Christian Churches of God

[Q001]

 

 

 

Introduction au Commentaire sur le Coran

 

(Édition 3.0 20060112-20110507-20191211)

 

Le Coran ou Qour’an est une œuvre importante qui constitue le Saint Testament d'approximativement un milliard de personnes. Peu de gens comprennent son message original et son intention. Il s’agit à juste titre d’un commentaire de la Bible par les Sabbatariens Unitaires [Unitariens] en Arabie au septième siècle de l'Ère Courante (EC). Cet ouvrage explique sa théologie et son message. L'Introduction explique le fondement logique derrière la foi et la terminologie/langage utilisé dans le Coran.

 

 

 

 

Christian Churches of God

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 Introduction au Commentaire sur le Coran [Q001]

 


Note : Mouhammad est le nom pour l’église.

Ahmad fait référence à l’Esprit Saint

Le nom du prophète était Qasim (appelé Mouhammad)

 


Introduction

Les termes utilisés dans le Coran sont souvent embrouillés/confondus et détournés pour dissimuler ce qui est considéré comme des groupes religieux importants. Ce sont des termes dont la signification est en relation directe aux textes prophétiques de la Bible. Le Coran (ou Qour’an) moderne n’est pas lié aux Écritures Saintes dans son interprétation et a été mal appliqué par ses premiers commentateurs et ce, par les mêmes traditions et rumeurs que celles utilisées par les Pharisiens au début de l'Ère Courante (EC). Celles des Pharisiens sont devenues les traditions rabbiniques qui ont abouti à la Mishna, compilée autour de l’an 200 EC. La Mishna, qui a dénaturé les Écritures Saintes par les traditions orales, a par la suite été développée par encore plus de traditions pour donner naissance au Talmud, qui a continué à avoir une expansion bien au-delà du second millénaire de l'Ère Courante. Elle s'est développée sur une période de plus de mille ans. Et il en va de même des traditions qui ont provoqué la déformation de l'Islam, appelées Hadiths ou Ahadiths, qui sont des corruptions des directives et enseignements originaux du Coran.

 

Il y a certainement eu un prédicateur principal (Mursal) en Arabie qui a introduit les Sourates du Coran aux Arabes paganisés et autour desquelles la plupart des Ahadiths sont basés. Son nom d'origine a été mentionné comme Qasim, parfois comme Abu Qasim ou Père Qasim, bien que des tentatives aient été faites pour suggérer que cela pourrait signifier Père de Qasim, mais cela semble très peu probable. Il semble qu'il ait été un Prêtre Chrétien Monophysite avant qu'il ne soit baptisé un Sabbatarien, ce que le Coran indique qu'il était. Il faisait partie/était un des membres de l’Église Sabbatarienne d’Arabie. Tout en écrivant à son sujet, il serait plus approprié de ne pas se référer à lui comme Le Prophète, puisque ce terme se réfère spécifiquement aux descendants génétiques qui ont la meilleure revendication (Q3:68) à la nation d'Abraham (Q6:161 ; Q16:120). Et tout comme leurs membres greffés, ces descendants ont hérité l'autorité de la réforme religieuse qui a débuté avec les enseignements de Jean le Baptiste, et qui a été reprise par Christ et les apôtres. Cette réforme a conduit à la fondation des Églises de Dieu dans leurs différentes localités et administrations. C’est cette organisation qui est le Nasraani (Q3:67) AhlulBayt (Q33:33) des épouses de Rasulullah (Q33:53) les Mursalin (Q2:252) possédant l'Esprit de Prophétie. Elles sont également connues dans le texte comme Al-Ansaar.

 

Celui qui a dicté les paroles qui composent le Coran original était un prophète pour les Arabes. Si nous pouvons lier son message directement à la Bible, nous pouvons alors le qualifier de prophète de Dieu envoyé aux Arabes. Dieu a dit par l’intermédiaire du prophète Ésaïe que s'ils ne parlent pas selon la loi et le témoignage, alors il n'y a aucune lumière en eux (Ésaïe 8:20). Cela a été la norme/standard du test d'un prophète au cours de la révélation de Dieu à l'homme à travers les prophètes enregistrés et admis. Ainsi, cet homme, et le message du Coran (Qour’an) qu'il a dicté, doivent être en accord avec la Loi et le Témoignage pour être considéré comme parole inspirée par Dieu, ou que Dieu a soufflée. Le Coran affirme sans conteste que c'est là l’exigence de la foi, et ce, dans les diverses Sourates, ou chapitres, qui composent son texte (e.g. Q3:3, Q4:82, Q5:47). Le livre exhorte et incite ses disciples à tenir compte des écrits de la Bible, y compris les Évangiles et les écrits qui constituent le canon admis des Écritures Chrétiennes (Q5:68). Personne ne peut prétendre être un disciple de l'Islam et ignorer les enseignements de la Bible, comme nous allons le voir en lisant les paroles du Coran lui-même.

 

À la Sourate 10:64, nous lisons : Aucun changement ne peut y avoir dans les paroles d'Allah …

 

Le Coran est donc un commentaire des Saintes Écritures de la Bible, de la même manière que le Nouveau Testament (NT) est un commentaire sur des Saintes Écritures de l'Ancien Testament (AT). Le Coran constitue un rapport historique des combats/luttes et des problèmes de l’Église primitive, tels que consignés par les disciples de Christ sous l'inspiration de l’Ahmed, le Loué, ou l'Esprit Saint. Le test critique de l'inspiration consiste en ce qu'il confirme et s’appuie sur le texte de la Bible et ne contredit pas les œuvres inspirées qui la précèdent.

 

Le nom du prédicateur en question ne doit pas être confondu avec l'utilisation du terme Mouhammad, car il ne s’agit que d’un sceau ou d’un titre. C’est comme si on appelait quelqu'un Noblesse ou Royauté. Ce titre a le sens de groupe de personnes défendues par l’Ahmed (l’Avocat), l'esprit de Jésus le Fils de Dieu. Mouhammad est en fait "Le Sceau" des 144000 prophètes.

 

L'Apôtre de l'Arabie était probablement un Nasaari Monophysite lorsqu’il a épousé sa première femme Chrétienne. Il est très probable que l'homme dont nous parlons ici ait été une personne de la foi Chrétienne qui a été instruite et éduquée par les membres de sa famille, soit directement, soit par mariage. Selon les premières traditions, c’est l'oncle de son épouse qui lui a enseigné les Saintes Écritures. Son intérêt sérieux pour les Écritures Saintes l'a amené à être connu sous le nom de Père Qasim, ce qui est un titre interdit à la vraie foi par Christ, à moins qu'Abu Qasim signifie "père de Qasim". Très tôt, son vif désir de chercher la vérité dans les Saintes Écritures a attiré son attention et lui fit découvrir des problèmes avec la doctrine Monophysite Nasaari, qui semblait contredire les textes originaux eux-mêmes. Fondamentalement, l'Esprit commençait à l'appeler à travers le voile, ce qu’on appelait le "Evangelion". Il cherchait la véritable Église. Les écritures de Purana de l'Inde montrent qu'il est devenu connu aux Églises de Dieu basées dans ce pays. Le Mouhammad de l’Église l’a appelé lors d’un rêve, et l'Apôtre de l'Arabie a eu une vision au cours de ses méditations dans la grotte. Cela l’a terrifié, mais l'a inspiré. C'est ainsi qu'il est devenu un Unitaire [Unitarien] Sabbatarien de l'Église là en Arabie, en se faisant baptiser (à nouveau) avant sa mission. Ne descendant pas génétiquement d'Aaron ou de Lévi, il a été greffé dans l’AhlulBayt des épouses de Rasulullah en tant qu’un Mursal Nasraani Sabi (TheoSebes/ QEO-SEBHS/sebovmenoi = Adorateur de Dieu). Plusieurs Hadiths attestent qu'il est devenu un Sabi. En tant que Mursal (Épouse de Rasulullah), il a reçu de plus en plus de compréhension et de connaissances. Finalement, à partir de son baptême, il a été fortifié/renforcé dans l'Esprit Saint (Ahmed) et a atteint l'état de Mahmoodan, devenant Mouhammad en tant qu’un vrai Chrétien dans les Églises de Dieu.

