Christian Churches of God
	
	[QSB]
	
	 
	
	
	
	Résumé des Commentaires sur le 
	Qour’an ou Coran
	(Édition 1.0 
	20180611-20180611) 
	
	Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an 
	ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des 
	adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la 
	Ka'bah.
	
	
	
		
		
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	 Résumé 
	des Commentaires sur le Qour'an ou Coran [QSB]
	
	Section 3
	Cette section traite des Sourates du Milieu de la Période à Becca et de leur 
	progression dans les déclarations de foi aux idolâtres païens de Becca.
	
	Sourates du Milieu de la Période à Becca
	
	Sourates 30, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50, 67, 69, 
	
	
	015, 017 (versets 81 et 76-82), 018, 021, 025 (versets 68 à 70 (AH)), 026 
	(224- 227 (AH)), 027, 031 (milieu ou fin de la période à Becca – versets 
	27-28 (AH)), 032. 
	
	 
	Sourate 30 Les Romains 
	(Commentaire sur le 
	Coran : Sourate 30 (No. Q030)
	Sourate 30 Ar-Rum “Les Romains” tire son nom d'un mot du 
	premier verset. L'histoire est répétée depuis l'Introduction jusqu’à la 
	Sourate, car elle est importante pour la séquence historique et la 
	compréhension.
	 
	Les guerres romaines/perses ont été, dans leur essence, les plus longues 
	séries de guerres de l'histoire de l'humanité. Les conflits ont débuté en 
	substance après la chute de Babylone aux mains des Mèdes et des Perses puis 
	de l'invasion de la Grèce par les Perses en tant que le Torse d'Argent du 
	Chapitre 2 de Daniel. Les Grecs sous Alexandre symbolisé par le “Bouc” 
	percutant le “Bélier” perse, prirent le 
	relais de la Perse en tant que rois babyloniens du Nord. L'Empire séleucide 
	succéda au système grec après sa chute, et gouverna l'Orient. Les Romains 
	ont régné à l'ouest à partir de Rome succédant aux Grecs en tant que les 
	jambes de Fer dans Daniel Chapitre 2, puis ont développé l'empire à l'est, à 
	partir de Byzance et régné depuis Constantinople sous le règne de 
	Constantin.
	 
	Les Parthes régnèrent depuis la Perse et l'Arabie et entrèrent en conflit 
	avec Rome à partir de l'an 54 AEC (avant notre ère) et cette étape du 
	conflit devait durer jusqu’à la fin de la République et jusqu'à la chute de 
	l'Empire Parthe (et le déplacement de plusieurs de leurs tribus vers le 
	nord-ouest de l'Europe au Deuxième siècle) ; et sous le règne des Sassanides 
	de l'Empire persan.
	 
	Il y avait plusieurs royaumes vassaux sous forme d'états 
	tampons 
	ainsi que plusieurs nations nomades alliées qui y ont également joué un 
	rôle. 
	 
	Après la chute des Parthes, la frontière entre les empires s'est déplacée 
	du nord de l'Euphrate à l'est vers le Tigre et au nord vers l'Arménie et le 
	Caucase.
	 
	Les guerres ont été interrompues par les 
	
	
	invasions arabo-musulmanes, 
	qui ont entraîné la 
	
	chute de 
	l'Empire sassanide et d'énormes pertes territoriales pour l'Empire 
	romain oriental byzantin, peu après la fin de la dernière guerre entre eux.
	 
	La guerre a duré sept siècles jusqu'à l’émergence de l'Islam, mais les 
	frontières sont restées relativement stables entre elles, cependant les 
	villes proches des frontières et souvent les provinces étaient saccagées. 
	Les Pauliciens de la région ont été persécutés. Bien que les églises 
	unitariennes là-bas et en Arabie aient été persécutées, elles n'ont pas pu 
	être subjuguées. Avec l’émergence de l'Islam, le visage du Moyen-Orient a 
	changé.
	 
	Au VIe siècle, les armées de la région avaient adopté les 
	tactiques des autres armées et étaient à peu près égales entre elles. 
	C'était la scène décrite dans la Sourate 30. Elle a été livrée dans le 
	Milieu de la période à Becca ca. 615-616 environ sept ans avant l'Hégire de 
	l’an 622. En 613, les persécutions ont vu les pauvres de l'église s'enfuir 
	de Becca en direction de l'Abyssinie et chercher refuge sous le Négus et 
	l'église Sabbatarienne en Abyssinie. Nous voyons les détails à partir de 
	l'Introduction jusqu'à la Sourate 19 “Mariam.” 
	
	 
	Les Perses ont vaincu les armées de l'Empire romain oriental dans tous 
	les territoires proches de l'Arabie. En 613 EC (de notre ère), à l'époque de 
	la première Hégire, Jérusalem et Damas tombèrent, suivies de l'Égypte en 
	614. À l'époque de cette Sourate, une armée persane avait envahi l’Anatolie 
	et menaçait Constantinople même.
	 
	Les Arabes païens se réjouissaient des victoires persanes sur les 
	Musulmans car, comme les Romains, ils croyaient en un Dieu unique, bien que 
	comme système trinitaire, alors que les Perses ne le croyaient pas. Ainsi, 
	les prétentions de la Suprématie d'Allah étaient réfutées par les victoires 
	des Perses. Cette vue a cependant été détruite après les batailles 
	ultérieures, à partir de Badr et au-delà, puis à la chute de Becca comme 
	nous l'avons vu dans les Sourates 8 et 9 qui ont suivi.
	 
	Les guerres romano-persanes se sont avérées catastrophiques pour les deux 
	empires. Épuisés et vulnérables, ils ont dû faire face au Califat qui a 
	envahi ces deux empires quelques années après la dernière guerre 
	romano-persane.  
	 
	Avec l’émergence de l'Islam, le Califat a par la suite pris le contrôle 
	des conquêtes persanes et des anciennes possessions romaines du Levant et du 
	Caucase, de l'Égypte et du reste de l'Afrique du Nord.
	 
	La Sourate 30 débute par deux prophéties. La première étant que les 
	Romains triompheraient et auraient la victoire sur les Perses. La deuxième 
	était que dans les dix années à venir, les Musulmans auraient eux aussi des 
	raisons de se réjouir. En 624, les Musulmans remportèrent leur première 
	victoire à la bataille de Badr et plus tard, devaient vaincre les gens de 
	Becca, puis bâtir les Armées de l'Islam.
	 
	Vers l’an 624, les Romains avaient vaincu les Perses et pénétré sur leur 
	territoire. Ce conflit devait en fait s'étendre jusqu'aux Derniers Jours 
	selon les prophéties de Daniel, auxquelles le Prophète fait référence ; 
	quoique l'Islam ne comprenne pas ces prophéties parce que les islamistes 
	n'étudient pas, n'étant pas baptisés dans l’Esprit Saint.
	 
	Le lien avec le Livre de Daniel est clair. Même, Pickthall a compris que 
	les prophéties n'étaient que le prélude au Royaume universel de Dieu qui 
	devait être établi par le Messie, comme nous le voyons de la “Pierre non 
	taillée par les mains humaines” qui frappe l'empire des derniers jours aux pieds des 
	Dix Orteils de “fer et d'argile bourbeuse” (cf. Daniel chapitre 2:41-45). Le texte 
	fait également ressortir la compréhension des aspects romains des Pieds de 
	Fer et d'Argile bourbeuse du Saint Empire romain (590-1850 EC) et de 
	l'impact du dernier empire des Dix Orteils de Daniel chapitre 11 également.
	 
	Le texte traite ensuite des Lois de Dieu considérées comme des lois de la 
	nature dans la sphère physique et dépendant des Lois qui proviennent de Sa 
	Nature même. Elles sont soumises à Sa Miséricorde, tout en étant égales et 
	justes et ne font pas d'acception de personnes. On ne peut leur échapper par 
	la sagesse ou par la ruse. Sa Loi englobe tout, et la même norme de jugement 
	s'applique à tous. Ceux qui font le bien obtiennent Sa faveur et ceux qui 
	font le mal font face à Sa colère, peu importe leur croyance ou leur tribu. 
	Tout jugement se fait selon les Lois de Dieu dans lesquelles il n'y a aucune 
	acception de personnes.
	
	 
	
	Sourate 36 
	Ya Sin 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 36 (No. Q036)
	Ya Sin 
	est généralement tenue pour 
	signifier Yah Insan (Ô Homme). Cette Sourate est présentée par les érudits 
	comme une Sourate spécialement vénérée et récitée dans l'adversité, la 
	maladie, le jeûne et à l'approche de la mort. 
	
	 
	Il s'agit d'une Sourate du Milieu de la 
	période à Becca, destinée à avertir les gens de Becca, dont les pères sont 
	présumés ne pas avoir été avertis. Les gens de Becca sont réputés être des 
	gens au cou raide ; par conséquent, les mises en garde qui leur sont 
	adressées ne sont pas utiles, parce qu'ils ont le cou raide et ne croiront 
	pas.
	 
	Le texte fait référence aux adversaires 
	manifestes de Dieu et aux gens de Becca qui adorent le dieu Hubal ou Baal et 
	la Déesse. Ils n'observent ni le Sabbat en vertu de l'Alliance (4:154), ni 
	ne prêtent attention au message du Coran et ils seront bientôt punis.
	 
	Sourate 37 Ceux qui 
	Établissent les Rangs
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 37 (No. Q037)
	As Saffat 
	tire son nom du texte du verset 1, soit 
	Ceux Qui Établissent les Rangs dans l'Ordre de Bataille. Elle vient du 
	groupe du Milieu de la période des Sourates de Becca et se réfère aux 
	Écritures comme la Parole.
	 
	Les traditions attribuées à la venue du 
	Prophète étaient que les devins et les astrologues à travers l'Orient 
	étaient déconcertés par l'apparition d'une comète et de nombreux météores, 
	en contradiction avec leur compréhension des sciences, les amenant ainsi à 
	craindre de rester sur les hauts sommets pour observer les étoiles, selon 
	leurs habitudes générales. Ils ont dit aux investigateurs que leurs proches 
	étaient incapables de leur expliquer les choses et qu'ils avaient tous peur.
	 
