Christian Churches of God

[QSC]

 

 

 

Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran

(Édition 3.0 20180610-20191026-20220111)

 

Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la Ka'bah.

 

 

 

Christian Churches of God

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 Résumé des Commentaires sur le Qour'an ou Coran [QSC]

 

 


Section 4

Traite des Sourates de Becca Ultérieures et de la place des Démons dans l'Armée, après la place des 70 et la position et le rôle de Noé. Les textes traitent ensuite de l'Unité Divine et des erreurs des gens de Becca. La numérotation de la séquence est également importante. Ces textes devaient inciter les gens de Becca à aller plus loin et les obliger à faire l’Hégire en l’an 622.

 

Les Sourates de Becca Ultérieures

Les Sourates 64 (Derrière année, 621 ou 2 ou 1 AH),

72 (concerne les Djinns et est reliée à la 70 et la 71 etc.).

006, 010 (+ 3vv AH), 011 (-v 114), 012, 013, 014, 016 (-v 110 + 2AH), 022 (plusieurs appartiennent à la Fin de la Période de Becca mais les versets 11-13. 25-30, 39-41 et 58-60 auraient été de Médine).

023, 028 (vv 85 et 52-55 AH), 029).

 

Les Sourates de Becca Ultérieures

Sourate 64 (Dernière année, 621 ou 2 ou 1 AH)

Perte et Gain Mutuels Commentaire sur le Coran : Sourate 64 (No. Q064)

La Sourate At-Taghabun tire son nom du Jour du Jugement au verset 9 qui est considéré comme un jour de désillusion mutuelle ou de perte pour les pécheurs et de gain pour les croyants qui obéissent à Dieu.

 

Elle est considérée comme datée de la première année de l'Hijrah, mais il s'agit d'une Sourate de la dernière période de Becca, car les versets 14 et suivants sont interprétés comme indiquant la pression des femmes et des familles dans le but de prévenir les musulmans de fuir Becca, lors de l'Hégire de 622 de notre ère.

 

Sourate 72 (au sujet des djinns et est reliée à la 70 et la 71, etc.)

Les Djinns Commentaire sur le Coran : Sourate 72 (No. Q072)

Al-Jinn a un certain nombre d'implications et peut se référer aux Esprits élémentaux de l'Armée Céleste et ensuite se rapporter aux démons en rébellion contre Dieu et aussi à ceux sous leur influence dans les nations. C'est ainsi que les Arabes les ont qualifiés d’“étrangers intelligents” par rapport aux humains des Nations. Il s'agit d'une Sourate postérieure de Becca attribuée au retour du Prophète de sa mission ratée chez les Ta'if.

 

La référence aux nations sous les Djinns se rapporte à celles sous les dominations établies par Eloah dans Deutéronome 32, dans lesquelles la nation d'Israël fut placée sous la direction du Christ comme futur chef du monde, tel que nous le voyons au verset 8 et aussi de l'Étoile (du Matin) qui devait sortir de Jacob dans Nombres 24:17. C'est ce qui est désigné par le nom de la Sourate Al-Tarikh (ou Tariq) “L'Étoile du Matin” (Sourate 86) ci-dessous, traitant de la mort du Christ. Le Texte Massorétique (TM) de 32:8 a été modifié pour lire les fils d'Israël au lieu des fils de Dieu comme nous le savons des textes de la LXX et des MMM et qui ont été corrigés dans la version RSV par l'équipe de traduction.

 

La vue traditionnelle fut que les nations ont été de 72, basées sur le trône céleste, et l'armée humaine a été organisée en ce nombre. C'est ainsi que Moïse, sous l'instruction du Yahovah d'Israël, que nous savons être le Christ, a organisé les anciens d'Israël dans le Sanhédrin au Sinaï, appelé les Soixante-Dix, mais toujours organisé comme les 72. De la même manière, l`Église a été ordonnée en tant que les Soixante-dix dans Luc 10:1 et 17 (cf. Le Sort des Douze Apôtres (No. 122B)) mais toujours sous la forme du Hebdomekonta (Duo) dans le grec koine, qui a été soixante-dix (Deux) en tant qu'autorité de l'église durant les deux mille ans des quarante ans des Jubilés dans le désert. Les apôtres, les prophètes et les anciens de la foi sont les 144000 et la Grande Multitude de la Première Résurrection.

 

Cette Sourate sur les Djinns est placée dans son ordre et est numérotée 72 dans le Coran, sur la base de la signifiance du nombre de nations et de leur placement sous les Démons ou les Djinns du dieu de ce monde, qui est Satan (pour le moment) (2Cor 4.4). Elle est un élément du sceau des élus et de l'église de Becca.

 

Sourates 006, 010 (+3vv AH), 011(-v 114), 012, 013, 014, 016 (-v. 110 + 2AH), 022 (plusieurs appartiennent à la Fin de la Période de Becca mais les versets 11-13. 25-30, 39-41 et 58-60 auraient été de Médine).

 

Sourate 006 Les Bestiaux Commentaire sur le Coran : Sourate 6 (No. Q006)

La Sourate 6 tire son nom “Les Bestiaux” ou “Bétail” d'un mot du verset 137 répété dans les versets 139, 140 où le bétail est mentionné par rapport aux pratiques superstitieuses, comme nous l'avons vu dans la Sourate 5 avec les quatre catégories de bétail des Arabes paganisés. L'idée maîtresse de ces textes fait référence au meurtre des enfants du peuple dans le ventre des femmes et condamne l'avortement et le sacrifice des enfants, qui était une pratique courante à Becca et au Moyen-Orient pendant des millénaires, avant et après Christ, et qui a failli mettre fin à la vie du Prophète comme on le voit ici. Le terme “Les Bestiaux” désigne en réalité les brebis et les boucs et montre l'extension de l'unité de Dieu au salut de l'humanité en tant que brebis de la Résurrection.

 

L'immensité même des conversions montre que les païens se sont emparés de l'Islam et l'ont corrompu par leurs pratiques, comme ils l'ont fait dans le Christianisme. Cependant, la pureté du message reste intacte si l'on s'en tient strictement aux Écritures sur lesquelles le Coran est construit.

 

Pickthall soutient qu'à l'exception peut-être de neuf versets, certaines autorités, comme Ibn Salamah, attribuent à la période de Médine la totalité de cette Sourate appartient à l'année précédant l'Hégire. Ibn Abbas affirme qu'elle a été révélée par l'autorité d'une visite.

 

Elle suit la Cinquième Sourate parce qu'elle traite de la séquence de la révélation divine concernant la place du Messie dans la foi et ensuite l'attribution du sacerdoce sous le Messie comme souverain sacrificateur au service du Seul Vrai Dieu et de la foi à Son Service.