  

Des rébellions ont éclaté après la mort de ce Mouhammad (que nous ne connaissons par ailleurs que par les traditions et de manière incorrecte sous le nom de "Père" Abu Qasim). Un autre "Père" Nasaari (de) (Abu) Bakr a organisé l'Église locale et a établi le Califat. Omar a ensuite pris le contrôle.

 

Il s’avère que les Quatre Califes Correctement Guidés appartenaient à la véritable Église de Dieu. Cette question doit faire l'objet de recherches approfondies et doit être correctement étudiée, mais cela est évident et ressort à la lecture du texte du Coran lui-même en ce qui concerne le baptême, les Sabbats, l'histoire et les injonctions concernant la Loi et les Évangiles. Ils étaient certainement des Unitaires [Unitariens] Sabbatariens qui défendaient et préconisaient la foi et le baptême. Il semble certain qu’Ali, le beau-fils de l’Apôtre d’Arabie, en était membre, et qu'il a fini par atteindre lui aussi l'état de Mahmoodan. Cependant, ce n'était pas Al, mais Usman qui a pris le contrôle après la mort d'Omar. Il a brûlé tout élément de preuves de l'Église qui allaient à l’encontre de ses plans et a fait tout ce qu'il pouvait dans le but de tromper les "brebis", étape par étape, sans se faire prendre sur le fait par la majorité. Cependant, le parti d'Ali savait ce qui se passait. Lorsque Usman est mort, Ali a pris le contrôle, mais les Usmanites étaient devenus très influents et forts. Ali a été tué et finalement l'Église a dû se cacher et retourner dans la clandestinité. Le Coran enjoint/exige le baptême (ghusl) de Dieu aux fidèles, mais le Hadith a dénaturé/déformé cet enseignement par des détournements.

 

Selon le Coran, tous les (144000) prophètes ont prêché [le] Mouhammad. Par la suite, Mouhammad est appelé "Le Sceau" des prophètes (a. k. a. Rasool) devant lequel passent tous les Rasools (Q3:144). Rasool, habituellement traduit par "Messager", ne représente en réalité rien d'autre que la vraie (Q3:86) religion, qui est devenue l’Époux (Q33:53), qui est Christ. Puisque les Mursalin sont les épouses de Rasulullah (Q33:53), Rasool peut également se référer à eux (Q63:1, 7:158). Bien sûr, puisque certains Mursalin sont Mouhammad, Rasool peut aussi faire référence à Mouhammad (Q33:40, Q48:29).

 

AlAlihatun (Q38:5) fait référence à TOUS les attributs de l’Unique (Allah), y compris Notre Père, les anges en tant qu’autres Elohim (Q6:19) ou Fils d'Eloah, ainsi qu’aux attributs de tous les Élus dans leur état futur. Le même concept s’applique dans l'Ancien Testament où tous les messagers d’Eloah sont appelés Yahovah (YHVH). Eloah est le Yahovah des Armées. La forme étendue est Elohim en tant que pluralité. Eloah est Ha Elohim ou LE Elohim en tant que l'entité centrale, mais tous les fils de Dieu sont elohim.

 

Le Coran (Qour’an) à la Sourate 3:18 déclare : "Le Lah lui-même est témoin qu'il n'y a aucun autre Eloah qui sauve, et les Anges (Maleikah) et les hommes qui ont de la connaissance (aussi sont témoins). Soutenant sa création dans la justice, il n’y a aucun Eloah qui sauve à part Lui, le Tout-puissant, le Sage." 

 

Ainsi, la profession de foi de l'Islam (Shahaadah) est correcte en ce sens qu'il n'y a aucun autre Eloah, que Eloah (La Elaaha Ella Allah (voir aussi 37:35 ; 47:19)). Cependant, ce concept fondamental est démoli par l'ajout des mots : "Et Mouhammad est un prophète de Dieu." Rashad Khalifa dit : "les Musulmans corrompus insistent pour ajouter une deuxième "Shahaadah" dans laquelle ils proclament que Mouhammad est le Messager de Dieu. Ceci est par définition 'Shirk' (de l'idolâtrie) et un mépris flagrant de Dieu et de Son messager." (R. Khalifa, Koran The Final Testament (Rév. édition II) Universal Unity Freemont. Note de bas de page à 3:18 p. 305). Si ces Musulmans se réfèrent au prophète Arabe, alors ils parlent contrairement au Coran et ce, de manière idolâtre, car le Coran déclare que la foi ne fait aucune distinction entre les prophètes. Tous les prophètes sont égaux dans leur inspiration de Dieu. Khalifa dit à juste titre que c'est de l'idolâtrie lorsque les Musulmans font cette profession de foi supplémentaire, à savoir que Mouhammad est le prophète de Dieu. Cependant, s’ils parlent de l'Église en tant que Mouhammad, ils englobent alors tous les prophètes sous cet aspect et de ce fait ne sont pas idolâtres.

 

Peut-être convient-il d'appeler simplement le prédicateur le Prophète de l’Arabie, jusqu'à ce que nous en sachions un peu plus grâce à l’analyse des écrits qui le concernent.

 

Le prédicateur était celui qui a délivré ces messages à un monde arabe paganisé. Ce monde était dominé par une aristocratie juive hérétique et des tribus juives influentes hérétiques qui rejetaient Gabriel comme étant un ange déchu et adoraient Esdras comme le Fils de Dieu. Le Coran appelle les Juifs orthodoxes Alladhina Hadu, mais réserve le terme Alyahudi uniquement pour désigner ces seuls hérétiques. Cette secte manipulait les Arabes et tentait de détruire les œuvres des Églises de Dieu (les Chrétiens "Juifs" et leurs "prosélytes") en Arabie. À en juger par les écrits actuels du Coran, il semble que cet homme et son groupe aient joué un rôle clé dans cette grande lutte pour l'indépendance et la vérité Biblique par rapport/contre les hérésies Trinitaires qui étaient formulées en Occident. Ils étaient alliés avec les Chrétiens Sabbatariens de l'Ouest. Ces Sabbatariens, appelés "Pauliciens", formaient le tampon en Asie Mineure (jusqu'aux Montagnes du Taurus) contre les Trinitaires qui utilisaient l'Empire d’Orient à Constantinople comme base.

 

Les païens ont détruit le message du Coran comme les Pharisiens l’ont fait avec l'Ancien Testament, et comme les Trinitaires basés dans l'Empire Romain l’ont fait avec tout le canon des Saintes Écritures. Le symbolisme de l'Islam, tel que le croissant de Lune, est largement dérivé du paganisme introduit par les Turcs aussi tardivement qu’au XVe siècle. C’est totalement en contradiction avec la Bible et le Coran.

 

Ainsi, deux grandes divisions, dans ce qui était prétendument une seule foi basée sur la Bible, ont été créées là où il n’aurait pas dû y en avoir.

