Christian Churches of God
	
	[QSD]
	
	 
	
	
	
	
	Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran
	(Édition 1.0 
	20180611-20180611) 
	
	Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an 
	ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des 
	adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la 
	Ka'bah.
	
	
	
		
		
		Christian Churches of God
		
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	 Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran 
	[QSD]
	
	Section 5 
	Cette section traite des Sourates révélées après la fuite ou Hégire à Médine 
	(Al-Madinah) en l’an 622. Ces textes traitent de l'approfondissement des 
	textes bibliques et de la place de Christ dans la Révélation.
	622 
	L’Hégire
	Le message adressé aux gens de Becca est tombé dans les oreilles sourdes, 
	et les convertis de l'église ont été persécutés et cette persécution a 
	empiré jusqu'à ce qu'ils aient dû fuir à Médine en 622 de notre ère. De 
	Médine, l'église a été forcée de recourir aux armes et leur succès dans la 
	bataille a forcé la reddition des gens de Becca et des groupes tribaux 
	environnants et l'Islam a commencé à consolider sa théologie et ses 
	explications sur la foi. Cependant, cela a également rempli l'église de faux 
	convertis des systèmes idolâtres païens pour des raisons de conquête. 
	
	 
	La structure biblique du traitement des femmes a commencé à se développer 
	sur le modèle de la Loi Biblique. Après être allée à Médine, l'Église s'est 
	également occupée des Juifs et de leurs traditions et lois de la Kashrut et 
	du Calendrier Hillel, car l'Église sous le Prophète ne suivait pas Hillel, 
	et lui et l'Église célébraient le Jour des Expiations un autre jour que les 
	Juifs et Hillel. Ces questions sont également traitées dans les documents 
	sur le Coran et 
	
	
	Le Sabbat dans le Qour’an (No. 274) et le document 
	
	
	
	Les Calendriers Hébreu et Islamique Réconciliés (No. 
	053). 
	 
	La sourate 003 traite des Lois de l'Alimentation et précise que tant les 
	Juifs, les Chrétiens que l'Islam doivent observer les lois de l’alimentation 
	correctes établies dans les Écritures (Sourate 3:93, cf. Lévitique 11 et 
	Deutéronome 14). L'église a également lié le Sabbat à l'Alliance de Dieu à 
	la Sourate 4:154, et il n'y a jamais eu aucune suggestion que la charia ait 
	été envisagée ; elle n'a pas existé dans sa version actuelle à l'époque ; 
	elle a été développée après la mort du Prophète, en se nourrissant des 
	traditions païennes existantes bien avant le Prophète. Seules les Lois de 
	Dieu telles qu'elles furent délivrées au Sinaï (Sourate 95) devraient être 
	observées. Leur compréhension de l'Alliance de Dieu a été telle qu'expliquée 
	dans les documents 
	
	
	Le Coran à propos de la Bible, de la Loi et de 
	l'Alliance (No. 083) ; 
	
	
	
	L'Alliance de Dieu (No. 152).
	 
	Révélées à Al-Médine
	
	Sourates 47 (1-2 AH), 98 (1 AH?), 002 (1-2 AH), 
	
	008 (2AH), 003 (3-4 AH), 62 (2-4 AH),
	004 (4AH), 59 (4AH), 63 (4 AH), 58 (4-5 AH), 65 (5-6 
	AH),
	024 (5-6 AH),
	33 (5-7 AH),
	005 (5-10 AH), 48 (6 AH), 61 (6AH),   
	
	60 (8 AH)
	57 (8-9 AH)
	009 (9 AH)
	49 (9 AH)
	110 (10 AH)
	Il n'est pas connu avec certitude le moment où les Sourates 007 et 66 ont 
	été données AH. 
	 
	Les révélations après l’Hégire à Médine sont souvent des traités 
	théologiques complets, et la plus longue et la plus impliquée est la Sourate 
	2 qui est précédée de la Sourate 1, La prière d'ouverture, dont la date est 
	inconnue. 
	 
	Sourate 47 (1-2 AH) 
	Mouhammad 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 47 (No. Q047)
	La Sourate tirerait son nom de l'utilisation du terme
	Mouhammad au verset 2, qui est 
	alors affirmé comme étant le nom du prophète Qasim. Il s'agit en fait d'une 
	référence à l'autorité du Concile de l'Église dans l'Apocalypse de Dieu, et 
	au nom et au sceau des 144000 membres de l'Église en tant que les prophètes 
	de Dieu (voir 
	
	
	Introduction au Commentaire sur le Coran (Q001)).
	 
	La Sourate est considérée comme ayant été révélée dans la période qui a 
	suivi l’Hégire, et le verset 18 se réfère à la période pendant laquelle le 
	Prophète a regardé en arrière vers Becca dans sa fuite. Cependant, “l’Heure” 
	à laquelle il se réfère, est l'Heure de la destruction des Derniers Jours 
	sous le Messie. Les traditions Hadithiques cherchent à faire la distinction 
	entre le Coran et les Écritures dans les références prophétiques.
	 
	Sourate 98 (1 AH?) La Preuve
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 98 (No. Q098)
	Al-Beyyinah 
	tire son nom d'un 
	mot du premier verset. Il n'y a aucune certitude quant à la date de la 
	révélation. Beaucoup la considèrent comme une Sourate de la Dernière période 
	de Becca. Le Mushaf l'attribue à 1 AH comme date probable de la révélation, 
	et Pickthall est du même avis, comme il l’a fait tout au long de sa 
	traduction.
	 
	Le texte se réfère à ceux qui sont égarés et incrédules parmi
	“les gens des Écritures” 
	et aussi les idolâtres. Ils n'auraient pu faire autrement qu'errer jusqu'à 
	ce qu'on leur donne des preuves claires.
	 
	La période de rééducation déterminera les fidèles à partir des erreurs au 
	cours du Jugement.
	 
	Sourate 002 (1-2 AH) La Vache 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 1 et 2 (No. Q002)
	C'est la plus longue et la plus étendue des Sourates, et est basée sur la 
	place du Messie et le commencement de la purification de l'église en tant 
	que la génisse rousse selon les lois données par Christ en tant que l'Ange 
	de la Présence à Moïse.
	 
	Rappelez-vous que la génisse rousse a été utilisée pour commencer le 
	processus de sanctification du Temple de Dieu. 
	
	 
	Nous avons examiné la Sourate section par section, puis nous avons dégagé 
	les significations de chaque section.
	 
	Le Qour’an est un condensé des enseignements de l'église arabe et des 
	rappels de l'identité spirituelle de ceux qui suivent ce livre. Nous avons 
	comparé Paul et ses lettres et épîtres au Coran et à ses Sourates, et nous 
	avons fait de même pour l’église CCG et ses documents d'étude. Toutes ces 
	œuvres ont été et sont encore enseignées à l'église après la mort et la 
	résurrection du Christ ; toutes se conforment à la loi et au témoignage. 
	Pris comme un livre isolé ne dépendant d'aucune parole de Dieu antérieure, 
	il est comparable aux œuvres de Paul et il peut être et a été déformé en 
	significations qu'il n'était pas destiné à transmettre. La Bible doit être 
	comprise afin de comprendre le Qour’an correctement.
	 
	Le nom de cette Sourate, la Vache, se rapporte à la génisse rousse 
	physique et à sa fonction dans le processus de sanctification. Cette Sourate 
	explique aux élus ce qu'ils doivent faire pour être saints et être 
	présentables à Dieu. La génisse rousse est en fait la génisse rougeâtre 
	d'après le mot dérivé d’adam qui signifie le rougeâtre. La Sourate 
	fait ici référence à la “génisse d'or” provenant du visage rayonnant du 
	Christ, qui se reflétait dans le visage de Moïse qui brillait quand il fut 
	vu par Israël au Sinaï. Elle reflète la glorification spirituelle des élus.
	
	 
	La Sourate 2 pose les fondements des croyances de l'église arabe, et 
	donne la compréhension de base de l'identité d'un Chrétien. Ce chapitre 
	parle des exigences de la vie éternelle, du baptême et de l'observance des 
	commandements et rappelle aux gens de bien observer les lois de 
	l'alimentation. Il parle à ceux de l'alliance qui sont tombés dans l'erreur 
	et leur dit ce qu'ils doivent faire pour corriger leurs péchés. Il parle des 
	péchés de l'Israël physique et spirituel comme un avertissement à ceux qui 
	sont enseignés dans la Sourate 2. Il est intéressant de noter qu'aux ayats 
	189 à 190 il nous est parlé de la Nouvelle Lune et que nous devons entrer 
	dans les maisons (d’adoration) en toute franchise et sans avoir honte de ce 
	Sabbat.
	 
	C'est la Loi de Dieu que les Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Fêtes 
	doivent être observés continuellement (cf. aussi 1Cor. 3:16).
	 
	La Sourate 2 renforce également que les Lois de Dieu délivrées par Moïse 
	et le témoignage du Christ, qui révèle ce que nous devons faire pour 
	recevoir la vie éternelle, doivent être suivis, selon l'ayat 87.
	 
	Sans aucun doute, l'église arabe a eu des difficultés avec le concept de 
	Dieu ayant des fils. Il semble que ceux à qui l'on enseignait aient été 
	charnels, et ne comprenaient pas qu'un fils pouvait venir à l’existence 
	autrement que par des rapports sexuels. L'explication dans les ayats 105 à 
	117 contre la Trinité explique que Jésus n'était pas le produit d'un rapport 
	sexuel mais que Dieu l'a créé par Sa seule puissance, par décret divin.
	 
	Le prologue de cette Sourate s'adresse au peuple prédestiné (al 
	muttaqeen, voir verset 2) de Dieu, les élus, qui suivent “La Voie” (hudan 
	voir verset 2 cf. Jean 14:5 ; Actes 9:2) ou la “Foi Livrée aux Saints Une 
	Fois Pour Toutes”.
	 
	 
	Première Section 
	: versets 2 à 27.
	Il est important de comprendre et de toujours garder à l'esprit qu'à la 
	Pentecôte de l'an 30 de notre ère, il y a eu des Juifs, ou ceux d'Israël de 
	la diaspora, ou des fidèles de Dieu venus à Jérusalem, pour célébrer cette 
	fête (voir Actes chapitre 2, surtout au verset 14), et ayant été convaincus 
	par l’exposé de la Voie, l’Évangile du Royaume de Dieu, par les apôtres, il 
	est écrit que 3000 furent baptisés (cf. Actes 2:37-41). Alors ces Arabes 
	(voir Actes 2:11) sont retournés chez eux. Par conséquent, le fait 
	historique est que l'Église de Dieu était déjà dans les secteurs de l'Arabie 
	bien avant la destruction du Temple en l'an 70 de notre ère et plusieurs 
	siècles avant la naissance du Prophète Qasim. Nous devons le comprendre très 
	clairement en tant que règle primaire dans le traitement des textes. Les 
	érudits arabes malhonnêtes ont inventé le mensonge selon lequel les 
	Écritures ont été perdues pour arrêter cette référence aux Écritures et 
	détacher le Hadith et les enseignements ultérieurs des Écritures et ensuite 
	de s'en inspirer pour inventer de faux enseignements.
	 
	C'est un fait que les textes enseignent que les Écritures sont inspirées 
	de Dieu et sont infaillibles et que les Écritures ne peuvent être anéanties 
	comme Christ lui-même l'a dit en citant la loi de Dieu (Jean 10:34-36). 
	