 

La Sourate est en rapport avec l'Unité Divine. Il n'y a qu'un Seul Vrai Dieu Eloah et Il a envoyé Jésus Christ (Jean 17:3). Eloah a créé les cieux et la terre (Job 38:4-7) et a ensuite envoyé Christ pour la recréation dans Genèse 1 quand la terre est devenue Tohu et Bohu car Il ne l'a pas créée ainsi, tel que cela est indiqué dans Ésaïe 45:18.

 

La Sourate est considérée comme une Sourate de la Dernière Période de Becca. Certains soutiennent que la mention d'un certain triomphe, lequel a été perçu dans les circonstances des luttes de 13 ans qui ont vu le Prophète et le corps à Becca forcés de fuir Becca et à chercher de l'aide auprès des mains des étrangers à Médine, est tout à fait remarquable. La plupart ne semblent pas comprendre la spiritualité et l'unité inhérente de la foi.

 

Cette Sourate est une réprimande au peuple de Becca et à la moitié des Arabes convertis, et un avertissement de ce qui est à venir. Bien qu'ils eussent fait un faux-semblant plus tard, ils n'ont pas encore été confrontés à la connexion de la Loi de Dieu sous les Témoins et la colère à venir du Messie et des Conciles de l'Église de Dieu.

 

Becca et les païens Arabes ne se sont jamais débarrassés de l'idolâtrie de Becca, qui était entre les mains des Arabes Arabisés d'Ismaël. Ni les adorateurs de Baal d'Israël ni système de la déesse Mère de Easter n'ont jamais éradiqué leur idolâtrie des terres sur lesquelles ils se sont répandus partout dans le monde.

 

Le dieu Hubal est apparu de façon très visible à Becca, où une image de lui était vénérée à l'emplacement de la Kaaba (ou Kaabah). Selon Karen Armstrong, le sanctuaire était dédié à Hubal, la plus grande des 360 idoles de la Kaaba, qui représentait probablement les jours de l'année.[1] Article Wikipedia.

 

Le sanctuaire abriterait de nombreuses idoles à l'intérieur. Hubal en tant que nom est associé au culte de Baal. Philip K. Hitti, qui associe le nom Hubal à un mot araméen signifiant esprit, suggère que le culte de Hubal a été importé à Becca du nord de l'Arabie, peut-être de Moab ou de Mésopotamie.[8] Hubal pourrait avoir été la combinaison de Hu, signifiant “esprit” ou “dieu”, et le dieu de Moab, Baal signifiant “maître” ou “seigneur”. En dehors du sud de l'Arabie, le nom d'Hubal n'apparaît qu'une seule fois, dans une inscription Nabatéenne ;[9] 

 

Le Livre des Idoles d’Hisham Ibn Al-Kalbi  décrit l'image comme ayant la forme humaine, la main droite brisée et remplacée par une main dorée.[2] Selon Ibn Al-Kalbi, l'image a été réalisée en agate rouge, tandis qu’Al-Azraqi, un des premiers commentateurs islamique, la décrit comme perle cornaline. Al-Azraqi raconte aussi qu'il "avait une chambre forte pour le sacrifice" et que l'offrande consistait en une centaine de chameaux. Les deux auteurs parlent de sept flèches, placées devant l'image, qui ont été jetées pour la divination, dans les cas de mort, de virginité, et de mariage.[2]

 

La divinité semble avoir son origine en Irak à Hit, et le procédé d'utilisation des flèches pour la divination, une pratique adoptée par les païens Arabes, a été utilisé dans le deuxième et premier millénaire avant notre ère.

 

La Ka’aba (ou Kaabah) est encore aujourd'hui utilisée pour la pratique païenne des Sept circumambulations autour du sanctuaire utilisé comme axe Mundi ou centre de rotation selon les rites mystiques des païens animistes d'Arabie qui se réclament de l'Islam (cf. l’ouvrage Cox W.E, Mysticisme, Publication CCG 2000).

 

“Selon Ibn Al-Kalbi, l'image a d'abord été créée par Khuzaymah ibn-Mudrikah ibn-al-Ya's' ibn-Mudar, bien qu’Ibn Ishaq rapporte que Amr ibn Luhayy, dirigeant de la tribu Khuza'a, a dressé une statue de Hubal au sein de la Kaabah, et que celle-ci fut adulée comme une déité principale de cette tribu.[3] La date de l'Amr est contestée, par des dates aussi tard qu'à la fin du IVe siècle après J.-C., mais ce qui est certain, c'est que les Quraych devinrent plus tard les protecteurs de l'ancien lieu saint, au détriment de Khuza'a. Le prophète lui-même fut originaire de Quraych.” (cf. article de Wikipedia)

 

“Un témoignage rapporté par Ibn Al-Kalbi montre le grand-père de Mouhammad, Abdul Mutallib jurant de sacrifier un de ses dix enfants. Il consulta les flèches de Hubal pour savoir quel enfant il devait choisir. Les flèches désignèrent son fils Abd-Allah, le futur père de Mouhammad. Cependant, il a été sauvé lorsque 100 chameaux ont été sacrifiés à sa place. D'après Tabari, Abdul Mutallib aurait plus tard amené l'enfant Mouhammad lui-même devant l'image.”[4]

 

Après la défaite des forces de Mouhammad à la Bataille de Badr, Abu Sufyan ibn Harb, chef de l'armée Quraych, aurait fait appel à Hubal pour se faire aider dans leur prochaine bataille, disant Montre ta supériorité, Hubal”. [5] Lorsque Mouhammad conquit Becca en 630, il démolit et fit disparaître toutes les statues de Hubal, avec les 360 autres de la Kaabah, et dédié cette structure à Allah.[6]

 

Il y a peut-être un fondement de vérité dans l'histoire dans laquelle Amr aurait voyagé en Syrie et en aurait ramené les cultes des déesses ʻUzzāʼ et Manāt, et les aurait combinés avec celui d'Hubal, l'idole du Khuza'a.[7] Selon Al-Azraqi, cette image est parvenue à La Mecque [Becca et plus tard transportée à la Mecque – Ndlr.]. 

 

Il n'y a aucun lien entre l'origine des noms de ces divinités païennes et le nom d'Allah’ qui dérive de l'araméen oriental et du chaldéen biblique primitif Elahh et de l'hébreux Eloah, dont est issu l’araméen occidental (voir le document Le Nom de Dieu dans l’Islam (No. 054)). 