 

La Théologie dans le Coran

Le terme "Déesses" (ALHT) apparaît 15 fois en référence aux idoles. Q4:117, 37:149-150 et 43:19, toutes ces Sourates se prononcent toutes contre les divinités féminines, mais autrement les noms de Dieu utilisés dans le Coran sont les mêmes que ceux dans la Bible. Le Coran utilise le singulier ALH (prononcé "ilaha", ou, si l’on se réfère uniquement à l’Unique, il est prononcé ilahun) de la forme équivalente hébraïque Eloah ; et ALHH (prononcé alihatun) de la forme équivalente chaldéenne/araméenne Elahh (en hébreu Eloah) en référence aux attributs de L’Unique. Par exemple, ALHH apparaît pour la première fois dans Q6:19 et la première apparition de ALH est à la ligne Q2:133. Cependant, le Coran utilise ces noms avec parcimonie et le terme descriptif (le)Lah (Ton-Theon [du grec], interchangeable avec Allah-Alrahman-Alrahim, et Alrahman-Alrahim, et Huwa, et Alrahman, et Al-Alihatun, et Ilahun Wahidul – L’Unique Véritable Dieu) est utilisé de manière prédominante à la place

 

Le Lah (Allah) est clairement différent de tous ces termes en ce sens qu’il s’agit d’une description. En hébreu, ce serait (Ha)Loah. Il apparaît soit avec l'article défini, soit seul, et n'a aucune autre forme. Ce terme a été révélé parce que tous les autres mots désignant Dieu avaient reçu des formes plurielles, des formes féminines, ou étaient de nature masculine. Mais le terme "(Al)lah" était exempt de telles associations et a été révélé à une communauté soucieuse et zélée pour le préserver sous cette forme pour la postérité, et qui ne pouvait se référer qu’à l’Unique. Il correspond en hébreu à la forme singulière Eloah en hébreu.

 

L’hébreu "Eloah", comme l’arabe ALH lorsqu’il est prononcé "ilaha", n'est utilisé que pour d'autres entités dans la mesure où elles ne sont pas Dieu. Ha Elohim est commun, se référant uniquement au Père ou Elyon, le Dieu Très-Haut.

 

L'équipe est tout à fait sûre que le Coran utilise Lh comme racine pour toutes les significations sources possibles qui se trouvent derrière Eloah. Parmi ces significations, citons : grandiose /révéré /étonnant /éblouissant /déroutant. Théologiquement c’est "L'Unique", "La Source", "L'Ineffable", "Le Grandiose", "L’Étonnant". (La) Divinité est la meilleure traduction en français pour englober ses usages et sa signification.

 

C’est ce que Dieu le Père nous révèle. C'est notre destination. Elle [(La) Divinité] n’engendre pas ni n'a été engendrée. C’est vers elle qu’est notre retour. Elle émane du pur esprit la puissance de Dieu, l'Avocat lui-même. La distinction dans l'entité peut peut-être être décrite comme ceci : (La) Divinité est le Générateur et l’Ahmed ou l'Esprit Saint est l'électricité. Eloah est défini comme signifiant simplement la Déité, et (la) Divinité est mieux vue comme le centre de coopération/interaction qu’est Eloah. C’est probablement dérivé du pluriel chaldéen Elahh et de l'araméen oriental, qui est devenu le ilaha singulier arabe avec un article défini préfixé "Al-". En laissant intentionnellement tomber le "i-", ou simplement par la force des choses, cela a émergé comme Al-Lah’ (La Divinité).

 

Il existe quelques détails au sujet de la hiérarchie révélée dans le Coran (Qour’an). Ahmed est la substance qui fait d’un dieu un dieu, cependant, il n'y a pas de dieu sans (la) Divinité. Exactement de la même manière que "La Parole de l’Éternel" parlait par les prophètes d'autrefois et commençait par la formule "Ainsi dit le Seigneur", le Coran est narré par l’entremise du Nom de la Divinité Smillahalrahmanalrahim. Chaque chapitre est précédé de la formule équivalente : "Par le nom d'Allah-Alrahman-Alrahim" (Q1:1). Le début du chapitre 9 a été perdu et ainsi le Bismillah y manque. Le Bismillah ne fait pas partie de la révélation sauf dans les cas où il apparaît dans le discours. Dans une grande partie du Coran, le Nom de (la) Divinité fait des éloges à (la) Divinité qui est par-dessus tout (Q1:5). En outre, le Nom de (la) Divinité change/passe fréquemment de la narration à la première personne du singulier à la première personne du pluriel et inversement, même dans la même phrase (Q2:38). Ces modèles sont directement comparables avec la parole du Seigneur qui alterne avec la parole d'Elohim par l’entremise des Prophètes d'autrefois. Tout comme par exemple la "parole" du Seigneur dans Exode 4:22 et Jérémie 31:9 concernant Israël, le Nom de (la) Divinité nous parle à nous, en tant que ses enfants, dans Q31:16-19. Dans Q90:3, le Nom pourrait bien faire un serment par lui-même et par Jésus (Q19:15 et 33) respectivement, comme celui qui engendre et celui qui est engendré, ce qu’Hébreux 1:8-9 indique comme étant un certain "Elohim" (de Psaume 45:6-7) subordonné au Dieu Suprême. Dans Q43:57-60, le Nom de (la) Divinité qui parle décrit Jésus comme un Serviteur et un Calife, indirectement, tout en attestant de sa divinité. (La) Divinité, par ailleurs, bien qu'elle soit la source de l'Esprit (Q4:171, Q58:22) n’engendre pas (Q10:68, Q17:111, Q18:4, Q19:35, Q19:88-92, Q21:26, Q23:91, Q25:2, Q37:152, Q43:81, Q72:3) sauf par adoption (Q39:4) –, mais même dans ce cas, cela exige la déclaration d'une véritable filiation (Q33:5). Elle n'est pas non plus engendrée (Q112:3) bien qu'il n'y a aucun dieu sans elle (Q2:163). Or, bien que la matière soit notre mère, l'Esprit est notre père, cependant (la) Divinité n'a pas de conjoint (Q6:101). Néanmoins, le Nom de (la) Divinité est Notre Père, et par son nom (la) Divinité est notre patron/protecteur.

 

La Divinité est le centre de la coopération dans laquelle le Père est le créateur et la puissance qui guide la création. Le Lah est donc l'aspect qui est central mais distinct de l'Ahmed, qui est l'avocat en tant que l'Esprit Saint, qui donne la puissance aux élus et leur permet d'être des dieux en tant que fils du Très-Haut. L'Esprit Saint est ainsi ce qui relie les fils de Dieu à la Divinité (qui est l'entité aussi appelée Ha Elohim ou Eloah). Ainsi, nous pouvons voir que les Saintes Écritures en parlent comme le rapporte Jean lorsque Christ dit : "N’est-il pas écrit dans votre loi : ‘j'ai dit que vous êtes des dieux.’ S'il a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été révélée et si les Écritures ne peuvent pas être anéanties, vous dites de celui que le Père a envoyé dans le monde : Tu blasphèmes parce que j'ai dit ‘Je suis le fils de Dieu ?’" (Jean 10:34-36).

 

L'Église est révélée dans le Coran dans divers versets, tels que Q2:252 à Q48:29 ; Q58:22 et Q17:79. L'utilisation de "tu" ne désigne pas Mouhammad en tant qu’homme, mais l'Église et ses anges, tels qu’ils sont décrits dans le Livre de la Révélation (Apocalypse). Certains Soufis, et vraisemblablement les vrais Soufis, identifient l'Église dans Q48:29 et 58:22. Le message important pour les Musulmans est cette séquence :

 

Q2:252 :

"Voici les présages de la Divinité que Nous (Sifatullah) Te (Ô Mursal) citons selon La Vérité et EN VÉRITÉ ! TU ES L’UN DES MURSALIN."

 

Q17:79 :

"Et une certaine partie de la nuit, reste éveillée pour elle. Une magnanimité pour Toi (Ô Mursal). Il se peut que Ton Seigneur Te ressuscitera au rang de Mahmudan."