	 
	Le concept de l'universalité de Dieu en tant que partie intégrante de 
	l'Écriture est expliqué dans le texte suivant 
	
	Le 
	Cantique de Moïse dans Exode 15 (No. 179), en ce qu'il peut être dérivé du Cantique 
	de Moïse dans la Torah à l'Exode, et ne peut être perdu ou annulé car agir 
	ainsi est un blasphème et met en cause la Nature et l'Omnipotence de Dieu. 
	Cette hérésie est répandue dans l'Islam Hadithique et ses défenseurs sont 
	des apostats et mourront s'ils ne se repentent pas.  
	
	 
	Comme nous l'avons expliqué, l'Écriture est le seul vrai texte sacerdotal 
	à part la prière spontanée, le témoignage et l'exhortation. Non seulement 
	les Psaumes, mais aussi d'autres parties de l'Écriture, comme le livre de 
	l'Apocalypse, sont clairement écrits avec l'intention d'être récités et 
	entendus sous forme d’adoration.
	 
	Si l'Écriture est la Révélation de Dieu, on peut alors soutenir que 
	remplacer le livre des Psaumes par un livre de cantiques revient à remplacer 
	le Dieu des Écritures par une idole. Cependant, la transcription est 
	destinée à être chantée (voir Recueil de Cantiques de CCG).
	 
	Dieu devient [le] salut. Il s'agit d'un processus en quatre étapes. Il 
	commence par la reconnaissance de Dieu en tant que force dont l'homme est 
	totalement dépendant et dans laquelle il entretient la relation la plus 
	étroite possible avec Dieu. La deuxième étape est la réalisation que 
	l'Écriture est Dieu dans la mesure où les humains peuvent expérimenter Dieu 
	tel que révélé par l'Esprit Saint. La troisième étape est le salut par 
	l'habitation de l'Esprit Saint, comme Dieu avec nous. La quatrième étape 
	définit le salut : Il est mon Dieu.
	 
	L'état de salut est alors décrit. C'est de construire une demeure pour 
	Dieu, c'est-à-dire de chanter les Psaumes de délivrance, les louanges 
	d'Israël qui sont Sa demeure. Dieu a choisi d'habiter dans les élus en tant 
	qu'Israël. Ils deviennent ainsi le Temple de Dieu. La récitation de la 
	musique inspirée de la Bible par l'Esprit Saint, dans le culte est de 
	construire efficacement le Temple de Dieu. Les temples humains sont liés par 
	le lieu, et sont donc capables de monopole et éventuellement de corruption 
	et de manipulation. Le Temple de Dieu est fait de fils de Dieu engendrés par 
	l’Esprit qui adorent aux Sabbats ; ce temple démocratique, fugace et 
	insaisissable qui vient aussi bien vers le haut que vers le bas par 
	l’habitation de l'Esprit Saint, et qui contient également la présence de 
	Celui qui est invisible. Enfin, le Temple de Dieu est fait de la récitation 
	de l'Écriture, des louanges d'Israël, encore une fois potentiellement 
	disponibles pour tous ceux qui ont une voix, un œil, une oreille ou un 
	esprit. Je l'exalterai est un parallèle, une répétition de la pensée que je 
	vais Lui construire une demeure.
	 
	L'apôtre Paul a peut-être atteint le sommet contemplatif de 
	l'inimaginable vérité contenue dans ces expressions quand il a déclaré que 
	les corps des élus en Christ sont le Temple de Dieu. L'apôtre Pierre est 
	allé directement au cœur de la vérité en disant : “lesquelles nous assurent 
	de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par 
	elles vous deveniez participants de la nature divine” (2Pierre 1:4). 
	 
	Exode 15:3 L’Éternel est un vaillant 
	guerrier l’Éternel est son nom.
	 
	L'hébreu utilise en fait le mot iish ou homme en 
	référence au SEIGNEUR. Ce serait interpréter les Écritures de façon 
	contraire à elles-mêmes que d'attribuer l'humanité à Dieu de quelque façon 
	que ce soit. Nombres 23:19 dit clairement : Loo iish Eel, Dieu n'est 
	pas un homme. L'expression pourrait être une référence elliptique à l'ange 
	du SEIGNEUR, mais le contexte semble clair que le verset parle de Dieu 
	Lui-même. En Hébreu, il n'est pas permis de séparer les deux mots d'une 
	construction expressive, et ceci en est un exemple. L’analyse doit se faire 
	sur la phrase entière iish milhaamaa, 
	homme de guerre. En tant que tel, l'expression ne tient pas compte de 
	l'humanité ou de son manque d'humanité. Il met l'accent sur la fonction 
	militaire. Dans ce cas, la fonction militaire est celle du salut. 
	L'expression a la portée que Dieu sauve.
	 
	La dernière moitié du verset révèle le 
	nom de Dieu. Connaître le nom ou la réputation d'une personne (en Hébreu, le 
	mot couvre les deux sens), donne accès à ce que cette personne peut faire en 
	faveur de quelqu'un. L'humanité a besoin d'être délivrée à l'occasion, et le 
	fait de connaître le Nom de Dieu, c'est savoir vers qui se tourner, en ayant 
	la possibilité de se tourner vers Lui.
	 
	Exode 15:4-10 tel qu’expliqué, instille 
	donc Dieu dans la parole de Dieu en tant qu’une partie inviolée de la nature 
	de Dieu et c'est pourquoi ces gens qui ignorent ou qui forgent ou qui 
	traduisent mal les Écritures, meurent spirituellement et sont envoyés à la 
	Deuxième Résurrection.
	 
	La présence des Écritures et des 
	enseignements Unitariens de l'Église en Arabie remontent également à des 
	siècles avant Arius dans leurs doctrines. La Pentecôte de l’an 30 EC (Ère 
	Courante) est alors l'histoire de la naissance de l'Islam Originel.
	 
	Dans la Sourate 2, il est fait mention 
	d'une Mosquée Sacrée. Nous devons considérer que c'est le Mont du Temple. La 
	Ka'aba était un sanctuaire païen à l'époque du prophète au VIIe 
	siècle et plus de 360 idoles ont été enlevées de la Ka'aba au VIIe siècle.
	 
	Le mot utilisé pour la place de la 
	Mosquée ou du sacrifice est juste un résumé ou un concept de tous les 
	sacrifices dans le livre de Lévitique. L'animal pour les sacrifices décrits 
	dans les Écritures doit être parfait, etc. Cela parle du Plan du Salut. La 
	Génisse (signifiant vache) a été utilisée pour le sacrifice et se réfère 
	spirituellement à la sanctification du Temple de Dieu, fonction qui a été 
	accomplie par le Messie.
	 
	La plus grande partie de la Sourate 2 
	parle d'exemples d'échec à obéir à Dieu et du fait que nous devons nous 
	repentir de nos péchés pour retourner ou revenir à Dieu. L'intention de 
	cette sourate est interreliée ; ainsi il est difficile de trouver un seul 
	ayat qui puisse être présenté et qui puisse avoir toute la compréhension 
	transmise. Ainsi, cette Sourate doit être lue dans son intégralité et on 
	doit prier pour sa compréhension. Cette Sourate traite de ceux qui 
	enfreignent les Lois de Dieu et leur indique ce qu'ils doivent faire pour 
	revenir à Son alliance. Nous voyons aussi que ceux qui entrent dans 
	l’alliance ont promis à Dieu de se soumettre à Lui. La différence majeure 
	entre les Chrétiens et l'Islam est Jésus et ses rôles de témoin, de 
	médiateur de l'Alliance, de sacrifice unique et parfait, de premier fils 
	engendré de Dieu dans la création spirituelle et de premier ressuscité 
	d'entre les morts. Les soi-disant Chrétiens sont eux-mêmes divisés en 
	éléments de distinction : le Christianisme Trinitaire et le Christianisme 
	Binitaire ou Dithéiste, dont la plupart sont des adeptes du culte du 
	dimanche et des cultes du mystère de Baal, et ceux des Sabbatariens qui ont 
	été Unitariens depuis deux millénaires, et les Binitaires/Trinitaires qui 
	ont corrompu le système Sabbatarien au cours des deux derniers siècles.
	 
	Dans l’ensemble, Q2.1-27 semble être 
	une récapitulation du chapitre 1 de Romains à l'église arabe.
	 
	Alif lam mim. sont des signes répandus dans les écrits rabbiniques, et transmettent la 
	signification du Salut de Dieu ou du Dieu des délivrances.
	 
	Cela peut être trouvé dans le Psaume 
	68:21 Notre Dieu est un Dieu qui sauve ; de [ADONAI Adonaï] vient la 
	délivrance de la mort. (Traduction libre de la Bible CBJ)
	 
	L'origine du Bismillah peut être 
	facilement trouvée parmi les Perses dont les livres sacrés commencent avec :
	Au nom de Dieu, juste et Miséricordieux.  Les Juifs disent : 
	Au nom de Dieu ou au nom du grand Dieu.
	 
	Il y a des textes bibliques qui 
	renforcent cette section et pour cette raison, elle fait office de portail 
	du Coran, car elle identifie les élus et les serviteurs des démons et montre 
	comment ces gens ne sont tout simplement pas autorisés à comprendre. Cet 
	aspect est visible chez ces pseudo-Musulmans qui tentent d'empêcher une 
	analyse correcte du Coran ou Qour’an.
	 
	Sourate 008 (2AH) Le Butin de Guerre 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 8 (No. 
	Q008)
	La Sourate 8 tire son nom de la phrase 
	d'ouverture, déclarant que ‘tous les biens du monde appartiennent à Allah’ 
	et qu’en tant que tels, ils doivent être traités comme la propriété de Dieu 
	et doivent  donc être soumis à la 
	dîme comme tous les autres biens selon les Lois Bibliques de la Dîme, comme 
	Abraham l’a fait à Melchisédek, prêtre du Dieu Très-Haut à Jérusalem (Voir 
	l'étude 
	
	
	Le Prélèvement de la Dîme (No. 161)). En conséquence de cette activité, tout le peuple arabe 
	est soumis à la dîme au Messie en tant que Souverain Sacrificateur de 
	l’ordre de Melchisédek, étant dans les reins d'Abraham, y compris Lévi et 
	l'ensemble du sacerdoce israélite, ainsi que ceux de l'Islam. Ceux-ci 
	incluent aussi tous les fils de Sem, qui était prêtre de Dieu en tant que 
	Melchisédek. Ainsi aussi les païens qui se sont convertis sont requis de 
	faire la dîme. Dès le retour du Messie, le monde entier sera soumis au 
	sacerdoce (voir 
	
	
	Melchisédek (No. 128) et 
	
	
	Commentaire sur Hébreux (F058)).
	 
	Le partage du butin entre les 
	participants a eu lieu un mois après la Bataille de Badr, dans la Deuxième 
	Année de l’Hégire et onze mois avant la Bataille du Mont Uhud (cf. Sourate 
	3), où l'ennemi du paganisé Qureysh est venu contre les Musulmans avec une 
	force de 3000, et dans la Cinquième Année de l’Hégire, les clans alliés 
	païens sont venus contre eux avec une force de quelque 10 000 pour assiéger 
	Al-Médine dans la Guerre des Tranchées (dans la Sourate 33 : “Les Clans”).
	
	 
	Les versets qui clôturent la Sourate 8 
	sont datés ultérieurement et mènent au sujet de la Sourate 9 ; certaines 
	autorités soutiennent que les versets 30 à 40, ou certains d'entre eux, ont 
	été révélés à Becca juste avant l'Hégire. La distinction est faite en raison 
	de la division des gens qui sont des ennemis, lesquels peuvent être épargnés 
	par leur repentir en épargnant les élus de la foi.
	 
