Christian Churches of God

[QSB]

 

 

 

Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran

(Édition 1.0 20180611-20180611)

 

Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la Ka'bah.

 

 

 

Christian Churches of God

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(Copyright ã 2018 Wade Cox)

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 Résumé des Commentaires sur le Qour'an ou Coran [QSB]

 

 


Section 3

Cette section traite des Sourates du Milieu de la Période à Becca et de leur progression dans les déclarations de foi aux idolâtres païens de Becca.

 

Sourates du Milieu de la Période à Becca

Sourates 30, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50, 67, 69,

015, 017 (versets 81 et 76-82), 018, 021, 025 (versets 68 à 70 (AH)), 026 (224- 227 (AH)), 027, 031 (milieu ou fin de la période à Becca – versets 27-28 (AH)), 032.

 

Sourate 30 Les Romains (Commentaire sur le Coran : Sourate 30 (No. Q030)

Sourate 30 Ar-Rum “Les Romains tire son nom d'un mot du premier verset. L'histoire est répétée depuis l'Introduction jusqu’à la Sourate, car elle est importante pour la séquence historique et la compréhension.

 

Les guerres romaines/perses ont été, dans leur essence, les plus longues séries de guerres de l'histoire de l'humanité. Les conflits ont débuté en substance après la chute de Babylone aux mains des Mèdes et des Perses puis de l'invasion de la Grèce par les Perses en tant que le Torse d'Argent du Chapitre 2 de Daniel. Les Grecs sous Alexandre symbolisé par le “Bouc percutant le “Bélier perse, prirent le relais de la Perse en tant que rois babyloniens du Nord. L'Empire séleucide succéda au système grec après sa chute, et gouverna l'Orient. Les Romains ont régné à l'ouest à partir de Rome succédant aux Grecs en tant que les jambes de Fer dans Daniel Chapitre 2, puis ont développé l'empire à l'est, à partir de Byzance et régné depuis Constantinople sous le règne de Constantin.

 

Les Parthes régnèrent depuis la Perse et l'Arabie et entrèrent en conflit avec Rome à partir de l'an 54 AEC (avant notre ère) et cette étape du conflit devait durer jusqu’à la fin de la République et jusqu'à la chute de l'Empire Parthe (et le déplacement de plusieurs de leurs tribus vers le nord-ouest de l'Europe au Deuxième siècle) ; et sous le règne des Sassanides de l'Empire persan.

 

Il y avait plusieurs royaumes vassaux sous forme d'états tampons ainsi que plusieurs nations nomades alliées qui y ont également joué un rôle.

 

Après la chute des Parthes, la frontière entre les empires s'est déplacée du nord de l'Euphrate à l'est vers le Tigre et au nord vers l'Arménie et le Caucase.

 

Les guerres ont été interrompues par les invasions arabo-musulmanes, qui ont entraîné la chute de l'Empire sassanide et d'énormes pertes territoriales pour l'Empire romain oriental byzantin, peu après la fin de la dernière guerre entre eux.

 

La guerre a duré sept siècles jusqu'à l’émergence de l'Islam, mais les frontières sont restées relativement stables entre elles, cependant les villes proches des frontières et souvent les provinces étaient saccagées. Les Pauliciens de la région ont été persécutés. Bien que les églises unitariennes là-bas et en Arabie aient été persécutées, elles n'ont pas pu être subjuguées. Avec l’émergence de l'Islam, le visage du Moyen-Orient a changé.

 

Au VIe siècle, les armées de la région avaient adopté les tactiques des autres armées et étaient à peu près égales entre elles. C'était la scène décrite dans la Sourate 30. Elle a été livrée dans le Milieu de la période à Becca ca. 615-616 environ sept ans avant l'Hégire de l’an 622. En 613, les persécutions ont vu les pauvres de l'église s'enfuir de Becca en direction de l'Abyssinie et chercher refuge sous le Négus et l'église Sabbatarienne en Abyssinie. Nous voyons les détails à partir de l'Introduction jusqu'à la Sourate 19 “Mariam.”

 

Les Perses ont vaincu les armées de l'Empire romain oriental dans tous les territoires proches de l'Arabie. En 613 EC (de notre ère), à l'époque de la première Hégire, Jérusalem et Damas tombèrent, suivies de l'Égypte en 614. À l'époque de cette Sourate, une armée persane avait envahi l’Anatolie et menaçait Constantinople même.

 

Les Arabes païens se réjouissaient des victoires persanes sur les Musulmans car, comme les Romains, ils croyaient en un Dieu unique, bien que comme système trinitaire, alors que les Perses ne le croyaient pas. Ainsi, les prétentions de la Suprématie d'Allah étaient réfutées par les victoires des Perses. Cette vue a cependant été détruite après les batailles ultérieures, à partir de Badr et au-delà, puis à la chute de Becca comme nous l'avons vu dans les Sourates 8 et 9 qui ont suivi.

 

Les guerres romano-persanes se sont avérées catastrophiques pour les deux empires. Épuisés et vulnérables, ils ont dû faire face au Califat qui a envahi ces deux empires quelques années après la dernière guerre romano-persane. 

 

Avec l’émergence de l'Islam, le Califat a par la suite pris le contrôle des conquêtes persanes et des anciennes possessions romaines du Levant et du Caucase, de l'Égypte et du reste de l'Afrique du Nord.

 

La Sourate 30 débute par deux prophéties. La première étant que les Romains triompheraient et auraient la victoire sur les Perses. La deuxième était que dans les dix années à venir, les Musulmans auraient eux aussi des raisons de se réjouir. En 624, les Musulmans remportèrent leur première victoire à la bataille de Badr et plus tard, devaient vaincre les gens de Becca, puis bâtir les Armées de l'Islam.

 

Vers l’an 624, les Romains avaient vaincu les Perses et pénétré sur leur territoire. Ce conflit devait en fait s'étendre jusqu'aux Derniers Jours selon les prophéties de Daniel, auxquelles le Prophète fait référence ; quoique l'Islam ne comprenne pas ces prophéties parce que les islamistes n'étudient pas, n'étant pas baptisés dans l’Esprit Saint.

 

Le lien avec le Livre de Daniel est clair. Même, Pickthall a compris que les prophéties n'étaient que le prélude au Royaume universel de Dieu qui devait être établi par le Messie, comme nous le voyons de la “Pierre non taillée par les mains humaines qui frappe l'empire des derniers jours aux pieds des Dix Orteils de “fer et d'argile bourbeuse (cf. Daniel chapitre 2:41-45). Le texte fait également ressortir la compréhension des aspects romains des Pieds de Fer et d'Argile bourbeuse du Saint Empire romain (590-1850 EC) et de l'impact du dernier empire des Dix Orteils de Daniel chapitre 11 également.

 

Le texte traite ensuite des Lois de Dieu considérées comme des lois de la nature dans la sphère physique et dépendant des Lois qui proviennent de Sa Nature même. Elles sont soumises à Sa Miséricorde, tout en étant égales et justes et ne font pas d'acception de personnes. On ne peut leur échapper par la sagesse ou par la ruse. Sa Loi englobe tout, et la même norme de jugement s'applique à tous. Ceux qui font le bien obtiennent Sa faveur et ceux qui font le mal font face à Sa colère, peu importe leur croyance ou leur tribu. Tout jugement se fait selon les Lois de Dieu dans lesquelles il n'y a aucune acception de personnes.

 

Sourate 36 Ya Sin Commentaire sur le Coran : Sourate 36 (No. Q036)

Ya Sin est généralement tenue pour signifier Yah Insan (Ô Homme). Cette Sourate est présentée par les érudits comme une Sourate spécialement vénérée et récitée dans l'adversité, la maladie, le jeûne et à l'approche de la mort.

 

Il s'agit d'une Sourate du Milieu de la période à Becca, destinée à avertir les gens de Becca, dont les pères sont présumés ne pas avoir été avertis. Les gens de Becca sont réputés être des gens au cou raide ; par conséquent, les mises en garde qui leur sont adressées ne sont pas utiles, parce qu'ils ont le cou raide et ne croiront pas.

 

Le texte fait référence aux adversaires manifestes de Dieu et aux gens de Becca qui adorent le dieu Hubal ou Baal et la Déesse. Ils n'observent ni le Sabbat en vertu de l'Alliance (4:154), ni ne prêtent attention au message du Coran et ils seront bientôt punis.

 

Sourate 37 Ceux qui Établissent les Rangs Commentaire sur le Coran : Sourate 37 (No. Q037)

As Saffat tire son nom du texte du verset 1, soit Ceux Qui Établissent les Rangs dans l'Ordre de Bataille. Elle vient du groupe du Milieu de la période des Sourates de Becca et se réfère aux Écritures comme la Parole.

 

Les traditions attribuées à la venue du Prophète étaient que les devins et les astrologues à travers l'Orient étaient déconcertés par l'apparition d'une comète et de nombreux météores, en contradiction avec leur compréhension des sciences, les amenant ainsi à craindre de rester sur les hauts sommets pour observer les étoiles, selon leurs habitudes générales. Ils ont dit aux investigateurs que leurs proches étaient incapables de leur expliquer les choses et qu'ils avaient tous peur.