  

Q48:29 :

"MOUHAMMAD est la religion de la Divinité et CEUX qui l’ont (sur leurs fronts) sont durs contre les mécréants, et miséricordieux entre eux. Toi (Ô Mursal) LES vois ‘inclinés et prosternés, pour demander devant la Divinité grâce et agrément. LEUR marque (i.e. MOUHAMMAD  Sceau des 144000) est sur LEURS fronts par les traces laissées par leurs prosternations’ telle est LEUR ressemblance dans la Torah ; et leur ressemblance dans l’Evangelion est : comme le blé semé qui lance sa pousse et l’affermit et se dresse sur sa tige, émerveillant les semeurs – afin de faire enrager les mécréants à (la vue d’)EUX, la Divinité promet à ceux d’entre eux qui croient et font de bonnes œuvres le pardon et une immense récompense" (l'emphase est ajoutée pour mettre en évidence le sujet central du texte).

 

Ce texte fait référence à l'Église qui est le serviteur du Dieu vivant et qui a fait des lois de Dieu des fronteaux entre ses yeux, en témoignage à tous les hommes.

 

Q58:22 :

"Tu (Ô Mursal) ne trouveras pas des gens qui croient en la Divinité et au Jour Dernier, qui aiment ceux qui s'opposent à la Divinité et à sa religion, fussent-ils leurs pères, leurs fils, leurs frères ou leur clan. Car pour ces gens, ELLE a écrit la foi dans leurs cœurs et les a renforcés dans l’ESPRIT (i.e. Ahmed) DE ALLAH et les fera entrer dans des Jardins sous lesquels coulent des fleuves d’eaux vives, où ils demeureront. La Divinité les agrée et ils sont bien heureux avec elle. Ils sont du parti de la Divinité. En vérité ! N'est-ce pas ceux qui sont du parti de la Divinité qui ont le succès ?"

 

Les Musulmans, dans la majorité, ignorent que Ahmed n'est pas le nom d’Abu Qasim, mais c’est plutôt celui de l'Esprit Saint, c’est parce qu'ils ne lisent pas la Bible, et surtout le texte de Jean en araméen.

 

Avec cet élément d’informations utiles à l’esprit, nous devons alors nous demander : "qui est ce TU dans les passages ?" La réponse se trouve dans Q2:252 : il s’agit de l’un des MURSALIN.

 

La question que nous devons alors nous poser est : "Est-il l’un des Mursalin Mouhammad ?"

 

Selon Q48:29, la réponse doit être non, car la Parole de Dieu est en train de parler au mursal au sujet du Mouhammad.

 

Mouhammad est le sceau des prophètes selon Q33:40.

 

Demandez à n'importe quel Musulman combien il y a de prophètes, et ils vous diront 144000, mais ils ne comprennent pas ce que cela signifie. Nous, membres des Églises de Dieu, savons ce que cela signifie, mais eux non. Le sceau des 144000 est sur leurs fronts EXACTEMENT comme "ceux avec Mouhammad" dans Q48:29.

 

Q58:22 en est la preuve car cela nous dit précisément comment ils y parviennent. La réponse n’est pas seulement d’avoir l'esprit comme tout mursal baptisé dans l'Église, mais aussi d’être FORTIFIÉ en esprit, une expression qui n’est utilisée qu’à une seule autre occasion dans le Coran. Ce texte est utilisé dans Q5:110 à propos de Jésus Christ.

 

Les Musulmans doivent comprendre cette séquence du développement de la foi et du message adressé à l'Église (qu’est le Coran), afin d'être correctement développés dans la foi.

 

Une équipe a travaillé à rétablir le Coran original et à le traduire dans un simple anglais, et pour rendre clairement évidente la corrélation biblique du Coran dans ce commentaire. Nous pensons que l'un des concepts les plus importants dans le traitement du Coran est que les références à Christ et à l'Église ont été dénaturées/déformés et dissimulées, non seulement par les principaux partis de l'Islam, mais également par les Trinitaires à l'extérieur de l'Islam, qui sont tous deux condamnés par ces références.

 

Par exemple, les Sourates 3:144 et 5:75 indiquent que Mouhammad n'était pas du tout un nom à l'origine, mais simplement une façon de décrire ceux qui sont en communion avec Christ. Mouhammad n'est pas du tout un nom dans 3:144. Il s’agit tout simplement d’un adjectif "recommandé".

3:144 : Et rien n'est [le] recommandé, si ce n’est que la religion a passé de la même façon que toutes les religions d’avant. Ainsi si un tel meurt ou est tué, retourneriez-vous sur vos pas ? Celui qui retourne sur ses pas ne nuira en rien à la Divinité, mais la Divinité récompensera ceux qui paient de leur vie.

 

5:75 : Rien n’est Le Christ, fils de Maryam, mais la religion a passé de la même façon que toutes les religions d’avant et sa mère était une femme sainte, et tous les deux avaient l'habitude de consommer la nourriture (i.e. venus en chair), Vois, comment nous leur faisons comprendre clairement les révélations et vois comment ils se sont détournés !

  

Ce sont les deux seules fois dans tout le Coran (ou Qour’an) où cette expression est utilisée. Sourates 3:144 fait manifestement partie d'un passage qui commence à partir de 3:137 et qui parle de la mort du Christ. La conclusion est donc que les termes recommandé, Christ et alrasul (la religion) sont tous des termes différents pour la même chose : "la religion a passé de la même façon que toutes les religions d’avant" le sceau des Églises donné aux 144000. Le fait que non pas tous les prophètes sont "Mouhammad" indique que Christ est le sceau donné aux 144000 pour qu'ils le prêchent, et ce, même s'ils ne parviennent pas à communier avec celui-ci eux-mêmes, jusqu'au jour où tous seront un.

 

Toutes les références à "Tu" utilisées dans le texte du Coran se réfèrent au mursal membre individuel de l’église à un niveau personnel à moins que ce ne soit spécifié ou autrement qualifié par le contexte, comme par exemple dans 66:1 où le Qehilat est réprimandé pour avoir pris la décision de ses femmes mariées au lieu de consulter la prophétie.

 

Alislam, qui signifie La Soumission ou La Renonciation, est le terme utilisé pour désigner le système religieux et est effectivement devenu le nom de la religion. Cependant, il s’agit en réalité du nom du système juridique ou Din (Q3:19, 85 ; 5:3 ; 61:7-9). La Vraie Foi est le terme. Dans le Nouveau Testament, il s’agissait de la secte appelée La Voie ou la Foi Livrée aux Saints une Fois pour Toutes et c'est le sens qui est utilisé dans Q61:7-9. Il ressort clairement à partir de l'usage du Coran, et comparé au Nouveau Testament, que CHRIST est la personnification de notre religion en tant que révélation de Dieu à Maryam. Dans les lettres de Paul, par exemple, nous lisons que Christ est le Christianisme. Les Chrétiens sont des disciples de Christ et non pas les disciples du Christianisme. La Religion est également appelée le "Souvenir [Rappel] d'Allah" et Vérité. Le témoignage de Jésus est "l'Esprit de Prophétie". Il y a un autre aspect qui semble s’appliquer aussi comme reflété dans Gabriel (Q2:97). Gabriel est parfois appelé à tort l'Esprit Ameen (Q26:193) ou l'Esprit de Vérité, qui est l'Esprit Saint (voir Jean 14:17, 15:26, 16:13)). L'ange du Seigneur est apparu à Jean à Patmos en tant que celui qui est semblable au fils de l'homme (Apoc. 1:13). Après l'incarnation de Christ, cet être est identifié comme Gabriel, l'Ange envoyé aux Prophètes et à l'Église (Dan. 8:15-12:13), aussi bien qu'à l'Apôtre de l'Arabie dans la grotte.