	La bataille mentionnée ici est à l'eau 
	de Badr à Tabuk dans l'année précédant la bataille du Mont Uhud référencée à 
	la Sourate 3. Une caravane de Becca sous les ordres d'Abou Sufyan de Quraych 
	revenait de Syrie et craignant une attaque d'Al-Médine, a dépêché un 
	chamelier à Becca pour demander une assistance urgente. La demande a dû 
	arriver trop tard car le Prophète, à la tête des Musulmans, est arrivé et a 
	annoncé la destination à l'avance, contrairement à la coutume.
	 
	Ibn Ishaq (apud Ibn Hisham) (cf. 
	Pickthall) considère que les Musulmans ont voulu ce conflit, puisque le 
	prophète a annoncé la destination avant le voyage, ce qui était contraire à 
	ses habitudes. Ils ont traversé la vallée pendant trois jours et l'armée des 
	Quraych de Becca a été envoyée (dans la région d'Al-Médine) pour punir les 
	Musulmans qui ont prétendument attaqué la caravane. La bande musulmane de 
	313 hommes mal équipés et mal armés, a engagé l'armée alors qu'elle se 
	dirigeait vers l'eau à Badr, contre la force Al-Médine.
	 
	Il pleuvait abondamment et les gens de 
	Becca avaient du mal à avancer dans la boue, mais les Musulmans avaient 
	moins de pluie et avançaient mieux, alors ils arrivèrent à l'eau de Badr et 
	la sécurisèrent. Au même moment, Abu Sufyan et la caravane se dirigeaient 
	également vers l'eau à Badr mais furent avertis à temps par ses éclaireurs 
	de l'avancée musulmane et retournèrent vers la plaine côtière.
	 
	En dépit de ce qui a dû sembler être 
	une évidence, le Prophète a autorisé les hommes de l'Ansar d'Al Médine à 
	partir, car leur serment d'allégeance ne comportait pas de vœu de se battre 
	dans le champ. Les Ansar furent simplement offensés par la suggestion qu'ils 
	quitteraient le Prophète dans de telles circonstances. En outre, plusieurs 
	membres du Qureysh, y compris tout le clan Zuhri, sont retournés à Becca 
	lorsqu'ils ont appris que la caravane était en sécurité, car ils croyaient 
	que le prophète et les Musulmans avaient été lésés à Becca.
	 
	Malgré cela, l'armée de la force du 
	Qureysh était deux fois plus nombreuse que les Musulmans et était beaucoup 
	mieux armée et équipée et ils s'attendaient à une victoire facile. Le 
	document allègue (cf. Pickthall) que le Prophète, lorsqu'il les a vus 
	affluer sur les collines de sable, a dit : “Ô Allah, voici Qureysh avec 
	toute leur chevalerie et leur pompe qui s'opposent à toi et renient ton 
	messager. Ô Allah ! Ton aide que tu m'as promise. Qu'Allah les fasse fléchir 
	aujourd'hui !”
	 
	Les Musulmans ont été victorieux dans 
	les combats singuliers avec lesquels les batailles arabes ont commencé, mais 
	ils ont été durement éprouvés dans la mêlée générale qui a suivi. Le 
	Prophète est rapporté comme s'étant tenu debout et ayant prié sous un linge. 
	“Ô Allah, si cette petite troupe est détruite, il n'y aura plus personne 
	dans le pays pour t'adorer !” Il tomba alors en transe et quand il reparla, 
	il dit à Abou Bakr, qui était avec lui, que l'aide promise était arrivée. Il 
	est alors sorti pour encourager les troupes. Il ramassa une poignée de 
	gravier et courut vers les forces de Qureysh (apparemment presque à 
	l'imitation de David) et cria : Les visages sont confus ! C'est à ce moment 
	que la situation s'est inversée en faveur des Musulmans. Le chef du Qureysh 
	et plusieurs de ses plus grands hommes ont été tués, beaucoup ont été faits 
	prisonniers et leurs bagages et chameaux ont été saisis par les Musulmans. 
	Ce fut un jour mémorable dans l'histoire des Musulmans et là, il est noté 
	(apud Pickthall et al) qu'il y a eu beaucoup de réjouissances à Al-Médine.
	 
	Cependant, nous voyons de cette Sourate 
	que les Musulmans sont avertis qu'il y aura des conflits beaucoup plus 
	importants à venir. Ainsi nous avons vu dans la Sourate 3 au Mont Uhud 
	l'année suivante avec 3000 ennemis et à la Bataille des tranchées, dans la 
	Sourate 33 avec 10000 à la "Bataille des Clans". C'est sans doute que les 
	avertissements ont été tirés de l'Esprit qui a inspiré la prophétie 
	d'Apocalypse chapitre 2 concernant l'ère Pergame, à l'attention du Concile 
	du Mouhammad de l'Église d'Arabie sous le Prophète. Christ a finalement ôté 
	leur pied de lampe et leur a apporté l'épée de guerre contre eux, et les a 
	détruits à plusieurs reprises à cause de leurs péchés et du paganisme. Le 
	Messie le fera maintenant dans les Derniers Jours pour purger et convertir 
	ces Pseudo-Musulmans paganisés. (Voir aussi les documents 
	
	
	La Distribution Générale des Églises 
	observant le Sabbat (No. 122) 
	; 
	
	
	Le Rôle du Quatrième Commandement dans 
	l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170) et 
	
	
	Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).
	 
	Sourate 003 (3-4 AH)  Famille 
	d'Imran 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 3 (No. 
	Q003) 
	La Sourate 3 tire son nom de l'Imram ou 
	Amram le père de Mariam, Moïse et Aaron (utilisé au verset 32), et se réfère 
	à tout le ministère sous la famille de Lévi. Il est un nom générique pour 
	tous les prophètes de la foi à partir de Moïse et Aaron, puis, à travers 
	tous les prophètes jusqu'à Jean le Baptiste et au Messie, les apôtres, et 
	les élus de l'Église de Dieu.  La 
	foi se développe jusqu'au sacerdoce de Melchisédek avec Christ comme 
	Souverain Sacrificateur selon l'ordre de 
	
	
	Melchisédek (No. 128) et tous les élus étant Sacrificateurs [prêtres] selon 
	l'ordre de Melchisédek (voir aussi 
	
	
	Commentaire sur Hébreux (No. F058)).
	 
	Le nom Mariam tel qu'il s'applique à la 
	sœur de Moïse et d'Aaron est aussi le même nom appliqué à Mariam, la mère du 
	Christ, dans la mesure où la mauvaise traduction pour Maria ou Marie a créé 
	la confusion parmi autant ceux qui sont appelés Chrétiens que Musulmans. 
	Maria (Mariah) était la sœur de Mariam et l'épouse de Clophas. La famille de 
	Mariam, mère du Messie, avait aussi le sang lévitique par l'épouse du grand 
	prêtre Zacharie de la huitième division d'Abijah et mère de Jean le Baptiste 
	(cf. v. 35).
	 
	L'épouse d'Imram est nommée au verset 
	35 comme étant la mère de Marie, ce qui est contesté par la pensée mal 
	informée qui entend par là que cela évoquait la mère du Christ comme étant 
	Marie, ce qui est le but délibéré même du texte qui, aux versets 35-36, cite 
	ces femmes comme portant le même nom. Marie, Mariam ou Marium (I, A et U 
	sont utilisées de manière interchangeable dans les langues sémitiques) était 
	une prophétesse et le premier-né d'Imram ou Amram et de Yochebed (Nombres 
	26:59). Ses trois descendants ont été mis à part pour être prophètes et 
	protégés contre Satan comme le texte le dit. Mariam (Marie) est également 
	nommée sœur d'Aaron (Sourate 19:28) tandis que Mariam est la vraie sœur 
	d'Aaron mais le texte pour Mariam ou Marie, mère du Christ, s'adresse aussi 
	à sa lignée lévitique comme sœur d'Aaron conformément à sa lignée comme 
	fille d'Héli de David par Nathan et de Lévi par Schimeï, qu'ils 
	transpercèrent selon les prophéties de Zacharie 12:12-14.
	 
	Le texte de la Sourate traite ensuite 
	de Mariam (appelée Marie), la Mère de Christ le Messie et de sa place dans 
	le plan du salut à partir des versets 42-61. Ainsi, la mise à part de la 
	Famille d'Imram et de Yochebed devait se poursuivre jusqu'au Messie et aux 
	élus de l'église qui sont mentionnés dans les textes du verset 61.
	 
	Les traditions revendiquent que les 
	versets 1 à 34 ont été révélés à l'occasion de la députation des Chrétiens 
	de Najran qui a eu lieu la Dixième année de l'Hégire (632) (appelée “l'année 
	des députations”). Cependant, ils ne peuvent avoir été révélés que beaucoup 
	plus tôt et n'avoir pu être récités que par le Prophète à cette époque-là. 
	Les Juifs s'aigrirent après leur expérience à Badr. Le phénomène inverse qui 
	s'est produit à Uhud, est mentionné à partir des versets 120 à 188. Ce 
	revers aurait enhardi les Juifs. Ils ont désespérément tenté d'anéantir les 
	Chrétiens Unitariens car ceux-ci étaient alliés aux Pauliciens de l'ouest, 
	préoccupés par l'Empire byzantin, eux-mêmes devenus Unitariens sous certains 
	empereurs (e.g.
	
	John Tzimiskes ; cf. 
	
	
	Le Rôle du Quatrième Commandement dans 
	l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170) ; cf. également 
	
	
	La Distribution Générale des Églises 
	observant le Sabbat (No. 122)). Les 
	Trinitaires étaient loin de la menace que les Musulmans Chrétiens Unitariens 
	constituaient pour les Juifs d'Arabie, car ils représentaient l'église 
	Chrétienne originale et un plus grand défi pour eux.
	 
	La période de la Révélation de cette 
	Sourate se situe dans les Troisième et Quatrième années de l'Hégire 
	(624-625) et l'explication de la Bataille du Mont Uhud est donnée par 
	Pickthall dans son introduction. 
	
	 
	Dans la Troisième année de l'Hégire 
	(624), les gens de Becca des sections idolâtres de Qureysh, avec une force 
	de 3000 hommes sont venus contre Al-Médine pour se venger de leur défaite à 
	Badr dans la Deuxième Année de l'Hégire (623), et exterminer les Musulmans. 
	Le Prophète a initialement décidé de défendre Médine mais, sur l'insistance 
	des compagnons, il est parti à la rencontre de l'ennemi sur le Mont Uhud en 
	déployant soigneusement ses 1000 hommes. Il affecta un troisième sous 
	Abdullah ibn Ubeyy qui déserta avant la bataille et qui a dit après la 
	bataille qu'ils ne pensaient pas qu'il y aurait des combats ce jour-là et 
	ainsi mérita le surnom “l'Hypocrite”.
	 
	La bataille avait bien débuté pour les 
	Musulmans, mais elle s'est transformée en quasi défaite en raison de la 
	présence d'une bande de cinquante archers chargés de garder un secteur 
	important du champ de bataille. En voyant les Musulmans triompher, ils ont 
	craint de perdre leur part du butin et ont abandonné leur poste pour 
	s'installer à l'emplacement principal. Cela a ouvert le secteur qu'ils 
	gardaient à la cavalerie de Becca qui a pu attaquer et infliger de graves 
	pertes à la force Musulmane. Le Prophète lui-même a été blessé dans la 
	lutte, et la troupe croyant qu'il avait été tué s'est démoralisée jusqu'à ce 
	que quelqu'un le reconnaisse encore en vie et ainsi il mobilisa les troupes 
	et leur permit de prendre une retraite en bon ordre.  
	