 

Nous voyons à partir du texte que le Seul Vrai Dieu, Eloah ou Allah’ a créé les cieux et la terre (cf. Job 38:4-7) et l'armée céleste des fils de Dieu et les Étoiles du Matin y étaient présentes. Genèse 1:1 montre que c'était Le Seul Vrai Dieu qui était créateur mais que la terre devint tohu et bohu ou dévastée et vide (v. 2). Dieu dit par Ésaïe que Dieu ne l'a pas créée dévastée et vide. Mais que c'est devenu ainsi. Les elohim furent alors envoyés sur terre, pour la reformer et créer l'humanité adamique.

 

Eloah ou Allah' est seul et singulier et le nom n'admet aucune pluralité. Alors, Il a décidé de créer et Il a créé les fils de Dieu en tant qu'elohim et est ainsi devenu Ha Elohim ou Le Dieu comme le centre d'une entité plurielle comme la famille de Dieu (voir le document Comment Dieu devint une Famille (No. 187)).

 

Il s'est étendu Lui-même et par l’Esprit Saint ; Il est devenu Elohim comme puissance centrale en tant que Ha Elohim ou Le Elohim ou Yahovih (SHD 3069) et tous les elohim ont porté le nom Yahovah quand ils sont devenus Messagers à l'humanité après leur création comme “Il cause que ce soit” ou Yahovah (SHD 3068). Ils ont été nommés Malak ou “malaikat”, signifiant Messagers, ce qui est devenu Aggelos en grec, et de là provient le terme Anges. Cela est devenu un substantif en guise de nom pour l'Armée Angélique. Les fils de Dieu en tant qu'elohim étaient des êtres créés d'Eloah ou d'Allah’ comme Seul Vrai Dieu qui seul était immortel (1Tim. 6:16). 

 

Christ et Gabriel ont été créés fils de Dieu comme Satan ou Iblis. Iblis s'opposa à la création de l'humanité comme deuxième élément de l’Armée. Iblis, Azazel ou Satan, interféra avec la création et condamna l'homme à la mort et à la résurrection par la mort et la résurrection du Christ. Ces actes étaient prédéterminés avant la fondation du monde.

 

Dans cette Sourate, nous voyons la séquence de la création de la terre à la création de l'humanité, et la position de l’Armée Céleste et la place du Christ et des fils d'Adam comme les “Brebis” ou “Bétail” de la création qui procède de la Première Résurrection, avec les “Boucs” du monde se déplaçant vers la “Deuxième Résurrection”.

 

Ces Sourates se développent depuis le début dans les Sourates 1 et 2 sous le Messie et la Sanctification des Élus et du Temple de Dieu. Elle passe par la Génisse Rousse ou Génisse Adamique, puis la Génisse Dorée à travers le processus que nous avons vu avec Moïse et devant l'Ange de la Présence au Sinaï qui était Christ (1Corinthiens 10:4). Le texte va ensuite à la séquence du Sacerdoce à la Sourate 3 de la Famille d'Imram et ensuite à la place de l'église à la Sourate 4 dans les familles. La Sourate 5 “Le Festin” ou “La Table Servie” traite des Sacrements de l'église parmi les élus lors du Dîner du Seigneur, de la Pâque et la Mort du Christ. Dans la Sourate 6, nous procédons à l'Unité de Dieu qui nous prépare tous à devenir elohim comme nous le montrent Psaume 82:6 , Zacharie 12:8 et Jean 10:34-36. Nous devons tous devenir elohim ou la pluralité des fils de Dieu, comme dieux ou elahhin dans le chaldéen, à partir duquel l'arabe est développé, à travers l'araméen oriental. Nous sommes tous aidés dans ce processus par l'Esprit Saint. Dans ce processus, nous représentons tous les brebis de l'Armée, en tant que corps du Christ, et les Sourates expliquent ce processus par ses références croisées aux Écritures. 

 

Sourate 7 : “Les Hauteurs” poursuit ensuite avec l'opposition à la Volonté de Dieu par Satan, et ensuite à travers la séquence de la Création. 

 

Les grandes lignes du plan du Salut sont également développées à travers les sourates subséquentes, telles que “Les Rangs” et “Ceux Qui Établissent Les Rangs”.

 

Le Hadith a été conçu pour détruire cette compréhension et pour séparer les Écritures du Qour’ran. Il a été conçu par les Juifs et les Arabes paganisés, avec les principales attaques contre les documents pauliniens aidés par les Juifs postexiliques, le Talmud et Hillel. Il est sur le point d'être complètement détruit en tant que système.

 

De même, les Gnostiques et les adorateurs de Baal et du dimanche et de Easter/Pâques ont fait de leur mieux pour détruire la compréhension de la Foi, de la Loi de Dieu et du Témoignage. Quiconque se dit Chrétien ou Musulman (ce qui devrait être des termes interchangeables) et affirme que la loi est abolie et que lorsqu'il meurt, il va au ciel ne doit pas être cru. Il n’est ni Musulman ni Chrétien (cf. aussi Justin Martyr, Dialogue avec Tryphon, LXXX).

 

Sourate 010 Yunis ou Jonas Commentaire sur le Coran : Sourate 10 (No. Q010)

La Sourate 10 “Yunis” ou “Jonas” est une Sourate de la dernière période de Becca livrée au cours des quatre dernières années avant l’Hégire (i.e. Post 618 à 622 de notre ère). Elle tire son nom d'une référence au prophète Jonas dans le verset 98, renvoyant au repentir et au salut de Ninive : “Si seulement il y avait eu une communauté (parmi celles qui ont existé) détruite autrefois qui a cru et profité de sa croyance comme l'a fait le peuple de Jonas.”

 

La référence à Jonas n'est pas une remarque anodine. Le Messie nous a dit qu'aucun signe ne serait donné à l'église sauf celui du prophète Jonas. Le signe entier couvre l'avertissement de Jonas à Ninive et leur repentir, puis l'avertissement du Messie à Juda, leur échec à se repentir, leur destruction à la fin de 40 ans avec la destruction complète du Temple et de Jérusalem en 70 de notre ère et la fermeture du Temple en Égypte à Héliopolis en l’an 71 par ordre de Vespasien. L'église a commencé par le baptême du Christ et la désignation des apôtres en l’an 27 de notre ère, correspondant à la mission de Jean le Baptiste pour une journée de marche, puis les deux années de prédication du Messie de 28 à 30, et les Trois jours et Trois nuits du Messie dans le Sein de la Terre, comme Jonas a été dans le ventre du gros poisson. Les deux sont morts et les deux ont été ressuscités. Ninive a reçu 40 jours et s'est repentie. Juda a reçu 40 ans jusqu'en 70 de notre ère, et ne s'est pas repenti et a été détruit. La fin des 40 Jubilés et le calendrier seront achevés d'ici 2027 (voir Le Signe de Jonas et l'Histoire de la Reconstruction du Temple (No. 013)). 

