Les Églises Chrétiennes de Dieu

[290B]

 

 

 

L’Inquisition en Grande-Bretagne :

Quarante Décennies pour le Repentir [290B]

 

(Édition 1.5  20060728-20160522)

 

 

 

 

 

La dernière “mort sur le bûcher” en Grande-Bretagne a eu lieu en 1612 et a été menée par l'Église d'Angleterre. Ce n'était pas la dernière exécution car ils ont continué à travers le siècle, mais c’était la dernière mort d'un martyr par le feu pour la soi-disant “hérésie” contre l'Église Trinitaire en Grande-Bretagne.

 

    

Christian Churches of God

PO Box 369, WODEN ACT 2606, AUSTRALIA

 

Courriel: secretary@ccg.org

 

(Copyright © 2006, 2016 Wade Cox)

(Tr. 2013, rév. 2016)

 

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 L’Inquisition en Grande-Bretagne : Quarante Décennies pour le Repentir [290B]

 

 

Le Cauchemar Commence

Le Saint Empire Romain a été déclaré en 590 par Grégoire I. Le plus grand des groupes chrétiens, avec le soutien de l'État, a commencé à appliquer les doctrines inventées de Constantinople (381) et de Chalcédoine (451). Il s'est référé à elles comme le credo (croyance) du Conseil de Nicée, mais ces canons ont été perdus et c’était en fait celui de Constantinople en 381.

 

L'imposition de l'erreur catholique a été effectuée par la puissance des Angles qui se sont convertis au Catholicisme à partir de 597 EC avec la visite d’Augustin de Cantorbéry. Sous la force des armes l'Église celtique en Grande-Bretagne a été contrainte d'adopter les doctrines catholiques du Synode de Whitby en 664 à l'Abbaye d'Hilda. Ces premiers aspects sont couverts dans les études La Distribution Générale des Églises observant le Sabbat (No. 122) et Le Rôle du Quatrième Commandement dans l’Histoire des Églises de Dieu observant le Sabbat (No. 170) et L’Origine de l'Église Chrétienne en Grande-Bretagne (No. 266). Les Églises de Dieu observant le Sabbat ont été lentement conduites dans la clandestinité en Grande-Bretagne à partir de ce moment-là. En 1054, elles étaient en clandestinité également au Pays de Galles et en Écosse puis aussi sous la Reine Margaret.

 

L'Église catholique ne s'est pas contentée de simplement conduire l'Église dans la clandestinité : elle voulait éradiquer l'Église dans son ensemble, car la flamme de la vérité biblique était maintenue en vie par ses adhérents.

 

L'Inquisition Commence

L'Inquisition a été commencée par l'Église catholique romaine sérieusement à partir du Concile de Latran de 1179. En 1177 à partir du 102ème Jubilé Satan s’est agité contre l'Église de Dieu. Le Moine, Raymond de Daventry a été envoyé pour surveiller les Barbes vaudois sur son chemin vers le Deuxième Concile de Latran, à la deuxième année du 103ème Jubilé. À partir de ce Conseil, l'Église a été déclarée anathème et devait être persécutée. Comme d'habitude, les dirigeants ont été diffamés et les doctrines ont été dénaturées comme elles devaient être continuellement falsifiées au cours des siècles.

 

En 1190, le Conseil de Gênes a déclaré que tous les Sabbatariens ou hérétiques – signifiant ceux en désaccord avec l'Église catholique romaine – devaient être livrés dans les chaînes pour être brûlés sur le bûcher.

 

Ceci a été réalisé assez rapidement et, en 1191, qui était la Deuxième Année de Sabbat du 103ème Jubilé, les mises à mort par le feu les plus importantes ont eu lieu à Oxford, en Angleterre, avec la mise aux flammes des Pauliciens (Pauliani appelés aussi Publicani).

 

Cela a commencé la pire phase de persécutions anglaises trinitaires de la Foi. La Foi est allée totalement en clandestinité, mais l'effet devait développer un intérêt pour la Bible. Cela devait se transformer dans la publication du XVe siècle de la Bible de Genève. L'Église catholique en Angleterre a tenté d'éradiquer l'importation de Bibles. Le clergé ne voulait pas que les gens lisent la Bible dans leur propre langue, car ils seraient exposés comme enseignant des doctrines erronées. Ils ne pouvaient pas arrêter le flux de Bibles et la Réforme en Angleterre était en cours. Richard Cox, évêque d'Ely, a encouragé l’Étude de la Bible et au seizième siècle, Henry VIII a rompu avec Rome en raison de la recrudescence puissante du public dans la compréhension de la Bible. Il a interdit Noël pour la fête païenne qu'elle était.