	C'est ce thème qui est donné en explication 
	des versets 7-9 et du texte similaire dans la Sourate 72 (LXXII):8-10 et 
	aussi la Sourate 67 (LXVII):5. La Sourate 72 se rapporte aux Jinn ou 
	“esprits élémentaires” et aussi aux “ingénieux” étrangers comme ceux qui ont 
	servi Salomon. Elle est donc aussi appelée “La Congrégation” pour les trois 
	variations de sens du Coran. Voilà la congrégation des élus.
	
	 
	
	Sourate 38 
	Sad (Saad) 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 38 (No. Q038)
	Sad. Cette Sourate 
	tire son nom de la première lettre qui fait office de Premier verset. La 
	tradition soutient que les dix premiers versets ont été révélés lorsque les 
	dirigeants des Quraych ont essayé de persuader Abu Talib de retirer sa 
	protection du Prophète. D'autres suggèrent que c'était à la mort d'Abu 
	Talib. La première hypothèse est considérée comme la plus probable. C'est 
	une des premières Sourates du groupe du Milieu de la période à Becca.
	 
	Le récit des onze premiers versets se rapporte 
	à l'Armée déchue et à ses multiples démons et idoles et attire l'attention 
	sur l'incapacité des gens de Becca et autres à comprendre qu'il n'existe 
	qu'un Seul Vrai Dieu.
	
	 
	Sourate 39 Les Troupes 
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 39 (No. Q039)
	Az-Zumar, “Les Troupes”, tire son nom 
	d'un mot particulier qui signifie troupes ou compagnies figurant aux versets 
	71 et 73. Pickthall soutient qu'elle appartient manifestement au Groupe des 
	Sourates du Milieu de la période de Becca, bien que Noldeke la place dans 
	son dernier groupe, et certaines autorités soutiennent que les versets 53 et 
	54 ont été révélés à Al-Médine.
	 
	Le texte des versets 71 à 73 fait de nouveau 
	référence à la séquence des Résurrections, où les élus sont envoyés en 
	compagnies ou en troupes au Jardin du Paradis de la Première Résurrection, 
	et les autres sont envoyés en troupes pour attendre dans la tombe du Shéol 
	ou la fosse, en attendant la Deuxième Résurrection. Ce thème fondamental et 
	récurrent du Coran est renforcé Sourate après Sourate afin qu'il n'y ait 
	aucun doute parmi les Arabes et ceux qui leur sont associés, que les morts 
	sont jugés selon les Lois de Dieu et la Foi et le Témoignage des Écritures 
	sous le Messie et les élus. Quiconque prétend être de la Foi et dit que 
	lorsqu'il meurt, il va au ciel est un infidèle adorateur de Baal.
	 
	Le texte traite de la suprématie du Seul Vrai 
	Dieu dans la création et du sort de ceux qui s'y trouvent.
	 
	Sourate 40 Les Croyants
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 40 (No. Q040)
	Al Mumin, “Le Croyant”, tire son nom des versets 28 à 
	45 qui décrivent les tentatives d'un croyant dans la maison de Pharaon pour 
	dissuader son peuple de s'opposer à Moïse et Aaron. Il est plus approprié de 
	l'appeler Les Croyants.
	 
	Ce texte est le premier d'une série de sept 
	Sourates commençant par les lettres Ha Mim et qui sont toutes désignées sous 
	le nom de Ha Mim.
	 
	Il provient du Groupe des Sourates du Milieu 
	de la période de Becca, bien que certaines autorités affirment que les 
	versets 56 et 57 ont été révélés à Al Médine.
	 
	Le texte concerne l'humanité, depuis Noé 
	jusqu'aux messagers envoyés à l'humanité et aux incrédules. Il se poursuit 
	par le châtiment de la Seconde Mort en faisant référence aux deux vies 
	accordées à l'humanité et aux deux morts infligées aux incrédules à la fin 
	du Jugement (versets 10 à 22). Puis, à partir du verset 23, nous voyons les 
	infidèles qui refusent de se repentir dans la foi. Dieu envoya Moïse à 
	l'Égypte, à Haman l'Amalécite et à Koré l'Israélite, en raison de leur 
	rébellion et leur incrédulité.
	 
	Le sort des infidèles est indiqué à partir des 
	versets 50 à 85. Au verset 51, nous voyons que les messagers sont guidés par 
	Dieu pour assister ceux qui croient en la vie du monde au moment où les 
	Témoins sont ressuscités (cf. Apocalypse 11:3 et suiv.) et cela se réfère 
	aux Témoins. À partir du verset 53, nous voyons que Moïse a reçu la 
	directive, et le fait que c’est Eloah qui a fait en sorte que les Enfants 
	d'Israël reçoivent les Écritures. Ils gardent toujours cette responsabilité 
	jusqu'à ce jour, et elle ne repose pas sur Juda ni sur leurs convertis, mais 
	aux Dix Tribus et aux Églises de Dieu. 
	
	
	 
	Sourate 41 Fusilat
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 41 (No. Q041)
	La Sourate est la deuxième d'une série de sept 
	Sourates connues sous le nom de Ha Mim tiré des lettres d'ouverture. 
	
	 
	Le terme Fusilat ou “Ils sont exposés” 
	provient du texte de 41:3 en tant que deuxième verset. Le texte se réfère à 
	l'exposition des Écritures sous la forme d'une lecture en arabe pour des 
	gens qui ont des connaissances et qui, par conséquent, supposent une 
	connaissance préalable de la foi.
	 
	De même que la Sourate 40 “Les Croyants” 
	ci-dessus, c'est un avertissement aux idolâtres de Becca et un appel à 
	l'étude des Écritures, au repentir et à l'obéissance afin que les gens 
	puissent obtenir leur place dans la Première Résurrection et être avertis 
	des dangers de la Seconde Mort dans la Deuxième Résurrection. 
	
	 
	Les Arabes sont ici avertis des coups de 
	tonnerre comme nous l'avons vu dans les Sourates précédentes, à la Sourate 
	11 “Hud”, la Sourate 13 “Le Tonnerre” et à la Sourate 15 “Al Hijr” ci-dessus 
	de ce qui a détruit A'ad et Thamud et qui finira par détruire Amalek et les 
	Arabes subséquents en raison de leur incrédulité, leur idolâtrie et leur 
	désobéissance.  
	 
	Le thème des sept “Ha Mim” est résumé dans la 
	Septième de la séquence, la Sourate 46, dans laquelle nous voyons l'appel 
	des fidèles, et une référence est faite aux Enfants d'Israël, aux Écritures 
	données à Moïse et aux Enfants d'Israël, avec un résumé des œuvres des 
	prophètes (et une référence à Hud serait faite) et aux Écritures données aux 
	prophètes postérieurs et révélées aux Gentils, pour lesquels le mot djinn 
	(ou Jinn) est parfois utilisé comme un langage non-arabe bien conçu, 
	intelligent ou de base biblique.
	
	 
	
	Sourate 42 
	Consultation 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 42 (No. Q042)
	Ce texte est le troisième de la série Ha Mim.
	“Conseil” ou
	“Consultation” tire son nom d'un mot du verset 38. La Sourate 
	appartient aux Sourates du Milieu de la période de Becca. Comme nous l'avons 
	dit, ce texte s'adresse aux Quraych en tant que centre des Arabes à Becca, 
	et constitue un avertissement spécifique pour eux et pour les Arabes en 
	général. 
	 
	Jusqu'à présent, l'avertissement n'a pas été 
	pris en compte, sauf à très court terme.
	
	 
	Sourate 43 Les Parures d’Or
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 43 (No. Q043)
	La Sourate 43 (XLIII)
	Az-Zukruf ou “Les Parures d’Or” ou 
	Parures (aussi appelée “Ornements d’Or”) du mot signifiant “Ornements en Or” 
	au verset 35. Il s'agit des mécréants qui recherchent en vain les richesses 
	de ce monde, telles que les “portes en argent” et les “ornements d’or”.
	 
	C'est la Quatrième des Sourates Ha Mim écrites 
	parmi les Sourates du Milieu de la période de Becca. Elle se réfère aux 
	Écritures et est ici résumée pour être présentée clairement aux Arabes sous 
	la forme d’un Qour’an. Ce mot est traduit par “lecture” car il indique 
	clairement que les Écritures sont rendues aux Arabes en langue arabe sous la 
	forme d'un Qour’an afin qu'ils puissent comprendre. Cependant, seuls les 
	appelés comprendront, comme les textes le montrent encore et encore. Les 
	Imams Hadithiques prétendent que les Écritures ont été perdues et que les 
	termes ne se réfèrent qu'au Coran, ce qui est faux.
	 
	Le texte attaque les faux enseignements des 
	Arabes idolâtres et leur échec à suivre et à se conformer aux Écritures. Le 
	Prophète renforce les rôles de Moïse et de Jésus, le Messie, qui a donné les 
	lois et les commandements de Dieu (v. 63). Il réitère également au verset 
	81, que le Seul Bienveillant n'a pas eu de fils (ce qui signifie par 
	procréation, en ce sens que le Messie a été l'une des créations par décret 
	divin, comme nous le voyons dans les nombreuses Sourates traitant de ce 
	sujet).
	 
	Sourate 44 La Fumée 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 44 (No. Q044)
	La Cinquième de la 
	série Ha Mim, Al Dukban ou “La Fumée” tire son nom 
	d'un mot du verset 10 qui proviendrait des conditions de poussière et de 
	brume à Becca pendant la sécheresse qui s'est produite juste avant la 
	conquête de Becca par les forces du Prophète et de l'église.  
	
	 
	À moins que ce texte ne soit une prophétie de 
	la destruction de Becca bien des années plus tard, et de la 
	pseudo-conversion de son peuple, il n'aurait pas pu être écrit à Becca bien 
	des années auparavant en tant qu’un texte Ha Mim du Groupe des Sourates du 
	Milieu de la période de Becca. C'est en réalité une prophétie des Derniers 
	Jours sous les pseudo-musulmans et s'applique à la punition du peuple 
	d'Égypte sous Pharaon quand il a rejeté Moïse (versets 17 et suiv.). Le 
	texte se réfère ensuite aux Enfants d'Israël dans leur délivrance au verset 
	30 et leur élection comme choisis de Dieu (v. 32). Le texte se réfère par la 
	suite aux Arabes en tant que peuple de Tubb'a comme successeurs des 
	Amalécites dans les derniers jours, et au sort des Arabes idolâtres (voir 
	Sourate 15 Al Hijr ci–dessus). 
	