 

C'est ce thème qui est donné en explication des versets 7-9 et du texte similaire dans la Sourate 72 (LXXII):8-10 et aussi la Sourate 67 (LXVII):5. La Sourate 72 se rapporte aux Jinn ou “esprits élémentaires” et aussi aux “ingénieux” étrangers comme ceux qui ont servi Salomon. Elle est donc aussi appelée “La Congrégation” pour les trois variations de sens du Coran. Voilà la congrégation des élus.

 

Sourate 38 Sad (Saad) Commentaire sur le Coran : Sourate 38 (No. Q038)

Sad. Cette Sourate tire son nom de la première lettre qui fait office de Premier verset. La tradition soutient que les dix premiers versets ont été révélés lorsque les dirigeants des Quraych ont essayé de persuader Abu Talib de retirer sa protection du Prophète. D'autres suggèrent que c'était à la mort d'Abu Talib. La première hypothèse est considérée comme la plus probable. C'est une des premières Sourates du groupe du Milieu de la période à Becca.

 

Le récit des onze premiers versets se rapporte à l'Armée déchue et à ses multiples démons et idoles et attire l'attention sur l'incapacité des gens de Becca et autres à comprendre qu'il n'existe qu'un Seul Vrai Dieu.

 

Sourate 39 Les Troupes Commentaire sur le Coran : Sourate 39 (No. Q039)

Az-Zumar, “Les Troupes”, tire son nom d'un mot particulier qui signifie troupes ou compagnies figurant aux versets 71 et 73. Pickthall soutient qu'elle appartient manifestement au Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca, bien que Noldeke la place dans son dernier groupe, et certaines autorités soutiennent que les versets 53 et 54 ont été révélés à Al-Médine.

 

Le texte des versets 71 à 73 fait de nouveau référence à la séquence des Résurrections, où les élus sont envoyés en compagnies ou en troupes au Jardin du Paradis de la Première Résurrection, et les autres sont envoyés en troupes pour attendre dans la tombe du Shéol ou la fosse, en attendant la Deuxième Résurrection. Ce thème fondamental et récurrent du Coran est renforcé Sourate après Sourate afin qu'il n'y ait aucun doute parmi les Arabes et ceux qui leur sont associés, que les morts sont jugés selon les Lois de Dieu et la Foi et le Témoignage des Écritures sous le Messie et les élus. Quiconque prétend être de la Foi et dit que lorsqu'il meurt, il va au ciel est un infidèle adorateur de Baal.

 

Le texte traite de la suprématie du Seul Vrai Dieu dans la création et du sort de ceux qui s'y trouvent.

 

Sourate 40 Les Croyants Commentaire sur le Coran : Sourate 40 (No. Q040)

Al Mumin, “Le Croyant”, tire son nom des versets 28 à 45 qui décrivent les tentatives d'un croyant dans la maison de Pharaon pour dissuader son peuple de s'opposer à Moïse et Aaron. Il est plus approprié de l'appeler Les Croyants.

 

Ce texte est le premier d'une série de sept Sourates commençant par les lettres Ha Mim et qui sont toutes désignées sous le nom de Ha Mim.

 

Il provient du Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca, bien que certaines autorités affirment que les versets 56 et 57 ont été révélés à Al Médine.

 

Le texte concerne l'humanité, depuis Noé jusqu'aux messagers envoyés à l'humanité et aux incrédules. Il se poursuit par le châtiment de la Seconde Mort en faisant référence aux deux vies accordées à l'humanité et aux deux morts infligées aux incrédules à la fin du Jugement (versets 10 à 22). Puis, à partir du verset 23, nous voyons les infidèles qui refusent de se repentir dans la foi. Dieu envoya Moïse à l'Égypte, à Haman l'Amalécite et à Koré l'Israélite, en raison de leur rébellion et leur incrédulité.

 

Le sort des infidèles est indiqué à partir des versets 50 à 85. Au verset 51, nous voyons que les messagers sont guidés par Dieu pour assister ceux qui croient en la vie du monde au moment où les Témoins sont ressuscités (cf. Apocalypse 11:3 et suiv.) et cela se réfère aux Témoins. À partir du verset 53, nous voyons que Moïse a reçu la directive, et le fait que c’est Eloah qui a fait en sorte que les Enfants d'Israël reçoivent les Écritures. Ils gardent toujours cette responsabilité jusqu'à ce jour, et elle ne repose pas sur Juda ni sur leurs convertis, mais aux Dix Tribus et aux Églises de Dieu.

 

Sourate 41 Fusilat Commentaire sur le Coran : Sourate 41 (No. Q041)

La Sourate est la deuxième d'une série de sept Sourates connues sous le nom de Ha Mim tiré des lettres d'ouverture. 

 

Le terme Fusilat ou “Ils sont exposés” provient du texte de 41:3 en tant que deuxième verset. Le texte se réfère à l'exposition des Écritures sous la forme d'une lecture en arabe pour des gens qui ont des connaissances et qui, par conséquent, supposent une connaissance préalable de la foi.

 

De même que la Sourate 40 “Les Croyants” ci-dessus, c'est un avertissement aux idolâtres de Becca et un appel à l'étude des Écritures, au repentir et à l'obéissance afin que les gens puissent obtenir leur place dans la Première Résurrection et être avertis des dangers de la Seconde Mort dans la Deuxième Résurrection.

 

Les Arabes sont ici avertis des coups de tonnerre comme nous l'avons vu dans les Sourates précédentes, à la Sourate 11 “Hud”, la Sourate 13 “Le Tonnerre” et à la Sourate 15 “Al Hijr” ci-dessus de ce qui a détruit A'ad et Thamud et qui finira par détruire Amalek et les Arabes subséquents en raison de leur incrédulité, leur idolâtrie et leur désobéissance. 

 

Le thème des sept “Ha Mim” est résumé dans la Septième de la séquence, la Sourate 46, dans laquelle nous voyons l'appel des fidèles, et une référence est faite aux Enfants d'Israël, aux Écritures données à Moïse et aux Enfants d'Israël, avec un résumé des œuvres des prophètes (et une référence à Hud serait faite) et aux Écritures données aux prophètes postérieurs et révélées aux Gentils, pour lesquels le mot djinn (ou Jinn) est parfois utilisé comme un langage non-arabe bien conçu, intelligent ou de base biblique.

 

Sourate 42 Consultation Commentaire sur le Coran : Sourate 42 (No. Q042)

Ce texte est le troisième de la série Ha Mim. “Conseil” ou “Consultation” tire son nom d'un mot du verset 38. La Sourate appartient aux Sourates du Milieu de la période de Becca. Comme nous l'avons dit, ce texte s'adresse aux Quraych en tant que centre des Arabes à Becca, et constitue un avertissement spécifique pour eux et pour les Arabes en général.

 

Jusqu'à présent, l'avertissement n'a pas été pris en compte, sauf à très court terme.

 

Sourate 43 Les Parures d’Or Commentaire sur le Coran : Sourate 43 (No. Q043)

La Sourate 43 (XLIII) Az-Zukruf ou “Les Parures d’Or” ou Parures (aussi appelée “Ornements d’Or”) du mot signifiant “Ornements en Or” au verset 35. Il s'agit des mécréants qui recherchent en vain les richesses de ce monde, telles que les “portes en argent” et les “ornements d’or”.

 

C'est la Quatrième des Sourates Ha Mim écrites parmi les Sourates du Milieu de la période de Becca. Elle se réfère aux Écritures et est ici résumée pour être présentée clairement aux Arabes sous la forme d’un Qour’an. Ce mot est traduit par “lecture” car il indique clairement que les Écritures sont rendues aux Arabes en langue arabe sous la forme d'un Qour’an afin qu'ils puissent comprendre. Cependant, seuls les appelés comprendront, comme les textes le montrent encore et encore. Les Imams Hadithiques prétendent que les Écritures ont été perdues et que les termes ne se réfèrent qu'au Coran, ce qui est faux.

 

Le texte attaque les faux enseignements des Arabes idolâtres et leur échec à suivre et à se conformer aux Écritures. Le Prophète renforce les rôles de Moïse et de Jésus, le Messie, qui a donné les lois et les commandements de Dieu (v. 63). Il réitère également au verset 81, que le Seul Bienveillant n'a pas eu de fils (ce qui signifie par procréation, en ce sens que le Messie a été l'une des créations par décret divin, comme nous le voyons dans les nombreuses Sourates traitant de ce sujet).

 

Sourate 44 La Fumée Commentaire sur le Coran : Sourate 44 (No. Q044)

La Cinquième de la série Ha Mim, Al Dukban ou “La Fumée” tire son nom d'un mot du verset 10 qui proviendrait des conditions de poussière et de brume à Becca pendant la sécheresse qui s'est produite juste avant la conquête de Becca par les forces du Prophète et de l'église. 

 

À moins que ce texte ne soit une prophétie de la destruction de Becca bien des années plus tard, et de la pseudo-conversion de son peuple, il n'aurait pas pu être écrit à Becca bien des années auparavant en tant qu’un texte Ha Mim du Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca. C'est en réalité une prophétie des Derniers Jours sous les pseudo-musulmans et s'applique à la punition du peuple d'Égypte sous Pharaon quand il a rejeté Moïse (versets 17 et suiv.). Le texte se réfère ensuite aux Enfants d'Israël dans leur délivrance au verset 30 et leur élection comme choisis de Dieu (v. 32). Le texte se réfère par la suite aux Arabes en tant que peuple de Tubb'a comme successeurs des Amalécites dans les derniers jours, et au sort des Arabes idolâtres (voir Sourate 15 Al Hijr ci–dessus).