 

Toutefois, l’establishment trinitaire s'accrochait à contrôler par la persécution et les fausses déclarations.

 

Les gens ont continué à être brûlés sur le bûcher en Angleterre jusqu'à l'année 1612 qui était la Cinquième Année de Sabbat du 111ème Jubilé

 

La dernière personne à être brûlée sur le bûcher était Edward Wightman. Ce qui suit est l'article de Wikipédia le concernant.

 

Edward Wightman (20 Décembre, 1566 au 11 Avril, 1612), un Baptiste, a été la dernière personne à être exécutée pour hérésie en Angleterre par la mort sur le bûcher.

 

Edward Wightman est né à Burton upon Trent, Staffordshire. Il a épousé Frances Darbye de Hinckley le 2 Septembre 1593. Edward et Frances se sont installés à Burton-Upon-Trent, et ils eurent sept enfants2 garçons et 5 filles. Wightman a dirigé une entreprise de marchand de tissus prospère pendant un certain nombre d'années à Burton. Il a dénoncé le baptême des enfants et est devenu un ministre de l'Église baptiste.

 

En 1611, Wightman a présenté une pétition au Roi Jacques, exposant ses convictions. Pour ses convictions, il a été jugé, reconnu coupable d'hérésie et condamné à mort. La condamnation a été prononcée le 14 Décembre 1611. Les accusations portées contre lui comprenaient onze hérésies distinctes. Une partie de l'accusation était qu'il croyait "que le baptême des nourrissons est une coutume abominable, que le Dîner du Seigneur et le baptême ne doivent pas être célébrés comme ils le sont maintenant dans l'Église d'Angleterre, et que le Christianisme n'est pas totalement professé et prêché dans l'Église d'Angleterre, mais seulement en partie." D’autres charges incluaient plusieurs opinions sans précédent. Ses contemporains disaient que si Edward soutenait vraiment toutes les opinions qui lui étaient reprochées, il aurait été soit un idiot soit un fou, et, si c'est le cas, il aurait dû avoir les prières de ses persécuteurs, plutôt que de les voir le mettre à mort de façon cruelle.

 

Les autorités ont d'abord effectué une tentative avortée à exécution. Quand les flammes ont commencé à brûler Wightman, il a crié quelque chose qui semblait dire qu'il avait changé et était prêt à accepter la foi de l'Église d'Angleterre. Le shérif l’a libéré du bûcher. Wightman a refusé de faire une rétractation formelle et continua à prêcher ses "hérésies", il était quelques semaines plus tard à nouveau lié au bûcher et son corps brûlé le 11 Avril, 1612 à Lichfield. Cette même année, un autre Baptiste, Thomas Helwys, a écrit Une Déclaration Succincte du Mystère d'Iniquité, un plaidoyer pour la liberté religieuse en Angleterre.

 

On sait très peu de choses sur le sort ultérieur de sa femme et ses enfants, bien que l’on sache que ses deux fils ont plus tard émigré à Rhode Island.

 

De telles exécutions ont probablement eu pour effet de détourner le peuple anglais contre l'exécution pour des croyances religieuses. Bien que quelques-uns aient été exécutés après Wightman, il était la dernière personne à être brûlée sur le bûcher en Angleterre.

 

Références

A History of the Baptists, par John T. Christian

A History of the English Baptists, par Joseph Ivimey

The Baptist Heritage: Four Centuries of Baptist Witness, par H. Leon McBeth

Récupéré de

http://en.wikipedia.org/wiki/Edward_Wightman

 

La raison pour laquelle ses deux fils ont migré vers Rhode Island était parce que les Sabbatariens y étaient allés à bord du Mayflower et se sont installés en Amérique. Ils ont été forcés de déménager à Rhode Island par la persécution des mêmes fanatiques insensés qui les ont suivis en Amérique (voir l'étude La Connexion Néerlandaise des Pères Pèlerins (No. 264)).