	 
	Sourate 45 L'Agenouillement
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 45 (No. Q045)
	La Sourate 45 est
	Al-Jathiyah nommée d’après le verset 28 quand les nations sont 
	toutes amenées devant Dieu. Pickthall le traduit par “l'Accroupissement” 
	mais elle se réfère aux nations lorsqu'elles sont amenées devant Dieu en 
	Jugement et est donc mieux ainsi nommée “l'Agenouillement”.
	 
	C'est la Sixième de la série des Sept Ha Mim 
	et est un avertissement spécifique aux Arabes, à la fois à Becca et en 
	Arabie, puis dans les Derniers Jours pour le Jugement dans les Deux 
	Résurrections des Morts.
	 
	Le texte montre clairement que les Enfants 
	d'Israël ont reçu les Écritures, les Commandements et la mission de Prophète 
	et qu'avec Christ, ils ont été confiés à l'Église de Dieu en tant que Fils 
	d'Israël, et les nations seront jugées selon les Commandements qui leur ont 
	été donnés (versets 16 et 17).
	
	 
	Sourate 46 Les Collines de 
	Sable Courbées par le Vent 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 46 (No. Q046)
	Ici, nous voyons la dernière de la série Ha Mim en tant que 
	l'Avertissement aux Arabes et au Monde en général.
	 
	Al Akhaf est ce qui est techniquement une 
	Barquand. On 
	le voit aisément dans les déserts sablonneux du monde. Il est compris comme 
	ayant particulièrement caractérisé la zone de l'A'ad à Al Hijr en Arabie 
	Saoudite (voir Sourate 15 Al Hijr). Le texte tire son nom du verset 
	21. L'avertissement est spécifique et suit les textes qui ont été adressés 
	aux Arabes de l'A'ad, aux Amalécites en général et à leurs successeurs.
	 
	Ce texte provient du Groupe des Sourates du Milieu de la période de 
	Becca, toutefois les versets 10, 15 à 18 et 35 ont été ajoutés à Al-Médine, 
	et Pickthall le déclare ainsi dans son commentaire.
	 
	Résumé des textes Ha Mim :
	Comme nous le voyons ci-dessus, la Sourate 40 est un avertissement aux 
	idolâtres de Becca et parmi les Arabes, et un appel à l'étude des Écritures 
	Saintes, au repentir et à l'obéissance pour que leurs gens puissent obtenir 
	leur place dans la Première Résurrection et soient avertis des dangers de la 
	Seconde Mort dans la Seconde Résurrection. 
	
	 
	La Sourate 41 Fusilat traite de l'exposition des Écritures en 
	langue Arabe aux personnes qui sont supposées avoir une connaissance 
	préalable des Écritures. Elle établit ainsi que la connaissance des 
	Écritures est essentielle à la compréhension du Coran et de la Foi. La 
	Sourate reprend les avertissements de la Sourate 11 “Hud”, de la Sourate 13 
	“Le Tonnerre” et de la Sourate 15 “Al Hijr”. Ces textes dépeignent la 
	séquence de la destruction des Arabes et des Amalécites au cours des âges 
	jusqu'aux Derniers Jours pour leur idolâtrie et le rejet des Écritures et 
	des Commandements de Dieu.
	 
	La Sourate 42 “La Consultation” ou Conseil s'adresse aux Quraych et aux 
	Arabes généralement basés à Becca. C'est un avertissement spécifique aux 
	Arabes en général pour leur idolâtrie et leur rejet des Lois de Dieu. Tous 
	les Ha Mim sont orientés vers ce but de conversion des Arabes et de leur 
	salut qui n'a pas encore été atteint jusqu’à ce jour.
	 
	La Sourate 43 “Les Parures d’Or” également appelée “Les Ornements d’Or” 
	dérivée d'un mot du verset 35 est la Quatrième des Ha Mim. Le texte fait 
	référence aux Écritures et au fait que le Coran est un résumé en langue 
	Arabe pour clarifier le sens des Écritures. En effet, c'est pourquoi la 
	langue Arabe fut réduite à une langue écrite vers 470 EC (de notre ère) par 
	les Chrétiens sous les Himyarites. Ce n'est pas un substitut pour eux. Les 
	Imams Hadithiques prétendent que les Écritures ont été perdues et que les 
	termes ne font référence qu'au Coran, ce qui est faux. Le texte attaque les 
	faux enseignements des Arabes idolâtres et leur incapacité à se conformer 
	aux Écritures, et est en fait une prophétie. Le Prophète renforce le rôle de 
	Moïse et celui du Messie, le Christ qui donne les Lois et les Commandements 
	de Dieu (v. 63). Il réitère aussi au verset 81 que le Seul Bienveillant n'a 
	pas eu de fils (ce qui signifie par procréation), en ce que le Messie est né 
	par décret divin, comme nous le voyons dans les Sourates précédentes, comme 
	les autres fils de Dieu (Job 1:6 ; 2:1 et 38:4-7).
	 
	La Sourate 44 “La Fumée” se réfère aux conditions des Derniers Jours, 
	mais les érudits Hadithiques tentent de les limiter aux conditions d'avant 
	la conquête de Becca suite à la sécheresse qui y régna avant que les armées 
	du Prophète et de l'Église ne conquissent Becca, et n'accueillissent des 
	milliers de personnes non converties qui furent par la suite des infidèles 
	non baptisés Musulmans.
	 
	C'est une prophétie des Derniers Jours pour ceux qui sont sous les 
	pseudo-musulmans (et pseudo-chrétiens), qui se voient appliquer la peine du 
	peuple d'Égypte sous Pharaon, quand ils ont rejeté Moïse (versets 17 et 
	suiv.). Ensuite, le texte fait référence aux Enfants d'Israël dans leur 
	délivrance (v. 30) et leur élection comme choisis de Dieu (v. 32). Les 
	Arabes sont alors désignés comme le peuple de Tubb'a en tant que successeurs 
	des Amalécites et de ce fait des Arabes idolâtres (voir aussi Sourate 15 
	Al Hijr au commentaire 
	
	Q015).
	 
	La Sourate 45 Al Jathiyah “L'Agenouillement” également appelée 
	“l'Accroupissement” est ainsi nommée du verset 28 quand toutes les nations 
	sont amenées devant Dieu en jugement, et est donc plus convenablement 
	appelée “ L'Agenouillement”. Cette Sourate est la Sixième des Sept Ha Mim et 
	est un avertissement spécifique aux Arabes à la fois à Becca et en Arabie à 
	l'époque et dans les Derniers Jours pour le Jugement dans les deux 
	Résurrections des Morts.
	 
	Le texte montre clairement que les Enfants d'Israël ont reçu les 
	Écritures, les Commandements et la Prophétie ; et par Christ, cela a été 
	confié aux Églises de Dieu en tant que les Enfants d'Israël. Les nations 
	seront jugées selon les commandes qui leur ont été données (versets 16 et 
	17).  
	 
	Les Ha Mim sont une prophétie claire de la Foi, et la 7ème, “Barquands” ou “Les Collines de Sable Courbées par le Vent” est un renforcement 
	final de l'avertissement aux Arabes, des Écritures et des Commandements de 
	Dieu, du sort de ceux-ci et des nations dans les Derniers Jours. C'est une 
	réprimande directe adressée aux Binitaires/Dithéistes et aux Trinitaires 
	pour avoir placé l'un de l’Armée 
	à 
	côté d'Allah ou Eloah, d'où leur destin dans le Jugement (versets 4 à 6). 
	
	 
	Le Prophète réfute qu'il soit une particularité, une toute nouvelle chose 
	parmi les prophètes de Dieu, mais qu'il n'est qu'un autre simple avertisseur 
	comme l'ont été les prophètes avant lui (v. 9).
	 
	Le Coran explique qu'il s'agit d'une Écriture qui confirme les Écritures 
	avant lui depuis Moise et par la suite (v. 12) et ne peut donc être lu 
	indépendamment des Écritures, et ne peut donc les contredire.
	 
	Le Coran affirme aussi que ceux qui refusent de croire aux Écritures 
	disent que c’est un mensonge ancien (vv. 11, 30), ce qui est exactement ce 
	que ces faux enseignants ont fait au Coran avec le Hadith, et ils seront 
	jugés et punis dans la Seconde Résurrection.
	 
	Le texte place le Cinquième Commandement comme base de l'acceptation des 
	élus, et aussi comme nous l'avons vu avec Samuel à un si jeune âge (versets 
	15 et 16). 
	 
	Nous voyons que les Arabes et les nations seront tous punis pour ne pas 
	avoir observé les Lois de Dieu et pour avoir prié à d'autres qu'au Seul Vrai 
	Dieu (versets 19 à 28). Les Arabes à partir de l'A'ad vers le bas sont 
	identifiés ; c'est aussi à partir de l'A'ad que nous dérivons le nom des 
	Collines de Sable Courbées par le Vent, et l'avertissement du tout premier 
	prophète à l’A'ad, qu'ils ont méprisé et ignoré.  
	
	 
	Tous ceux qui sont morts et qui n'ont pas été baptisés, et ne sont pas 
	convertis parmi les saints seront dans la Seconde Résurrection ainsi que 
	ceux qui prient à un autre [être] que le Seul Vrai Dieu, Eloah ou Allah. 
	Ainsi, ceux qui prient à Christ, sans parler de ceux qui prient aux morts 
	tels que Mariam et les saints, seront également punis.
	 
	Le texte résume les conditions requises pour être accepté dans la 
	Première Résurrection à la suite des avertissements de la précédente Ha Mim. 
	
	 
	Il n'y a qu'un seul Seigneur, une seule Foi et un seul Baptême, et ceux 
	qui enseignent contre la Foi et les Écritures mourront et iront à la Seconde 
	Résurrection.
	
	 
	Sourate 50 Qaf 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 50 (No. Q050)
	Le texte tire son nom de la lettre arabe qui 
	se tient seule à la tête du premier verset.
	 