 

Sourate 45 L'Agenouillement Commentaire sur le Coran : Sourate 45 (No. Q045)

La Sourate 45 est Al-Jathiyah nommée d’après le verset 28 quand les nations sont toutes amenées devant Dieu. Pickthall le traduit par “l'Accroupissement” mais elle se réfère aux nations lorsqu'elles sont amenées devant Dieu en Jugement et est donc mieux ainsi nommée “l'Agenouillement”.

 

C'est la Sixième de la série des Sept Ha Mim et est un avertissement spécifique aux Arabes, à la fois à Becca et en Arabie, puis dans les Derniers Jours pour le Jugement dans les Deux Résurrections des Morts.

 

Le texte montre clairement que les Enfants d'Israël ont reçu les Écritures, les Commandements et la mission de Prophète et qu'avec Christ, ils ont été confiés à l'Église de Dieu en tant que Fils d'Israël, et les nations seront jugées selon les Commandements qui leur ont été donnés (versets 16 et 17).

 

Sourate 46 Les Collines de Sable Courbées par le Vent Commentaire sur le Coran : Sourate 46 (No. Q046)

Ici, nous voyons la dernière de la série Ha Mim en tant que l'Avertissement aux Arabes et au Monde en général.

 

Al Akhaf est ce qui est techniquement une Barquand. On le voit aisément dans les déserts sablonneux du monde. Il est compris comme ayant particulièrement caractérisé la zone de l'A'ad à Al Hijr en Arabie Saoudite (voir Sourate 15 Al Hijr). Le texte tire son nom du verset 21. L'avertissement est spécifique et suit les textes qui ont été adressés aux Arabes de l'A'ad, aux Amalécites en général et à leurs successeurs.

 

Ce texte provient du Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca, toutefois les versets 10, 15 à 18 et 35 ont été ajoutés à Al-Médine, et Pickthall le déclare ainsi dans son commentaire.

 

Résumé des textes Ha Mim :

Comme nous le voyons ci-dessus, la Sourate 40 est un avertissement aux idolâtres de Becca et parmi les Arabes, et un appel à l'étude des Écritures Saintes, au repentir et à l'obéissance pour que leurs gens puissent obtenir leur place dans la Première Résurrection et soient avertis des dangers de la Seconde Mort dans la Seconde Résurrection.

 

La Sourate 41 Fusilat traite de l'exposition des Écritures en langue Arabe aux personnes qui sont supposées avoir une connaissance préalable des Écritures. Elle établit ainsi que la connaissance des Écritures est essentielle à la compréhension du Coran et de la Foi. La Sourate reprend les avertissements de la Sourate 11 “Hud”, de la Sourate 13 “Le Tonnerre” et de la Sourate 15 “Al Hijr”. Ces textes dépeignent la séquence de la destruction des Arabes et des Amalécites au cours des âges jusqu'aux Derniers Jours pour leur idolâtrie et le rejet des Écritures et des Commandements de Dieu.

 

La Sourate 42 “La Consultation” ou Conseil s'adresse aux Quraych et aux Arabes généralement basés à Becca. C'est un avertissement spécifique aux Arabes en général pour leur idolâtrie et leur rejet des Lois de Dieu. Tous les Ha Mim sont orientés vers ce but de conversion des Arabes et de leur salut qui n'a pas encore été atteint jusqu’à ce jour.

 

La Sourate 43 “Les Parures d’Or” également appelée “Les Ornements d’Or” dérivée d'un mot du verset 35 est la Quatrième des Ha Mim. Le texte fait référence aux Écritures et au fait que le Coran est un résumé en langue Arabe pour clarifier le sens des Écritures. En effet, c'est pourquoi la langue Arabe fut réduite à une langue écrite vers 470 EC (de notre ère) par les Chrétiens sous les Himyarites. Ce n'est pas un substitut pour eux. Les Imams Hadithiques prétendent que les Écritures ont été perdues et que les termes ne font référence qu'au Coran, ce qui est faux. Le texte attaque les faux enseignements des Arabes idolâtres et leur incapacité à se conformer aux Écritures, et est en fait une prophétie. Le Prophète renforce le rôle de Moïse et celui du Messie, le Christ qui donne les Lois et les Commandements de Dieu (v. 63). Il réitère aussi au verset 81 que le Seul Bienveillant n'a pas eu de fils (ce qui signifie par procréation), en ce que le Messie est né par décret divin, comme nous le voyons dans les Sourates précédentes, comme les autres fils de Dieu (Job 1:6 ; 2:1 et 38:4-7).

 

La Sourate 44 “La Fumée” se réfère aux conditions des Derniers Jours, mais les érudits Hadithiques tentent de les limiter aux conditions d'avant la conquête de Becca suite à la sécheresse qui y régna avant que les armées du Prophète et de l'Église ne conquissent Becca, et n'accueillissent des milliers de personnes non converties qui furent par la suite des infidèles non baptisés Musulmans.

 

C'est une prophétie des Derniers Jours pour ceux qui sont sous les pseudo-musulmans (et pseudo-chrétiens), qui se voient appliquer la peine du peuple d'Égypte sous Pharaon, quand ils ont rejeté Moïse (versets 17 et suiv.). Ensuite, le texte fait référence aux Enfants d'Israël dans leur délivrance (v. 30) et leur élection comme choisis de Dieu (v. 32). Les Arabes sont alors désignés comme le peuple de Tubb'a en tant que successeurs des Amalécites et de ce fait des Arabes idolâtres (voir aussi Sourate 15 Al Hijr au commentaire Q015).

 

La Sourate 45 Al Jathiyah “L'Agenouillement” également appelée “l'Accroupissement” est ainsi nommée du verset 28 quand toutes les nations sont amenées devant Dieu en jugement, et est donc plus convenablement appelée “ L'Agenouillement”. Cette Sourate est la Sixième des Sept Ha Mim et est un avertissement spécifique aux Arabes à la fois à Becca et en Arabie à l'époque et dans les Derniers Jours pour le Jugement dans les deux Résurrections des Morts.

 

Le texte montre clairement que les Enfants d'Israël ont reçu les Écritures, les Commandements et la Prophétie ; et par Christ, cela a été confié aux Églises de Dieu en tant que les Enfants d'Israël. Les nations seront jugées selon les commandes qui leur ont été données (versets 16 et 17). 

 

Les Ha Mim sont une prophétie claire de la Foi, et la 7ème, “Barquands” ou “Les Collines de Sable Courbées par le Vent” est un renforcement final de l'avertissement aux Arabes, des Écritures et des Commandements de Dieu, du sort de ceux-ci et des nations dans les Derniers Jours. C'est une réprimande directe adressée aux Binitaires/Dithéistes et aux Trinitaires pour avoir placé l'un de l’Armée à côté d'Allah ou Eloah, d'où leur destin dans le Jugement (versets 4 à 6). 

 

Le Prophète réfute qu'il soit une particularité, une toute nouvelle chose parmi les prophètes de Dieu, mais qu'il n'est qu'un autre simple avertisseur comme l'ont été les prophètes avant lui (v. 9).

 

Le Coran explique qu'il s'agit d'une Écriture qui confirme les Écritures avant lui depuis Moise et par la suite (v. 12) et ne peut donc être lu indépendamment des Écritures, et ne peut donc les contredire.

 

Le Coran affirme aussi que ceux qui refusent de croire aux Écritures disent que c’est un mensonge ancien (vv. 11, 30), ce qui est exactement ce que ces faux enseignants ont fait au Coran avec le Hadith, et ils seront jugés et punis dans la Seconde Résurrection.

 

Le texte place le Cinquième Commandement comme base de l'acceptation des élus, et aussi comme nous l'avons vu avec Samuel à un si jeune âge (versets 15 et 16).

 

Nous voyons que les Arabes et les nations seront tous punis pour ne pas avoir observé les Lois de Dieu et pour avoir prié à d'autres qu'au Seul Vrai Dieu (versets 19 à 28). Les Arabes à partir de l'A'ad vers le bas sont identifiés ; c'est aussi à partir de l'A'ad que nous dérivons le nom des Collines de Sable Courbées par le Vent, et l'avertissement du tout premier prophète à l’A'ad, qu'ils ont méprisé et ignoré. 

 

Tous ceux qui sont morts et qui n'ont pas été baptisés, et ne sont pas convertis parmi les saints seront dans la Seconde Résurrection ainsi que ceux qui prient à un autre [être] que le Seul Vrai Dieu, Eloah ou Allah. Ainsi, ceux qui prient à Christ, sans parler de ceux qui prient aux morts tels que Mariam et les saints, seront également punis.

 

Le texte résume les conditions requises pour être accepté dans la Première Résurrection à la suite des avertissements de la précédente Ha Mim. 

 

Il n'y a qu'un seul Seigneur, une seule Foi et un seul Baptême, et ceux qui enseignent contre la Foi et les Écritures mourront et iront à la Seconde Résurrection.