 

Cette Sourate est un avertissement aux Arabes pour leur future idolâtrie. Le rejet des autres prophètes et des textes Bibliques devait leur coûter leur place dans la Première Résurrection. Nous verrons dans cette Sourate comment il y a des messagers envoyés dans le monde entier par Christ et les Apôtres et au cours des 40 Jubilés depuis l'ordination des 70 en Judée en l’an 28-29 EC (Ère Courante). C'est ainsi que l'Église a envoyé des prophètes partout dans tous les coins du monde connu et au-delà. Elle les avertit aussi d'obéir aux prophètes de Dieu qu'ils ont ignorés, et inventé le shirk idolâtre, que Mouhammad (qui était en fait le conseil de l'église dont le Prophète était président et chef) était le (seul) prophète de Dieu en contradiction à cette Sourate.

 

Le Prophète adresse ses réflexions à ceux qui ne tiennent pas compte des instructions du Coran. Il s'adresse ensuite à ceux qui ne sont pas convertis à l'Islam et qui ignorent les Commandements de Dieu et la Foi et le Témoignage du Messie, ainsi que le bon calendrier de l'Église de Dieu (cf. aussi Sourate 9 ci-dessus) tel qu’entrepris dans le système du Temple, et avec le Messie et les Apôtres. En effet, ce fut une prophétie à la fois de la corruption totale hadithique de l'Islam et son calendrier ainsi que du Calendrier de l’Église plus tard qui en est venu à utiliser les intercalations babyloniennes de Hillel provenant des Juifs, lesquelles ont été introduites dans les Églises de Dieu aux 20e et 21e siècles.

 

La Sourate reprend la directive de Dieu depuis la Création et ce, dans la foi et l'établissement du soleil et de la lune pour réguler Le Calendrier de Dieu (No. 156) et le rôle du Messie en tant que médiateur entre Dieu et les hommes par la direction explicite de Dieu. Personne d'autre ne peut être médiateur sans la directive expresse de Dieu.

 

La Sourate explique ensuite le but de l'appel. Ces versets se réfèrent aux “Sages Écritures”.  En d'autres termes, la Sourate se réfère à l'Écriture Biblique et aux Lois de Dieu.

 

Le Prophète (précédemment appelé Abou Qasim) fut un officier baptisé mandaté de l'Église de Dieu fondée par Christ et les Apôtres, laquelle a été fondée au Premier siècle de notre ère, en l'an 30. Le Prophète a reçu le don de prophétie en tant que messager à l'Arabie. Auparavant, les Apôtres et les 70 avaient été envoyés partout en Parthie, en Inde et en Orient, y compris en Arabie et au Moyen-Orient. Les païens s'y étaient opposés à partir de ce moment-là. Cependant, nous avions envoyé des officiers dans le monde entier depuis les années 70, puis plusieurs siècles plus tard, avant que l'église ne devienne la puissance qu'elle est devenue à Becca et à Médine. L'archevêque Meuses, d'Abyssinie, a fondé l'église en Chine à partir de l'Inde au IVe siècle. Cependant, en 1850, ils devinrent sabelliens et furent disqualifiés de la Première Résurrection jusqu'à ce qu'ils se repentent, tout comme l'Islam Hadithique et les Binitaristes/Dithéistes et Trinitaires sont disqualifiés (voir les documents d’étude Le Sort des Douze Apôtres (No. 122B) ; La Distribution Générale des Églises observant le Sabbat (No. 122) et Le Rôle du Quatrième Commandement dans l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170)).

 

Sourate 11 Hud   Commentaire sur le Coran : Sourate 11 (No. Q011)

Cette Sourate 11 “Hud”, tire son nom du verset 50 qui commence l'histoire de Hud de la tribu d'A'ad, l'un des prophètes d'Arabie qui n'est pas mentionné dans les Écritures, que ce soit l'Ancien Testament ou le Nouveau Testament. Le texte raconte aussi l'histoire de deux autres prophètes arabes : Salih de la tribu de Thamud et Shu'eyb de Madian. Jethro de Madian est mentionné dans l'Ancien Testament, mais pas Shu'eyb. Cependant, Jethro en tant que beau-père de Moïse est incontestablement référencé comme un prêtre de Dieu à Madian. Pickthall affirme que Shu'eyb est assimilé à Jethro et affirme que lui, Noé et Moïse ont été identifiés à la Révélation divine. Ainsi, la Sourate 11 reprend l'histoire, et la vérité est revendiquée d'une manière complémentaire à la Sourate 10.

 

Il convient de noter que Job a été écrit avant la Torah et que les personnes mentionnées dans Job ont été mentionnées dans les textes de la Torah. Job lui-même était un homme de la tribu d'Issacar et il a dû quitter l'Égypte avant la persécution d'Israël et s'installer en Arabie et peut-être à Madian.

 

Elle est considérée comme une Sourate de la Dernière période de Becca (c'est-à-dire avant 622) à l'exception des versets 114 et suivants, qui ont été révélés à Al-Médine. Ces textes concernent les prophètes et les avertissements donnés aux démons et à l'humanité et que tous deux seront envoyés au Sheol (enfer), c'est-à-dire à la Tombe.

 

Le texte montre les problèmes finaux de l'Islam en vertu de son système paganisé.

 

Tel que nous le comprenons, l'Église de Dieu a établi la branche arabe en Arabie par l'intermédiaire des groupes qui s'y trouvaient après l'expansion de l'Église en Syrie, et au nord dans ce qui est aujourd'hui l'Iran et les parties nord de l'Empire Parthe en Géorgie et Arménie et dans les régions entourant la Mer Noire.

 

Comme nous l'avons déjà expliqué, un homme nommé Qasim ibn Abdullah (ou Abd Allah') ibn Abdul-Muttalib bin Hashim, de la tribu de Qureysh d'Ismaël des Arabes arabisés parmi les Arabes des fils de Keturah, a été enseigné la Foi par la famille de sa femme et a appris à lire. Il est supposé avoir été initialement un Nestorien (Abou Qasim), mais il a été baptisé dans l'Église de Dieu quelque temps après 608 de notre ère. Il devint l'un du Mouhammad qui était le nom du Concile de l'Église de Dieu en Arabie. En d'autres termes, il a été nommé ancien de l'Église de Dieu et nommé à sa structure dirigeante. La structure, son histoire et son identité sont discutées dans les documents Introduction au Commentaire sur le Coran : Prologue (No. QP), Introduction au Commentaire sur le Coran (No. Q001) et le document Les Descendants d’Abraham Partie III : Ismaël (No. 212C).