	Elle est affirmée appartenir au Groupe des 
	Sourates du Milieu de la période de Becca. Elle renforce la Résurrection des 
	Morts et l'échec des gens de Becca à comprendre qu'ils n’allaient pas et 
	n'iront pas au ciel. C’était leur croyance en tant qu'adorateurs de Baal 
	avec les pseudo-Chrétiens qui adorent le dimanche, qui étaient aussi des 
	adorateurs de Baal dans la structure du dieu Triune. Les idolâtres 
	postérieurs sous l'Islam, empêchés de déplacer le Sabbat au dimanche par 
	l'occupant Trinitaire du Dimanche des cultes du Soleil et du Mystère, ont dû 
	déclarer que la période de préparation du vendredi était le Jumaah 
	et ce, pour éviter le Quatrième Commandement 
	et donc invalider les Lois de Dieu. 
	
	 
	Sourate 67 Le Dominion 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 67 (No. Q067)
	La Sourate Al-Mulk tire son nom du mot 
	pour Dominion ou Souveraineté dans le premier verset. Le nombre de versets 
	est de 30 qui délimite le conseil intérieur de la Souveraineté de Dieu dans 
	Apocalypse 4 et 5, qui se compose des 24 Anciens ou Elohim sous le Messie en 
	tant que Grand Prêtre (tel qu’expliqué dans la Sourate 2 ci-dessus), avec 
	les quatre chérubins et Dieu siégeant sur le trône, au milieu. Donc, c’est 
	le conseil intérieur des trente.
	 
	Cette séquence des Trente et Soixante-dix se 
	poursuit tout au long des Sourates 67 à 70 et 72, et ce sont des textes 
	importants. 
	
	 
	Sourate 69 La Réalité
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 69 (No. Q069)
	At-Haqqah tire son nom du mot des trois premiers versets qui 
	soulèvent la question de la réalité, mais on pourrait aussi l'appeler 
	“L'Inévitable” en ce que le Jugement s'applique à tous.
	 
	Elle appartient au Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca.
	 
	Le texte commence par une réprimande de l'A'ad et de Thamud, qui n'ont 
	pas cru au Jugement à venir. Thamud a été détruit par la foudre et A'ad a 
	été détruit par un vent violent et rugissant, après qu'ils eurent méprisé 
	les prophètes Salih et Hud, envoyés vers eux, comme nous avons vu dans la 
	Sourate 15.
	 
	Ainsi de même, l'Égypte a été punie après avoir rejeté Moïse, et ceux 
	d'avant ont été punis à partir de Noé comme un mémorial.
	 
	Les versets 13 à 17 font référence au Jugement. La référence au verset 17 
	aux huit anges qui entourent ou soutiennent le trône, se rapporte aux 
	chérubins protecteurs, mais se trouve dans la phase plus avancée de la Cité 
	de Dieu où l’Armée combinée est présente, composée des quatre chérubins de 
	l’Armée, réunis avec les chefs du Temple de Dieu de l’Armée Humaine 
	soutenant le Trône de Dieu (voir Apocalypse, chapitres 21 à 22 et aussi
	
	
	La Cité 
	de Dieu (No. 180)).
	 
	Les textes des versets 18 à 31 traitent de ceux qui sont appelés en 
	Jugement et placés à la droite et à la gauche de Dieu pour récompense et 
	correction. Les versets 32 et suivants traitent de l'entrave apportée à ceux 
	qui sont sous correction et à ceux qui sont exposés à la Seconde Mort de 
	l'Apocalypse, chapitre 20. La référence aux poètes et aux devins est un 
	message désobligeant aux seigneurs idolâtres de Becca concernant leurs rites 
	divinatoires, qu'ils pratiquent encore à ce jour. Les fausses déclarations 
	des Imams et des Hadiths seront punies sous peu.
	 
	015, 017 (versets 81 et 76 à 82) 
	
	Al-Hijr 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 15 (No. Q015)
	(Les liens de référence renvoient aux différents articles de Wikipedia.)
	Al Hijr 
	tire son nom de ce qui semble être un nom de lieu dérivé des versets 80 à 
	84. Ces gens étaient, d'après le texte de la Sourate, des habitants des 
	cavernes qui sculptaient des habitations dans les collines. Ils ont péché et 
	ignoré les prophètes (par exemple Hud et Salih) (cf. Sourates ci-dessus) qui 
	leur ont été envoyés et semblent avoir été détruits (sauf pour une tribu).
	 
	Al Hijr est le lieu de résidence de la tribu de Thamud qui a succédé aux 
	A'ad en tant que souverain en Arabie. La Sourate Al Qamar décrit comment ces 
	gens de Thamud ont été détruits par un éclair, que les universitaires plus 
	tard ont dépeint comme étant une éruption volcanique. Les autorités modernes 
	conviennent qu'il ne reste plus qu'une seule tribu des Thamud, celle des 
	Banu Thaqif au sud de Becca.  
	
	 
	Ceux-ci, comme nous l'avons vu, étaient des descendants des fils de Sem 
	et non d'Abraham et ils étaient Arabes, et nous devons donc en déduire que 
	les Arabes sont des descendants de Sem et sont beaucoup plus répandus qu'en 
	étant simplement fils de Keturah et les fils d'Ismaël.
	 
	Dans leur histoire, nous voyons que les tribus dominantes descendent des 
	fils de Sem selon Ibn Kaldun (cf. Wikipedia pour plus de clarté). 
	
	 
	“Historien et érudit, Ibn 
	Khaldun 
	mentionne également les Thamud à plusieurs reprises 
	dans son 
	
	
	histoire universelle al-Kitābu l-ʻibar (Arabe
	: الـكـتـاب 
	الـعـبـر) (le 
	Livre de la Preuve) écrite à la fin du 14ème siècle, mais 
	seulement en passant, donnant rarement beaucoup d'informations.
	Cela peut être illustré par ce qui s'est passé entre les nations. Lorsque 
	l'autorité royale de ʿĀd fut anéantie, leurs frères, les Thamud, prirent le 
	pouvoir. Ils ont été succédés, à leur tour, par leurs frères, les 
	
	
	
	Amalécites. 
	Les Amalécites furent remplacés par leurs frères, les Himyars. Les Himyars 
	furent remplacés par leurs frères, les Tubba, qui appartenaient aux Himyars. 
	De même, ils ont été succédés, par l'Assemblée de l’Adhwa'. 130 Puis, le
	
	
	
	Mudar est 
	arrivé au pouvoir.
	 
	— Muqaddimah ("Introduction"), Chapitre II [8]
	 
	Le Yémen, al-Bahrayn, ‘Oman, 
	et le  Jazirah
	ont été longtemps des possessions arabes, mais depuis des milliers d'années, la 
	domination de ces régions a appartenu successivement à différentes nations 
	(arabes). Elles ont également fondé des villes et des villages (là-bas) et 
	encouragé le développement de la culture sédentaire et du luxe au plus haut 
	degré. Parmi ces nations se trouvaient les 'Ad et les Thamud, les Amalécites 
	et les Himyar après eux, les Tubba, et les autres souverains d'Arabie du Sud 
	(Adhwa). Il y a eu une longue période d'autorité royale et de culture 
	sédentaire. La coloration de culture sédentaire s'est établie fermement. 
	L'artisanat devint abondant et solidement enraciné. Ils n'ont pas été 
	éradiqués en même temps que la dynastie (au pouvoir), comme nous l'avons 
	dit. Ils sont demeurés et se sont toujours renouvelés jusqu'à cette époque, 
	et ils sont devenus la particularité de cette région. Ces métiers 
	(spécialités yéménites) sont les tissus brodés, les tissus rayés, les 
	vêtements finement tissés et les soies.”
	— Muqaddimah Chapitre V [9]
	 
	À partir de ce texte, nous devons déduire que les Amalécites sont une 
	tribu arabe qui porte leur lignée et leur souveraineté. La dernière bataille 
	à laquelle l'autorité doit faire face est celle d'Amalek. La dernière guerre 
	d'Israël sera livrée aux Amalécites selon la prophétie. Le Coran est écrit 
	pour les amener au repentir et les sauver, mais il est peu probable qu'ils 
	se repentent et les guerres finales auront lieu comme prévu. L'objectif est 
	de sauver certains d'entre eux.
	 
	Le Royaume Ḥimyarite, qui était un Royaume Yéménite, était l'entité 
	politique dominante en Arabie jusqu'en 525 EC (de notre ère). Son économie 
	reposait sur l'agriculture et son commerce extérieur était centré sur 
	l'exportation des produits d’encens 
	et la 
	
	myrrhe. 
	Il a succédé aux Amalécites ca.110 AEC, puis fut à son tour remplacé à 
	partir de 525 EC par les Tubba, frères des Himyar impliquant la région 
	d'Axoum en Éthiopie y compris les Négus là-bas, et étaient Chrétiens. Ils 
	ont constitué le pouvoir politique jusqu'à la montée de l'Islam sous le 
	Prophète Arabe et les Califes Correctement Guidés à partir de 622 AEC (de 
	notre ère).
	 
	En examinant cette période, nous voyons les répercussions des conversions 
	juives en Himyar dans la péninsule arabique et des guerres judéo-païennes 
	avec les Chrétiens, à la fois Unitariens et visiblement 
	Binitaires/Trinitaires. Beaucoup de Juifs sont issus des convertis de tribus 
	arabes, en partie ou en totalité. Après que les Juifs eurent été expulsés de 
	Judée par les Romains de 70 à 135 EC, ils se sont installés dans les pays 
	voisins et de nombreuses conversions ont eu lieu. La dernière grande 
	conversion au Judaïsme a eu lieu au nord, dans la région de la mer Noire et 
	des steppes des Khazars, en 730 EC. Ces gens sont devenus la majorité des 
	Juifs ashkénazes.
	 
	La fin des Amalécites coïncida avec la capture et la conversion des Édomites 
	par Jean Hyrcanus des Maccabées. C'était un leader
	
	
	
	hasmonéen (maccabéen) 
	et Grand Prêtre Juif du IIe siècle avant notre ère (né en 164 
	AEC, régna de 134 AEC jusqu'à sa mort en 104 AEC). Il s'opposa à la montée 
	des Parthes et à leur occupation d'Hyrcania, qui constitue l'une des 
	origines conjecturales de son nom.
	 
	Le pouvoir amalécite à l'ouest de Pétra a été brisé par l'assujettissement 
	des Édomites et cela est survenu quand ils ont cessé de contrôler le système 
	arabe et les Édomites à l'ouest et à Pétra. Leur disparition dans le 
	sud-ouest de l'Arabie a affaibli le pouvoir et le commerce des Amalécites.
	