	 
	L'armée des Quraych s'est également 
	retirée après la bataille et les femmes des chefs tribaux qui les avaient 
	accompagnés sur le champ de bataille pour des raisons de moral, ont commencé 
	à mutiler les Musulmans morts, fabriquant des colliers et des bracelets avec 
	les oreilles et le nez des Musulmans tués. 
	Hind, la femme d'Abou Sufyan, a arraché le foie de l'oncle du 
	Prophète et a commencé à le manger. En voyant cela, le Prophète a été poussé 
	à faire vœu de représailles, mais une révélation importante lui a été 
	accordée et, par conséquent, la 
	mutilation a été interdite à tous les Musulmans. Ainsi, tout Musulman 
	qui autorise ou tolère la mutilation de soldats et de morts démontre qu'il 
	n'est pas un vrai Musulman et qu'il doit être puni pour cette infraction.
	
	 
	Le lendemain de la Bataille du Mont 
	Uhud, le Prophète est sorti avec les survivants de la Bataille, y compris de 
	nombreux blessés, pour tenter de convaincre les Quraych qu'ils étaient 
	capables de défendre Al-Medina et les dissuader de lancer une attaque. La 
	tradition prétend qu'un nomade ami a croisé le bras armé du Prophète et a, 
	par la suite, fait la rencontre des Quraych et a dit à Abu Sufyan qu'ils 
	étaient en bon ordre et en plus grand nombre et voulaient leur revanche, et 
	ainsi ce rapport persuada les Quraych sous Abu Sufyan de se retirer à Becca.     
	
	 
	Sourate 62 (2-4 AH) La Congrégation 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 62 (No. 
	Q062)
	Al-Jumaah “La Congrégation” est l'assemblée commandée de la foi pour l’adoration le 
	Jour du Sabbat qui est lié à la foi et à l'alliance figurant à la Sourate 
	4:154.
	 
	La référence vise le verset 9. Le 
	Prophète prêchait dans la Mosquée selon la tradition. Cela dit, on a renoncé 
	à mettre l'accent sur le Sabbat et on a mis l'accent sur la période de 
	préparation de l'après-midi du Sixième Jour de la semaine, et cela a été 
	appelé le Jumaah et non plus la 
	congrégation du Sabbat du Septième jour de la Semaine, comme le préconise la 
	Sourate 4 et dans d'autres textes. Cet aspect est couvert dans le document
	
	
	
	Le Juma'ah : La Préparation pour le Sabbat 
	(No. 285).
	 
	C’était le même péché démoniaque que 
	celui perpétré par les Trinitaires lors de leur changement pour passer au 
	culte du Dimanche de Baal. À cet égard, le Hadith n'a pu le faire passer à 
	la période de préparation pour le Sabbat qu'au VIIIe siècle.
	 
	Ils se sont appuyés sur la tradition 
	selon laquelle le Prophète et la congrégation priaient à la Mosquée 
	lorsqu'une caravane fit irruption à Al-Médine au son des tambours. La 
	congrégation s'est interrompue pour la regarder, à l'exception des douze 
	membres du noyau de la foi qui étaient probablement le conseil de l'église. 
	Selon Pickthall parlant d'une tradition, il s'agissait d'une caravane de 
	Dahyah al-Kalbi qui serait devenu Musulman la Cinquième année après l'Hégire 
	et qui aurait donc dû avoir lieu avant l’an 627 EC. Pickthall l'attribue 
	entre 2 et 4 AH ou 624-626 EC. 
	 
	Toutefois, l'application au Vendredi en 
	tant que Juma'ah n'a eu lieu que bien après les Quatre Califes Correctement 
	Guidés, le meurtre de Ali et de Hussein, et la répression et suppression de 
	la vraie foi en Arabie et en Perse.
	 
	Le remplacement du Sabbat par les 
	prières du Vendredi après-midi est une hérésie et empêchera tous ceux qui la 
	suivent et qui n’observent pas le Sabbat d'entrer dans la Première 
	Résurrection.
	 
	Sourate 004 (4AH) Femmes 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 4 (No. 
	Q004)
	La Sourate 4 traite de la fidélité de 
	l'Église envers Christ et le Septième Commandement. 
	
	 
	Exode 20:14 Tu ne commettras 
	point d’adultère. 
	 
	Le verset 1 se rapporte à Adam et Ève, 
	ainsi qu'au Cinquième Commandement et au devoir envers la famille. 
	
	 
	C'est ainsi que nous avons progressé de 
	la famille et de la responsabilité envers la création depuis Adam et Ève et 
	l'Armée Humaine, jusqu'au développement de la foi dans la fidélité envers le 
	Temple de Dieu et le Messie en tant que Souverain Sacrificateur selon 
	l'ordre de Melchisédek. Nous passons de la sanctification de la génisse 
	Rousse, ou Rougeâtre, à la génisse Dorée ou Glorifiée élue de la Sourate 2 
	(comme dans 
	
	
	Q002), à la 
	Famille des Prophètes et Prêtres en tant que fils de Imram et Yochebed des 
	élus dans la Sourate 3 (Q003). Nous 
	en arrivons maintenant à la fidélité de l'espèce humaine à Dieu et à la 
	famille et à la foi, dans la Sourate 4 (Q004) en 
	tant qu'Épouse du Christ. Ainsi le titre est intitulé Femme en tant que mère 
	de l'humanité et en tant que l'Épouse du Christ qui est l'Église de Dieu. Le 
	texte traite des “Droits des femmes” en tant que noyau de la famille dans 
	l'éducation et la protection des jeunes.
	 
	La Sourate aurait été révélée après la 
	Bataille d'Uhud, et reprend la séquence dans sa conclusion logique pour le 
	développement de la foi. Les pertes subies lors de la Bataille du Mont Uhud 
	ont nécessité que la question des soins aux veuves et aux orphelins soit 
	abordée et que des leçons soient tirées de ce problème au regard des Lois de 
	Dieu dans les Écritures. Cela se serait produit entre la fin de la Troisième 
	année et la fin de la Cinquième année du règne concile sous le Prophète à 
	Al-Médine (cf. Noldeke). Pickthall note Noldeke, mais affirme que cela est 
	plus vraisemblable entre la fin de la Troisième année et le
	début de la Cinquième année, dans 
	son introduction à la Sourate 4. 
	
	 
	La déclaration concernant les orphelins 
	fait suite à la perte des troupes, mais aussi les Arabes Païens n'ont pas 
	accordé de droits aux femmes, comme ils ne le font toujours pas jusqu’à 
	aujourd’hui, même en prétendant être Musulmans, ce qui est faux. C'est ainsi 
	que le texte fait écho aux Droits des Femmes dans les Écritures.
	 
	Les pertes à Uhud ont été 
	principalement causées par la défection des “hypocrites” qui représentaient 
	un tiers de leur nombre, comme nous l'avons vu dans l'introduction à la 
	Sourate 3. Ce terme a alors été appliqué au tempérament tiède ou au temps 
	passé à servir les gens dans la foi. Dans les derniers jours, l'un des deux 
	éléments de l'Église qui doivent être retirés de la Première Résurrection 
	est les Tièdes des Laodicéens en plus des “Morts” des Églises “Vivantes” du 
	système de Sardes des Derniers Jours (voir l'étude 
	
	
	Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).
	 
	Sourate 59 (4AH) 
	
	L’Exil 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 59 (No. 
	Q059)
	Al-Hashr 
	“L'exil” tire son nom des versets 2 à 17 qui 
	font référence à l'exil du Bani Nadir. 
	Il s'agissait d'une tribu Juive d'Al-Medine qui a été impliquée dans la 
	trahison et le meurtre projeté du Prophète. Leurs biens ont également été 
	confisqués. Les Hypocrites, comme étaient appelés les Musulmans tièdes 
	(comme le sont aussi les Laodicéens des Derniers Jours), sympathisaient en 
	secret avec ces Juifs. L'opposition des Hypocrites aux Musulmans s'était 
	renforcée depuis les revers du Mont Uhud. Cependant, lorsque les Musulmans 
	marchèrent contre le Bani Nadir installé dans leurs tours fortes, les 
	Hypocrites ne firent rien. Quand finalement les Juifs furent réduits et 
	exilés, les Hypocrites ne firent rien et ne les accompagnèrent pas en exil 
	malgré leurs assurances antérieures.
	 
	La date de la Sourate correspond à la 
	Quatrième année de l'Hégire ou 625 EC (de notre ère).
	 
	Sourate 63 (4 AH) Les Hypocrites 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 63 (No. 
	Q063)
	
	Al Munafiqun 
	“Les Hypocrites” tire son nom du mot du premier verset. 
	Le verset 8 renvoie à une remarque d'Abdullah Ibn Ubeyy, le leader 
	“Hypocrite”. Il exprima le désir que la vieille aristocratie de Yathrib, 
	dont il était le chef reconnu, puisse reprendre l'ascendant et fasse sortir 
	les réfugiés de Becca qu'il considérait comme des intrus. La date de la 
	Sourate est censée correspondre à la Quatrième année de l'Hégire ou 625/6
	EC.
	 
	Sourate 58 (4-5 AH) La Femme qui Dispute
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 58 (No. 
	Q058)
	Al-Mujadilah 
	
	“La Femme qui Dispute” 
	tire son nom d'un mot au verset 1.   
	
	 
	Une femme vint voir le Prophète avec 
	une plainte spécifique selon laquelle son mari l'avait mise à la porte sans 
	aucun motif valable en utilisant une vieille formule païenne, disant que
	
	“son dos était pour lui comme le dos de sa mère” 
	et elle contesta avec le Prophète car il ne voulait rien faire avant que la 
	révélation ne lui fût donnée dans cette Sourate. Il existe une brève 
	référence à cette méthode pour se débarrasser des femmes que l’on peut 
	trouver dans la Sourate 33:4. Par conséquent, cette Sourate doit avoir 
	précédé la Sourate 33 telle que le Musulman l'a vue. Le Prophète et l'Église 
	ont statué sur le fait que les femmes ne pouvaient pas être répudiées pour 
	un mensonge et qu’aucune ne pouvait avoir le statut de mère sauf celles qui 
	leur ont donné naissance ou ont été une mère réelle pour eux comme épouse de 
	leur père (1Corinthiens 5:5).
	 
	La Sourate est révélée la même année 
	que la Sourate 33, dans la Quatrième ou Cinquième année de l’Hégire de 625 à 
	626 EC.
	 
	Sourate 65 (5-6 AH) Le Divorce
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 65 (No. 
	Q065)
	At-talaq tire son nom des textes des versets 1 
	à 7. Elle contient un amendement aux lois sur le divorce, exposées dans la 
	Sourate 2.  
	 
	La tradition voudrait qu'il s'agisse 
	d'une erreur commise par Ibn 
	‘Omar lors de son divorce, qui aurait eu lieu la Sixième 
	année de l'Hégire. Cependant, d'autres ont relaté que le Prophète ne citait 
	que cette Sourate qui avait déjà été révélée. Ainsi, la datation est la 
	Sixième année de l'Hégire (627 EC) ou un peu plus tôt.
	 
	Sourate 024 (5-6 AH) La Lumière 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 24 (No. 
	Q024)
	La Sourate 24 An-Nur, 
	“La Lumière” tire son nom des versets 35 à 40. Elle 
	est considérée comme descriptive de la Lumière de Dieu 
	“telle qu'elle doit resplendir dans la 
	maison des disciples” comme l’estime Pickthall ; la plus grande partie de la Sourate étant la 
	législation pour la purification de la vie domestique. Il y a deux 
	traditions relatives à la Sourate. Il est convenu que la Sourate a été 
	révélée dans les Cinquième et Sixième années de l'Hégire qui fût en 626 et 
	627 EC. La deuxième tradition, plus fragile, la situe dans la Neuvième année 
	de l’Hégire (i.e. en 630/31).
	 