 

Il n’y a qu’une seule référence (Q33:53) dans tout le Coran aux fiancées de Christ à la troisième personne (tous les autres étant un "Tu" direct). Toutes les références aux épouses du Prophète d'une part sont des références aux femmes mariées du Qehilat. Les filles d'Alnabi sont des femmes célibataires du Qehilat, par opposition aux femmes croyantes célibataires qui doivent faire le serment de fidélité afin de rejoindre le Qehilat en tant que fille. Ceci a une importance pour le concept des Épouses de Rasulullah dans l'appel au Royaume de Dieu.

 

Le Prophète (Alnabi) doit être identifié en tant que Le Qehilat (famille génétique et prosélytes accomplis), le Royaume de Christ sur terre et donc l'Église. AlBayt fait référence à une maison du prophète (c'est-à-dire une maison de loi) et AhlulBayt sont les juges, les avocats, le jury et leurs familles (à la fois ceux du Qehilat que des prosélytes maintenant accomplis), tous ensemble, ils sont les Épouses de Rasulullah et constituent le nouveau Temple.

 

Ce sont des clefs très importantes pour comprendre le Coran. Parce que l'Église et sa fonction sont évitées par les commentateurs Hadithtiques, le sens du Coran (Qour’an) est banalisé et mal interprété, de sorte que les disciples de l'Islam ne peuvent en tirer aucun sens réel.

 

On prétend que l'Église a été réprimée et supprimée dans ce qui est devenu un Islam corrompu et ce, après la mort des Quatre Califes Correctement Guidés.

 

Depuis peu, il y a des chiites en Irak qui peuvent se rendre désormais en pèlerinage sur la tombe du saint Imam Chiite Husayn. Il était le dernier opposant à la corruption qui avait commencé à s’installer partout dans la communauté Musulmane immédiatement après les Quatre Califes Correctement Guidés. Il était très probablement un dirigeant baptisé de l'Église de Dieu et il était un Sabbatarien pratiquant. Après sa mort, l'Église a opté pour la politique du silence pendant un certain temps. Un autre imam, appelé Jafar, était lié à ce mouvement souterrain, bien qu'il ne l'ait annoncé publiquement qu'en 613, en raison des dangers que cela représentait. En 613 EC (Ère Courante), Jafar, le cousin du Prophète, dirigea les persécutés de l'église de Becca/Pétra vers l'Abyssinie. Il est devenu un dirigeant/chef d'église à partir de cet acte (cf. Sourate 19 : Maryam (Q019) cf. aussi Chronologie du Coran Partie II : Becca et les Quatre Califes Correctement Guidés (Q001D). Les Chi'ites en Irak sont directement les descendants de groupes qui ont élevé un Jafar au statut "semblable au pape" et se sont eux-mêmes ainsi coupés de la vraie église. S'il était le Jafar qui était le cousin qui a mené les élus à Axoum et au Négus, alors on doit présumer que c'est lui. Après avoir rompu les liens qu'ils avaient tissés avec l'influence Sunnite, l'Église s’est déplacée vers d'autres régions et s’est consolidée dans ce qui est devenu des centres de culture Sufi aussi loin que la Chine.

 

L'Église a été guidée par l'Esprit Saint et c’est le Ahmed/Avocat dont il est question dans le Coran. Le mot Mouhammad est équivalent à une signification plurielle signifiant : ceux qui sont recommandés. Jésus était le Fils de l'Homme de la Bible, et Mouhammad (ou ceux qui sont recommandés) sont les fils de l'homme de leur royaume. Jésus était le premier fruit du Mouhammad. Mahmoodan est la forme adjectivale, par exemple : " atteindre l'état de Mahmoodan". Les Quatre Califes jusqu’à Hasan, Husayn et Jafar étaient également les derniers Mouhammad.

 

Nous lisons donc que ces Mahmoodan sont décrits par le même terme que celui utilisé pour Christ :

3:144 : Et rien n'est [le] recommandé, si ce n’est que la religion a passé toutes les religions d’avant. Ainsi si un tel meurt ou est tué, retourneriez-vous sur vos pas ? Celui qui se retourne sur ses pas ne nuira en rien à la Divinité, mais la Divinité récompensera ceux qui paient de leur vie.

 

33:40 : [Le] recommandé n'est pas un père sur les hommes parmi vous, mais est La religion de la Divinité et Le Sceau-(144000) du Prophète...

OU...

Mouhammad ne sont/est le père d'aucun homme, mais tels sont La religion de la Divinité et Le Sceau-(144000) du Prophète...

 

En cela, nous pourrions voir Ésaïe 9:6 et le Messie en tant que père éternel à qui est conféré l'honneur en tant que La religion de la Divinité des 144000 prophètes. Christ est l'image (Du grec : icon, de l’hébreu : Micha) de Dieu (El).

 

Le Chapitre 7 d’Apocalypse traite des 144000 prophètes , de leur assignation aux tribus (à raison de 12000 par tribu) et de leur présence auprès de Christ en tant que prêtres personnels qui supervisent La Grande Multitude, qui est l'Église.

 

47:2 : Et ceux qui croient et accomplissent des bonnes oeuvres et qui croient en ce qui est révélé au Mouhammad - et c'est la vérité venant de leur Chef – cela leur efface leurs méfaits et améliore leur condition

 

L'état Mahmoodan est celui d'être l'ange de Christ, et par conséquent, Mouhammad révèle Christ (qui est la vérité) à partir de la Divinité à travers lui/elle-même. L'importance ici consiste en ce que la foi doit être démontrée par les oeuvres. Ce concept est développé par les Apôtres Jacques, Jean, Pierre et Paul. Jacques affirme que la foi sans les oeuvres est morte (Jac. 2:14-26). Ce texte renvoie aux sentiments du Nouveau Testament au sujet de la foi et les oeuvres.

  

Nous voyons aussi ici que Mouhammad est la religion de la Divinité qui est, les images de l’Unique Véritable Dieu par l'Esprit de Dieu.

 

48:29 : Mouhammad est La religion de la Divinité et ceux qui l’ont (sur leurs fronts) sont durs contre les mécréants, et miséricordieux entre eux. Toi (Ô Mursal) les vois ‘inclinés et prosternés, recherchant devant la Divinité grâce et agrément. Leur marque est sur leurs fronts par les traces laissées par leurs prosternations’ – telle est leur ressemblance dans la Torah ; et leur ressemblance dans l’Evangelion est : comme le blé semé qui lance sa pousse et l’affermit, et se dresse sur sa tige, émerveillant les semeurs – afin d’enrager les mécréants à (la vue d’)eux, la Divinité promet à ceux d’entre eux qui croient et font de bonnes œuvres le pardon et une immense récompense.

 

Ce texte montre que ceux de la foi, comme représentants des Églises de Dieu, sont comme les Anges de la Révélation (Apocalypse) de Dieu. Ils sont la semence de blé semée sur la terre fertile des évangiles. L'Esprit Saint les transforme en l'image du Dieu invisible en tant que la manifestation de la religion de la Divinité. Le texte se réfère également à la prière pieuse telle qu'elle a été commandée et dont l’image se trouvait dans la Torah. Ainsi, ils suivaient les lois de Dieu dans la Torah. La documentation concernant la sunnah de l’Apôtre de l'Arabie témoigne de l’état de l’observance intégrale de la Torah par l'homme, et c’est cela qui lui permet d’atteindre l'état de Mahmoodan et de continuer à progresser jusqu’à devenir un vrai Mursal.

 

Q42:51 s’adresse au Mursal concernant la progression à partir de son (il ou elle) passé vers sa condition actuelle. Cela est fait par l'intermédiaire de l’Esprit Saint depuis le baptême et par la foi L'Esprit Ameen (Q26:193). Certains Musulmans identifient l'Esprit Ameen comme étant Gabriel à partir de Q2:97, alors qu’en fait, l’un est la puissance de Dieu dans l'individu et l'autre est le messager de Dieu envoyé à l'Église qui assiste Christ.