	 
	Leur influence auprès des Phéniciens se poursuivit et contribua à légitimer 
	l'influence militaire d'Hérode auprès des Romains grâce à la bataille 
	d'Actium (2 septembre de l'an 31 AEC), qui permit la création du royaume 
	d'Idumée de la Judée, et dont Hérode fut le roi, avec l’ascension du pouvoir 
	romain en Syrie et au Levant, avec les Parthes contrôlant l'Orient, y 
	compris l'Arabie, la Perse et l’Iraq.
	 
	
	La Bataille d'Actium fut une bataille navale au large d'un promontoire au 
	nord d'Acarnanie, sur la côte ouest de la Grèce, où Octave (surnommé 
	l'empereur Auguste en l'an 27 AEC, par sa victoire décisive sur Marc 
	Antoine), devient le maître incontesté du monde romain. Hérode a été 
	renforcé en soutenant Octave contre Marc Antoine et les Égyptiens sous 
	Cléopâtre.
	 
	L'affaiblissement du pouvoir amalécite par la montée des Parthes et des 
	Maccabées en Judée, bien qu'initialement opposés, a permis la montée des 
	Himyar au Yémen. Ils sont devenus les héritiers des Amalécites.
	 
	Les débuts du Règne 
	des Himyar (115 AEC à 300 EC)
	Le “Royaume 
	homéride”, 
	tel qu'il fut appelé par les puissances méditerranéennes, est situé sur la 
	pointe sud de la 
	
	Péninsule Arabique au 1er siècle des 
	
	
	Périples de la mer Erythrée 
	(cf. références Wikipedia). Durant cette période, le Royaume de Ḥimyar a 
	conquis les royaumes de Saba' et de Qataban et s'est emparé de 
	
	
	
	Raydan/Zafar 
	pour capitale au lieu de 
	
	Ma'rib
	; par 
	conséquent, ils ont été appelés Dhu Raydan (Ar
	: 
	ذو
	ريدان). Au début du IIe siècle EC, Saba' et Qataban se séparèrent 
	du royaume de Ḥimyar ; pourtant, en quelques décennies, le Qataban fut 
	conquis par 
	
	
	Hadhramaut 
	(conquis à son tour par Ḥimyar au 4ème siècle), tandis que Saba' 
	fut finalement conquis par Ḥimyar à la fin du 3ème siècle.[4]
	 
	Les Nabatéens régnèrent de Pétra à Damas et à l'Est en Arabie après la chute 
	du royaume d'Idumée et la destruction de Jérusalem. Le royaume nabatéen 
	s'est éteint sous Trajan et les régions les plus proches ont été rattachées 
	à la province romaine d'Arabie. En 106 de notre ère, d'après Schürer, 
	l'Arabie a appartenu à Pétra ; en d'autres termes, l'Arabie Nabatéenne a été 
	déclarée province romaine par Cornelius Palma, gouverneur de Syrie sur ordre 
	de Trajan (Schürer., p. 585) (voir aussi l'histoire dans 
	
	
	Les 
	Descendants d’Abraham Partie III : Ismaël (No. 212C)).
	 
	La défaite des Parthes contre les Romains après qu'ils eurent été affaiblis 
	par un conflit avec les Perses a provoqué des bouleversements majeurs dans 
	la région, et une grande partie du nord s'est déplacée en Europe, amenant la 
	domination Himyar à se développer librement en Arabie. 
	
	 
	La horde qui se rendait en Europe comprenait les Angles, les Saxons et les 
	Jutes ainsi que les groupes nordiques, les Lombards, les Hérules, les 
	Vandales et les Goths. Ces tribus appartenaient à deux groupes. Elles 
	étaient aux deux tiers Hg. R1b et certains Hg G. et un tiers des tribus 
	sémitiques Hg I. Le calendrier anglo-saxon était basé sur le Nouvel An à 
	partir de l’Équinoxe de mars équivalent au calendrier israélite avec le 
	Nouvel An le 25 mars comme date standard. Le calendrier fut appelé le
	Almanac qui est l'Arabe pour “Le 
	Comptage.” Il en existe un exemplaire à la Bibliothèque de Cambridge. Tous 
	les mois sont basés sur les Conjonctions de la Nouvelle Lune et sont des 
	bi-mois de 59 jours.
	 
	L'article de Wikipédia déclare : 
	“Les rois 
	himyarites semblent avoir abandonné le polythéisme et s’être convertis au
	
	
	Judaïsme 
	vers l'an 380, plusieurs décennies après la conversion du royaume 
	Éthiopien d’Aksoum au Christianisme 
	(340), bien qu'aucun changement n'ait eu lieu dans son écriture, son 
	calendrier ou sa langue (contrairement à Axoum). 
	
	[5] 
	Cette date marque la fin d'une époque où de nombreuses inscriptions 
	consignent les noms et les actes des rois, et consacrent des bâtiments aux 
	dieux locaux (par exemple Wagal et Simyada) et dieux majeurs (par exemple 
	Almaqah). À partir des années 380, les temples ont été abandonnés et les 
	dédicaces aux anciens dieux ont pris fin, remplacées par des références à 
	Rahmanan, ‘le Seigneur du Ciel’ ou ‘le Seigneur du Ciel et de la Terre’.[6] 
	Le contexte politique de cette conversion peut avoir été l'intérêt de 
	l'Arabie pour le maintien de la neutralité et de bonnes relations 
	commerciales avec les empires concurrents de 
	Byzance, qui a le premier adopté le Christianisme sous 
	
	
	Constantin le Grand 
	et l’Empire 
	sassanide, 
	qui a alterné entre le 
	
	
	Zurvanisme 
	et le 
	
	Manichéisme.[7]
	 
	Un des premiers rois juifs, 
	
	Tub'a Abu Kariba As'ad 
	(régna de 390 à 420), se serait converti à la suite d'une expédition 
	militaire dans le nord de l'Arabie dans le but d'éliminer l'influence 
	byzantine. Les empereurs byzantins ont longtemps eu les yeux rivés sur la 
	péninsule arabique et ont cherché à contrôler le commerce lucratif des 
	épices et la route de l'Inde. Les Byzantins ont espéré établir un 
	protectorat en convertissant les habitants au Christianisme. Des progrès ont 
	été réalisés dans le nord de l'Arabie mais avec peu de succès sur Ḥimyar.”
	
	
	[7]
	 
	Les forces d’Abu-Kariba ont atteint 
	
	Yathrib 
	et, ne rencontrant aucune résistance, elles laissèrent le fils du roi comme 
	gouverneur de la ville. Les forces de Yathrib ont tué le fils d'Abu-Kariba. 
	Il a tourné le dos à la ville. Après avoir abattu les palmiers dont les 
	habitants tiraient leur principal revenu, il assiégea la ville. Les Juifs de 
	Yathrib ont combattu aux côtés de leurs voisins païens.
	 
	“Pendant le siège, Abu-Kariba tomba gravement malade. Deux savants Juifs de 
	Yathrib, Ka'ab et Asad nominativement, appelèrent le roi dans son camp et 
	utilisèrent leur connaissance de la médecine pour lui rendre la santé.” (cf. 
	article de Wikipedia) Ils ont guéri le roi et l'ont supplié de lever le 
	siège et de faire la paix. Il a été persuadé et il a annulé son attaque. Il 
	a également embrassé le Judaïsme avec toute son armée. 
	
	 
	Les érudits Juifs accompagnèrent le roi himyarite jusqu'à sa capitale, où il 
	exigea que tout son peuple se convertisse au Judaïsme. Initialement 
	réticents, beaucoup d'Himyarites ont embrassé la vérité de la foi juive, et 
	ont soutenu le Judaïsme. Certains historiens soutiennent que le Judaïsme, de 
	par sa nature philosophique, simpliste et austère, a été attrayant pour la 
	nature du peuple sémitique.[8]
	 
	Abu-Kariba est mort dans des circonstances peu claires. Peut-être que ses 
	propres soldats l'ont tué. Il a laissé trois fils, Ḥasan, 'Amru, et Zorah, 
	qui étaient tous mineurs à l'époque. Après la mort d'Abu-Kariba, un païen 
	nommé Dhū-Shanatir a pris le trône.[7]
	 
	“La première invasion aksumite a eu lieu au Ve siècle et a été 
	déclenchée par l'assassinat de quelques marchands byzantins. Deux sources 
	chrétiennes, dont la 
	
	
	Chronique 
	Zuqnin 
	précédemment attribuée à 
	
	Dionysius I Telmaharoyo, 
	qui a été écrite plus de trois siècles plus tard, indique que le roi 
	himyarite a motivé les meurtres en disant : “C'est parce que dans les pays 
	des Romains, les Chrétiens harcèlent méchamment les Juifs qui y vivent et en 
	tuent beaucoup. Par conséquent, je mets ces hommes à mort.”[11] 
	En représailles, les Aksumites envahirent le pays et établirent ensuite un 
	évêché et construisirent des églises chrétiennes à Zafar.
	 
	La monarchie juive de Ḥimyar s'est achevée avec le règne de Yṳsuf, connu 
	sous le nom de 
	
	Dhū Nuwās, qui, en 523, a attaqué la population chrétienne de Najrān. 
	
	
	
	[12] 
	Vers l'an 500, à la veille de la régence de Marthad'īlān Yanūf (vers 500 à 
	515) le royaume de Himyar exerçait un contrôle sur une grande partie de la 
	péninsule arabique.[13] 
	C'est pendant son règne que le royaume himyarite commença à devenir un état 
	tributaire d'Axoum, le processus s'achevant à l'époque du règne de 
	Ma'dīkarib Yafur (519 à 522), un Chrétien nommé par les Aksumites. Un coup 
	d'État s'ensuivit, avec Dhu Nuwas, qui avait tenté de renverser la dynastie 
	quelques années plus tôt, prenant le pouvoir après avoir massacré la 
	garnison aksumite en Zafār. Il a ensuite engagé le dialogue avec les gardes 
	éthiopiens et leurs alliés chrétiens dans 
	
	Tihāma, 
	plaines côtières faisant face à l'Abyssinie. Après avoir pris le port de
	
	
	Mukhawān, 
	où il brûla l'église locale et il avança vers le sud jusqu'à la forteresse 
	de Maddabān surplombant la 
	
	Bab-el-Mandeb, où il s'attendait à voir 
	
	Kaleb 
	Ella Aṣbeḥa 
	débarquer sa flotte.[6] 
	La bataille a fini par tuer entre 11 500 et 14 000 personnes et a fait 
	autant de prisonniers.[13] 
	Mukhawān devint sa base, tandis qu'il envoya un de ses généraux, un prince 
	juif du nom de Sharaḥ'īl Yaqbul dhu Yaz'an contre 
	
	Najrān, 
	une oasis à prédominance chrétienne, avec un bon nombre de Juifs, qui avait 
	soutenu avec des troupes sa rébellion précédente, mais qui refusait de 
	reconnaître son autorité après le massacre de la garnison aksumite. Le 
	général a bloqué la route des caravanes reliant Najrān à l'est de l'Arabie.”[6]
	(cf. article de Wikipedia Himyar)
	 
	Les Amalécites ont été chassés par l'Himyar mais ils n'ont pas disparu, 
	et jusqu'en 110 AEC ils ont été l'influence dominante en Arabie. 
	