 

L'église n'a duré que pendant trois générations à travers les Quatre Califes Correctement Guidés, et après eux, les Arabes paganisés s’en sont emparés et la fraction Chiite fut provoquée par l'exécution barbare du petit–fils du prophète Ali et de Hussein. Les écrits de l'Église, connue sous le nom de Mouhammad, ont été rassemblés et ont formé ce que l'on appelle le Qour’an ou Coran. Ils devaient être lus comme un commentaire sur la foi en Arabie et en s'appuyant sur les Écritures avant eux, tant de l'Ancien Testament que du Nouveau Testament. Ces Églises (Unitariennes Sabbatariennes) étaient appelées “Gens du Livre” et elles ont été reconnues dans le Coran comme l'autorité suprême de la compréhension des Écritures et de la foi.

 

Les Arabes paganisés commencèrent alors à écrire une série de faux documents qui devinrent le commentaire permanent du Coran, de la même manière que le Talmud fut développé sur la Mishnah au cours du troisième siècle et les siècles suivants, pour détruire l'effet des Écritures. Cela a été appelé le Hadith, également appelé la Sunna, et qui est devenu la base de l'Islam sunnite. Les Juifs eux-mêmes ont converti des tribus arabes qui ont tenté de détruire complètement l'église en Arabie, et le chef de l'église, du Mouhammad, qui était le prophète Qasim ibn Abdullah, fut forcé à prendre les armes contre eux afin de survivre. Cela faisait partie de l'Ère Pergame.

 

Les éléments occidentaux du Moyen-Orient se trouvaient en Anatolie, et se sont étendus jusqu'aux montagnes du Taurus. Ils ont été connus sous le nom de Pauliciens ; eux et le Mouhammad d'Arabie ont dû prendre les armes simplement pour survivre, car ils ont été attaqués par les soi-disant Chrétiens Byzantins à Constantinople et par les Arabes Paganisés à l'est en Irak et en Arabie. C'est ce que laissent entendre les commentaires d'Apocalypse chapitre 2 où l’on dit que le Messie, le Christ, vient contre eux avec l'épée de sa bouche parce qu’ils sont devenus corrompus.

 

La guerre dans l'Islam résulte de la conquête de la foi par ces Arabes paganisés, utilisant le Hadith ou la Sunna, et de la résistance de la faction Chiite qui a également perdu la compréhension de la foi à cause de ces influences, de la même manière que les Juifs et les Chrétiens dans leurs divisions allant des Trinitaires aux Nestoriens.

 

La propagation rapide de l'Islam l’avait également exposé aux influences corrompues des Indiens et des Chinois, et nous verrons comment les enseignements originaux ont été corrompus et, dans cet examen, nous nous pencherons à nouveau sur les enseignements de l’Église tels que présentés dans le Coran.

 

C'est pour ces raisons que l'Islam Moderne Hadithique et Chiite est voué à l'échec.

 

Yusuf ou Joseph Commentaire sur le Coran : Sourate 12 (No. Q012)

 

Cette Sourate est le seul texte du Coran ou Qour'an qui traite de l'histoire de Joseph, fils de Jacob, dans la Bible. Il était le père d'Éphraïm et de Manassé et a joué un rôle très important dans le développement de l'Égypte au début du séjour là-bas. L'histoire révèle quelques détails concernant les traditions historiques ou la révélation du sujet au prophète arabe, et a une importance pour les tribus de Joseph dans les derniers jours aussi. Elle traite aussi de Jacob en tant que prophète, et des questions de la révélation que Dieu lui a donnée, et du contrôle qu'il exerce sur cette révélation.

 

La tradition dit que la Sourate a été révélée à Becca, aux premiers convertis de Yathrib (Al Médine), la Deuxième année avant l’Hégire. Noldeke fait remarquer, et Pickthall le mentionne, qu'elle a peut-être été révélée bien avant, mais qu'elle leur a été donnée à ce moment-là. Souvent, les prophètes reçoivent de l'information, mais on leur interdit d'en donner les détails jusqu'à bien plus tard, ou de les publier de nouveau selon le besoin. Il est certain qu'on lui a raconté l'histoire lorsqu'on lui a enseigné les Écritures.

 

Dans ce cas, Jacob n'a pas été berné par les récits des autres fils sur la mort de Joseph, mais Dieu a caché à Jacob, son père, son emplacement et les circonstances. Il ne fait aucun doute dans le texte Biblique que Jacob était un prophète et qu'il avait une grande compréhension de la structure de l’Armée et de la place des Elohim ou de l'Ange de la Présence comme responsables d'Israël et des fils d'Abraham, et qu'il comprenait le sort non seulement des fils de Joseph mais aussi leur importance critique pour les nations et la vocation des gentils dans les derniers jours, quand il dit que Éphraïm sera une congrégation de nations (cf. Gen. 48:15-20). Cet être Angélique de l’Armée devint Jésus ou Isa, le Christ ou le Messie, qui était l'étoile qui devait sortir de Jacob et qui était le grand prêtre de Melchisédek, que le prophète servait aussi (Nombres 24:17).

 

Nous voyons que le Prophète arabe cite l'Écriture et déclare qu'elle est exposée et expliquée en langue arabe pour qu'elle leur soit claire.

 

Le Tonnerre  Commentaire sur le Coran : Sourate 13 (No. Q013)

La Sourate 13 Ar Ra’d tire son nom du verset 13. Les textes dans les versets 12 et 13 chantent la louange du Messie dans la création. Le texte de la Sourate traite de l'Orientation divine et de la relation conséquentielle qui découle des violations des Lois de Dieu. Il n'y a aucune acception de personnes avec Dieu en ce qui concerne Ses Lois et le châtiment qui en résulte de leur violation. La récompense et la punition sont le résultat direct de l'obéissance ou du rejet des Lois Divines.  Cependant, Satan sous son règne a brisé la connexion des Lois de Dieu et il pleut sur les justes et les injustes. Cette connexion sera rétablie dans un avenir proche.

 

En conséquence du rejet de l'Écriture par le Hadith, ce texte doit être expliqué comme s'appliquant à la loi naturelle, bien qu'elle ne reflète pas la Nature de Dieu, qui se reflète dans les Lois de Dieu provenant de Sa Nature.