 

Dans le texte du Q17:79, nous voyons que le Coran déclare que la tête/chef de l'Église, i.e. Dieu à travers Christ, conférera au Mursal (un membre de l'Église ou une fiancée de Christ) l’état de Mahmoodan ou de devenir Mouhammad, c'est-à-dire, étant recommandé ou un de ceux qui sont recommandés à condition que le Mursal garde/observe la veille de nuit (comparer ceci aussi avec la règle de la communauté du Qumran). La Veille de Nuit est une référence directe à la Nuit de Veille désignant les nuits ou la nuit de la Pâque. Le processus a commencé au début du 14 Abib qui est le Dîner du Seigneur et le commencement de la Pâque. Tout comme Christ a été fortifié à ce moment-là, ainsi aussi celui qui veille est fortifié. C’est au cours de cette nuit que Christ a été pris et jugé, puis exécuté le lendemain sur le poteau. Il était l'Agneau de la Pâque et il a été tué en tant que l'Agneau de la Pâque. Durant cette nuit-là, l'Église a maintenu une veillée appelée la Nuit de Veille ou la Soirée Mémorable (Nuit d’Observation) jusqu'au petit matin du Jour Saint des Pains sans Levain, où ils retournaient à leurs tentes [demeures temporaires] (cf. Deut. 16:5-7).

 

Q17:79 reprend le concept des Églises de Dieu contenu dans les chapitres 2 et 3 de l'Apocalypse pour développer le processus de sélection des Sept Églises. Cette période durant laquelle le Coran a été écrit, était l'ère de Pergame. L'église du Prophète Arabe ainsi que celle des Pauliciens avec laquelle ils s’étaient alliés étaient guerrières et ne pouvaient pas être forcées/entraînées dans une soi-disant orthodoxie. Cependant, elles n'étaient pas parfaites et Christ a dit qu’elles devaient se repentir autrement il viendrait contre elles avec l'épée de sa bouche.

 

17:79 : et d’une certaine partie de la nuit éveillée pour elle, une largesse pour Toi, Ô Mursal

Il se peut que Ton Chef Te ressuscite à une position de Mahmood (i.e. de Mouhammad).

 

Le mot grec paraclete (periklytos/paraklytos), qui est le terme traduit pour désigner le Consolateur, identifié dans Jean 14:26 comme étant l'Esprit Saint, signifie littéralement "appeler au côté de". Le terme habituellement utilisé pour le traduire dans le texte araméen de la Bible est Mahmed, qui a également le sens de loué ou célébré à partir de la base Ahmed. Ce terme est censé véhiculer/transmettre les mêmes concepts que ceux que nous voyons dans le terme “Mouhammad.”

 

C'est pourquoi la Sourate 7:157 se rapporte à l'Esprit Saint :

Ceux qui suivent la religion, le prophète des nations, qu’ils trouveront décrite dans la Torah et l'Évangile qu’ils détiennent, il leur ordonnera ce qui est juste et leur interdira ce qui est mal. Il leur rendra licites toutes bonnes choses et leur interdira seulement ce qui est impur et il les soulagera de leur fardeau ainsi que des chaînes qu'ils ont eu l'habitude de porter. Ceux qui croient en lui et l'honorent et suivent la lumière qui est envoyée avec lui : ceux-là sont ceux qui réussissent.

 

Ce texte est conditionnel. SEULS ceux qui suivent la religion se verront être guidés par l'Esprit Saint par le biais du Qehilat. Le texte ne peut pas se référer à la personne qui a dicté la Sourate, et il est blasphématoire de l'attribuer à un homme quel qu'il soit. Il fait référence directement aux commentaires du chapitre 14 de Jean.

 

Le texte de Jean 14:26 concernant l'Esprit Saint est à nouveau mentionné dans la Sourate 61:6 :

"Et quand Jésus fils de Marie (Maryam) a dit : Ô Enfants d'Israël ! En vérité, je suis la religion de la Divinité à vous, confirmant ce qui a été (révélé) avant moi dans la Torah et exemplifiant une religion qui vient après moi, dont le nom est Ahmed. Cependant, quand cela vint à eux avec les preuves claires, ils dirent : ce n'est que de la magie" (Sourate 61:6)

 

La référence à l'Esprit Saint (Ahmed) se réfère également aux réactions qui ont été observées lorsque l'Esprit Saint accomplissait les miracles que celui-ci a faits, et au fait que cela a été assimilé à de la magie et, dans un premier temps, pour de l’ivresse chez les apôtres. Tel est le sens de cet ayat, ou verset de la Sourate 61.

 

Le Cantique des Cantiques porte cette signification au chapitre 5:16. Le terme traduit par bien-aimé dans la version LSG est du code Strong 4261 Machmad qui est dérivé du verbe chamad (SHD 2530), signifiant désirer ou prendre du plaisir dans, s'en délecter, d’où beauté et grandement aimé. En araméen, cela signifie, louer ou faire l'éloge ou approuver. C’est la même chose que la racine dans Ahmed, qui est HMD. Cet usage est lié au concept de Christ louant les élus dans la congrégation du Très-Haut. Le mot dans 5:16 est Machmadim qui exprime/transmet le sens collectif de l'objet d'affection.

 

Machmad ou Mahmed signifie un objet d'affection et par conséquent, bien-aimé. Le bien-aimé dans le Cantique des Cantiques 5:16 se réfère à Christ vu que le Cantique se réfère à Christ et à l'Église (voir le document de CCG Le Cantique des Cantiques (No. 145)). De ce fait, la signification de l'hébreu peut être transférée dans sa référence au Christ et au corps et être vue comme le Mahmed dans l’araméen oriental, et donc l'arabe. Mouhammad est Christ et les bien-aimés ou personnes louées dans l'Église.

 

Lors des discussions sur les travaux, un point très convaincant/pertinent a été soulevé concernant la structure du Coran et les textes de la Bible.

 

Par exemple, dans la Torah, les paroles attribuées à Dieu utilisent deux formes de "Je suis" ; l’une est masculine, "Ani" et l'autre est féminine, "Anki". Il a été suggéré que cette structure pourrait être à l'origine de deux dieux Mésopotamiens qui sont devenus connus sous le nom de An et Enki. Ani ne cesse de rendre honneur à Anki. Exactement de la même manière, la voix qui narre (Anni, Q11:2) tout au long du Coran fait l'éloge de Allah.

 

Si nous devions écrire le Coran dans un style hébraïque avant le passage de la progression théologique pour différencier Allah, nous pourrions convertir le texte arabe en utilisant Ani (Je suis) et Anki (Je suis) au lieu d'avoir la voix narrative "Je" qui fait l'éloge de Allah. À partir des documents sur la nature de Dieu, nous pouvons voir que ce "Je suis" de la Torah est le même "Je suis" utilisé dans les révélations de Jean, et avait le sens d’un nom transcendant d'Allah plutôt qu’une autoréférence. Il provient du texte d’Exode 3:14 ‘eyeh ‘asher ‘eyeh ou Je serai ce que Je deviendrai plutôt que Je suis. Ainsi, nous pourrions lire "Je suis (est) l'Alpha et l'Oméga" pour l’une de ces lignes.

  

Une autre information pertinente est que si nous convertissons le royal Nous/Notre/Nos (dont l'origine montre que l'orateur parle en son nom en union avec tous les Elohim) utilisé par le Sifat (les attributs) de la Divinité dans le Coran en style hébreu, on lirait : "Elohim dit Je/Moi/Mon/Mien". Dans la Bible, nous entendons souvent ce genre d'accréditation d’Elohim, mais dans le Coran, puisque c’est Elohim seul qui parle, nous ne voyons jamais cette expression/phrase puisque les commentaires n'ont jamais été écrits pour interpoler le texte (qui a fini par être mêlé avec des fabrications de toute pièce, étant maintenant les pierres précieuses perdues dans les mines sombres du Hadith).

