conscience de leur nudité l’un de l’autre. Nous 
	parlons de la prise de conscience de la nudité de l'autre devant l'elohim 
	duquel ils ont acquis la connaissance après leur exposition.
	 
	Il ne fait aucun 
	doute que Dieu le Père savait que cela allait arriver. La participation du 
	Christ en tant que Yahovah elohim à cela n'implique pas une omniscience au 
	même niveau que celle de Yahovah des Armées.
	 
	Le Plan de Dieu 
	englobait donc bien plus que tout autre être, y compris Christ, ne le 
	savait. C'est pourquoi Christ a également été testé dans l'obéissance et la 
	foi, car l'omniscience entraîne l’absence nécessaire de foi. Car là où il y 
	a une certaine connaissance, il n’y a pas besoin de foi.
	 
	Le prélude à cet 
	argument est souvent pris pour affirmer que Dieu est un Seul Être dans deux 
	ou trois hypostases. Un exemple de ce point de vue est la déclaration de 
	l'Église Universelle de Dieu (Worldwide 
	Church of God) dans sa brochure In the Beginning : 
	Answers to Questions from Genesis (WCG 1980, p. 2.) :
	Considérez Jean 1:1 : "Au commencement était la Parole et la Parole était 
	avec Dieu et la Parole était Dieu." 
	C'est la toute première trace préhistorique. Cela pourrait avoir eu lieu 
	il y a des millions ou des milliers de millions d'années. Les deux 
	Personnages Spirituels éternellement vivants, qui constituent ensemble le 
	Dieu UNIQUE, étaient SEULS dans le vide. Il n'y avait pas d'univers 
	physique, - PAS ENCORE.
	 
	L'article passe 
	ensuite pour parler de Dieu au singulier : 
	Mais alors même que l'homme pense, dessine et planifie avant de faire, de 
	même Dieu a conçu le plan et la conception pour créer les anges – des êtres 
	spirituels immortels, composés entièrement d'esprit. Dieu a créé les anges 
	avant la création de la terre. Nous savons qu'ils avaient été créés avant la 
	terre parce qu'ils ont chanté ensemble et ont crié de joie à la création de 
	la terre (Job 38:4-7) (emphase conservée).
	 
	Il s'agit d’une 
	théologie païenne pure et simple. Elle découle directement de l'adoration du 
	dieu Attis à partir de laquelle le Modalisme du système romain a été 
	développé. Ceci est examiné dans le document d’étude 
	Les Origines de Noël et de 
	Easter/Pâques (No. 235). Dans ce système, Dieu avait deux modes 
	d'existence en tant que Père et Fils. Ce fut ensuite amené au stade 
	Trinitaire en ajoutant le Saint-Esprit au Concile de Constantinople en l’an 
	381. Ce système Binitaire qui a tenté de faire une distinction entre les 
	deux entités a été développé à partir du Concile de Nicée en 325 EC.
	 
	Le système est 
	cependant païen et contraire à l'Écriture et au début de la pourriture 
	Trinitaire dans les églises de Dieu. Cela commence à partir de son 
	application ici, à la Genèse.
	 
	Regardez les 
	déclarations simples ici, de la Genèse. Yahovah elohim a parlé avec Adam et 
	Ève. Yahovah elohim a parlé au pluriel à l'elohim là et a dit et l'homme 
	est devenu comme l'un de nous. Ce sont des êtres multiples. Satan est 
	une Étoile du Matin et celles-ci sont mentionnées dans Job 38:4-7. Le Messie 
	est aussi une Étoile du Matin.
	 
	Il y avait trois 
	êtres elohim appelés anges et aussi Yahovah, qui est le nom de l’elohim qui 
	a parlé à Abraham et Lot comme nous le voyons ci-dessus.
	 
	Christ a dit 
	qu'aucun homme n'a jamais vu Dieu ou ne l’a entendu parler. Pourtant, Adam 
	et Ève ont parlé face à face avec Yahovah elohim, tout comme Moïse l’a fait. 
	Jacob a lutté avec lui. Il est clair que Yahovah elohim n'est pas le Père, 
	le seul vrai Dieu dont Christ a parlé dans Jean 5:37. En outre, il existe au 
	moins trois êtres dans l'Ancien Testament qui portent le nom de Yahovah mais 
	aucun d'entre eux n’est Dieu le Père, et trois d'entre eux sont identifiés 
	comme des anges.
	 
	Ainsi, la 
	distinction est erronée, car elle est faite par ces Binitaires. Plus tard, 
	ces mêmes personnes ont pu écrire que Dieu et Christ, en tant que ces deux 
	êtres, pourraient avoir eu une discussion quant à savoir qui aurait pu 
	descendre pour être sacrifié. Le raisonnement est bizarre et saute du 
	Dithéisme au Binitarisme de façon incohérente, sans connaissance des paroles 
	du Messie lui-même.
	 
	Dieu Très-Haut 
	n’était pas ici à l'Éden, sauf par l'Esprit Saint. Les deux êtres qui se 
	trouvaient dans une position d'autorité et de contrôle étaient les deux 
	êtres supérieurs là.
	 
	Ils ont mis le 
	système en place pour la phase suivante. L’être prédominant ici en tant que 
	Yahovah elohim, est le même être mentionné dans Osée 12:3-4.
	 
	Ainsi, le plan a 
	été établi pour le test des elohim qui contrôlent la planète. Ils s'étaient 
	rebellés et ils allaient être testés en conformité avec les motifs de leur 
	rébellion.
	 
	Le système que 
	Satan avait préconisé a été mis en place et il a été placé à sa tête. La 
	nation d'Israël a toutefois été laissée de côté et donnée à Yahovah elohim 
	afin d’amener le monde entier au salut par le biais de cette lignée et ce 
	système qui serait mis de côté sous les lois de Dieu. Ainsi, le système tout 
	entier était en existence dès le début.
	 
	 
	
	
	
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