 

Les autorités sont divisées sur la question de savoir s'il s'agit d'une Sourate de Becca avec deux versets donnés à Al-Médine, ou d'une Sourate entièrement médinoise avec deux versets donnés à Becca. Pickthall est d'avis que la division même de l'opinion favorise une origine de Becca car il considère qu'il ne pourrait y avoir une telle division de l'opinion, sur une origine complètement médinoise, en raison du grand nombre de témoins. Il soutient qu'il s'agit pour la plupart d'une Sourate de la Dernière période de Becca. 

 

La réalité est que la position de la loi a été un point de vue standard des Églises de Dieu et que l’on n'a pas cessé de le leur rappeler constamment. Ce n'est qu'avec le Hadith que la loi a été minée, comme elle l'a été avec les Trinitaires et les Binitaires/Dithéistes, que le Coran condamne systématiquement.

 

Ce n'est pas un hasard si la position du Coran à la Sourate 13 reflète le système de rébellion contre les Lois de Dieu qui a toujours été une caractéristique des peuples arabes et du monde en général (cf. l’étude Le Symbolisme des Nombres (No. 007)). Les douze Sourates précédentes concernent la création, la position du Messie et des élus ainsi que les prophètes agissant comme messagers à l'humanité dans la rébellion et le refus de l'humanité de suivre et de se conformer aux Lois de Dieu.

 

Ibrahim ou Abraham Commentaire sur le Coran : Sourate 14 (No. Q014)

La Sourate 14 tire son nom (Ibrahim) de la prière d'Abraham aux versets 35 à 41. Elle aurait été prononcée dès l'époque où il a établi son fils Ismaël dans la vallée de Becca. Pickthall considère Ismaël comme l'ancêtre des Arabes, mais il ne l'était pas. Il était l'ancêtre des Arabes arabisés, et les fils de Keturah étaient les ascendants des Arabes.

 

Elle est semblable aux autres Sourates de Becca et le sujet du verset 46, qui est l'intrigue des idolâtres, indique qu'elle fut peut-être l'une des dernières des Sourates de Becca avant l’Hégire. Les versets 28 à 30 sont considérés comme des ajouts ultérieurs d'Al-Médine.

 

Une fois de plus, ce texte est inscrit comme l'Écriture, mais aussi comme une révélation au Prophète.

 

Les Abeilles Commentaire sur le Coran : Sourate 16 (No. Q016)

La Sourate An-Nahl “les Abeilles” tire son nom des versets 68 et suivants se référant à l'Abeille, à ses activités et ses productions. La séquence se réfère à la providence de Dieu dans la création et l'approvisionnement de tous les produits, y compris les boissons fortes telles que le vin et l'hydromel dans la création. Ses conseils et directives sont nécessaires à l'humanité dans la gestion de la création, et son rejet est tout aussi malavisé que le rejet de la nourriture et de la boisson.

 

La Sourate est attribuée au dernier groupe de Becca, mais certaines autorités attribuent les versets 1 à 40 à Becca et les versets suivants à Al-Médine. Le seul verset qui soit manifestement d'origine Médinoise est le verset 110. Ici, les musulmans ont été enregistrés comme ayant combattu. 

 

À l'époque de Becca, les musulmans étaient empêchés de se battre. Beaucoup de l'époque de Becca ont dû fuir et se réfugier en Abyssinie (cf. Pickthall). Il y avait là une église Sabbatarienne forte du IVe siècle sous l'Archevêque Meuses (voir le document d’étude La Distribution Générale des Églises observant le Sabbat (No. 122)).

 

Cependant, leur survie même dépendait de leur prise d'armes au cours de l’Hégire en 622 et cela est devenu de plus en plus nécessaire pour leur survie. Leur domination a émergé de ce changement de doctrine militaire, et donc la dernière section du verset 110, et peut-être beaucoup d'autres ont dû être de 2 AH (623/4 EC), et donc médinoise.  

 

La Sourate fait suite à la Sourate 15 Al Hijr, poursuivant ainsi l'avertissement aux peuples arabes et à tous ceux qui les suivent. Les Sémites ont tous été avertis par les prophètes depuis Hud et Salih jusqu'à A'ad et Thamud, Lot et Abraham jusqu'à Sodome et Gomorrhe, puis par Moïse et les prophètes bibliques jusqu'au Messie et aux Apôtres, qui les ont tous avertis, comme nous le voyons dans les nombreuses Sourates précédentes.

 

Eux et les Églises idolâtres de Dieu doivent maintenant être avertis à nouveau pour la dernière fois dans cette œuvre, et ensuite ils seront punis par les Témoins, Énoch et Élie, et ensuite par le Messie lui-même immédiatement après (cf. Les Témoins (incluant les Deux Témoins) (No. 135)).

 

L'avertissement primaire de la Sourate concerne ceux de Becca et l'idolâtrie qui y est centrée. Les avertissements peuvent bien avoir produit le conflit qui a forcé l’Hégire. L'avertissement est d'abord une exhortation du Seul Vrai Dieu Eloah au-dessus des elohim. Il n'y a pas de place pour le Binitarisme, le Dithéisme ou le Trinitarisme dans ce texte, comme dans tous les autres du Coran. 

 

Le culte du dieu Baal et de la déesse Ashtoreth ou Easter a été amené à Becca en tant que le dieu Hubal, ou Le Baal signifiant le Seigneur, et fut centré sur la Ka'aba avec les 360 idoles gouverneurs des jours de l'an prophétique. Il a également été associé au sacrifice d'enfants (cf. La Déformation par les Binitaires et les Trinitaires de la Première Théologie de la Divinité (No. 127B)).

 

L'Abeille est le symbole de la Déesse Mère. La Sourate attaque l'idolâtrie associée à ce système dans le Levant et centrée sur la Syrie et sur Becca, avec le dieu Baal ou Hubal et la déesse là.

 

À Éphèse, la déesse Artémis, aux nombreuses poitrines, était servie par les Esséniens (qui signifie Roi des Abeilles), qui restaient célibataires pendant leur période de service, même si certains étaient mariés. C'est probablement la raison pour laquelle Pline désigna la communauté de Qumran comme étant Esséniens. Ils auraient rejeté cette étiquette. Le célibat du clergé est entré dans le Christianisme à partir du gnosticisme et de ces cultes. Le terme Père était un rang du système de Mithra et a été en fait interdit par Jésus-Christ pour être appliqué aux chrétiens (Matt. 23:9). D'où la raison pour laquelle Qasim a dû être Nestorien d'abord (comme Abu Qasim) et ensuite Sabbatarien, ou cela a été simplement une mauvaise application par l`ignorance des Arabes.