 

La voix narrative du texte de la Bible est Ha-Davar en tant que la Parole de Dieu dans l’hébreu de l’Ancien Testament, qui est rendue par le Logos dans les textes grecs. Comme nous l'avons vu plus haut, c'est le Nom de la Divinité qui narre dans le Coran. Cela nous rappelle la tradition hébraïque : "Au Commencement était Dieu et Le Nom" dont nous pouvons conclure qu’elle est égale en signification à : "Au Commencement était le Logos et le Logos était avec Ton-Theon" (Jean 1:1).

 

Les noms de l'Église et sa structure dans le Coran traitent de la formation du corps tel qu'il a débuté à partir de Jean le Baptiste. Cependant, c'est une grande erreur de supposer que la formation du système islamique s’est limitée à cette école plutôt que de simplement commencer par elle et de progresser vers le corps qui a grandi et s’est développé à partir de Christ et des Apôtres après la mort de Jean le Baptiste. C'est ce corps qui est l'AhlulBayt. Le baptême de Jean n'a pas conduit au salut, comme le montre clairement le Nouveau Testament. Le baptême de Jean le Baptiste était destiné pour le repentir (Teshuvah). Le baptême de Jean devait ouvrir la voie, mais par la suite, cela devait être remplacé par le baptême de Christ et la réception de l'Esprit Saint, qui devient l'Église de Dieu, AhlulBayt. C’est l'Église parmi laquelle le Coran (qui signifie "Compilation" ou "Répertoire") a été révélé et c’est l'Église qui oint continuellement les Mursalin qui servent et agissent en tant que Mouhammad du Messie.

 

Le sacerdoce, qui est en fait tous les hommes et femmes premiers-nés ordonnés rois et prêtres, est appelé Alnabi dans le Coran et dans l'Islam. Alnabi est Israël en tant que les 144000. L'Église, en tant que "Le- Annonciateur aux Païens" ou "Al-nabi Al-emi.", prêche l'Évangile du Royaume de Dieu et le Messie aux nations. Le sacerdoce de l'Église, Al-Nabi, appartient à l’ancienne vieille institution. Tout individu est simplement un mursal ou au pluriel Mursalin. L’ensemble des membres forment "Les Gens du Temple" ou "Ahlulbayt". Ils sont également appelés les épouses d'Alrasul. Les maisons d'Alnabi sont des cours de justice et des centres de culte/service pour les Croyants. "La religion de la Divinité" est Rasulallah.

 

Parmi les individus greffés au temple, les gens qui composent l’annonciateur, sont tous ceux qui viennent à l'Église pour y chercher refuge. Ils sont appelés Ma Malikat Alaymen, "ceux que les promesses protègent".

 

Tous les hommes mariés et oints sont pères (mais sont appelés Doddi - "Mon Oncle" - et jamais appelés Abbi - "Mon Père" - ni Abina - "Notre Père" - qui sont des termes réservés uniquement à Dieu), mais les jeunes hommes fiancés qui n’ont prononcé que leurs premiers vœux sont appelés Fils. Les mots anglo-saxons Dad et Daddy sont dérivés de la forme hébraïque de Doddi, évitant ainsi le mot Père vu que ce terme s'applique à Dieu. De la même manière, l'Église en Europe, chez les Vaudois, on a appelé les prêtres Barbes ou Oncles afin de ne pas contrevenir à l'injonction de Christ d’appeler aucun homme "père".

 

Tous les jeunes hommes célibataires qui n’ont prononcé que leurs premiers vœux sont appelés Fils des Frères, tandis que tous les hommes célibataires oints sont appelés Frères. Tous les autres hommes sont appelés Fils des Sœurs.

 

Toutes les femmes qui ont fait des vœux sont des Sœurs. Les femmes mariées sont en outre les Femmes de l’Annonciateur (Les Mères de Les Croyants). Toutes les autres sont simplement mentionnées comme Femmes du groupe.

 

Seuls ceux qui sont baptisés sont mursaleen (F = morasulat, M = morasuloon). Comme son nom le laisse entendre, mursal indique le fait d'être la mariée d'Alrasul (la VÉRITÉ). Le baptême est le fait d’être marié à Alrasul.

 

Les Croyants (muminin) sont également mentionnés, mais ceux-ci ne sont pas encore des Épouses, ni ne sont-ils des Mursalin, ni ne font-ils partie de l’Ahlulbayt de quelque manière que ce soit, mais ils constituent l'auditoire/le public auquel l'Église prêche et à partir duquel elle recrute. Ce sont ceux qui sont dans le processus/en voie d'être appelés dans le corps de Christ qui est l'Église de Dieu.

 

Juste en-dessous des Croyants se trouvent les artisans de Paix (Musulmans) qui sont les sympathisants de l'Église et sont destinés à devenir tôt ou tard aussi fils de Dieu, bien que la foi ne soit pas encore entrée dans leur cœur.

 

Bien que nous parlions d'un homme à qui le nom de Mouhammad a été donné et à qui a été attribué le Coran, l'équipe ne pense pas du tout que ce soit le cas. Nous pensons plutôt que le Coran est simplement une compilation de centaines de révélations qui sont venues par l’intermédiaire de prophètes de l'Église au cours de nombreuses années. Cette association est la raison pour laquelle certaines traditions disent que l'Apôtre de l'Arabie était un Sabi. Sabiyah est le nom arabe pour ceux qui sont des Israélites non-génétiques et qui ne sont pas des membres prosélytes à part entière du Nabi. Il se réfère seulement à ceux qui sont greffés dans l'Église par le baptême, mais c’est revendiqué comme se référant aux disciples de Jean le Baptiste. Cependant, cette dernière affirmation est impossible à partir du témoignage des Saintes Écritures et des histoires de l'Église. Sabiyah se réfère à l'Église de l'Esprit Saint qui observe le Sabbat. Toutes ces révélations ont été compilées en un seul livre en Arabie, probablement sous Usman.

 

Pour une raison quelconque, l’état Mahmoodan tant recherché et exalté est devenu alors compris pour être une seule personne, et la compilation du répertoire lui a été attribuée. Bon nombre de Hadiths qui se rapportent à lui sont manifestement des histoires de Moïse qui ont été réécrites.

 

La formulation identique de Q5:75 et de 3:144 indique que Mouhammad et l'Enfant Christ de Maryam sont une et même "religion qui a précédé toutes Les religions d'avant cela (ou eux ?)". Peut-être la "religion qui a précédé toutes Les religions d'avant cela" est indivisible, et que l'Enfant Christ de Maryam et Mohamed décrivent simplement deux aspects de la même chose (c'est-à-dire La Religion), dont au moins l’un (Mouhammad ou Mohamed) est mortel (3:144), l'autre (le Christ), est divin. Ceci expliquerait la façon dont la Parole de Dieu parle de Jésus, l'homme, à la troisième personne avec les mêmes termes que Mouhammad.

 

C'est un fait qu’une sorte de figure d'autorité se faisant appeler "Mouhammad" existait au sein des Épouses de Rasulullah et qu’elle a envoyé des lettres à Byzance et à la Chine (la seule preuve historique indépendante qui en prouve son existence est à l’adresse suivante :

http://www.islamicresources.com/member/modules.php?name=Sections&op=listarticles&secid=5). Des écrits trouvés sur des forteresses arabes montrent que ce mot a également été utilisé pour indiquer une autorité, mais on sait aussi clairement que ce gouvernement n'est pas immortel (Q3:144).

  

Il ressort clairement de Q17:79 que le fait d’atteindre [d’être élevé à] l’état de Mahmoodan est le but ultime de tout mursal. Ahmed signifie certainement Défenseur [Avocat] et Mouhammad (Q3:144, 33:40, 47:2, 48:29) et Mahmoodan (Q17:79) expriment certainement une relation avec Ahmed, mais peuvent avoir des nuances différentes de ce que nous nous attendons, vu que les mots n'ont pas d'équivalent approprié dans la langue anglaise [et française].