	 
	Le Livre d'Esther rapporte qu'ils ont été stoppés dans leur tentative de 
	destruction des Juifs sous Haman sous le règne des Perses, pendant la 
	captivité des Juifs (cf. 
	
	
	Commentaire sur Esther (No. F017)).
	 
	Les Amalécites : Un 
	ou plusieurs peuples
	Les Écritures dépeignent les Amalécites comme des descendants d'Amalek, un 
	petit-fils d'Ésaü, 
	
	[5] 
	par l'intermédiaire d'Eliphaz de Teman (et Timna sa concubine horite, la 
	sœur de Lotan), qui tirent leurs origines de 
	
	Edom 
	(Genèse 36:11–12, 15–16). Genèse 14:7 montre que l'utilisation de 
	“Amalécites” fait référence à un peuple dans la région de Cadès qui était en 
	place au temps d'Abraham. Cette région ne fut pas occupée par les fils 
	d'Ésaü, c'est-à-dire les Édomites, avant la captivité de Juda. Rashi 
	soutient que cette référence fait allusion à la dernière occupation et 
	d'autres chercheurs sont d'accord avec cette position qu'il s'agit d'une 
	insertion rédactionnelle ultérieure (c.-à-d. Freedman). La probabilité, 
	cependant, que les fils d'Amalek comptent ou rivalisent avec Israël sous 
	Joas et soient nommés d'après l'un des petits-fils d'Ésaü est incertaine. 
	Cependant, Eliphaz était avec Job fils d'Issachar dans la péninsule arabique 
	et ils ont pu fusionner avec les éléments arabes avant le temps de Moïse 
	quand il est allé à Madian. [Le livre de] Job a été attribué à Moïse du 
	temps de son séjour à Madian.
	 
	L'article de Wikipédia sur Amalek et les Amalécites fait référence à des 
	érudits arabes ultérieurs. On peut y lire ce qui suit : “Au cours de l’Âge d'Or Islamique, certains écrits arabes ont prétendu que les 
	Amalécites existaient bien avant Abraham.[13] 
	Quelques 
	
	historiens musulmans 
	ont affirmé que les Amalécites qui combattaient 
	Josué étaient les descendants des habitants de l'Afrique du Nord.
	
	
	
	Al-Masudi 
	a dit que les Amalécites étaient originaires de la région de la 
	Becca bien 
	avant l'époque d'Abraham.[citation nécessaire]
	Ebn 
	Arabshah a 
	soutenu qu'Amalek était un descendant de 
	
	Cham, 
	fils de 
	
	Noé”.[12][13]
	 
	Il est cependant possible que le nom Amalek ait été donné à deux nations 
	différentes de deux ancêtres différents. “Les Arabes mentionnent Imlik,
	Amalik, ou Ameleka parmi les aborigènes d’Arabie, dont les 
	restes ont été mêlés aux descendants de 
	
	Joktan 
	et 
	
	Adnan 
	et sont devenus les Mostarabs ou Mocarabes, autrement dit, les 
	Arabes mélangés avec les étrangers”.[12] 
	(Ibid.)
	 
	L'explication probable est qu'il y avait deux groupes ou plus dans la 
	Péninsule Arabique et le Sinaï qui ont été nommés Amalek et qui se sont 
	mélangés avec le temps. Leur domination sur la région a succédé à la tribu 
	de Thamud depuis A'ad le petit-fils de Sem en Arabie et qu'ils venaient en 
	fait de cette région au sud de Becca adjacente à l'Ismaélite Qureysh à 
	Becca. Les récits des Arabes les confondent avec les Hébreux de Joktan, qui 
	s'installèrent dans la région de la Perse et jusqu'à l'Indus. Le texte dans 
	Genèse 14 les lie en tant qu'Alliés des Élamites et des Nations qui ont 
	participé à l'invasion de Sodome et de la région du Jourdain, et qui se sont 
	opposés et ont été battus par Abraham après la capture de Lot. C'est pour 
	cette raison qu'Abraham avait tué les petits-fils de Sem et qu'il lui a 
	peut-être donné la dîme en tant que Melchisédek, prêtre de Dieu.
	 
	Wikipedia considère que : “Au XIXe siècle, les théologiens 
	occidentaux soutenaient fortement l'idée que la nation d'Amalek aurait pu 
	prospérer avant l'époque d'Abraham. 
	
	Matthew George Easton 
	a préconisé que les Amalécites n'étaient pas des descendants d'Amalek, en 
	adoptant 
	
	l’approche littérale de Genèse 14:7.[14] 
	Cependant, l'érudit bibliste moderne 
	
	David Freedman 
	utilise 
	
	l’analyse textuelle 
	pour déduire que l'utilisation d’Amalécite dans 
	Genèse 14:7 est en fait un 
	
	
	anachronisme,[9] 
	une incohérence chronologique d'un groupe de personnes (dans ce cas) dans un 
	espace temporel mal situé. Toujours au début du 19e siècle,
	
	
	Richard Watson 
	a énuméré plusieurs raisons spéculatives pour avoir un
	“plus ancien Amalek” qu’Abraham.[13]
	 
	Dans l'exégèse de 
	
	Nombres 
	24:20 sur les propos de Balaam : “Amalek 
	fut la première des nations, mais sa fin postérieure surviendra même 
	lorsqu'il périra”, Richard Watson tente 
	d'associer ce passage à la “première des 
	nations” qui se développa après le 
	
	Déluge.[13] 
	Selon 
	
	Samuel Cox, les Amalécites furent les
	“premiers” 
	qui ont fait preuve d’hostilité envers les Israélites.” 
	
	
	
	[15]
	 
	L'article indique également que de nombreux groupes nomades du 
	
	
	désert 
	d’Arabie, 
	y compris apparemment les Amalécites, ont été communément désignés par 
	l'expression “Arabe(s) 
	”. 
	 
	Nous comprenons tous que, bien que des recherches archéologiques aient 
	permis d'acquérir des connaissances considérables sur les Arabes nomades, 
	aucun artefact ou site spécifique n'a été lié à Amalek avec certitude.[9] 
	Il est toutefois possible que certains villages fortifiés des hautes terres 
	du Néguev et même Tel Masos (près de 
	
	
	Beer-sheba) 
	aient des liens avec Amalek.[16]
	
	
	Easton allègue que l'inscription babylonienne Sute 
	désigne les Amalécites, aussi bien que l'expression égyptienne Sittiu. 
	Easton affirme également que les tablettes d’Amarna font référence 
	aux Amalécites sous le nom général de Khabbatti, ou “pillards”.[14]
	 
	Il apparaît sans l'ombre d'un doute, que les Amalécites mentionnés dans 
	les Écritures étaient associés aux Élamites. Ils étaient également associés 
	aux premiers fils de Sem. Eliphaz le Témanite figure également dans le livre 
	de Job. Il fut le père d'Amalek de Edom. 
	
	 
	Les Amalécites occupèrent et gouvernèrent l'Arabie après la destruction 
	de Thamoud et que la zone occupée par les descendants de Thamoud était 
	adjacente à celle de l'Ismaélite Quraych de Becca ; cette Sourate prend 
	comme titre le nom de cette zone, et tient une place directe dans la 
	prophétie en rapport aux derniers jours dans les Écritures. Le rejet des 
	Écritures par les Arabes provient probablement des prophéties de la Bible 
	qui traitent des événements des derniers jours qui montrent les conflits au 
	Moyen-Orient, et la désagrégation de la Péninsule Arabique, des Syriens, des 
	Libanais, des habitants de Gaza, des Irakiens et de nombreux Perses en 
	raison de leur propre désobéissance idolâtre volontaire en suivant la Charia 
	et la structure du système Baal.
	 
	Les Enfants d'Israël 
	ou le Voyage Nocturne 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 17 (No. Q017)
	La Sourate 17 “ Banî 
	Israël”, commence et se termine par des références aux Israélites en tant 
	que “Enfants d’Israël”. Au verset 1, le Prophète raconte sa vision dans 
	laquelle il a été porté de nuit sur un cheval, de Becca/Médine à 
	l'emplacement du Temple à Jérusalem : D'où le titre supplétif de “Voyage 
	Nocturne”.
	 
	À cette époque, le Mont du Temple était devenu une décharge sous les 
	Chrétiens Trinitaires qui ne comprenaient pas du tout la foi. Il a fallu la 
	mobilisation de l'Islam sous Omar pour le reprendre et le nettoyer. Ce texte 
	a pour but de rendre la remise en état possible et de montrer sa nécessité.
	 
	Nous nous référons ici aux lois de Moïse et aux Écritures. Il semble que 
	ce thème récurrent soit dû au fait que les Arabes n'acceptent tout 
	simplement pas l'Écriture, et il en est encore ainsi aujourd'hui. La 
	transmission de la Foi de Noé à Abraham en passant par Sem, puis à Moïse, 
	aux Israélites, aux prophètes, au Messie et aux Églises de Dieu est un thème 
	constant, comme nous le verrons plus loin dans les textes sur Les Rangs et 
	Ceux Qui Établissent Les Rangs.
	 