 

Les femmes du culte d'Ishtar n'étaient pas célibataires mais libertines. Artémis et Diana étaient les deux patronnes de la fertilité et des arbres fruitiers. Il semblerait qu'Artémis et Diane aient été associées en tant que même divinité, et par conséquent la foule dans le livre des Actes des apôtres a crié Grande est Diane d'Éphèse, alors qu'en fait le nom antique d'Éphèse était Artémis, et Diane était le nom utilisé ailleurs.

 

Dionysius a été aussi le dieu des arbres fruitiers et nous commençons à voir une relation imbriquée dans ces cultes de fertilité et de Mystère.

 

En tant que Reine du mois de Mai, la déesse Mère était représentative de l'esprit de la végétation. C'était courant en Europe et en Grande-Bretagne.

 

La déesse Mère était aussi la déesse du grain (un terme pour toute céréale).

 

Voir aussi les documents sur Les Origines de Noël et de Easter/Pâques (No. 235)) et l’Article sur Noël et Easter/Pâques (No 236).

 

Cependant, beaucoup de prêtres Esséniens étaient célibataires (certains étaient eunuques) et aussi abstinents ; la Sourate identifie cet aspect et souligne que les raisins ont été faits pour la boisson forte et l'Abeille elle-même produit la boisson forte (comme mede ou hydromel). C'est à partir de cette idolâtrie et du désir de saper le Dîner du Seigneur, le Pain et le Vin et la Pâque que cette pratique de l'abstinence est devenue partie intégrante des rituels idolâtres de l'Islam Hadithique. Voir aussi le document Le Vin dans la Bible (No. 188) et aussi Le Végétarisme et la Bible (No 183).

 

Ainsi, les Mosquées originaires de Becca et du monde entier symbolisaient l'idolâtrie des systèmes Baal et d’Ishtar ou Ashtoreth. Les toits des mosquées ont été façonnés comme les seins de la déesse et les minarets ont été sculptés comme le Phallus du dieu Hubal. Initialement, ils furent les symboles du croissant des cornes du dieu de la Lune Qamar ou Sin, sur les seins de la déesse du soleil Shams, avec l'étoile de la déesse comme Vénus. Ils sont encore là aujourd'hui et sur leurs drapeaux. Ceux-ci étaient également représentés par, ou comme les bens ou Ben Bens des obélisques en Égypte. Ils étaient aussi des pôles centraux ou mondiaux des cultes de fertilité, et sont interdits par Eloah dans les Écritures. Il en fut de même pour les Asherahs ou les bâtons de la déesse. Ils se sont répandus à partir des Sidoniens jusqu'au désert Arabe et à Becca (cf. 1Rois 11:33 ; 2Rois 23:13).

 

Comme il est d'usage dans l'animisme païen antique, l'idole ou arbre du monde, agissant comme l'Axe Mundi, a été utilisé comme centre de culte où les fidèles faisaient les circumambulations en séquences de cinq, sept ou neuf selon le décret. À Becca, les circumambulations de la Kaaba étaient au nombre de sept dans le culte d'Hubal, et la seule chose qui a changé au cours de tous ces siècles est que les 360 idoles ont été enlevées (bien que conservées symboliquement dans l'architecture entourant la Kaaba). La Kaaba est toujours là et les dévots font encore sept circumambulations et procèdent aussi à la lapidation de Satan dans le rituel. Beaucoup sont souvent tués au cours de ces rituels païens qui se déroulent encore sous le couvert de l'Islam, alors qu'ils ne le sont pas. Ces aspects sont expliqués dans l'ouvrage Mysticisme Chapitre 1 (No. B7_1).

 

Le Pèlerinage Commentaire sur le Coran : Sourate 22 (No. Q022)

On donne à la Sourate 22 Al Hajj le nom de “Le Pèlerinage”, parce qu'on suppose que le texte des versets 26-38 fait référence à un pèlerinage à la maison idolâtre de Becca comme lieu central de culte, mais ce n'est pas le cas. Le texte se rapporte en fait aux textes des Fêtes de Dieu dans la Bible et aux exigences des Lois de Dieu. Les Églises de Dieu, après la destruction du Temple en 70 de notre ère, ont vu la dispersion des Juifs. Depuis le déplacement de l'église à Éphèse, les fêtes ont été célébrées partout où l'église a décidé que Dieu y placerait Sa main comme lieu de culte, et cela jusqu'au retour du Messie et le rétablissement du Temple à Jérusalem. Toutes les nations enverront leurs représentants à Jérusalem sous le Messie ou alors elles seront punies et détruites (Zacharie 14:16-19).

 

Abraham avait déterminé le lieu de culte primitif en l'appelant Béthel ou la Maison de Dieu. Il attribua également la centralité du culte à Jérusalem avec la dîme à Sem en tant que prêtre de Melchisédek (No. 128). Il consacra aussi Beersheba en tant que le “puits du serment”, où il prêta le serment de l'alliance. Dieu avait juré par le prophète Zacharie que Jérusalem était le centre du culte et le serait sous le Messie à son retour. Le chapitre 2 de Zacharie montre que le Seul Vrai Dieu envoie le Messie à Jérusalem pour la libérer des idolâtres dans les Derniers Jours, et la Bible est absolument claire que le monde sera gouverné à partir de là pour toujours comme l'univers le sera après La Deuxième Résurrection et le Jugement du Grand Trône Blanc (No. 143B). Le Prophète a également déclaré que c’est le cas dans la Sourate lors du “Voyage nocturne où Jérusalem est faite en tant que le centre de la foi. Le Coran ne peut pas contredire le volume même des Écritures qui l’affirment comme un fait et ainsi cette supposition des idolâtres de Becca est fausse, et nous expliquerons quelle est la véritable signification et l'intention tout au long de la Sourate.

 

Pickthall dit et ce, à partir de sa copie datée de l'époque de l'Empire Ottoman l'attribuant à la période Al-Médine, que c'est en effet le cas. C'est assez récent pour cette période. Cependant, il n'est nullement certain qu'elle s'y trouvait pour faire de Becca le lieu du pèlerinage, ce qui n'a pas été le cas. Pickthall maintient que les versets 11 à 13, 25 à 30, 39 à 41 et 58 à 60 ont tous été révélés à Al-Médine. Noldeke est d'accord avec cette interprétation de la nature de leur contenu, mais considère qu'une grande partie de la Sourate appartient à la Dernière période de Becca. Tout cela part de l'hypothèse que le “pèlerinage” doit se faire à Becca, ce qui est en contradiction totale avec l'Écriture. 