 

Sourate 50 Qaf Commentaire sur le Coran : Sourate 50 (No. Q050)

Le texte tire son nom de la lettre arabe qui se tient seule à la tête du premier verset.

 

Elle est affirmée appartenir au Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca. Elle renforce la Résurrection des Morts et l'échec des gens de Becca à comprendre qu'ils n’allaient pas et n'iront pas au ciel. C’était leur croyance en tant qu'adorateurs de Baal avec les pseudo-Chrétiens qui adorent le dimanche, qui étaient aussi des adorateurs de Baal dans la structure du dieu Triune. Les idolâtres postérieurs sous l'Islam, empêchés de déplacer le Sabbat au dimanche par l'occupant Trinitaire du Dimanche des cultes du Soleil et du Mystère, ont dû déclarer que la période de préparation du vendredi était le Jumaah et ce, pour éviter le Quatrième Commandement et donc invalider les Lois de Dieu.

 

Sourate 67 Le Dominion Commentaire sur le Coran : Sourate 67 (No. Q067)

La Sourate Al-Mulk tire son nom du mot pour Dominion ou Souveraineté dans le premier verset. Le nombre de versets est de 30 qui délimite le conseil intérieur de la Souveraineté de Dieu dans Apocalypse 4 et 5, qui se compose des 24 Anciens ou Elohim sous le Messie en tant que Grand Prêtre (tel qu’expliqué dans la Sourate 2 ci-dessus), avec les quatre chérubins et Dieu siégeant sur le trône, au milieu. Donc, c’est le conseil intérieur des trente.

 

Cette séquence des Trente et Soixante-dix se poursuit tout au long des Sourates 67 à 70 et 72, et ce sont des textes importants.

 

Sourate 69 La Réalité Commentaire sur le Coran : Sourate 69 (No. Q069)

At-Haqqah tire son nom du mot des trois premiers versets qui soulèvent la question de la réalité, mais on pourrait aussi l'appeler “L'Inévitable” en ce que le Jugement s'applique à tous.

 

Elle appartient au Groupe des Sourates du Milieu de la période de Becca.

 

Le texte commence par une réprimande de l'A'ad et de Thamud, qui n'ont pas cru au Jugement à venir. Thamud a été détruit par la foudre et A'ad a été détruit par un vent violent et rugissant, après qu'ils eurent méprisé les prophètes Salih et Hud, envoyés vers eux, comme nous avons vu dans la Sourate 15.

 

Ainsi de même, l'Égypte a été punie après avoir rejeté Moïse, et ceux d'avant ont été punis à partir de Noé comme un mémorial.

 

Les versets 13 à 17 font référence au Jugement. La référence au verset 17 aux huit anges qui entourent ou soutiennent le trône, se rapporte aux chérubins protecteurs, mais se trouve dans la phase plus avancée de la Cité de Dieu où l’Armée combinée est présente, composée des quatre chérubins de l’Armée, réunis avec les chefs du Temple de Dieu de l’Armée Humaine soutenant le Trône de Dieu (voir Apocalypse, chapitres 21 à 22 et aussi La Cité de Dieu (No. 180)).

 

Les textes des versets 18 à 31 traitent de ceux qui sont appelés en Jugement et placés à la droite et à la gauche de Dieu pour récompense et correction. Les versets 32 et suivants traitent de l'entrave apportée à ceux qui sont sous correction et à ceux qui sont exposés à la Seconde Mort de l'Apocalypse, chapitre 20. La référence aux poètes et aux devins est un message désobligeant aux seigneurs idolâtres de Becca concernant leurs rites divinatoires, qu'ils pratiquent encore à ce jour. Les fausses déclarations des Imams et des Hadiths seront punies sous peu.

 

015, 017 (versets 81 et 76 à 82)

Al-Hijr Commentaire sur le Coran : Sourate 15 (No. Q015)

(Les liens de référence renvoient aux différents articles de Wikipedia.)

Al Hijr tire son nom de ce qui semble être un nom de lieu dérivé des versets 80 à 84. Ces gens étaient, d'après le texte de la Sourate, des habitants des cavernes qui sculptaient des habitations dans les collines. Ils ont péché et ignoré les prophètes (par exemple Hud et Salih) (cf. Sourates ci-dessus) qui leur ont été envoyés et semblent avoir été détruits (sauf pour une tribu).

 

Al Hijr est le lieu de résidence de la tribu de Thamud qui a succédé aux A'ad en tant que souverain en Arabie. La Sourate Al Qamar décrit comment ces gens de Thamud ont été détruits par un éclair, que les universitaires plus tard ont dépeint comme étant une éruption volcanique. Les autorités modernes conviennent qu'il ne reste plus qu'une seule tribu des Thamud, celle des Banu Thaqif au sud de Becca. 

 

Ceux-ci, comme nous l'avons vu, étaient des descendants des fils de Sem et non d'Abraham et ils étaient Arabes, et nous devons donc en déduire que les Arabes sont des descendants de Sem et sont beaucoup plus répandus qu'en étant simplement fils de Keturah et les fils d'Ismaël.

 

Dans leur histoire, nous voyons que les tribus dominantes descendent des fils de Sem selon Ibn Kaldun (cf. Wikipedia pour plus de clarté).

 

“Historien et érudit, Ibn Khaldun mentionne également les Thamud à plusieurs reprises dans son histoire universelle al-Kitābu l-ʻibar (Arabe الـكـتـاب الـعـبـر‎‎) (le Livre de la Preuve) écrite à la fin du 14ème siècle, mais seulement en passant, donnant rarement beaucoup d'informations.

Cela peut être illustré par ce qui s'est passé entre les nations. Lorsque l'autorité royale de ʿĀd fut anéantie, leurs frères, les Thamud, prirent le pouvoir. Ils ont été succédés, à leur tour, par leurs frères, les Amalécites. Les Amalécites furent remplacés par leurs frères, les Himyars. Les Himyars furent remplacés par leurs frères, les Tubba, qui appartenaient aux Himyars. De même, ils ont été succédés, par l'Assemblée de l’Adhwa'. 130 Puis, le Mudar est arrivé au pouvoir.

 

— Muqaddimah ("Introduction"), Chapitre II [8]

 

Le Yémenal-Bahrayn, ‘Oman, et le  Jazirah ont été longtemps des possessions arabes, mais depuis des milliers d'années, la domination de ces régions a appartenu successivement à différentes nations (arabes). Elles ont également fondé des villes et des villages (là-bas) et encouragé le développement de la culture sédentaire et du luxe au plus haut degré. Parmi ces nations se trouvaient les 'Ad et les Thamud, les Amalécites et les Himyar après eux, les Tubba, et les autres souverains d'Arabie du Sud (Adhwa). Il y a eu une longue période d'autorité royale et de culture sédentaire. La coloration de culture sédentaire s'est établie fermement. L'artisanat devint abondant et solidement enraciné. Ils n'ont pas été éradiqués en même temps que la dynastie (au pouvoir), comme nous l'avons dit. Ils sont demeurés et se sont toujours renouvelés jusqu'à cette époque, et ils sont devenus la particularité de cette région. Ces métiers (spécialités yéménites) sont les tissus brodés, les tissus rayés, les vêtements finement tissés et les soies.”

— Muqaddimah Chapitre V [9]

 

À partir de ce texte, nous devons déduire que les Amalécites sont une tribu arabe qui porte leur lignée et leur souveraineté. La dernière bataille à laquelle l'autorité doit faire face est celle d'Amalek. La dernière guerre d'Israël sera livrée aux Amalécites selon la prophétie. Le Coran est écrit pour les amener au repentir et les sauver, mais il est peu probable qu'ils se repentent et les guerres finales auront lieu comme prévu. L'objectif est de sauver certains d'entre eux.

 

Le Royaume Ḥimyarite, qui était un Royaume Yéménite, était l'entité politique dominante en Arabie jusqu'en 525 EC (de notre ère). Son économie reposait sur l'agriculture et son commerce extérieur était centré sur l'exportation des produits d’encens et la myrrhe. Il a succédé aux Amalécites ca.110 AEC, puis fut à son tour remplacé à partir de 525 EC par les Tubba, frères des Himyar impliquant la région d'Axoum en Éthiopie y compris les Négus là-bas, et étaient Chrétiens. Ils ont constitué le pouvoir politique jusqu'à la montée de l'Islam sous le Prophète Arabe et les Califes Correctement Guidés à partir de 622 AEC (de notre ère).

 

En examinant cette période, nous voyons les répercussions des conversions juives en Himyar dans la péninsule arabique et des guerres judéo-païennes avec les Chrétiens, à la fois Unitariens et visiblement Binitaires/Trinitaires. Beaucoup de Juifs sont issus des convertis de tribus arabes, en partie ou en totalité. Après que les Juifs eurent été expulsés de Judée par les Romains de 70 à 135 EC, ils se sont installés dans les pays voisins et de nombreuses conversions ont eu lieu. La dernière grande conversion au Judaïsme a eu lieu au nord, dans la région de la mer Noire et des steppes des Khazars, en 730 EC. Ces gens sont devenus la majorité des Juifs ashkénazes.