 

Les gens étaient encore exécutés, mais la mise à mort par le feu a été arrêtée en Angleterre au moins. C'était une offense capitale de nier la Trinité, même au milieu des années 1600 en Angleterre. La dernière personne exécutée pour hérésie en Grande-Bretagne, en 1697, était un étudiant écossais à l'Université d'Édimbourg, Thomas Aikenhead, qui a été signalé aux autorités par ses camarades de classe pour avoir nié la Trinité. Il a effectivement été jugé pour blasphème et non pour les croyances considérées de l'Unitaire Wightman ci-dessus. La plupart d'entre nous considéreraient en effet ce qu'il a dit comme blasphématoire.

 

Une étape importante dans l'histoire du blasphème concerne un jeune étudiant en médecine à l'Université d'Édimbourg dans les années 1690 appelé Thomas Aikenhead. Aikenhead s’est engagé dans des conversations passionnantes avec ses amis et camarades de classe sur des questions de religion. Des comptes rendus d'au moins cinq de ces amis ont formé la base pour sa mise en accusation devant le Conseil privé écossais qui a allégué qu’Aikenhead, secouant toute crainte de Dieu et tout regard aux lois de ses majestés, avait maintenant plus de douze mois par le passé ... [ventilé] vos blasphèmes impies contre Dieu et notre Sauveur Jésus-Christ, et contre les saintes Écritures, et toute religion révélée ... vous avez dit et affirmé, que la divinité ou la doctrine de la théologie était une rhapsodie ​​de non-sens feint et mal inventé, raccommodée en partie de la doctrine de morale des philosophes, et partiellement de fictions poétiques et de chimères extravagantes, ...

 

Selon le témoignage de ses amis, Aikenhead a appelé les ‘fables d’Esdras’ de l'Ancien Testament et ‘l'Histoire de l'Imposteur Christ’ du Nouveau Testament. Aikenhead avait affirmé que Jésus avait appris la magie en Égypte, et qu’en venant de l'Égypte en Judée, il a ramassé quelques ignorants amis pêcheurs stupides, qu'il connaissait par son habileté et sa [sic] physionomie, avait de fortes imaginations, et que grâce à l'aide de l’imagination exaltée il a joué ses frasques’, c'est-à-dire, miracles.

 

L'acte d'accusation et la preuve dans le cas présentent pour la grande partie un compte cohérent de ce qu’Aikenhead avait dit, et Aikenhead et son avocat ne semblent pas avoir contesté les rapports offerts à titre de preuve. La somme de l'acte d'accusation a noté qu’Aikenhead a affirmé qu'il ‘préférait Mahomet au bienheureux Jésus’, et a continué avec un récital de revendications :

 

et que vous avez dit que vous espériez voir le Christianisme considérablement affaibli, et que vous êtes confiant que dans un court temps il sera tout à fait extirpé, et vous avez été si audacieux dans vos blasphèmes interdits, que lorsque vous avez eu froid, vous avez souhaité être à la place qu’Esdras appelle l'Enfer, pour vous réchauffer là’.

 

Cette dernière remarque a été faite en dehors du Tron Kirk, apparemment en Août.

 

(cf. Helen Pringle Section Ch 3 Sommes-nous capables d'offenser Dieu ? Prendre le blasphème sérieusement Section 1 Religion, Sacrilège et Blasphème en Australie à

http://epress.anu.edu.au/nts/mobile_devices/ch03.html

 

Les commentaires de Pringle sur les points de vue sur l'Islam et l'impact du multiculturalisme se sont levés même alors.

 

La mention du Prophète est évidemment un aspect très intéressant du cas d’Aikenhead pour nous aujourd'hui. Je pense que trop souvent nous supposons que le multiculturalisme et les problèmes qu'il soulève sont quelque chose de nouveau à la modernité, et que les sociétés plus âgées étaient plus homogènes dans l'action et la croyance que ce qui était effectivement le cas. Aikenhead a été jugé à la fin d'un siècle de conflit civil et de guerre en Angleterre, un conflit qui concernait la place de Dieu dans les affaires civiles et politiques et qui a tourné en partie sur qui portait quoi sur ​​leurs têtes. Aikenhead aurait été plus fidèle au Prophète qu’à n’importe laquelle des dispositions chrétiennes belligérantes. Patrick Midletoune, un camarade de classe, a témoigné qu’Aikenhead lui avait dit que ‘Mahomet était à la fois meilleur artiste et politicien que Jésus’. Bien que certaines des sources des idées d’Aikenhead soient claires, il est possible qu’Aikenhead connaissait le travail extraordinaire par Henry Stubbe, An Account of the Rise and Progress of Mahometanism. Comme Abdal Hakim-Murad le note, la véhémence de certaines polémiques du XVIIe siècle contre l'Islam suggère également qu'il y avait plus de sympathie pour l'Islam dans les cercles anglais dissidents à l'époque que ce qui est communément admis. Le ministre Robert Wylie fait taire les critiques de l'action contre Aikenhead en affirmant que ‘personne ne devrait injurier et insulter méchamment l'objet de l’adoration en face d'un peuple’, ajoutant que, après tout, ‘un Chrétien qui pesterait contre ou maudirait Mahomet à Constantinople ne pouvait pas être innocent.