	Les versets 11 à 20 se rapportent à la 
	calomnie d'Ayeshah, la jeune épouse du Prophète, qui a été abandonnée lors 
	d'une marche de retour de la campagne contre les Bani'l-Mustaliq. Elle a été 
	retrouvée par un jeune soldat qui l'a montée sur son chameau pendant qu'il 
	marchait et le conduisait. N'oublions pas qu'il ne faut pas sous-estimer la 
	capacité de diffamation arrogante de la communauté religieuse.
	 
	Les Écritures prévoient la 
	réglementation de la Communauté en tant que Loi de Dieu. L'église a la 
	capacité de dispenser la justice avec miséricorde et donc certaines 
	punitions sont limitées. Par exemple, la lapidation à mort est limitée et 
	remplacée par les exemples de miséricorde du Christ avec le fouet plutôt que 
	par la mort.
	 
	Sourate 33 (5-7 AH) Les Clans 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 33 (No. 
	Q033)
	Nous avons vu plus haut, que les 
	Sourates 3 et 8 se réfèrent aux batailles précédentes de
	Badr et du Mont Uhud, et 
	traitent des opérations des idolâtres de Becca contre les Musulmans. Le chef 
	de Becca était Abu Sufyan et ils ont continué sous son commandement dans les 
	batailles de la Guerre des Tranchées et les Batailles des Clans révélées 
	dans cette Sourate 33.
	 
	La Sourate Al Ahzab tire son 
	nom de l'armée des clans alliés qui sont venus contre les Musulmans à 
	Yathrib ou Al Médine la Cinquième année de l’Hégire (Versets 9 à 
	25). Le Prophète avait expulsé certains des Bani Nadir, une tribu Juive de 
	Yathrib, pour trahison (cf. Sourate LIX). Ces Juifs se rendirent d'abord 
	chez les chefs des Quraych à Becca, puis chez la grande tribu du désert des 
	Ghatafan pour se faire aider dans leur extermination des Musulmans. Ils ont 
	promis aux Juifs de Yathrib de les aider. Le résultat fut que les Quraych 
	avec tous leurs clans et les Ghatafan avec tous leurs clans marchèrent 
	contre les Musulmans avec l'intention de détruire leur force à Yathrib et de 
	les exterminer.
	  
	
	Lorsque la nouvelle fut transmise au 
	Prophète, il ordonna qu'une tranchée soit creusée devant la ville et dirigea 
	lui-même les excavations. La Tranchée, qui a donné son nom à la guerre, a 
	été achevée à l'arrivée des 10000 hommes de l'armée des clans. L'armée du 
	Prophète était forte de 3000 hommes et celle des clans de 10000 et la 
	Tranchée était entre elles.
	 
	Pendant près d'un mois, les Musulmans 
	ont été soumis à des pluies incessantes de flèches et ont été constamment 
	menacés par des attaques massives de forces beaucoup plus puissantes qu'eux. 
	Puis la tribu Juive des Bani Qureyzah sur leurs arrières rompit son alliance 
	avec les Musulmans et fit alliance avec les Qureysh. L'affaire fut sérieuse.
	 
	Les femmes et les enfants avaient été 
	placés dans des tours semblables aux tours-remparts du nord de l'Angleterre. 
	Chaque famille en avait construit une pour se protéger des raids. Elles 
	n'étaient pas gardées et beaucoup de Musulmans ont demandé d'envoyer une 
	partie de leur nombre pour garder les familles. Les Bani Qureyzah n'avaient 
	pas encore manifesté leur trahison car les clans n'étaient pas encore 
	assurés de la victoire.
	 
	La cause Musulmane semblait 
	désespérée.
	 
	Un sympathisant Musulman dans le camp 
	ennemi a semé la méfiance entre les Bani Qureyzah et les chefs des Clans. La 
	Tranchée était un formidable obstacle inattendu et à ce moment critique, un 
	vent violent et glacial souffla de la mer pendant trois jours et trois nuits 
	et ils ne purent ni entretenir un abri ni faire de la cuisine ni allumer un 
	feu. Abu Sufyan, le chef du Quraych, leva alors le siège. Le lendemain 
	matin, voyant qu'ils étaient partis, les Ghatafans se retirèrent eux aussi 
	dans leurs zones tribales.
	 
	Le lendemain, lorsque les Musulmans 
	sont revenus de la Tranchée, ils ont assiégé les Juifs traîtres des Bani 
	Qureyzah installés dans leurs tours de refuge, au cours d'un siège qui s'est 
	étendu sur vingt-cinq jours. Lorsqu'ils se rendirent enfin, la tribu d'Aus, 
	dont les adeptes étaient les Juifs, demanda au Prophète de faire preuve de 
	la même bienveillance qu'il avait eue envers la tribu de Kharaj dans le cas 
	des Bani Nadir, en leur permettant d'intercéder pour leurs proches.
	 
	Le Prophète leur demanda s'ils 
	voulaient que l'un des leurs décide à leur sujet. Ils acceptèrent et il 
	nomma Sa'd Ibn Mu'adh, l'un des grands chefs de l'Aus qui avait été blessé 
	et qui se faisait soigner à la Mosquée.
	 
	Sa'd a ordonné que leurs hommes 
	soient mis à mort. Leurs femmes et leurs enfants furent faits prisonniers et 
	leurs biens répartis entre les Musulmans selon la volonté du Prophète. Notez 
	qu'il avait déjà donné les instructions de dîme exigibles de la guerre 
	conformément à la dîme de 20% pour les pauvres, de la Troisième année (cf. 
	Sourate 8). Les versets 26 et 27 se réfèrent à la punition du Bani Qureyzah. 
	Ce témoignage est dérivé de celui d'Ibn Kaldun que Pickthall utilise comme 
	étant meilleur que le témoignage plus répandu d'Ibn Hisham. 
	
	 
	Comme nous l'avons vu, la Sourate 8 
	tire son nom de la phrase d'ouverture déclarant que 
	“toutes les choses dans le monde 
	appartiennent à Allah” et que comme telles elles doivent être traitées comme la propriété de Dieu 
	et doivent donc être soumises à la dîme, conformément aux Lois Bibliques de 
	la 
	dîme, comme Abraham 
	a donné la dîme à Melchisédek, Prêtre du Dieu Très Haut à Jérusalem (voir 
	l'étude Le 
	Prélèvement de la Dîme (No. 161). En conséquence de cette activité, tout le peuple arabe 
	est sujet à la 
	dîme au Messie en tant le Souverain Sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek, 
	étant dans les reins d'Abraham incluant Lévi et la totalité du sacerdoce 
	Israélite aussi bien que ceux de l'Islam. Cela inclut aussi tous les fils de 
	Sem qui était prêtre de Dieu selon l'ordre de Melchisédech. Ainsi aussi les 
	païens de la conversion sont requis de faire la dîme. Dès le retour du 
	Messie, le monde entier sera soumis au sacerdoce. (voir Melchisédek (No. 
	128) et Commentaire 
	sur Hébreux (F058)).
	 
	Le partage du butin entre les 
	participants a eu lieu un mois après la bataille de Badr, la deuxième année 
	de l'Hégire et onze mois avant la bataille du Mont Uhud (cf. Sourate 3) où 
	l'ennemi païen Quraych est venu combattre les Musulmans avec une force de 
	3000 personnes, et au cours de la cinquième année de l'Hégire, les clans 
	alliés païens ont assiégé Al-Médine avec 10,000 personnes environ, dans la 
	Guerre des Tranchées mentionnée dans cette Sourate.
	 
	La Bataille de Badr à Tabuk a eu lieu 
	l'année précédant la bataille du Mont Uhud mentionnée dans la Sourate 3. Une 
	caravane de Becca sous les ordres d'Abou Sufyan du Qureysh, revenait de 
	Syrie et, craignant une attaque d'Al-Madinah, a envoyé un chamelier à Becca 
	pour demander une assistance urgente. Les références historiques sont dans 
	la Sourate 8 ci-dessus.
	  
	Cependant, nous voyons de la Sourate 8 
	que les Musulmans ont été avertis qu'il y aurait des conflits beaucoup plus 
	importants à venir. C'est ainsi que nous avons vu dans la Sourate 3 au Mont 
	Uhud l'année suivante, avec 3000 ennemis et maintenant, à la Bataille des 
	Tranchées dans la Sourate 33 avec 10000 dans la “Bataille des Clans”. Comme 
	nous l'avons vu précédemment, il n’y a aucun doute sur le fait que les 
	avertissements ont été inspirés par l'Esprit qui a fait connaître la 
	prophétie d'Apocalypse chapitre 2 concernant l'ère Pergame, ère de laquelle 
	elle faisait partie, au Concile du Mouhammad de l'Église de l'Arabie sous le 
	Prophète. Les prophéties du Prophète dans la Sourate 30
	Romains, ont fait allusion aux 
	victoires de ces batailles ultérieures.
	 
	Dans la Troisième année de l'Hégire 
	(624), les gens de Becca des sections idolâtres de Quraych avec une force de 
	3000 hommes, sont venus contre Al-Médine pour se venger de leur défaite à 
	Badr la Deuxième année de l'Hégire (623) et exterminer les Musulmans. Les 
	détails de la séquence de la bataille du Mont Uhud sont contenus dans le 
	texte de la Sourate 3, page 44 ci-dessus. Cependant, à partir des Sourates 
	003 et 033, une révélation importante a été donnée au Prophète et, par 
	conséquent, les mutilations ont été 
	interdites à tous les Musulmans. Ainsi, tout musulman qui autorise ou 
	cautionne la mutilation de soldats et de morts montre de ce fait qu'il n'est 
	pas un vrai Musulman et doit être puni pour cette infraction.
	 
	Malheureusement, cette barbarie 
	existe encore aujourd'hui chez les Arabes.
	 
	Une autre leçon importante a été 
	tirée de cette Sourate 33. Au verset 37, nous trouvons une référence au 
	malheureux mariage de Zeyd, homme de main et fils adoptif du Prophète, avec 
	Zeynab, cousine du prophète et noble femme du Quraych.
	 
	Le Prophète a arrangé le mariage avec 
	l'idée de faire tomber les anciennes barrières de l'orgueil et de classe 
	sociale, et a fait abstraction des sentiments de Zeynab.
	 
	Les traditions soutiennent qu'elle et 
	son frère se sont opposés au mariage et qu'elle a en réalité souhaité 
	épouser le Prophète. Pickthall note aussi que pour Zeyd, le mariage ne fut 
	rien d'autre qu'une honte et une humiliation. 
	
	 
	Lorsque le Prophète a été mis au 
	courant de la situation, il les a exhortés à rester ensemble, selon la 
	tradition, pour sauver la face. Zeyd divorça de Zeynab et le Prophète fut 
	encouragé à épouser Zeynab. 
	 
	Dans cette affaire, l'église a été 
	forcée de rejeter l'adoption comme un processus valide. Ainsi, la femme d'un 
	fils adoptif n'était pas soumise aux mêmes restrictions qu'un fils naturel. 
	Cela semble contraire à l'Écriture ainsi qu’aux limitations imposées au 
	mariage du père ou de l’épouse d'un fils naturel, contrairement à 
	1Corinthiens 5:5. 
	 