	De même que le Christianisme Trinitaire, l'Islam n'étudie même pas le 
	Coran, et ils n'ont donc aucune idée des Écritures. En fait, ils enseignent 
	en proférant des blasphèmes, que Dieu a permis que les Écritures soient 
	perdues et détruites. La plus grande partie de l'Islam est enseignée par les 
	adorateurs païens de Baal, et que lorsqu'ils meurent, ils vont au ciel et 
	que ceux qui meurent au combat se font offrir soixante-douze vierges. 
	Pourtant, le Coran dit clairement à ces gens trompés encore et encore qu'ils 
	doivent œuvrer pour la résurrection des morts dans les Jardins du Paradis 
	(voir les Sourates ci-dessus et ci-dessous). Beaucoup sont appelés mais peu 
	sont élus. Même deux des dernières divisions des Églises de Dieu sont 
	exclues de la Première Résurrection en raison de leur Binitarisme/Dithéisme 
	et de l'observance des intercalations babyloniennes et du Calendrier Hillel, 
	comme cela a été fait à Becca sous le culte de Hubal en conformité avec le 
	calendrier sous contrôle du Bani Kinana des Qureych (voir l’étude 
	
	
	Le Rôle 
	du Quatrième Commandement dans l’Histoire des Églises de Dieu Observant le 
	Sabbat (No. 170)).
	 
	
	Sourates 018, 021, 025 (versets 68-70 (AH))
	La Grotte [La Caverne]  
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 18 (No. Q018)
	Ce texte a été mis en séquence, suivant la Sourate 17 pour une bonne raison. 
	La Sourate 17 évoque le voyage du Prophète à Jérusalem. Elle a trait au lieu 
	de Jérusalem en tant que centre de culte de la Foi. Le prophète Zacharie et 
	les nombreux textes de l'Écriture situent Jérusalem comme le centre de la 
	Foi pendant le Millénaire et ensuite comme le centre du pouvoir de 
	l'univers. Ce texte de la Sourate 18 montre la séquence de la Foi dans 
	l'histoire et sa place et son importance jusqu'au retour du Messie. Ces 
	aspects sont également expliqués dans les chapitres 2 et 3 de l'Apocalypse.
	 
	“Al-Kahf” 
	ou “La Grotte” [La Caverne] a été écrite après que les docteurs Juifs de 
	Yathrib eurent posé une série de trois questions aux railleries idolâtres de 
	Becca pour tester la prophétie. La troisième question concernant l'Esprit 
	Saint est répondue à la Sourate 16:85 et suivants. La première question 
	concernant la Grotte est une histoire de jeunes qui se sont réfugiés dans la 
	grotte pour échapper aux persécutions (versets 10 à 27) et qui y ont habité 
	pendant quelque temps, comme s'ils y étaient endormis.
	 
	Le texte est considéré par des écrivains occidentaux (tel que Gibbon) pour 
	être la légende des sept dormeurs à Éphèse. Ceci identifierait les prophètes 
	comme répondant à l'histoire de la légende parmi l'église primitive. 
	Cependant, la tradition plus tardive des écrivains hadithiques a affirmé 
	qu'il a été rattaché à la tradition arabe avec les versets 83 à 89 de Dhu'l 
	Qarneyn (Les Deux Cornes), et peut-être celui de Moïse et l'Ange, des 
	versets 61 à 82. Ces textes ont été révélés au Prophète pour réfuter les 
	questions que les Juifs de Yathrib (Médine) ont posées par le biais des 
	idolâtres pour tester le Prophète. 
	
	 
	La tradition postérieure consiste probablement à divorcer le Prophète de la 
	foi chrétienne et juive, ce qui fut un stratagème hadithique bien plus 
	tardif. Le Coran ne fait pas un tel effort.
	 
	Pickthall retrace les questions des Rabbins Juifs à Yathrib comme étant :
	 
	Les persécuteurs du Prophète sont retournés à Becca et lui ont posé ces 
	questions. Ils ont dit aux gens qu'il s'agissait d'un test crucial.
	 
	Le Prophète a dit à tort qu'il leur répondrait sûrement le lendemain comme 
	si Dieu allait lui obéir en répondant à ces questions. Il aurait dû finir 
	par “si Dieu le veut.”
	 
	À la suite de cette omission, Dieu a retenu les réponses pendant quelques 
	jours. Quand la réponse a été donnée, elle incluait la réprimande du verset 
	24 (cf. Pickthall).   
	
	 
	Les Juifs ont dû être satisfaits des réponses car ils n'ont plus fait 
	référence à la question après la fuite de l'église à Yathrib (Al-Médine) en 
	partance de Becca. Ils se moquaient quotidiennement du Prophète sur toutes 
	sortes de sujets divers. Pickthall est d'avis que les questions doivent 
	toutes porter sur les traditions Juives plutôt que sur la légende chrétienne 
	des dormeurs d'Éphèse. L'histoire des deux cornes appartient en fait à la 
	tradition juive (cf. aussi Pickthall). Le texte appartient au Groupe du 
	Milieu de la Période des Sourates de Becca.
	 
	La première référence se rapporte en fait aux Sept Églises de Dieu et aux 
	Anges des Sept Églises ; la première étant l'Église Éphésienne sous l'apôtre 
	Jean, et ceux qui ont connu le Messie dans sa vie (voir le document 
	
	
	
	Le Sort des Douze Apôtres (No. 122B) 
	et aussi 
	
	
	La Mort des Prophètes et des Saints (No. 122C)). 
	C'est pourquoi les dormeurs sont appelés les Sept Dormeurs d'Éphèse. Leur 
	épuration collective et les 309 années qui leur sont attribuées sont des 
	identifications spécifiques de la persécution des églises jusqu'à la 
	nomination de Constantin comme empereur à York en 309 EC, et l'édit de 
	Tolérance en 313.
	 
	Les ères des Sept Églises sont nommées d'après les églises d'Éphèse, Smyrne, 
	Pergame, Thyatire, Sardes, Philadelphie, et Laodicée. Ces ères portent le 
	nom des églises basées en Anatolie, dans ce qui est aujourd'hui la Turquie. 
	Elles représentent les âges des Églises de Dieu au cours des 2000 ans 
	jusqu'au retour du Messie.
	 
	Chacune d'elles reçoit le pied de lampe à tour de rôle et les trois 
	premières ères d'Éphèse, de Smyrne et de Pergame se rapportaient à l’église 
	à partir de l'Asie, en passant par l’Arabie, jusque dans les montagnes du 
	Taurus et en Europe. 
	 
	La première ère a été fondée et enseignée par Jean à Éphèse, et les 
	Soixante-dix ont été ordonnés et répandus par Christ à travers le monde, de 
	la Grande-Bretagne à l'Inde. Ce fut ce qui a été connu comme le Premier 
	Amour de la Foi.
	 
	Smyrne a formé les évêques après la mort de Jean, sous Polycarpe. Rome a été 
	corrompue par les adorateurs de Mithras et d'Attis comme des formes du culte 
	de Baal et de la déesse Easter. Le culte d'Adonis a corrompu les Grecs, et 
	l'Égypte a été corrompue par les rituels d'Osiris, Isis et Horus. C'est de 
	ces cultes du soleil que naquirent le culte dominical et les festivals de 
	Noël et de Easter/Pâques (voir aussi 
	
	
	Les Origines de Noël et de Easter/Pâques (No.235)).
	
	 
	Pergame se transforma en la phase guerrière de la Foi quand les églises en 
	Arabie et les Pauliciens à l'ouest furent forcés de se battre pour survivre 
	contre Byzance et l'idolâtrie à Becca et en Orient en général.
	 
	Ces ères sont expliquées en détail dans le document 
	
	
	
	Le Rôle du Quatrième Commandement dans l'Histoire des 
	Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170). 
	La structure de la distribution est expliquée dans le document 
	
	
	
	La Distribution Générale des Églises observant le 
	Sabbat (No. 122). Les quatre dernières ères ont des éléments vivants au retour du Messie, 
	quand nous gouvernerons de Jérusalem.
	Lire aussi le chapitre 2:1-29 de l'Apocalypse pour Le message à l'église 
	d'Éphèse.
	 
	Pergame a commencé au Moyen-Orient et a conduit à l’émergence de ce qui 
	est maintenant compris comme l'Islam (versets 12 à 17).
	 
	Le texte ci-dessus se réfère à l’ère au cours de laquelle le Prophète a 
	existé et écrit. Ces commentaires se rapportent à cette ère et à leurs 
	péchés et lacunes. L'ère suivante, Thyatire, a prospéré à travers les 
	persécutions massives du Moyen Âge qui ont conduit à la Réforme. Des 
	éléments existent [encore] aujourd’hui, mais il ne faut pas leur imposer 
	d'autres charges (versets 18 à 29).
	 
	L'Étoile du Matin mentionnée dans la section sur Thyatire est la 
	domination et l'éducation du monde sous le Messie. Nous avons traité cette 
	question plus en détail dans la Sourate
	Al Tariq, l'Étoile du Matin et 
	ci-dessous dans les sections finales.
	 
	Les ères finales dans Apocalypse chapitre 3, se réfèrent aux ères de 
	Sardes, Laodicée et Philadelphie. Sardes et Laodicée sont rejetées par Dieu 
	et envoyées à la Seconde Résurrection.
	 
	Apocalypse 3:1-22 Écris à l’ange de l’Église de Sardes : Voici ce que dit 
	celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes 
	œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. 2 
	Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n’ai pas 
	trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. 3 Rappelle-toi donc 
	comment tu as reçu et entendu, et garde, et repens-toi. Si tu ne veilles 
	pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je 
	viendrai sur toi. 4 Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui 
	n’ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements 
	blancs, parce qu’ils en sont dignes. 5 Celui qui vaincra sera 
	revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n’effacerai point son nom du livre de 
	vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. 6 
	Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ! 
	7 Écris à l’ange de l’Église de Philadelphie : Voici ce que dit le 
	Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et 
	personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n’ouvrira : 8 
	Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, et que tu as 
	gardé ma parole, et que tu n’as pas renié mon nom, j’ai mis devant toi une 
	porte ouverte, que personne ne peut fermer. 9 Voici, je te donne 
	de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, 
	mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et 
	connaître que je t’ai aimé. 10 Parce que tu as gardé la parole de 
	la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui 
	va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. 
	11 Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne 
	ta couronne. 12 Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne 
	dans le temple de mon Dieu, et il n’en sortira plus ; j’écrirai sur lui le 
	nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem 
	qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau. 13 
	Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ! 
	14 Écris à l’ange de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit l’Amen, 
	le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : 
	15 Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. 
	Puisses-tu être froid ou bouillant ! 16 Ainsi, parce que tu es 
	tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche.
	17 Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je 
	n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, 
	misérable, pauvre, aveugle et nu, 18 je te conseille d’acheter de 
	moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des 
	vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne 
	paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. 19 
	Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et 
	repens-toi. 20 Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si 
	quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai 
	avec lui, et lui avec moi. 21 Celui qui vaincra, je le ferai 
	asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec 
	mon Père sur son trône. 22 Que celui qui a des oreilles entende 
	ce que l’Esprit dit aux Églises !
 