 

Jeses (ou plutôt simplement Jese ; maintenant Isa) est le nom que le Coran donne au premier homme qui a été en mesure de vivre le rôle du Salut de Dieu. En tant que Salut de Dieu (Yahoshua en hébreu, de là, Joshua), Je’ses (Jésus) était un mubasher de l'AVOCAT ou Ahmed (que les ignorants appelaient simple magie et que nous pensons être en fait La Puissance). Jeses était un premier fruit, mais pas le seul. Les premiers-fruits/prémices sont l'église baptisée. Nous pouvons voir que le sens/signification du titre Mouhammad est en réalité synonyme de tous les titres qui peuvent être donnés aux plus bénis parmi les Premiers Fruits. Ainsi, Jeses était en fait le Premier Mouhammad, et nous voyons Mouhammad prendre forme comme un terme collectif pour le corps de l'Église. Mais en fin de compte, c'est le destin de tous les Mursalin d’atteindre l'état de Mahmoodan.

 

Le problème est qu'il ne peut s'agir d'une seule personne à moins qu'il ne s'agisse de Jeses ou Isa, le Christ (Q3:144 + 5:75 + 61:6), mais il ne peut pas s’agir de Jeses en raison des forteresses et des lettres susmentionnées. Il doit donc s'agir d'un corps d’autorité composé de plus d'une personne. Mais quel est ce corps d’autorité qui est synonyme de l'Enfant Christ de Maryam et qui existe cependant parmi chaque génération ENCORE, de la même manière que chaque génération meurt et s'éteint ?

 

Nous considérons que "les Apôtres" dans Q23:51 fait référence à l'autorité "Mouhammad", ce qui correspond à ce que nous recherchons. Cette autorité est la même que celle des Apôtres mentionnée dans 1Corinthiens 12:28 en tant que l’autorité la plus haute de l'Église. Les 12 ne font qu’un avec l'Enfant Christ de Maryam (Jean 17:22), mais ils sont aussi mortels et peuvent se désintégrer, mourir, être tués, ou être établis.

 

Il est très clair d’après Q3:144 que Mouhammad et l'Enfant Christ de Maryam sont " la religion qui a passé les religions d'avant elle" et que tous les deux portant ce titre sont rien sans elle. Il est également clair que la mort d'un tel (premier) fruit/recommandé ne doit pas être considérée comme un problème car "la religion qui a passé les religions d’avant elle" est immortelle, bien que les individus saints qui constituent cet aspect immortel sont de toute évidence mortels jusqu'au jour de la Résurrection. Ainsi, les dirigeants de l'Église sont un corps exécutif portant la puissance et l'autorité de Dieu en tant que Puissance de l'Esprit Saint ou de l'Avocat. De là, le leadership a toujours été compris et considéré comme étant les Douze. Cette tradition est commune à l'Islam et à l'église observant le Sabbat, et c’est la raison pour laquelle l'expression "Douze" a été si souvent utilisée lors de la formation des Églises de Dieu et qu’elle s'applique encore aujourd'hui. Nous avons le conseil des anciens, qui compte habituellement douze membres du noyau et qui s’étend aux groupes nationaux dans cette structure.

 

Les Saintes Écritures traitent du corps des douze tribus. Ces tribus sont également fondées dans les douze tribus d'Ismaël et ensemble, elles forment un cercle intérieur et extérieur du conseil, reflétant ainsi les 24 anciens et leurs trônes d'autorité dans les cieux. Ces tribus se voient attribuer les élus comme rois et prêtres, et ces élus forment les 144000 et la Grande Multitude qui les accompagne, qui est l'Église. Le Sceau est le point/socle commun qui les relie et qui en fait d’eux le corps de Christ à travers l'Esprit Saint.

 

La tradition des douze dans l'Islam semble se rapporter également au fait que le nombre est un mystère et qu’il est considéré presque comme un talisman. Cette tradition pourrait bien trouver son origine dans les douze sceaux des apôtres en tant que dirigeants sur une base continuelle de l'Église. Les sceaux étaient utilisés pour les votes et la documentation à l’époque du Prophète arabe et des Quatre Califes Correctement Guidés. D’après le Coran, il ne fait aucun doute que le Prophète Arabe observait le Sabbat et était un membre baptisé de l'Église de Dieu Sabbatarienne Unitaire [Unitarienne] de l'Arabie. Il a été enseigné/instruit par l’un de ses officiers instruits qui était l'oncle du prophète (par mariage). Il a été succédé par les membres de l'Église qui eux aussi étaient Sabbatariens des Églises de Dieu, jusqu'à la fin de la période des Quatre Califes Correctement Guidés avec Jafar.

 

Les 114 chapitres répartis en 26 déclarations de l'Islam ont été présentés aux douze en tant qu’apôtres et en qui l'esprit de prophétie résidait ; les déclarations ont ainsi reçu les sceaux d'autorité de l'Église en tant que doctrine.

  

Les commentaires ou déclarations formelles sont comme les suivants :

Eilami

Il existe 6 commentaires du texte appelé Eilami. C'est le seul ensemble où le Nom de la Divinité (vu peut-être comme un père éternel d'Ésaïe 9:6 et aussi où MON Nom est en lui) nous adresse un commandement en tant que son enfant, peu après avoir parlé au sujet de Lukeman.

Eilamiusu

Il y a un commentaire d'Elamus.

Eilar

Il y a 5 commentaires d'Eilara.

Eilamira

Il y a un commentaire d'Eilamra.

Kahaiyasu

Le commentaire de Kahaiyasu est le seul où est systématiquement donné le nom de Dieu en tant que La Miséricorde plutôt que La Puissance.

Taho

Il n’y a qu’un seul commentaire de Taho.

Tuisimi

Il existe deux commentaires de Tusimi.

Tuisi

Il y a un commentaire de Tuisi.

Yosi

Il y a un commentaire d'Yosi.

S (Simon)

Il y a un commentaire de S.

Hami et Aisiqa

Il y a 6 commentaires de Hami. L’un de ces commentaires est également celui de Aisiqa.

 

Le dernier est un commentaire de Q, probablement comme le Qour'an. Il a un caractère très définitif et semble être considéré comme la dernière Parole de Dieu pour la compilation révélée, qui, bien qu’inachevée, avait déjà sa place établie dans L'Annonciateur ou l'Église de Dieu. Le chapitre N (68) n'est pas une lettre mais est, comme il est encore prononcé, le reste d'un mot Noon signifiant encrier et dans certaines copies/exemplaires du Coran, il est toujours orthographié en trois lettres ; de là, on ne peut pas le considérer comme l’un des sceaux.

 

Voir aussi la structure dans le Commentaire sur le Coran : Chronologie du Coran ou Qour’an (Q001B) et le Résumé du Commentaire sur le Coran ou Qour’an (QS).

 

Nous voyons donc que le Coran (Qour’an) est un commentaire des Saintes Écritures par les Églises de Dieu. Pour tester/vérifier cette théorie, nous allons maintenant examiner les mots réels du texte et nous les placerons tous dans le contexte de la Loi et le Témoignage par rapport auxquels ils doivent être jugés (Ésaïe 8:20). Si les déclarations du Coran ne sont pas en accord avec la Loi et le Témoignage, alors le Coran échoue en tant que témoignage inspiré des élus de Dieu. Comme nous le verrons, il n'échoue pas. Au contraire, lorsqu’il est correctement traduit et expliqué, c'est un commentaire exact de la Bible et montre la position des Églises de Dieu au Moyen-Orient au Septième siècle de l'Ère Courante.

 

 

 

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