	Dans le mariage, il a également été 
	établi que la volonté de la femme doit être prise en compte. Ainsi, les 
	mariages forcés Islamiques modernes sont contraires à l'Islam. Un mariage 
	malheureux est considéré comme contraire à la volonté de Dieu et donc, bien 
	que les Écritures soient claires sur le fait que le divorce est une violence 
	envers la famille et que Dieu le hait, il doit être permis dans certaines 
	circonstances dans la foi.  
	
	 
	Sourate 005 (5-10 AH) 
	La Fête ou la Table Servie 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 5 (No. 
	Q005)
	Le nom de la Sourate découle du Second 
	Sacrement de la Foi qui suit le Baptême. C'est
	Le Dîner du Seigneur et 
	cela signifie la Fête ou la
	Table Servie. Le texte symbolisait 
	le Lavement des Pieds, le Pain et le Vin, de la principale fête de la foi 
	qui se déroulait le soir à la fin du 13 Abib en commençant le Dîner du 
	Seigneur le 14 Abib avant que Christ ne soit tué en tant que l'Agneau de la 
	Pâque à 15 heures le 14 Abib, et mis au tombeau avant la noirceur, 
	commençant le 15 Abib qui est le jour de la Pâque et qui a débuté la phase 
	du 
	
	
	Signe de Jonas et l'Histoire de la 
	Reconstruction du Temple (No. 013). Cela fait 
	référence au symbolisme du Dîner du Seigneur établi pour le Sacrifice du 
	Christ et est dérivé des versets 112 et suivants.
	 
	Les Pseudo-Chrétiens appellent cela 
	l'Eucharistie, mais ils ont trivialisé l'extrême sainteté de ce sacrement 
	annuel par une prestation hebdomadaire du sacrement, le dimanche, développée 
	à partir des Cultes de Baal ou du Soleil, et le culte de la Déesse Ishtar 
	dont le festival était aussi institué les vendredi et dimanche, du mois du 
	système de Pâque. Les Arabes paganisés du Hadith ont perdu toute la 
	compréhension du symbolisme et de la sainteté du Dîner du Seigneur et pour 
	cette raison, ils se verront consignés à la seconde résurrection des 
	infidèles et hérétiques. Ils ont aussi corrompu le Sabbat en une hérésie du 
	Vendredi, alors qu'à partir de la 
	
	
	Q004, nous 
	voyons que le Sabbat ou le Septième Jour de la semaine est lié à l'Alliance.
	 
	Il y a deux références, la première est 
	au verset 3, qui annonce l'accomplissement de leur religion de ceux de la 
	Soumission, qui est symbolisé par le Dîner du Seigneur et est le 
	parachèvement de la Foi. Aussi le dernier texte a été énoncé comme le 
	dernier de nos devoirs, et le dernier texte à la fin de la Sourate fait 
	référence aux derniers commentaires faits par le Prophète lors de sa 
	dernière visite à Becca. C'était la “Visite d'Adieu” quand il a parlé aux 
	milliers de personnes rassemblées à “Arafat”. Noldeke suppose que deux 
	autres versets proches sont de la même date à la fin, avant sa mort, et la 
	conversion de l'Arabie. Pickthall est d'accord avec Noldeke. Rodwell a placé 
	ce texte comme étant la dernière Sourate de la Révélation, comme le note 
	Pickthall, mais il est mieux [placé] ici car il s'inscrit plus correctement 
	dans la séquence de la révélation.
	 
	Le Baptême est le Premier Sacrement 
	ainsi que notre admission à la foi, et le Dîner du Seigneur (Le 
	Dîner du Seigneur (No. 103)) est notre confirmation annuelle et définitive de notre 
	alliance avec Dieu en tant que serviteurs du Christ et prêtres de l'ordre de 
	Melchisédek (cf. les études 
	
	
	Melchisédek (No. 128) et 
	
	
	128B) et 
	
	Commentaire sur Hébreux (F058).
	 
	C'est notre alliance et la confirmation 
	de notre Soumission à Eloah en tant que le Seul Vrai Dieu. Dans le texte 
	ici, nous soulignons que le texte du Coran utilise la forme Arabe dérivée de 
	l'Araméen Oriental, qui est dérivée du Chaldéen Elahh. Dans la langue Arabe 
	du Coran, c’est Allah’ ou Al Lah’ (les deux sont rendus comme Allah, ce qui 
	signifie en réalité “La Puissance” ou “La Déité” comme le fait également 
	l'Hébreux Eloah (Chald. Elahh) qui seul est le Seul Vrai Dieu. Lui seul est 
	Ha Elohim en tant que Le Dieu, le centre de la pluralité des
	elohim, qui sont tous fils de Dieu de l'Armée céleste (cf. Job 
	38:4-7 ; Esdras 4:23-7:26).
	 
	Sourate 48 (6 AH) Victoire
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 48 (No. 
	Q048)
	Al Fath tire son nom du mot Fath ou 
	“Victoire”. 
	Pickthall soutient qu'il ne fait pas référence à la conquête de 
	Becca, mais à la trêve d'Al Hudeybiyeh, qui semblait à l'époque être un 
	revers pour Al Islam, mais qui s'est en fait révélé être leur plus grande 
	victoire.
	 
	Au cours de la Sixième année de 
	l'Hégire (622 ou 627/628 EC), le Prophète partit avec quelque 1400 fidèles 
	d'Al Médine et des alentours, en habit de pèlerin, non pour y combattre 
	mais, selon les allégations, pour visiter la Ka'abah. Lorsqu'ils 
	s'approchèrent de Becca, on les avertit que les Quraych avaient rassemblé 
	leurs alliés contre eux. Leur cavalerie sous Khalid ibn Al Walid occupait la 
	route devant eux. Ils ont fait un détour par les ravins des collines et se 
	sont réfugiés dans la vallée de Becca et ont campé à Al Hudeybiyah en 
	contrebas de la ville. Le Prophète refusa de livrer bataille et tenta à 
	plusieurs reprises des pourparlers avec les Quraych, qui avaient eux-mêmes 
	juré de ne pas permettre aux Musulmans d'atteindre la Ka'abah. Les Musulmans 
	ont été en danger pendant tout ce temps. En raison de ses relations de clan 
	et de son influence, Othman ibn'Affan fut envoyé dans la ville. Il fut 
	arrêté par les gens de Becca et (selon Ibn Hisham partie II, pp. 176-178) la 
	nouvelle selon laquelle il avait été assassiné était parvenue au camp des 
	Musulmans.
	 
	C'est donc à ce moment-là que le 
	Prophète, assis sous un arbre, a fait prêter serment à ses camarades (cité 
	au verset 18) (cf. Ibn Hisham ibid., p.179 ; cf. aussi Pickthall). Ils ont 
	juré qu'ils se tiendraient ensemble et se battraient jusqu'à la mort. Puis 
	ils apprirent que la nouvelle de la mort d'Othman était fausse, et les 
	Quraych acceptèrent une trêve avec des conditions qui leur étaient 
	favorables. Les termes allégués étaient que le Prophète et ses gens devaient 
	abandonner le projet de visiter le sanctuaire cette année-là, mais qu'ils 
	entreprendraient le pèlerinage l'année suivante lorsque les idolâtres 
	évacueraient Becca pour une période de trois jours pour leur en faire 
	bénéficier.
	 
	Pickthall cite Ibn Khaldum en ces 
	termes : 
	“Et il n'y a 
	jamais eu de victoire plus grande que cette victoire ; car, comme le dit 
	Az-Zuhri, quand il s'agissait de guerre, les deux camps ne se rencontraient 
	pas ; en revanche en cas de trêve, et que la guerre imposait ses fardeaux, 
	les gens se rassemblaient, les uns les autres, se voyaient, se sentaient en 
	sécurité, puis se retrouvaient et disputaient dans les échanges et dans les 
	discussions. Et aucun homme n'a parlé d'Al Islam à un autre, mais ce dernier 
	l'a adopté, de sorte qu'ils sont entrés dans Al Islam pendant ces deux 
	années (c'est-à-dire entre Al Hudeybiyah et la rupture de la trêve par 
	Quraych) comme tous ceux qui y avaient adhéré avant ou plus” (Ibn Khaldun, Tarikh Additif de la Partie II Bulaq 1284 
	AH après Ibn Hisham, cf. Pickthall)).
	 
	La trêve a été rompue par les Quraych 
	qui voyaient la paix se détériorer et avaient perdu un grand nombre de 
	convertis à Al Islam, ce qui était sans aucun doute le but des forces du 
	Prophète qui visitaient Becca, sanctuaire idolâtre. La Sourate est datée de 
	cette Sixième année de l'Hégire.
	 
	Sourate 61 (6AH) Les Rangs 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 61 (No. 
	Q061)
	As-Saff Les Rangs, tire son 
	nom d'un mot du verset 4. Elle est censée avoir été révélée à Becca. Si tel 
	devait être le cas (selon Pickthall), elle a alors dû être révélée pendant 
	que le Prophète et ses compagnons campaient dans la vallée de Becca au 
	moment où la trêve de Hudeybiyah était en négociation, étant donné que son 
	contenu se réfère manifestement à la période Al-Médine. Traditionnellement, 
	une partie du texte est rattachée à cette période. Ainsi elle est attribuée 
	par Pickthall et d'autres, comme étant de la Sixième année de l’Hégire en 
	627/8 de l'ère courante.
	 
	Cette Sourate est une grande pierre 
	d'achoppement pour l'Islam. L'utilisation du mot
	Ahmad, qui signifie le Consolateur ou l'Esprit Saint, est 
	incorrectement appliquée comme étant un nom du Prophète quand
	celui qui est loué au verset 6 est 
	associé au Christ, et fait référence au Consolateur en tant que L'Esprit 
	Saint, lequel a été annoncé par Christ et rendu disponible par son sacrifice 
	et acceptation en tant que l'Offrande de la Gerbe Agitée, le Dimanche matin 
	devant le Trône de Dieu. Il est revenu cet après-midi-là vers les apôtres 
	avec le pouvoir de leur transmettre l'Esprit Saint (cf. Jean 20:22 ; et voir 
	le document 
	
	Les Quarante Jours Suivant la Résurrection de 
	Christ (No. 159A)).
	 
	Pickthall confirme ce malentendu par 
	lequel il est lui-même corrompu et qui apparaît dans sa note de bas de page 
	1 du verset 6 (p. 583) et il impute ensuite ce malentendu comme étant 
	accepté par de nombreuses communautés Chrétiennes de l'Orient, lesquelles le 
	considèrent comme un prophète à venir ; puis il dit “et la plupart ont 
	accepté Mouhammad comme ce prophète” ; ce qui est en soi une déclaration 
	manifestement fausse sur plusieurs points. Cela implique un rejet total du 
	but fondamental du Messie, consistant à rendre L'Esprit Saint disponible à 
	l'humanité à la Pentecôte de l’an 30 EC, ce qui est le but premier et 
	l’intention de la présente Sourate.
	 
	Aucune autre erreur de compréhension et 
	de fausse doctrine n'a fait plus de mal à la foi que cette hérésie en 
	Arabie.
	 
	Sourate 60 (8 AH) 
	La Femme devant Passer une Expertise 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 60 (No. 
	Q060)
	Al-Muntahanah "Celle qui doit être évaluée" tire son 
	nom du verset 10 où ils doivent examiner les femmes qui viennent à eux en 
	prétendant être converties à l'Islam, et si elles sont trouvées sincères, 
	elles ne doivent pas être renvoyées aux idolâtres.
	 