 

Pringle poursuit en expliquant que :

 

Aikenhead a été inculpé en vertu de deux lois sur le blasphème de l'Écosse. La Loi 1661 adoptée par le premier Parlement écossais sous Charles II mandatait la mort pour celui qui ‘n’étant pas distrait dans son esprit pesterait sur ou maudirait Dieu, ou l'une des personnes de la Sainte Trinité’. La Loi post-colonie de 1695 a confirmé la Loi 1661 et a établi une échelle graduée de sanctions en fonction de l'obstination de l'infraction par ‘quiconque dans ses écrits ou discours nierait, contesterait ou disputerait, ou argumenterait, ou raisonnerait contre l'être de Dieu ou l'une des personnes de la Sainte Trinité, ou l'autorité des saintes Écritures, des Ancien et Nouveau Testaments, ou la Providence de Dieu dans le gouvernement du monde’ (ibid.).

 

Le problème était que les accusations ont été généralement faites contre les personnes qui ont signalé des incohérences simples entre le système religieux trinitaire et les textes réels de la Bible. Donc, beaucoup de vrais et dévoués croyants pouvaient être et ont en fait été tués simplement pour souligner la doctrine non biblique et illogique de la Trinité, qui a été inventée pour et transmise au Concile de Constantinople en 381 EC et appliquée sur les vrais croyants et les étudiants de la Bible par l'establishment religieux depuis.

 

Ce fut la dernière exécution enregistrée pour blasphème en Grande-Bretagne. Peu de temps après, le Conseil privé écossais a commencé ce qui devait être la dernière grande chasse aux sorcières en Écosse, l'affaire de sorcières de Renfrewshire. L’histoire de Macaulay a plus tard lié les poursuites d’Aikenhead et Renfrewshire comme des actions ‘dignes du Xe siècle’, menées par des hommes dont les ‘propres compréhensions étaient aussi sombres et leurs propres cœurs aussi inflexibles que ceux des Familiers de l'Inquisition à Lisbonne’. Ces hommes, dit Macaulay, ‘ont commis un crime tel qu’il n’en a jamais pollué l'île depuis’, en exécutant Aikenhead pour rien de plus que ‘le bavardage d'un garçon effronté’. La cruauté de la poursuite et de la condamnation n'est certainement pas passée inaperçue ni sans aucune opposition à l'époque non plus. (Pringle Op. Cit.).

 

Le Statut de Blasphème de 1698 a survécu jusqu'à une époque récente. La clause de la Trinité avait déjà été annulée en 1813, et le reste de la Loi a été discrètement abrogé en 1967.

 

Beaucoup de Chrétiens épousent des vues qui étaient autrefois considérées comme blasphématoires et pour lesquelles ils auraient été brûlés. La plupart des Trinitaires qui accusent les autres d'hérésie ou de blasphème auraient été brûlés sous leurs propres lois s’ils avaient exprimé le point de vue qu'ils avancent maintenant sur la nature erronée des textes bibliques et l'interprétation de nombreuses questions de doctrine autre que la Trinité. En fait, la Trinité est l'erreur logique qui maintient beaucoup de ces blasphémateurs et Antinomiens ensemble dans un bourbier d'incohérence anarchique. Michael Servitus a été brûlé sur le bûcher le 27 Octobre 1553 à Genève à l'époque de Calvin pour nier la Trinité et le baptême des enfants. Pourtant, de nombreux Trinitaires aujourd'hui refusent le baptême des enfants et cependant soutiennent la Trinité quand eux-mêmes auraient été brûlés comme Wightman l’a été.