 

La fin des Amalécites coïncida avec la capture et la conversion des Édomites par Jean Hyrcanus des Maccabées. C'était un leader hasmonéen (maccabéen) et Grand Prêtre Juif du IIe siècle avant notre ère (né en 164 AEC, régna de 134 AEC jusqu'à sa mort en 104 AEC). Il s'opposa à la montée des Parthes et à leur occupation d'Hyrcania, qui constitue l'une des origines conjecturales de son nom.

 

Le pouvoir amalécite à l'ouest de Pétra a été brisé par l'assujettissement des Édomites et cela est survenu quand ils ont cessé de contrôler le système arabe et les Édomites à l'ouest et à Pétra. Leur disparition dans le sud-ouest de l'Arabie a affaibli le pouvoir et le commerce des Amalécites.

 

Leur influence auprès des Phéniciens se poursuivit et contribua à légitimer l'influence militaire d'Hérode auprès des Romains grâce à la bataille d'Actium (2 septembre de l'an 31 AEC), qui permit la création du royaume d'Idumée de la Judée, et dont Hérode fut le roi, avec l’ascension du pouvoir romain en Syrie et au Levant, avec les Parthes contrôlant l'Orient, y compris l'Arabie, la Perse et l’Iraq.

 

La Bataille d'Actium fut une bataille navale au large d'un promontoire au nord d'Acarnanie, sur la côte ouest de la Grèce, où Octave (surnommé l'empereur Auguste en l'an 27 AEC, par sa victoire décisive sur Marc Antoine), devient le maître incontesté du monde romain. Hérode a été renforcé en soutenant Octave contre Marc Antoine et les Égyptiens sous Cléopâtre.

 

L'affaiblissement du pouvoir amalécite par la montée des Parthes et des Maccabées en Judée, bien qu'initialement opposés, a permis la montée des Himyar au Yémen. Ils sont devenus les héritiers des Amalécites.

 

Les débuts du Règne des Himyar (115 AEC à 300 EC)

Le Royaume homéride, tel qu'il fut appelé par les puissances méditerranéennes, est situé sur la pointe sud de la Péninsule Arabique au 1er siècle des Périples de la mer Erythrée (cf. références Wikipedia). Durant cette période, le Royaume de Ḥimyar a conquis les royaumes de Saba' et de Qataban et s'est emparé de Raydan/Zafar pour capitale au lieu de Ma'rib ; par conséquent, ils ont été appelés Dhu Raydan (Ar : ذو ريدان). Au début du IIe siècle EC, Saba' et Qataban se séparèrent du royaume de Ḥimyar ; pourtant, en quelques décennies, le Qataban fut conquis par Hadhramaut (conquis à son tour par Ḥimyar au 4ème siècle), tandis que Saba' fut finalement conquis par Ḥimyar à la fin du 3ème siècle.[4]

 

Les Nabatéens régnèrent de Pétra à Damas et à l'Est en Arabie après la chute du royaume d'Idumée et la destruction de Jérusalem. Le royaume nabatéen s'est éteint sous Trajan et les régions les plus proches ont été rattachées à la province romaine d'Arabie. En 106 de notre ère, d'après Schürer, l'Arabie a appartenu à Pétra ; en d'autres termes, l'Arabie Nabatéenne a été déclarée province romaine par Cornelius Palma, gouverneur de Syrie sur ordre de Trajan (Schürer., p. 585) (voir aussi l'histoire dans Les Descendants d’Abraham Partie III : Ismaël (No. 212C)).

 

La défaite des Parthes contre les Romains après qu'ils eurent été affaiblis par un conflit avec les Perses a provoqué des bouleversements majeurs dans la région, et une grande partie du nord s'est déplacée en Europe, amenant la domination Himyar à se développer librement en Arabie.

 

La horde qui se rendait en Europe comprenait les Angles, les Saxons et les Jutes ainsi que les groupes nordiques, les Lombards, les Hérules, les Vandales et les Goths. Ces tribus appartenaient à deux groupes. Elles étaient aux deux tiers Hg. R1b et certains Hg G. et un tiers des tribus sémitiques Hg I. Le calendrier anglo-saxon était basé sur le Nouvel An à partir de l’Équinoxe de mars équivalent au calendrier israélite avec le Nouvel An le 25 mars comme date standard. Le calendrier fut appelé le Almanac qui est l'Arabe pour “Le Comptage.” Il en existe un exemplaire à la Bibliothèque de Cambridge. Tous les mois sont basés sur les Conjonctions de la Nouvelle Lune et sont des bi-mois de 59 jours.

 

L'article de Wikipédia déclare : Les rois himyarites semblent avoir abandonné le polythéisme et s’être convertis au Judaïsme vers l'an 380, plusieurs décennies après la conversion du royaume Éthiopien d’Aksoum au Christianisme (340), bien qu'aucun changement n'ait eu lieu dans son écriture, son calendrier ou sa langue (contrairement à Axoum). [5] Cette date marque la fin d'une époque où de nombreuses inscriptions consignent les noms et les actes des rois, et consacrent des bâtiments aux dieux locaux (par exemple Wagal et Simyada) et dieux majeurs (par exemple Almaqah). À partir des années 380, les temples ont été abandonnés et les dédicaces aux anciens dieux ont pris fin, remplacées par des références à Rahmanan, ‘le Seigneur du Ciel’ ou ‘le Seigneur du Ciel et de la Terre’.[6] Le contexte politique de cette conversion peut avoir été l'intérêt de l'Arabie pour le maintien de la neutralité et de bonnes relations commerciales avec les empires concurrents de Byzance, qui a le premier adopté le Christianisme sous Constantin le Grand et l’Empire sassanide, qui a alterné entre le Zurvanisme et le Manichéisme.[7]

 

Un des premiers rois juifs, Tub'a Abu Kariba As'ad (régna de 390 à 420), se serait converti à la suite d'une expédition militaire dans le nord de l'Arabie dans le but d'éliminer l'influence byzantine. Les empereurs byzantins ont longtemps eu les yeux rivés sur la péninsule arabique et ont cherché à contrôler le commerce lucratif des épices et la route de l'Inde. Les Byzantins ont espéré établir un protectorat en convertissant les habitants au Christianisme. Des progrès ont été réalisés dans le nord de l'Arabie mais avec peu de succès sur Ḥimyar.” [7]

 

Les forces d’Abu-Kariba ont atteint Yathrib et, ne rencontrant aucune résistance, elles laissèrent le fils du roi comme gouverneur de la ville. Les forces de Yathrib ont tué le fils d'Abu-Kariba. Il a tourné le dos à la ville. Après avoir abattu les palmiers dont les habitants tiraient leur principal revenu, il assiégea la ville. Les Juifs de Yathrib ont combattu aux côtés de leurs voisins païens.

 

“Pendant le siège, Abu-Kariba tomba gravement malade. Deux savants Juifs de Yathrib, Ka'ab et Asad nominativement, appelèrent le roi dans son camp et utilisèrent leur connaissance de la médecine pour lui rendre la santé.” (cf. article de Wikipedia) Ils ont guéri le roi et l'ont supplié de lever le siège et de faire la paix. Il a été persuadé et il a annulé son attaque. Il a également embrassé le Judaïsme avec toute son armée.

 

Les érudits Juifs accompagnèrent le roi himyarite jusqu'à sa capitale, où il exigea que tout son peuple se convertisse au Judaïsme. Initialement réticents, beaucoup d'Himyarites ont embrassé la vérité de la foi juive, et ont soutenu le Judaïsme. Certains historiens soutiennent que le Judaïsme, de par sa nature philosophique, simpliste et austère, a été attrayant pour la nature du peuple sémitique.[8]

 

Abu-Kariba est mort dans des circonstances peu claires. Peut-être que ses propres soldats l'ont tué. Il a laissé trois fils, Ḥasan, 'Amru, et Zorah, qui étaient tous mineurs à l'époque. Après la mort d'Abu-Kariba, un païen nommé Dhū-Shanatir a pris le trône.[7]

 

“La première invasion aksumite a eu lieu au Ve siècle et a été déclenchée par l'assassinat de quelques marchands byzantins. Deux sources chrétiennes, dont la Chronique Zuqnin précédemment attribuée à Dionysius I Telmaharoyo, qui a été écrite plus de trois siècles plus tard, indique que le roi himyarite a motivé les meurtres en disant : “C'est parce que dans les pays des Romains, les Chrétiens harcèlent méchamment les Juifs qui y vivent et en tuent beaucoup. Par conséquent, je mets ces hommes à mort.”[11] En représailles, les Aksumites envahirent le pays et établirent ensuite un évêché et construisirent des églises chrétiennes à Zafar.