	Cette Sourate était une modification 
	majeure des termes de la Trêve de Hudeybiyah qui obligeait le Prophète à 
	accepter les termes selon lesquels l'Islam sous le Prophète devait rendre 
	tous les fugitifs aux idolâtres, hommes et femmes, tandis que les idolâtres 
	ne seraient pas tenus de remettre les renégats d’Al-Islam.
	 
	Ces termes, sous la Loi biblique, 
	étaient incorrects et ont dû être révoqués aussi tôt que possible.
	 
	Pickthall soutient que cela est à cause 
	des persécutions les plus terribles auxquelles les femmes devaient faire 
	face si elles étaient extradées et de leurs conditions sociales sans défense 
	qui ont été la cause des accusations, mais les raisons sont clairement 
	indiquées dans la Loi Biblique qui prévoit le non renvoi des domestiques à 
	leurs maîtres s’ils demandent asile en Israël, tant la Nation que la foi.
	
	 
	Les femmes réfugiées qui sont sincères 
	et ne sont pas des fugitives de crime ou de querelles familiales, pouvaient 
	recevoir une indemnité de la part des Musulmans, mais pour les femmes 
	musulmanes qui s'étaient enfuies vers les Quraych, aucune indemnité ne 
	devait leur être versée. Cependant, l'État Islamique prévoyait qu'à 
	l'inverse de la fortune, les indemnités seraient versées par l'État 
	Islamique quelle que soit la nature des biens que leurs épouses auraient 
	pris sur leur propriété commune.
	 
	Les femmes qui cherchaient refuge ont 
	dû faire un vœu qui est mentionné au verset 12 de la Sourate.
	 
	La Sourate a été révélée dans la 
	Huitième année de l'Hégire (629/30 EC).
	 
	Sourate 57 (8-9 AH) Le Fer 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 57 (No. 
	Q057)
	Al-Hadid “Le Fer” tire son nom d'un mot 
	du verset 25. La mention au verset 10 de la "Victoire" est soutenue par 
	Pickthall pour faire référence à la conquête de Becca. Noldeke la considère 
	plutôt comme une référence à la Bataille de Badr, (G. Des Qorans, 2ème 
	éd. Pt. 1, Lepzig 1909, p. 195) ; ce que Pickhtall tient pour impossible car 
	le texte stipule que les Musulmans ont dépensé et se sont battus, et aucun 
	ne l'avait fait antérieurement à Badr. Bien qu'il y ait eu plusieurs 
	personnes qui ont été persécutées avant le Premier Hégire en 613 qui 
	semblent être ignorées (cf. Introduction à la 
	
	
	Sourate 19  “Maryam”).
	L'un ou l'autre laps de temps est donc 
	possible. Pickthall considère qu'elle a été écrite dans la Huitième ou 
	Neuvième année de l’Hégire (629/30), alors que Noldeke la placerait dans la 
	Quatrième ou Cinquième année de l'Hégire (de là 626/7). C'est dans tous les 
	cas une Sourate post-Becca.
	 
	Sourate 009 (9 AH) Le Repentir etc. 
	Commentaire 
	sur le Coran : Sourate 9 (No. Q009)
	La fonction de la Sourate 9 “Le Repentir” et son 
	positionnement après la Sourate 8 “Le Butin” a deux buts. L'un est qu'elle 
	montre la responsabilité de la foi dans le soutien des veuves et des 
	orphelins à partir du butin sur le modèle des pauvres, en raison de la dîme 
	de la Troisième année. Le deuxième but est de montrer la fonction du 
	Calendrier et des quatre mois sacrés qui doivent être préservés. Les 12000 
	Arabes paganisés de la Bataille Post-Becca contre les Bédouins à Hunayn 
	montrent le manque de Repentir et la faiblesse en comparaison aux 300 sous 
	le commandement du Prophète à Badr et Tubuk. Cela indiquait la destruction 
	de l'Islam par les Hadiths.
	 
	La Sourate 9 est appelée “Le Repentir” 
	(At Taubah) d'après le verset 104. 
	Elle est aussi souvent appelée Al 
	Bara'at l'Immunité, tiré du mot commençant le verset 1. C'est ainsi que 
	se forme la déclaration d'Immunité d'obligation envers les idolâtres, qui 
	est également rendue “Répudiation” à partir de ce terme. Le repentir est une 
	réflexion introspective pour perfectionner l'individu. Le concept de 
	répudiation s'oppose à celui du repentir de l'individu. La répudiation 
	entraîne la persécution de ceux qui diffèrent, ce qui identifie le bain de 
	sang qu'est l'Islam moderne.  
	
	 
	La Sourate a été portée à Becca dans la 
	9ème Année de l’Hégire par Abou Bakr en tant que leader et lue à 
	la multitude là-bas par Ali et signifiait ce que l'on espérait être la fin 
	de l'idolâtrie en Arabie. Les pseudo-Musulmans païens ont cependant veillé à 
	ce que l'idolâtrie ne soit pas supprimée.
	 
	Wikipedia explique aussi le texte comme Suit :
	
	Sūrat al-Tawbah (en 
	Arabe 
	: سورة التوبة, 
	"Le repentir"), aussi 
	connu sous le nom de Al-Barā'ah ("La 
	Répudiation"),[1] est le neuvième chapitre du Qour’an. Il contient 129 
	versets et est l'un des derniers Chapitres de Médine. C'est la seule sourate du 
	Qour’an qui ne commence pas par le Basmala. Cette sourate a été révélée au moment de la Bataille 
	de Tabuk.
	Le verset 37 documente l'interdiction 
	du nasīʾ, le calcul de l’Intercalation pour le calendrier 
	lunaire par les prêtres de Banu 
	Kinanah, tribu de Quraysh. Cette interdiction a été répétée par Mouhammad au cours 
	du Sermon 
	d'adieu sur Le 
	Mont Arafat, qui a été donné lors du
	
	Pèlerinage d'adieu à Becca le 9 Dhu 
	Al-Hijjah 10 AH.
	D'après Zayd 
	ibn Thabit, quand le Qour’an a été compilé pour la première fois, il 
	a trouvé les derniers versets de cette sourate en la possession de Abu'l-Khuzayma 
	Al-Ansari et personne d'autre.
	[2][3] Dans un autre compte, Ubay 
	Ibn Ka'b a informé Zayd que le Prophète lui a enseigné la fin de 
	cette sourate, 
	et récité les mêmes versets.[4] Certains, comme Ibn 
	Hazm, ont suggéré qu'Abu Khuzayma était le seul à avoir les 
	derniers versets sous forme écrite, comme Zayd et d'autres les avaient 
	mémorisés.[4]
	 
	L'absence de la Bismillahi'r Rahim 
	(au nom d'Allah le Bienfaisant, le Miséricordieux) de ce texte est une 
	erreur ou est à cause du fait qu'“il contient les commandements sévères 
	contre les idolâtres” (aux vv. 1-12) (selon Pickthall et autres). Les 
	derniers textes de cette Sourate sont aussi des ajouts de mémoires de 
	quelques autres. Il s'agissait d'une faiblesse dans la compilation des 
	textes du Coran et il y avait des différences dans les autres textes. Les 
	textes Persan et Nord-Africain parmi les Berbères (en berbère) diffèrent 
	également, et un grand effort a été fait pour éradiquer tous les textes 
	autres que l'arabe qui se conformaient au texte plus commun pour revendiquer 
	une conformité. Cette pratique a toute l'intégrité académique des Luddites. 
	De même, l'Arabe original n'est pas entièrement compris par les Arabes 
	modernes et la plupart des Musulmans ne comprennent pas du tout la Bible sur 
	laquelle il est basé. L'Esprit Saint, qui est donné suite au baptême, est 
	essentiel pour comprendre non seulement les textes des Écritures mais aussi 
	ceux du Coran. C'est pourquoi les Trinitaires, les Dithéistes et les 
	Hadithiques etc. les Musulmans, ne peuvent pas et ne sont pas capables de 
	comprendre et de suivre correctement les textes. Le vrai repentir est exigé 
	en tant qu'adulte avant que le baptême soit conféré, ainsi que l'imposition 
	des mains pour recevoir l'Esprit Saint. Très peu de Musulmans sont baptisés 
	et il y a très peu, voire pas du tout d'officiers accrédités pour 
	administrer le baptême ; bien que le Coran exige le baptême. Voir les 
	documents 
	
	Le Coran à propos de la Bible, de la Loi et 
	de l'Alliance. (No. 083) et 
	
	
	Repentir et Baptême (No. 052). 
	 
	La bataille de Tabuk est, comme nous le 
	voyons des Sourates précédentes, synonyme de la bataille de Badr. Nous avons 
	vu à partir de la Sourate 8 les règlements émis pour le butin de guerre et 
	l'indemnisation des veuves et des orphelins au taux de 20% de ce qui est dû 
	aux pauvres, provenant de la Dîme de la Troisième Année qui est payée avec 
	la Première Dîme qui totalise 20% de la Première et la Deuxième Dîme et est 
	payée dans la Troisième Année du Cycle de Sept ans qui se termine dans 
	l'Année de Sabbat.  
	 
	En conséquence de ces règlements, les 
	Arabes paganisés ont détruit le Calendrier ainsi que la compréhension des 
	systèmes du Jubilé et ils ont délibérément fait des interprétations erronées 
	du Calendrier de l'église en Arabie avec la complicité des Juifs Rabbiniques 
	avec leur système Hillel, ainsi que des 49 ans pour le Jubilé (voir les 
	documents 
	
	
	Les Calendriers Hébreu et Islamique 
	Réconciliés  (No. 053), 
	
	Les Nouvelles Lunes (No. 125) et 
	
	
	Hillel, les Intercalations Babyloniennes et 
	le Calendrier du Temple (No. 195C)).
	 
	Les derniers versets de la Sourate 
	étaient des ajouts et non des originaux, et les textes des versets ou ayats 
	36 et 37 ont été produits à cause des intercalations utilisées par les Juifs 
	et les Arabes paganisés dans le but d’altérer les intercalations du 
	Calendrier du Temple du système original en fonction des Nouvelles Lunes qui 
	ont été déterminées selon leurs conjonctions en usage au cours de la période 
	du Temple, et dans l'église à partir de Christ et les Apôtres.
	 
	En 344 de notre ère, deux Rabbins Juifs 
	emportèrent les intercalations Babyloniennes de Babylone à Hillel II, à la 
	cour Juive, de Jamnia. Elles n'étaient pas en conformité avec les 
	conjonctions et avaient été calculées à partir du Septième siècle AEC, à 
	Babylone. Elles permirent au croissant de lune de fonctionner et donnèrent 
	aux Juifs la possibilité de modifier le calendrier et d’ajourner des mois. 
	Ils ont développé ce système et en 358 EC, le Grand Rabbin Hillel II a 
	publié un nouveau calendrier qui a permis la perversion des intercalations 
	et le placement de la Nouvelle Lune sur le croissant de lune du Dieu Lune 
	Sin qui était adoré en tant que Qamar en Arabie avec la déesse du Soleil 
	représentant l'épouse Sham, de la même manière que Baal et Easter ou 
	Ashtoreth [Astarté] étaient adorés dans le Levant mais avec Baal (Seigneur) 
	un dieu soleil représentant une divinité masculine.
	 
	Nous voyons ici que les versets 36 et 
	37 documentent “l'interdiction de nasīʾ, le calcul de l’Intercalation pour le calendrier 
	lunaire par les prêtres de Banu 
	Kinanah tribu des Quraysh. Cette interdiction a été répétée par Mouhammad au cours du 
	
	
	Sermon d'adieu sur Le 
	Mont Arafat, qui a été 
	donné lors
	
	du Pèlerinage 
	d'adieu à Becca le 9 Dhu 
	Al-Hijjah 10 AH.”
	 