 

Nous voyons donc que la liberté religieuse est accordée à plusieurs, même ceux que nous considérons comme idolâtres. Le déni de la religion majoritaire de l'État n’est plus considéré comme un crime contre l'État. C'est dans ce climat que les Églises de Dieu sont capables de survivre et de prêcher l'Évangile. Sir Isaac Newton a vu la nécessité logique que cela se produise pour que l'Évangile puisse être annoncé dans les Derniers Jours et la Trinité exposée pour le non-sens biblique illogique qu’elle était. Il était incapable de faire cela dans le climat dans lequel il écrivait comme l’étaient William Whiston et Joseph Priestley et les autres grands esprits de leur temps. Ces vues ont contraint les grands philosophes de l'époque aussi.

 

Les Athées et les Sabbatariens semblables ont été exclus de beaucoup de choses parce qu’aucun d’eux n’était autorisé à faire des affirmations et même les Athées ont été exclus de siéger au Parlement parce que l'orateur ne leur permettait pas et les éjectait du Parlement, même quand ils voulaient prêter serment. Ce problème a été résolu par la Loi sur les Serments Parlementaires de 1885. Des restrictions similaires en Écosse ont été enlevées par une autre Loi sur l’Assermentation en 1888. La mise en place dans le système judiciaire a jugé qu'il n'était pas nécessaire d'honorer les contrats avec ces personnes.

 

La Loi américaine s’est transférée de la Common Law britannique. Rex v Taylor en 1676, a déclaré que le blasphème était un délit de Common Law, et ce précédent devait être cité non seulement en Angleterre mais aussi en Amérique - puisque la Common Law anglaise s’est transférée à la Common Law des États-Unis. Les tribunaux de New York, de la Pennsylvanie et du Delaware ont tous convenu que le blasphème était une infraction criminelle en vertu de la Common Law. Cela signifiait en effet que les Trinitaires pouvaient persécuter les autres.

 

Comme l'Angleterre, l'Amérique coloniale avait des statuts sur le blasphème, ainsi que la Common Law. Elle punissait les Athées et les Blasphémateurs de la même manière que la Mère Patrie. Les délinquants étaient parfois exécutés, parfois fouettés. Parfois, ils étaient mis au pilori aussi. Leurs langues ont été percées avec un fer chaud, des poinçons ou des stylets. Les oreilles ont été coupées, les nez divisés, et les visages marqués.

(http://www.heretication.info/_atheists.html)

 

Vers le milieu du XIXe siècle les soi-disant "non-conformistes" n'étaient plus exécutés, mais ils étaient toujours persécutés, et aujourd'hui encore, ils sont victimes de discrimination dans tous les domaines et professions. En 1834/5 le crime de sacrilège ainsi que celui de vol de lettre et du retour de transport ont été enlevés comme crimes capitaux. Ainsi, le crime religieux de sacrilège ne pouvait pas attirer la peine de mort, mais l'accusation pouvait encore attirer la servitude pénale.

 

Le Début de la Fin

En 1809, Napoléon Bonaparte a dissous le Saint Empire Romain et les cachots de l'Inquisition en Espagne ont été vidés.

 

En 1812, la Guerre anglo-américaine a eu lieu et les États-Unis ont conservé leur indépendance en grande partie par la pression sur la Grande-Bretagne et la France en Europe et ont été en mesure d'acheter de vastes étendues de terres de la France dans ce qui est maintenant les États-Unis d’Amérique.

 

Le Saint Empire Romain a été reconstitué en 1815 avec la défaite de Napoléon à Waterloo. Il devait durer jusqu'à la fin de la dernière Inquisition dans les États pontificaux et les révolutions en Europe vers 1850 (voir Le Rôle du Quatrième Commandement dans l’Histoire des Églises de Dieu observant le Sabbat (No. 170)). Il a finalement pris fin dans son intégralité en 1872, la première année du dernier cycle de Sabbat du 117ème Jubilé.

 

L'Église catholique romaine a tué plus de personnes pour l'étude véritable de la Bible et l'adoption des principes bibliques que tout autre système ou forme de persécution dans l'histoire de la planète. Cela incluait tous les fléaux connus et les dévastations de toute sorte. Les Luthériens ont pris le dessus sur eux lors de la Réforme dans les États protestants de l'Europe. Ils ne sont concurrencés par les purges communistes du vingtième siècle.