	Sardes et Laodicée sont les deux ères des Sept qui sont retranchées de la 
	Première Résurrection. Philadelphie est la dernière ère avant le Messie, qui 
	a le pied de lampe. Au cours de cette ère, Juda et les éléments de l'Église 
	qui se réfèrent à elle-même comme l'Islam et les quatre dernières ères des 
	Églises de Dieu seront appelés au repentir et préparés pour servir sous le 
	Messie. Ceux qui ne le feront pas seront tués par le Messie et les élus, 
	avec les prophètes, et envoyés à la Seconde Résurrection.
	 
	Aucune personne impénitente ne survivra et ne sera autorisée à entrer dans 
	le Millénaire sous le Messie.
	 
	Sourate 21 Les Prophètes 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 21 (No. Q021)
	La Sourate 21 Al-Anbiya “Les Prophètes” 
	est nommée ainsi en raison de son thème, qui traite de l'histoire des 
	anciens prophètes. L'orateur dans les versets 4 et 112 est l’Esprit Saint, 
	qui donne la voix à chaque prophète. Il n'y a pas de repères historiques ou 
	de tradition pour permettre aux chercheurs de fixer une date. Elle est 
	considérée comme étant d'origine de Becca. Pickthall et d'autres pensent 
	qu'elle manque les caractéristiques des dernières et plus anciennes Sourates 
	de Becca. Ainsi, ils la placent dans le Groupe des Sourates du Milieu 
	de la Période de Becca. Elle traite des prophètes et de leurs disciples, en 
	les rapprochant des premiers groupes qui ont jeté la base de la foi des 
	Écritures. Sa place dans le Coran après les Sourates 19 et 20 indique qu'il 
	s'agit d'une Sourate antérieure au moment de la fuite vers l’Abyssinie.
	 
	Le propos sur le futur Jugement de l'humanité 
	(et en particulier ceux de Becca), soutient un tel point de vue.
	 
	Le Critère 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 25 (No. Q025)
	La Sourate 25 Al-Furquan “Le Critère” tire son nom du thème du 
	verset 1, Le Discernement (du Bien et du Mal). C'est la formation dans 
	l'Esprit Saint des anciens du Mouhammad ou Concile de l'Église, dans leur 
	préparation à devenir les messagers aux fidèles et à l'humanité, étant sous 
	la direction de l'Esprit Saint. Ce sont ceux qui constituent les 144000 et 
	la Grande Multitude d'Apocalypse chapitre 7, qui sont appelés au cours des 
	2000 ans, en tant que les 72 par an des conseils des élus des 144000 (et 
	avec la Grande Multitude) des appelés et élus des Églises de Dieu. Ces 
	aspects sont expliqués dans le document 
	
	
	Les 
	Récoltes de Dieu, les Sacrifices des Nouvelles Lunes et les 144,000 (No. 
	120).
	
	 
	
	Sourate 026 (224-227 (AH))
	Les Poètes 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 26 (No. Q026)
	La Sourate 26 Ash-Shu’ara “Les Poètes” 
	tire son nom des versets 224 et suivants, dans lesquels la différence entre 
	un poète et un prophète est soulignée. Le Coran a été adressé aux Arabes, 
	souvent analphabètes, sous forme de poésie et de prose. Le texte reprend le 
	passage de la Sourate précédente, traitant du critère des élus en tant que 
	vrais croyants et leaders de la foi dans la prophétie. Les élus vivent par 
	la foi et ne mentent jamais, peu importe la raison. Les poètes sont désignés 
	comme étant ceux qui disent des choses qu'ils ne pensent pas souvent. Les 
	Arabes païens croyaient que l'œuvre de la poésie et son inspiration étaient 
	le fait des djinns ou des démons. 
	
	 
	La persécution des prophètes et des élus de la 
	foi et des Églises de Dieu n'est pas une chose nouvelle, et les persécutés 
	de l'Église là reçoivent ce texte pour les soutenir et les réconforter. Les 
	prophètes ont été persécutés et tués au cours des siècles, comme l'indiquent 
	les Écritures, et c'est ce qui a inspiré le Prophète en Arabie sous cette 
	persécution. Pickthall fait ici le commentaire dans son introduction, que ce 
	sont les persécuteurs qui finissent toujours par souffrir et donc que les 
	persécuteurs Hadithiques du pseudo-Islam seront en effet amenés à souffrir 
	ces jours-ci.   
	 
	Ce texte montre que les prophètes du véritable 
	Islam des Écritures sont toujours venus avec le même message et que le 
	Prophète a eu ici le même message qu'Abraham, Isaac et Jacob, Moïse et Aaron 
	à Élie, Jean, le Messie et les apôtres, les Mouhammads ou conseils des 
	Églises de Dieu. Il n'y a qu'un seul Dieu, une seule Foi et un seul Baptême.
	 
	Le texte provient du Groupe des Sourates du 
	Milieu de la Période de Becca, à l'exception des versets 224 à 227 qui ont 
	été édités à Médine. Les textes ont été tirés des Écritures pour servir 
	d'inspiration à l'Église persécutée, comme le Prophète l'a déclaré au début.
	 
	
	Sourates 027, 030, 031 (milieu ou dernière période de Becca versets 27 et 28 
	(AH))
	Les Fourmis 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 27 (No. Q027)
	La Sourate 27 An-Naml “Les Fourmis” 
	tire son nom de la fourmi au verset 18 qui donne aux autres fourmis 
	l'avertissement dans la Vallée des Fourmis, concernant l'approche imminente 
	de l'armée de Salomon.  
	 
	C'est Salomon qui ordonna au fainéant d'aller 
	examiner les fourmis de plus près, pour réfléchir à leurs voies. Ici, la 
	fourmi prend métaphoriquement la place du Prophète comme avertisseur ou 
	prophète des paresseux idolâtres de Becca. La Sourate est issue du Groupe 
	des Sourates du Milieu de la Période de Becca.
	 
	Certains commentateurs pensent que cela a été 
	un avertissement pour les Arabes, et ont affirmé que les fourmis évoquaient 
	une ancienne tribu arabe, peut-être à l'époque de Salomon, et que les 
	oiseaux représentent la cavalerie. Ils identifient le Hudhud (la huppe) 
	comme étant le nom d'un homme. En effet, c'est le duplicata du prophète Houd 
	qui a été envoyé pour avertir successivement, des tribus des Aa’d (S11) aux 
	Thamoud et aux Amalécites, aux Himyarites et autres Arabes matérialisés par 
	les habitants du secteur Al-Hijr (S15) symbolisant la souveraineté arabe aux 
	confins de la vallée du Sud et des alentours de Becca. Cela ne semble pas 
	être compris, bien que les djinns soient considérés comme les troupes 
	étrangères. Certes, les démons ont sapé les Arabes et détruit le sens du 
	Coran par le Hadith et les traditions.
	 
	Salomon était le symbole de l'Église au cours 
	des 40 derniers jubilés et de la venue du Messie. La fourmi représente le 
	dernier avertissement de l'Église de Dieu avant les Témoins.
	 
	Encore une fois, nous sommes orientés vers 
	l'Écriture qui est faite pour les Croyants, comme ce fut le cas pour les 
	Sourates précédentes 24, 25 et 26.
	 
	Sourate 31 Luqman 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 31 (No. Q031)
	La Sourate 31 Luqman tire son nom des versets 12 et suivants. Les 
	Arabes essaient de dissocier le texte de la Bible et de l'attribuer à un 
	esclave noir qui fut sage, puis ils associent l'esclave et la science de la 
	Sourate aux contes d'Ésope (selon Pickthall et d’autres spécialistes) et 
	associent les deux. La réalité est que le texte de
	Luqman se rattache au Livre de Luc et au message de l'Évangile selon 
	l'apôtre.
	 
	Le texte encourage les élus persécutés et n'a rien à voir avec les fables 
	grecques.
	 
	La Sourate a été transmise dans les dernières phases de la persécution de 
	Becca. Les textes concernant la Résurrection d'entre les morts aux versets 
	27 et 28 sont datés de la fin de l'an 622 de notre ère et remontant après 
	l’Hégire d'Al Médine. Il semble y avoir peu de raisons de l'affirmer étant 
	donné le contexte, mais examinons le texte. Le Hadith a pour but de 
	dissocier les textes des Écritures.
	 
	Voir aussi les documents 
	
	Le Sort 
	des Douze Apôtres (No. 122B) et 
	
	La Mort 
	des Prophètes et des Saints (No. 122C).
	
	 
	
	Sourate 032 La Prosternation 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 32 (No. Q032)
	Cette Sourate est une référence directe aux Révélations du Seul Vrai Dieu 
	dans les Écritures. Elle comporte trente Ayats ou versets qui symbolisent la 
	prophétie. Les hérétiques hadithiques, malgré la clarté des textes, 
	cherchent à limiter le terme d'Écriture au Coran ou Qour'an, et ne 
	perçoivent ni leur hérésie ni le châtiment qui leur est réservé. Elle leur a 
	été donnée dans le Groupe des Sourates du Milieu de la Période de Becca et 
	ils ont continué à nier et persécuter la foi.
	 
	
	La série du Milieu de la Période de Becca commença alors à traiter de 
	l'histoire des gens de Becca et des Arabes et de leur idolâtrie, ce qui 
	exaspéra les gens de Becca et leur fit atteindre de nouveaux sommets dans la 
	persécution.
	
	 
	
	L'Histoire de l'église a également été décrite ici à la Sourate 18
	La Grotte, ainsi que les 309 ans 
	de persécution et la fin de cette période avec la nomination de Constantin 
	comme empereur à York en 309 de notre ère, puis la publication de son Édit 
	de Tolérance à Milan.
	
	 
	
	La prochaine section des Sourates de la Dernière Période de Becca met 
	l'accent sur le Dominion de Dieu sur Sa création et la place de l'Armée dans 
	cette création. 
	
	
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