 

C'est pour cette raison que les auteurs Hadithiques doivent prétendre de façon blasphématoire que les Écritures ont été perdues et que les textes actuels doivent être ignorés.

 

Il ne fait guère de doute que la Sourate 22:36 pose un sérieux problème, en ce sens qu'elle fait référence au sacrifice des chameaux et à leur ravitaillement aux pauvres par le sacrifice et la consommation de leurs flancs (prétendument en lanières) par les pauvres. Les musulmans Hadithiques l'utilisent pour justifier le sacrifice des chameaux à l'Aïd. Ceci est contraire à l'Écriture et à d'autres passages du Coran notamment dans la Sourate 3:93. De plus, Dieu ne fait pas acception des personnes et la Loi exige que les dirigeants du peuple fournissent du bétail et des animaux purs pour tout le peuple lors du Sabbat, des Nouvelles Lunes et des Fêtes. Il faut tenir compte du fait que ce texte a été ajouté bien après l'époque Médinienne et peut-être bien après la mort du prophète pour justifier le massacre des chameaux impurs. Certains critiques du texte pensent qu'il date de l'époque Omeyyade.

 

Cela se réfère à la nécessité absolue pour les pauvres et les démunis et donc, aucune personne qui n'est pas démunie, ne peut les manger en aucun cas, quelle que soit la manière dont elle interprète le texte.

 

Sourates 023, 028 (versets 85 et 52-55 AH),

023 Les Croyants Commentaire sur le Coran : Sourate 23 (No. Q023)

La Sourate 23 Al-Mu’minun “Les Croyants” est tenue pour être nommée à partir d'un mot qui apparaît dans le premier verset. Certes, son sujet est le triomphe des croyants et serait ainsi nommée à juste titre. Il s'agirait de la dernière Sourate révélée à Becca avant la fuite du Prophète à Médine en 622 de notre ère et donc, il s'agit d'une Sourate de la Dernière période de Becca.

 

Le texte de Les Croyants fait référence à l'église et à sa structure. Les textes des Sourates précédentes se rapportent aux prophètes et à leurs tâches et prophéties. Ils continuent jusqu’aux Croyants des Saints des Élus dans les Églises de Dieu.

 

Les commentaires traitent également de la structure de l'église dans les cieux et de la construction du Temple à Jérusalem. Ces sept chemins sont les sept étapes ou les sept semaines jusqu'à la Pentecôte et la réception de l'Esprit Saint chez les croyants baptisés dans le Corps du Christ.

 

Cette structure représentait le Temple, qui est devenu le Temple vivant de l'Église. Il y avait sept étapes à la totalité de l'édifice. Six d'entre elles étaient superposées dans la nef et la septième était la salle principale proprement dite, qui menait au Saint des Saints. Nous n'avons pas pu entrer dans cette dernière phase jusqu'à ce que Christ soit mort et ait déchiré le voile du Temple pour nous permettre d'y entrer. C'est la signification des sept semaines jusqu'à la Pentecôte. Dans cette dernière phase, l'Esprit Saint est entré dans l'Église, permettant à Dieu de devenir tout en tous.

(cf. l’étude Le Vieux et le Nouveau Levain (No. 106a)).

 

Les termes Troisième Ciel (NT), et Septième Ciel (Qour'an) sont génériques. Le terme du Nouveau Testament fait référence aux classifications de base de l'atmosphère, de la structure solaire et galactique de la Terre et de la structure céleste du Trône de Dieu qui se trouve vers les “côtés du Nord”. Les sept classifications du Coran sont des développements de ces derniers faisant la distinction entre les Atmosphères, l'espace intérieur et extérieur, le système solaire, la Galaxie, etc. (voir FAQ sur l’Islam (No. 055)).

 

Ce sont des clés très importantes pour comprendre le Coran. Parce que l'Église et sa fonction sont ignorées par les commentateurs Hadithiques, le sens du Coran (Qour’an) est galvaudé et interprété incorrectement afin que les disciples de l'Islam ne puissent en tirer le sens réel.

 

En effet, c’est le vrai sens de retenir injustement la Vérité de Dieu (Rom. 1:18, 25).

 

028 Le Récit Commentaire sur le Coran : Sourate 28 (No. Q028)

Sourate 28 Al-Qasas est nommée “le Récit” ou “la Narration” du verset 25. Elle a été révélée lors de la dernière phase de la persécution de l'église de Becca et lors de la fuite de Becca vers Médine en 622 de notre ère. Certains écrivains arabes disent par ailleurs que le verset 85 a été révélé pendant la fuite et que les versets 52 à 55 auraient été révélés après la fuite à Al-Médine. Ces textes sont considérés comme des modifications. Le verset 85 semble être une modification Hadithique postérieure, pour détourner l'attention des faits de son orientation vers l'Écriture aux versets 52 à 55 ; c'est pour cette raison que l'on allègue une date ultérieure, qui semblerait fallacieuse, vu le contexte.

 

Le texte se rapporte aux épreuves de la vie de Moïse une fois de plus comme nous l'avons vu de la Sourate 27, et de celles, précédentes, qui se rapportent à l'histoire de Moïse et sa persécution, suivant celle des prophètes et des élus et leur rôle dans la Résurrection.

 

Ici, la Sourate encouragea l'Église par renvoi à l'Exode et à l'intervention de Dieu à travers l'Ange de la Présence qui a reçu Israël en héritage (Deutéronome 32:8 et suiv). Cet Ange de la Présence allait plus tard devenir le Messie (1Cor. 10:4).

 

029 L’Araignée Commentaire sur le Coran : Sourate 29 (No. Q029)

La Sourate 29 Al-‘Ankabut “l’Araignée” est nommée d'après le verset 41 dans lequel les fausses croyances sont comparées à une toile d'araignée pour leur fragilité. La plus grande partie de la Sourate est attribuée au Milieu ou à la Dernière période de Becca. Il y a confusion quant à l'origine. Certaines autorités attribuent les versets 7 et 8, et beaucoup d'autres attribuent toute la dernière section de la Sourate à la période d'Al-Médine. Elle réconforte la communauté persécutée.

 

Dans ce texte, nous retrouvons Haman relié au temps de Moïse et les Amalécites de nouveau reliés à la période avec l'Égypte. Il faut considérer qu'Haman peut avoir été un nom ancestral traditionnel des Amalécites, que Moïse et les Israélites ont combattus dans la dernière année de l'Exode près de Kadesh. Il ne semble guère y avoir de doute que le Prophète associe les Arabes aux derniers Amalécites dans les dernières guerres des persécutions de la fin des temps.

 

Le texte introduit le concept d'éprouver par l'affliction ceux de la foi qui croient.

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