 

La monarchie juive de Ḥimyar s'est achevée avec le règne de Yṳsuf, connu sous le nom de Dhū Nuwās, qui, en 523, a attaqué la population chrétienne de Najrān. [12] Vers l'an 500, à la veille de la régence de Marthad'īlān Yanūf (vers 500 à 515) le royaume de Himyar exerçait un contrôle sur une grande partie de la péninsule arabique.[13] C'est pendant son règne que le royaume himyarite commença à devenir un état tributaire d'Axoum, le processus s'achevant à l'époque du règne de Ma'dīkarib Yafur (519 à 522), un Chrétien nommé par les Aksumites. Un coup d'État s'ensuivit, avec Dhu Nuwas, qui avait tenté de renverser la dynastie quelques années plus tôt, prenant le pouvoir après avoir massacré la garnison aksumite en Zafār. Il a ensuite engagé le dialogue avec les gardes éthiopiens et leurs alliés chrétiens dans Tihāma, plaines côtières faisant face à l'Abyssinie. Après avoir pris le port de Mukhawān, où il brûla l'église locale et il avança vers le sud jusqu'à la forteresse de Maddabān surplombant la Bab-el-Mandeb, où il s'attendait à voir Kaleb Ella Aṣbeḥa débarquer sa flotte.[6] La bataille a fini par tuer entre 11 500 et 14 000 personnes et a fait autant de prisonniers.[13] Mukhawān devint sa base, tandis qu'il envoya un de ses généraux, un prince juif du nom de Sharaḥ'īl Yaqbul dhu Yaz'an contre Najrān, une oasis à prédominance chrétienne, avec un bon nombre de Juifs, qui avait soutenu avec des troupes sa rébellion précédente, mais qui refusait de reconnaître son autorité après le massacre de la garnison aksumite. Le général a bloqué la route des caravanes reliant Najrān à l'est de l'Arabie.”[6]

(cf. article de Wikipedia Himyar)

 

Les Amalécites ont été chassés par l'Himyar mais ils n'ont pas disparu, et jusqu'en 110 AEC ils ont été l'influence dominante en Arabie. 

 

Le Livre d'Esther rapporte qu'ils ont été stoppés dans leur tentative de destruction des Juifs sous Haman sous le règne des Perses, pendant la captivité des Juifs (cf. Commentaire sur Esther (No. F017)).

 

Les Amalécites : Un ou plusieurs peuples

Les Écritures dépeignent les Amalécites comme des descendants d'Amalek, un petit-fils d'Ésaü, [5] par l'intermédiaire d'Eliphaz de Teman (et Timna sa concubine horite, la sœur de Lotan), qui tirent leurs origines de Edom (Genèse 36:11–12, 15–16). Genèse 14:7 montre que l'utilisation de “Amalécites” fait référence à un peuple dans la région de Cadès qui était en place au temps d'Abraham. Cette région ne fut pas occupée par les fils d'Ésaü, c'est-à-dire les Édomites, avant la captivité de Juda. Rashi soutient que cette référence fait allusion à la dernière occupation et d'autres chercheurs sont d'accord avec cette position qu'il s'agit d'une insertion rédactionnelle ultérieure (c.-à-d. Freedman). La probabilité, cependant, que les fils d'Amalek comptent ou rivalisent avec Israël sous Joas et soient nommés d'après l'un des petits-fils d'Ésaü est incertaine. Cependant, Eliphaz était avec Job fils d'Issachar dans la péninsule arabique et ils ont pu fusionner avec les éléments arabes avant le temps de Moïse quand il est allé à Madian. [Le livre de] Job a été attribué à Moïse du temps de son séjour à Madian.

 

L'article de Wikipédia sur Amalek et les Amalécites fait référence à des érudits arabes ultérieurs. On peut y lire ce qui suit : “Au cours de l’Âge d'Or Islamique, certains écrits arabes ont prétendu que les Amalécites existaient bien avant Abraham.[13] Quelques historiens musulmans ont affirmé que les Amalécites qui combattaient Josué étaient les descendants des habitants de l'Afrique du Nord. Al-Masudi a dit que les Amalécites étaient originaires de la région de la Becca bien avant l'époque d'Abraham.[citation nécessaire] Ebn Arabshah a soutenu qu'Amalek était un descendant de Cham, fils de Noé”.[12][13]

 

Il est cependant possible que le nom Amalek ait été donné à deux nations différentes de deux ancêtres différents. “Les Arabes mentionnent Imlik, Amalik, ou Ameleka parmi les aborigènes d’Arabie, dont les restes ont été mêlés aux descendants de Joktan et Adnan et sont devenus les Mostarabs ou Mocarabes, autrement dit, les Arabes mélangés avec les étrangers”.[12] (Ibid.)

 

L'explication probable est qu'il y avait deux groupes ou plus dans la Péninsule Arabique et le Sinaï qui ont été nommés Amalek et qui se sont mélangés avec le temps. Leur domination sur la région a succédé à la tribu de Thamud depuis A'ad le petit-fils de Sem en Arabie et qu'ils venaient en fait de cette région au sud de Becca adjacente à l'Ismaélite Qureysh à Becca. Les récits des Arabes les confondent avec les Hébreux de Joktan, qui s'installèrent dans la région de la Perse et jusqu'à l'Indus. Le texte dans Genèse 14 les lie en tant qu'Alliés des Élamites et des Nations qui ont participé à l'invasion de Sodome et de la région du Jourdain, et qui se sont opposés et ont été battus par Abraham après la capture de Lot. C'est pour cette raison qu'Abraham avait tué les petits-fils de Sem et qu'il lui a peut-être donné la dîme en tant que Melchisédek, prêtre de Dieu.

 

Wikipedia considère que : “Au XIXe siècle, les théologiens occidentaux soutenaient fortement l'idée que la nation d'Amalek aurait pu prospérer avant l'époque d'Abraham. Matthew George Easton a préconisé que les Amalécites n'étaient pas des descendants d'Amalek, en adoptant l’approche littérale de Genèse 14:7.[14] Cependant, l'érudit bibliste moderne David Freedman utilise l’analyse textuelle pour déduire que l'utilisation d’Amalécite dans Genèse 14:7 est en fait un anachronisme,[9] une incohérence chronologique d'un groupe de personnes (dans ce cas) dans un espace temporel mal situé. Toujours au début du 19e siècle, Richard Watson a énuméré plusieurs raisons spéculatives pour avoir un plus ancien Amalek” qu’Abraham.[13]

 

Dans l'exégèse de Nombres 24:20 sur les propos de Balaam : Amalek fut la première des nations, mais sa fin postérieure surviendra même lorsqu'il périra, Richard Watson tente d'associer ce passage à la première des nations qui se développa après le Déluge.[13] Selon Samuel Cox, les Amalécites furent les premiers qui ont fait preuve d’hostilité envers les Israélites.” [15]

 

L'article indique également que de nombreux groupes nomades du désert d’Arabie, y compris apparemment les Amalécites, ont été communément désignés par l'expression Arabe(s).

 

Nous comprenons tous que, bien que des recherches archéologiques aient permis d'acquérir des connaissances considérables sur les Arabes nomades, aucun artefact ou site spécifique n'a été lié à Amalek avec certitude.[9] Il est toutefois possible que certains villages fortifiés des hautes terres du Néguev et même Tel Masos (près de Beer-sheba) aient des liens avec Amalek.[16] Easton allègue que l'inscription babylonienne Sute désigne les Amalécites, aussi bien que l'expression égyptienne Sittiu. Easton affirme également que les tablettes d’Amarna font référence aux Amalécites sous le nom général de Khabbatti, ou “pillards”.[14]

 

Il apparaît sans l'ombre d'un doute, que les Amalécites mentionnés dans les Écritures étaient associés aux Élamites. Ils étaient également associés aux premiers fils de Sem. Eliphaz le Témanite figure également dans le livre de Job. Il fut le père d'Amalek de Edom.

 

Les Amalécites occupèrent et gouvernèrent l'Arabie après la destruction de Thamoud et que la zone occupée par les descendants de Thamoud était adjacente à celle de l'Ismaélite Quraych de Becca ; cette Sourate prend comme titre le nom de cette zone, et tient une place directe dans la prophétie en rapport aux derniers jours dans les Écritures. Le rejet des Écritures par les Arabes provient probablement des prophéties de la Bible qui traitent des événements des derniers jours qui montrent les conflits au Moyen-Orient, et la désagrégation de la Péninsule Arabique, des Syriens, des Libanais, des habitants de Gaza, des Irakiens et de nombreux Perses en raison de leur propre désobéissance idolâtre volontaire en suivant la Charia et la structure du système Baal.

 

Les Enfants d'Israël ou le Voyage Nocturne Commentaire sur le Coran : Sourate 17 (No. Q017)

La Sourate 17 “ Banî Israël”, commence et se termine par des références aux Israélites en tant que “Enfants d’Israël”. Au verset 1, le Prophète raconte sa vision dans laquelle il a été porté de nuit sur un cheval, de Becca/Médine à l'emplacement du Temple à Jérusalem : D'où le titre supplétif de “Voyage Nocturne”.

 

À cette époque, le Mont du Temple était devenu une décharge sous les Chrétiens Trinitaires qui ne comprenaient pas du tout la foi. Il a fallu la mobilisation de l'Islam sous Omar pour le reprendre et le nettoyer. Ce texte a pour but de rendre la remise en état possible et de montrer sa nécessité.

 

Nous nous référons ici aux lois de Moïse et aux Écritures. Il semble que ce thème récurrent soit dû au fait que les Arabes n'acceptent tout simplement pas l'Écriture, et il en est encore ainsi aujourd'hui. La transmission de la Foi de Noé à Abraham en passant par Sem, puis à Moïse, aux Israélites, aux prophètes, au Messie et aux Églises de Dieu est un thème constant, comme nous le verrons plus loin dans les textes sur Les Rangs et Ceux Qui Établissent Les Rangs.