 

Les purges luthériennes et catholiques ont atteint leur paroxysme sous Adolf Hitler dans l'Holocauste nazi, et le premier camp de concentration a été créé par l'Église luthérienne près de Hambourg. Pour plus de détails voir le site : www.holocaustrevealed.org

 

L'Holocauste a été de 1941 à 1944. Là encore, les Holocaustes ont commencé dans une Année de Sabbat et ont duré jusqu'à la troisième année du cycle, dans ce cas, à partir de la Troisième Année de Sabbat à la Troisième Année du Quatrième Cycle de Sabbat du 119ème Jubilé.

 

Il est évident que Satan a utilisé l'Église corrompue, qui est le Mystère de l'Iniquité, pour persécuter les Églises de Dieu. Ils ont été autorisés à emprisonner et exécuter les fidèles à ces moments-là dans la déclaration ouverte de la Foi.

 

Les Symboles des Périodes de Temps

Alors, que faisons-nous de ces coïncidences de périodes de temps et Jubilés et Sabbats et autres périodes ? La réponse est que Dieu nous a permis d'être traités afin d’amener la planète sous le jugement.

 

Examinons quelques-unes des séquences.

 

C’était 433 ans à partir du Deuxième Concile du Latran jusqu’à la dernière mise à mort sur le bûcher en Angleterre. Les mises à mort par le feu des martyrs à Oxford étaient la Deuxième Année de Sabbat du 103ème Jubilé, exactement 14 ans après le nouveau Jubilé. C'est le même effet que Satan affirmant que nous sommes aussi sacrifiés en offrande à notre Dieu. C'est la même chose que se moquer de nous et se moquer de Dieu que nous servons.

 

En 1612, la période d'exécution par le feu s’est terminée durant l'Année de Sabbat du Cinquième Cycle du 111ème Jubilé, qui est un nombre de grâce. C’est aussi un acte du Sacrifice du Sabbat et Satan se moque de nous, et de Dieu de nouveau.

 

1612 est 421 ans à partir du Sabbat de 1191 et les premières mises à mort par le feu. C’est donc huit Jubilés et trois cycles de Sabbat, du début à la fin et se termine une Année de Sabbat comme les mises à mort par le feu ont commencé.

 

Huit Jubilés sont quarante décennies. Quarante est le nombre du repentir. Dix est le nombre de lampes dans le Temple de Dieu. Dix dénote la plénitude ordinale et un nouveau commencement à 1 dans la nouvelle série. Les dix lampes représentent le témoignage de l'Église, des prophètes et du Messie à la planète.

 

Ainsi, les personnes d'expression anglaise ont reçu quarante séquences de dix ans pour se repentir de leurs œuvres et la persécution des Églises de Dieu.

 

En 2012, à la Cinquième Année de Sabbat du cycle du 120ème Jubilé, la période de quarante ans se termine. C'est l'équivalent de la Sanctification des Simples et des Gens Erronés en termes d’année des 21 dernières années précédant le Millénaire (voir l'étude La Sanctification des Nations (No. 077)).

 

La persécution des Anglo-Saxons, des Cymry, des Pictes et des Scots des Églises de Dieu par les Trinitaires vient à sa fin et les Témoins de l'Église vont témoigner contre elle.

 

L'année 2012 apporte la séquence des anglophones et de leurs systèmes d'héritage et de bénédictions et de leur cycle complet d'iniquité, et ils seront traités dans une pleine mesure.

 

De 2012 à 2015, ils, avec les nations des Gentils, seront traités et le système en Europe sera également alors traité. Israël et son alliance seront également tenus responsables et amenés à la repentance.

 

Les Européens seront amenés à rendre compte de leur persécution continue de la Foi jusqu'à la fin de l'Holocauste. Juda sera ensuite amené à la repentance.

 

Ils devront faire face aux catastrophes économiques qui mettront l'UE à genoux, de la Grèce jusqu'à l'Irlande et en Espagne. 2016 verra des crises de réfugiés à grand échelle ainsi que le sapement islamique des nations.

 

Les nations seront tenues de rendre compte et seront amenées en jugement au cours de ces deux derniers cycles de Sabbat.

 

Sous les Témoins à partir de 2019 au Messie et 2024, le monde sera mis en soumission à Jésus-Christ.

 

Dieu ne fait rien si ce n'est qu'Il met en garde les personnes qui seront traitées par Ses serviteurs les prophètes. Dieu travaille en nombre et en séquence selon le plan qu'Il a énoncé dès le début selon Son système de calendrier.

 

Dieu est toujours miséricordieux et épargnera ceux qui l'invoquent et se tournent vers Lui dans la repentance.

 

 

 

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