 

De même que le Christianisme Trinitaire, l'Islam n'étudie même pas le Coran, et ils n'ont donc aucune idée des Écritures. En fait, ils enseignent en proférant des blasphèmes, que Dieu a permis que les Écritures soient perdues et détruites. La plus grande partie de l'Islam est enseignée par les adorateurs païens de Baal, et que lorsqu'ils meurent, ils vont au ciel et que ceux qui meurent au combat se font offrir soixante-douze vierges. Pourtant, le Coran dit clairement à ces gens trompés encore et encore qu'ils doivent œuvrer pour la résurrection des morts dans les Jardins du Paradis (voir les Sourates ci-dessus et ci-dessous). Beaucoup sont appelés mais peu sont élus. Même deux des dernières divisions des Églises de Dieu sont exclues de la Première Résurrection en raison de leur Binitarisme/Dithéisme et de l'observance des intercalations babyloniennes et du Calendrier Hillel, comme cela a été fait à Becca sous le culte de Hubal en conformité avec le calendrier sous contrôle du Bani Kinana des Qureych (voir l’étude Le Rôle du Quatrième Commandement dans l’Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170)).

 

Sourates 018, 021, 025 (versets 68-70 (AH))

La Grotte [La Caverne]  Commentaire sur le Coran : Sourate 18 (No. Q018)

Ce texte a été mis en séquence, suivant la Sourate 17 pour une bonne raison. La Sourate 17 évoque le voyage du Prophète à Jérusalem. Elle a trait au lieu de Jérusalem en tant que centre de culte de la Foi. Le prophète Zacharie et les nombreux textes de l'Écriture situent Jérusalem comme le centre de la Foi pendant le Millénaire et ensuite comme le centre du pouvoir de l'univers. Ce texte de la Sourate 18 montre la séquence de la Foi dans l'histoire et sa place et son importance jusqu'au retour du Messie. Ces aspects sont également expliqués dans les chapitres 2 et 3 de l'Apocalypse.

 

“Al-Kahf” ou “La Grotte” [La Caverne] a été écrite après que les docteurs Juifs de Yathrib eurent posé une série de trois questions aux railleries idolâtres de Becca pour tester la prophétie. La troisième question concernant l'Esprit Saint est répondue à la Sourate 16:85 et suivants. La première question concernant la Grotte est une histoire de jeunes qui se sont réfugiés dans la grotte pour échapper aux persécutions (versets 10 à 27) et qui y ont habité pendant quelque temps, comme s'ils y étaient endormis.

 

Le texte est considéré par des écrivains occidentaux (tel que Gibbon) pour être la légende des sept dormeurs à Éphèse. Ceci identifierait les prophètes comme répondant à l'histoire de la légende parmi l'église primitive. Cependant, la tradition plus tardive des écrivains hadithiques a affirmé qu'il a été rattaché à la tradition arabe avec les versets 83 à 89 de Dhu'l Qarneyn (Les Deux Cornes), et peut-être celui de Moïse et l'Ange, des versets 61 à 82. Ces textes ont été révélés au Prophète pour réfuter les questions que les Juifs de Yathrib (Médine) ont posées par le biais des idolâtres pour tester le Prophète. 

 

La tradition postérieure consiste probablement à divorcer le Prophète de la foi chrétienne et juive, ce qui fut un stratagème hadithique bien plus tardif. Le Coran ne fait pas un tel effort.

 

Pickthall retrace les questions des Rabbins Juifs à Yathrib comme étant :

  1. Interrogez-le sur le sort de certains jeunes de jadis, quel fut leur sort ? Car ils ont une histoire étrange.
  2. Demandez-lui au sujet d'un homme qui a beaucoup voyagé et qui a atteint les régions du lever et du coucher du soleil de la terre. Quel est son histoire ?
  3. Interrogez-le sur l'Esprit. Qu'est-ce que c'est ?

 

Les persécuteurs du Prophète sont retournés à Becca et lui ont posé ces questions. Ils ont dit aux gens qu'il s'agissait d'un test crucial.

 

Le Prophète a dit à tort qu'il leur répondrait sûrement le lendemain comme si Dieu allait lui obéir en répondant à ces questions. Il aurait dû finir par “si Dieu le veut.”

 

À la suite de cette omission, Dieu a retenu les réponses pendant quelques jours. Quand la réponse a été donnée, elle incluait la réprimande du verset 24 (cf. Pickthall).  

 

Les Juifs ont dû être satisfaits des réponses car ils n'ont plus fait référence à la question après la fuite de l'église à Yathrib (Al-Médine) en partance de Becca. Ils se moquaient quotidiennement du Prophète sur toutes sortes de sujets divers. Pickthall est d'avis que les questions doivent toutes porter sur les traditions Juives plutôt que sur la légende chrétienne des dormeurs d'Éphèse. L'histoire des deux cornes appartient en fait à la tradition juive (cf. aussi Pickthall). Le texte appartient au Groupe du Milieu de la Période des Sourates de Becca.

 

La première référence se rapporte en fait aux Sept Églises de Dieu et aux Anges des Sept Églises ; la première étant l'Église Éphésienne sous l'apôtre Jean, et ceux qui ont connu le Messie dans sa vie (voir le document Le Sort des Douze Apôtres (No. 122B) et aussi La Mort des Prophètes et des Saints (No. 122C)). C'est pourquoi les dormeurs sont appelés les Sept Dormeurs d'Éphèse. Leur épuration collective et les 309 années qui leur sont attribuées sont des identifications spécifiques de la persécution des églises jusqu'à la nomination de Constantin comme empereur à York en 309 EC, et l'édit de Tolérance en 313.

 

Les ères des Sept Églises sont nommées d'après les églises d'Éphèse, Smyrne, Pergame, Thyatire, Sardes, Philadelphie, et Laodicée. Ces ères portent le nom des églises basées en Anatolie, dans ce qui est aujourd'hui la Turquie. Elles représentent les âges des Églises de Dieu au cours des 2000 ans jusqu'au retour du Messie.

 

Chacune d'elles reçoit le pied de lampe à tour de rôle et les trois premières ères d'Éphèse, de Smyrne et de Pergame se rapportaient à l’église à partir de l'Asie, en passant par l’Arabie, jusque dans les montagnes du Taurus et en Europe.

 

La première ère a été fondée et enseignée par Jean à Éphèse, et les Soixante-dix ont été ordonnés et répandus par Christ à travers le monde, de la Grande-Bretagne à l'Inde. Ce fut ce qui a été connu comme le Premier Amour de la Foi.

 

Smyrne a formé les évêques après la mort de Jean, sous Polycarpe. Rome a été corrompue par les adorateurs de Mithras et d'Attis comme des formes du culte de Baal et de la déesse Easter. Le culte d'Adonis a corrompu les Grecs, et l'Égypte a été corrompue par les rituels d'Osiris, Isis et Horus. C'est de ces cultes du soleil que naquirent le culte dominical et les festivals de Noël et de Easter/Pâques (voir aussi Les Origines de Noël et de Easter/Pâques (No.235)).

 

Pergame se transforma en la phase guerrière de la Foi quand les églises en Arabie et les Pauliciens à l'ouest furent forcés de se battre pour survivre contre Byzance et l'idolâtrie à Becca et en Orient en général.

 

Ces ères sont expliquées en détail dans le document Le Rôle du Quatrième Commandement dans l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170). La structure de la distribution est expliquée dans le document La Distribution Générale des Églises observant le Sabbat (No. 122). Les quatre dernières ères ont des éléments vivants au retour du Messie, quand nous gouvernerons de Jérusalem.

Lire aussi le chapitre 2:1-29 de l'Apocalypse pour Le message à l'église d'Éphèse.

 

Pergame a commencé au Moyen-Orient et a conduit à l’émergence de ce qui est maintenant compris comme l'Islam (versets 12 à 17).

 

Le texte ci-dessus se réfère à l’ère au cours de laquelle le Prophète a existé et écrit. Ces commentaires se rapportent à cette ère et à leurs péchés et lacunes. L'ère suivante, Thyatire, a prospéré à travers les persécutions massives du Moyen Âge qui ont conduit à la Réforme. Des éléments existent [encore] aujourd’hui, mais il ne faut pas leur imposer d'autres charges (versets 18 à 29).

 

L'Étoile du Matin mentionnée dans la section sur Thyatire est la domination et l'éducation du monde sous le Messie. Nous avons traité cette question plus en détail dans la Sourate Al Tariq, l'Étoile du Matin et ci-dessous dans les sections finales.

 

Les ères finales dans Apocalypse chapitre 3, se réfèrent aux ères de Sardes, Laodicée et Philadelphie. Sardes et Laodicée sont rejetées par Dieu et envoyées à la Seconde Résurrection.

 

Apocalypse 3:1-22 Écris à l’ange de l’Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. 2 Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. 3 Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde, et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. 4 Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n’ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu’ils en sont dignes. 5 Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n’effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. 6 Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ! 7 Écris à l’ange de l’Église de Philadelphie : Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n’ouvrira : 8 Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n’as pas renié mon nom, j’ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer. 9 Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t’ai aimé. 10 Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. 11 Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. 12 Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n’en sortira plus ; j’écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau. 13 Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ! 14 Écris à l’ange de l’Église de Laodicée : Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : 15 Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant ! 16 Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. 17 Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, 18 je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. 19 Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. 20 Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. 21 Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. 22 Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises !

 

Sardes et Laodicée sont les deux ères des Sept qui sont retranchées de la Première Résurrection. Philadelphie est la dernière ère avant le Messie, qui a le pied de lampe. Au cours de cette ère, Juda et les éléments de l'Église qui se réfèrent à elle-même comme l'Islam et les quatre dernières ères des Églises de Dieu seront appelés au repentir et préparés pour servir sous le Messie. Ceux qui ne le feront pas seront tués par le Messie et les élus, avec les prophètes, et envoyés à la Seconde Résurrection.

 

Aucune personne impénitente ne survivra et ne sera autorisée à entrer dans le Millénaire sous le Messie.

 

Sourate 21 Les Prophètes Commentaire sur le Coran : Sourate 21 (No. Q021)

La Sourate 21 Al-Anbiya “Les Prophètes” est nommée ainsi en raison de son thème, qui traite de l'histoire des anciens prophètes. L'orateur dans les versets 4 et 112 est l’Esprit Saint, qui donne la voix à chaque prophète. Il n'y a pas de repères historiques ou de tradition pour permettre aux chercheurs de fixer une date. Elle est considérée comme étant d'origine de Becca. Pickthall et d'autres pensent qu'elle manque les caractéristiques des dernières et plus anciennes Sourates de Becca. Ainsi, ils la placent dans le Groupe des Sourates du Milieu de la Période de Becca. Elle traite des prophètes et de leurs disciples, en les rapprochant des premiers groupes qui ont jeté la base de la foi des Écritures. Sa place dans le Coran après les Sourates 19 et 20 indique qu'il s'agit d'une Sourate antérieure au moment de la fuite vers l’Abyssinie.

 

Le propos sur le futur Jugement de l'humanité (et en particulier ceux de Becca), soutient un tel point de vue.

 

Le Critère Commentaire sur le Coran : Sourate 25 (No. Q025)

La Sourate 25 Al-Furquan “Le Critère” tire son nom du thème du verset 1, Le Discernement (du Bien et du Mal). C'est la formation dans l'Esprit Saint des anciens du Mouhammad ou Concile de l'Église, dans leur préparation à devenir les messagers aux fidèles et à l'humanité, étant sous la direction de l'Esprit Saint. Ce sont ceux qui constituent les 144000 et la Grande Multitude d'Apocalypse chapitre 7, qui sont appelés au cours des 2000 ans, en tant que les 72 par an des conseils des élus des 144000 (et avec la Grande Multitude) des appelés et élus des Églises de Dieu. Ces aspects sont expliqués dans le document Les Récoltes de Dieu, les Sacrifices des Nouvelles Lunes et les 144,000 (No. 120).

 

Sourate 026 (224-227 (AH))

Les Poètes Commentaire sur le Coran : Sourate 26 (No. Q026)

La Sourate 26 Ash-Shu’ara “Les Poètes” tire son nom des versets 224 et suivants, dans lesquels la différence entre un poète et un prophète est soulignée. Le Coran a été adressé aux Arabes, souvent analphabètes, sous forme de poésie et de prose. Le texte reprend le passage de la Sourate précédente, traitant du critère des élus en tant que vrais croyants et leaders de la foi dans la prophétie. Les élus vivent par la foi et ne mentent jamais, peu importe la raison. Les poètes sont désignés comme étant ceux qui disent des choses qu'ils ne pensent pas souvent. Les Arabes païens croyaient que l'œuvre de la poésie et son inspiration étaient le fait des djinns ou des démons.

 

La persécution des prophètes et des élus de la foi et des Églises de Dieu n'est pas une chose nouvelle, et les persécutés de l'Église là reçoivent ce texte pour les soutenir et les réconforter. Les prophètes ont été persécutés et tués au cours des siècles, comme l'indiquent les Écritures, et c'est ce qui a inspiré le Prophète en Arabie sous cette persécution. Pickthall fait ici le commentaire dans son introduction, que ce sont les persécuteurs qui finissent toujours par souffrir et donc que les persécuteurs Hadithiques du pseudo-Islam seront en effet amenés à souffrir ces jours-ci.  

 

Ce texte montre que les prophètes du véritable Islam des Écritures sont toujours venus avec le même message et que le Prophète a eu ici le même message qu'Abraham, Isaac et Jacob, Moïse et Aaron à Élie, Jean, le Messie et les apôtres, les Mouhammads ou conseils des Églises de Dieu. Il n'y a qu'un seul Dieu, une seule Foi et un seul Baptême.

 

Le texte provient du Groupe des Sourates du Milieu de la Période de Becca, à l'exception des versets 224 à 227 qui ont été édités à Médine. Les textes ont été tirés des Écritures pour servir d'inspiration à l'Église persécutée, comme le Prophète l'a déclaré au début.

 

Sourates 027, 030, 031 (milieu ou dernière période de Becca versets 27 et 28 (AH))

Les Fourmis Commentaire sur le Coran : Sourate 27 (No. Q027)

La Sourate 27 An-Naml “Les Fourmis” tire son nom de la fourmi au verset 18 qui donne aux autres fourmis l'avertissement dans la Vallée des Fourmis, concernant l'approche imminente de l'armée de Salomon. 

 

C'est Salomon qui ordonna au fainéant d'aller examiner les fourmis de plus près, pour réfléchir à leurs voies. Ici, la fourmi prend métaphoriquement la place du Prophète comme avertisseur ou prophète des paresseux idolâtres de Becca. La Sourate est issue du Groupe des Sourates du Milieu de la Période de Becca.

 

Certains commentateurs pensent que cela a été un avertissement pour les Arabes, et ont affirmé que les fourmis évoquaient une ancienne tribu arabe, peut-être à l'époque de Salomon, et que les oiseaux représentent la cavalerie. Ils identifient le Hudhud (la huppe) comme étant le nom d'un homme. En effet, c'est le duplicata du prophète Houd qui a été envoyé pour avertir successivement, des tribus des Aa’d (S11) aux Thamoud et aux Amalécites, aux Himyarites et autres Arabes matérialisés par les habitants du secteur Al-Hijr (S15) symbolisant la souveraineté arabe aux confins de la vallée du Sud et des alentours de Becca. Cela ne semble pas être compris, bien que les djinns soient considérés comme les troupes étrangères. Certes, les démons ont sapé les Arabes et détruit le sens du Coran par le Hadith et les traditions.

 

Salomon était le symbole de l'Église au cours des 40 derniers jubilés et de la venue du Messie. La fourmi représente le dernier avertissement de l'Église de Dieu avant les Témoins.

 

Encore une fois, nous sommes orientés vers l'Écriture qui est faite pour les Croyants, comme ce fut le cas pour les Sourates précédentes 24, 25 et 26.

 

Sourate 31 Luqman Commentaire sur le Coran : Sourate 31 (No. Q031)

La Sourate 31 Luqman tire son nom des versets 12 et suivants. Les Arabes essaient de dissocier le texte de la Bible et de l'attribuer à un esclave noir qui fut sage, puis ils associent l'esclave et la science de la Sourate aux contes d'Ésope (selon Pickthall et d’autres spécialistes) et associent les deux. La réalité est que le texte de Luqman se rattache au Livre de Luc et au message de l'Évangile selon l'apôtre.

 

Le texte encourage les élus persécutés et n'a rien à voir avec les fables grecques.

 

La Sourate a été transmise dans les dernières phases de la persécution de Becca. Les textes concernant la Résurrection d'entre les morts aux versets 27 et 28 sont datés de la fin de l'an 622 de notre ère et remontant après l’Hégire d'Al Médine. Il semble y avoir peu de raisons de l'affirmer étant donné le contexte, mais examinons le texte. Le Hadith a pour but de dissocier les textes des Écritures.

 

Voir aussi les documents Le Sort des Douze Apôtres (No. 122B) et La Mort des Prophètes et des Saints (No. 122C).

 

Sourate 032 La Prosternation Commentaire sur le Coran : Sourate 32 (No. Q032)

Cette Sourate est une référence directe aux Révélations du Seul Vrai Dieu dans les Écritures. Elle comporte trente Ayats ou versets qui symbolisent la prophétie. Les hérétiques hadithiques, malgré la clarté des textes, cherchent à limiter le terme d'Écriture au Coran ou Qour'an, et ne perçoivent ni leur hérésie ni le châtiment qui leur est réservé. Elle leur a été donnée dans le Groupe des Sourates du Milieu de la Période de Becca et ils ont continué à nier et persécuter la foi.

 

La série du Milieu de la Période de Becca commença alors à traiter de l'histoire des gens de Becca et des Arabes et de leur idolâtrie, ce qui exaspéra les gens de Becca et leur fit atteindre de nouveaux sommets dans la persécution.

 

L'Histoire de l'église a également été décrite ici à la Sourate 18 La Grotte, ainsi que les 309 ans de persécution et la fin de cette période avec la nomination de Constantin comme empereur à York en 309 de notre ère, puis la publication de son Édit de Tolérance à Milan.

 

La prochaine section des Sourates de la Dernière Période de Becca met l'accent sur le Dominion de Dieu sur Sa création et la place de l'Armée dans cette création.

 

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