	Nous voyons que ces deux versets 
	traitent en réalité de l’ajournement des mois Sacrés qui interdisent la 
	guerre, et se rapportent à la fausse utilisation des intercalations 
	babyloniennes par opposition au Calendrier original du Temple. Les 
	intercalations babyloniennes étaient de fausses intercalations qui se 
	produisent environ six fois dans les cycles de 19 ans, qui diffèrent du 
	Calendrier du Temple ainsi que du Calendrier de l'Église de Dieu. Il a été 
	présenté par le Hadith comme interdisant la réglementation appropriée du 
	prétendu Calendrier du Temple de “douze mois” (cf. 
	
	Le 
	Calendrier de Dieu (No. 156)). 
	
	 
	L'église n'a jamais accepté le 
	Calendrier Hillel et les intercalations babyloniennes. En effet, le système 
	Hillel n'a pas été publié avant 330 ans après que Christ ait instauré 
	l'église, laquelle a utilisé le Calendrier correct du Temple en l’an 358 EC. 
	Et personne, pas même les Trinitaires [qui sont apparus] plus tard à partir 
	de l’an 381-451 à Chalcédoine, n'avait accepté l'hérésie ultérieure, et ce 
	n'est que lorsque les faux prophètes des Églises de Dieu ont accepté Hillel 
	au XXe siècle que ce calendrier a été introduit dans les Églises 
	de Dieu, sauf pendant une courte période en Transylvanie par un petit groupe 
	de Judaïsants, comme le Rabbin Kohn, en 1894 à Budapest, en a fait mention 
	dans un livre. Nous avons fait d'autres commentaires aux versets 36-37 de la 
	Sourate.
	 
	Comme nous pouvons le voir, la tribu 
	Banu Khinanah des Quraysh a été chargée de faire les intercalations à Becca 
	pour les Arabes paganisés, lesquelles étaient basées sur celles qui avaient 
	également été adoptées par les Juifs sous Hillel environ deux siècles et 
	demi avant que le Prophète Arabe ne tente de corriger et d’éradiquer ce 
	culte du croissant de la lune provenant du paganisme.
	 
	Le calendrier basé sur le croissant de 
	lune et ses intercalations en provenance de Babylone se poursuivit jusqu'au 
	dernier sermon du Prophète et il réitéra les injonctions, mais les Arabes 
	paganisés pervertirent complètement les réformes en détruisant le système 
	complet des intercalations, dénaturant les ayats dans la Sourate 9 dans le 
	but d’empêcher le rétablissement du Calendrier du Temple, et aussi à la 
	demande des Juifs rabbiniques postérieurs qui ont endommagé depuis 250-300 
	ans plus tôt leur calendrier illicite et répréhensible de Hillel.
	 
	L'exemple le plus récent est qu'en 
	2016, les intercalations de Hillel ont été appliquées de sorte que les fêtes 
	se situaient dans les Deuxième, Quatrième et Huitième mois selon les 
	Conjonctions et Équinoxes réels et selon le Véritable Calendrier du Temple. 
	Au lieu 
	d'observer correctement le calendrier dans les Premier, Deuxième, Troisième 
	et Septième mois Sacrés, ils ont été plutôt observés dans les Deuxième, 
	Troisième, Quatrième et Huitième mois de l'année et ce, contrairement à la 
	Loi de Dieu. 
	 
	Le fait est que depuis que les 
	intercalations ont été interrompues par les Arabes paganisés sous le Hadith, 
	l'Islam a rarement observé les Mois Sacrés dans les bons mois et n'a jamais 
	observé le Calendrier de Dieu, ni les Sabbats, Nouvelles Lunes et Fêtes. De 
	la même manière, les Églises de Dieu qui suivent Armstrong de l’ère de 
	Sardes ont rarement et ce, seulement par accident, célébré les fêtes les 
	bons jours, et elles n'ont jamais observé correctement les Nouvelles Lunes 
	et Sabbats, tout en encourageant le commerce au Sabbat contrairement à Amos 
	8:5, et n'observant jamais les Nouvelles Lunes sauf par pur hasard. Les 
	Trinitaires n'ont jamais observé les Lois de Dieu.
	 
	Ils ne seront amenés au repentir que 
	lorsque les Témoins viendront et commenceront à s'occuper des fausses 
	religions du monde et surtout de l'Islam Hadithique, des Trinitaires et des 
	Juifs observateurs du Calendrier Hillel et les Églises de Dieu (voir le 
	document 
	
	
	Les Témoins (incluant les Deux Témoins) (No. 
	135)).  Beaucoup mourront ou souffriront de grandes 
	agonies à cause des fléaux de l'Égypte qui leur seront infligés. S'ils ne se 
	sont pas repentis d’ici l'arrivée du Messie, ils seront exclus de la 
	Première Résurrection et le Messie tuera tous ceux qui ne se repentent pas.
	 
	Le fait que le Hadith a permis aux 
	païens de détruire l'Islam ainsi que le calendrier fonctionnel de l'église 
	Arabe, et a empêché l'observation du Calendrier du Temple ainsi que des 
	véritables Fêtes était et est considéré comme un bonus tant par les païens 
	Arabes du Hadith que par les Juifs de Hillel. Pour ce fait, ils mourront.
	 
	Le Calendrier originel du Temple est 
	historiquement vérifiable et est observé par les Églises de Dieu depuis 
	Christ et les Apôtres, à l'exception de certains systèmes de Sardes et de 
	Laodicée, surtout aux XXe et XXIe siècles (voir 
	
	
	Le Calendrier de Dieu (No. 156)). Pour ce péché et cette hérésie, ils seront exclus de la 
	Première Résurrection comme le sera l'Islam Hadithique (voir l'étude 
	
	
	Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).
	 
	Les Élus de la Première Résurrection 
	seront les 144000 Élus dirigeants et prophètes, et la Grande Multitude, 
	quelques Musulmans sous les Califes Correctement Guidés et très peu sinon 
	aucun dans les systèmes Trinitaires. Ils sont ceux qui ont été baptisés et 
	qui observent les Lois de Dieu, y compris les Sabbats, les Nouvelles Lunes 
	et les Fêtes ; les deux sacrements de l'église étant le Baptême des Adultes 
	et le Dîner du Seigneur. Peu nombreux sont ceux qui y parviendront et ce, 
	seulement ceux des Cinq ères choisies des Églises de Dieu en tant 
	qu’Églises. Sardes et Laodicée des 19e, 20e et 21e 
	siècles sont exclues à l'exception de quelques fidèles. 
	
	 
	Sourate 49 (9 AH) les Appartements
	
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 49 (No. 
	Q049)
	Al-Hujarat tire son nom du verset 4 qui 
	signifie le 
	“logement” 
	ou les 
	“appartements 
	privés” 
	et est compris 
	comme se référant aux nombreux représentants qui sont venus à Médine pour 
	consulter le Prophète et lui faire allégeance (et peut-être moins à la foi 
	et à l'église qui y est centrée). C'était la Neuvième année de l’Hégire et 
	il est dit qu'elle concerne la conduite des représentants et en particulier 
	une dont le déroulement était anarchique. Beaucoup de représentants venant 
	pour professer allégeance au Prophète le faisaient pour de mauvaises raisons 
	et indiquaient la spirale descendante de l’Église et de ses doctrines 
	là-bas, sa militarisation croissante, qui aboutirait finalement à la 
	dégénérescence dans le hadith et les fausses doctrines émanant du culte de 
	Baal en tant que Hubal ou 
	“Le Seigneur” à Becca et dans tout le Moyen Orient.
	 
	Elle est datée de la Neuvième année de 
	l’Hégire ou 630/1 EC.
	 
	Sourate 110 (10 AH) Le Secours 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 110 (No. 
	Q110)
	An-Nasr est l'une des toutes dernières Sourates révélées au Prophète deux semaines 
	seulement avant sa mort. Elle fait référence aux derniers jours et au 
	triomphe sous le Messie quand tous sont convertis.
	 
	On ne sait pas quand les Sourates 007 
	et 066 ont été données AH. 
	 
	Les hauteurs 
	
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 7 (No. 
	Q007)
	La Sourate 7 tire son nom de mots 
	utilisés au verset 46 
	“Et sur les Hauteurs se trouvent des hommes qui les connaissent tous par 
	leurs marques. ” Ce texte est souvent utilisé pour qualifier la Sourate de 
	“Purgatoire” (e.g. Rashad Khalifa) en référence au 
	thème général de ceux qui s’opposent à la volonté de Dieu depuis Satan 
	jusqu’à travers les âges et selon la Guidance Divine. Ils sont ainsi retirés 
	de la Première Résurrection et envoyés à la Deuxième Résurrection qui les 
	oblige à attendre encore mille ans, et qui se produira après le Millénaire. 
	D'où l'introduction du concept Trinitaire pseudo-Chrétien du Purgatoire, qui 
	consiste à être en position d'attente pour le jugement.
	 
	Pickthall considère que les plus 
	éminentes autorités attribuent toutes le texte à la même période que la 
	Sourate 6, celle de la dernière année du Prophète à Becca ; bien qu'il dise 
	que certains considèrent que les versets 163-167 ont pu être révélés à 
	Al-Médine.
	 
	Sourate 66 L'Interdiction 
	
	Commentaire sur le Coran : Sourate 66 (No. 
	Q066)
	Il y a trois points de vue ou 
	traditions quant à l'origine de cette Sourate à partir des versets 1-4.
	
	 
	At-Tahrim tire son nom 
	“Proscription”
	
	ou 
	“'Interdiction ” 
	d'un mot du verset 1.
	 
	Les traditions Hadithiques attribuent 
	trois origines à la Sourate, dont une seule pourrait être vraie, et très 
	probablement aucune n'est vraie.
	 
	Un aspect important de la traduction 
	et du texte est que, selon Pickthall, toutes les épouses du Prophète étaient 
	des veuves sauf Ayeshah [Aïcha], et elle, comme elles l’étaient toutes, a 
	été imposée au Prophète par nécessité en tant que veuves ou avec Ayeshah 
	comme légataire d'Abu Bakr qui lui avait de toute manière survécu.
	 
	Il est noté par les érudits, tel que 
	rapporté par Pickthall, comme n'ayant eu qu'un seul fils qui s'appelait 
	Ibrahim et par conséquent il n'était pas le père d'un fils nommé Qasim qui 
	était son vrai nom. Abou Qasim est donc le nom improprement utilisé du Père 
	Qasim et non le Père de Qasim.
	 
	Les traditions sont documentées et 
	rapportées par Pickthall comme suit :
	1. Le Prophète était friand de miel. 
	L'une de ses épouses a été persuadée de rester avec lui plus longtemps que 
	d'habitude. Aïcha avait conscience que le prophète avait horreur des odeurs 
	désagréables et, avec deux autres femmes, se bouchèrent les narines et 
	l'accusèrent de manger le produit d’un arbre sentant mauvais : le
	Maghafir. Le prophète aurait dit 
	qu'il n'avait mangé que du miel et les femmes auraient alors dit que les 
	abeilles avaient donc été nourries au Maghafir. Le Prophète a alors 
	prétendument juré de ne plus manger de miel.
	 
	2.  Hafsah aurait trouvé le 
	Prophète dans sa chambre avec Marya, la jeune fille copte donnée au Prophète 
	par le souverain de l`Égypte. Marya devint la mère du seul enfant mâle du 
	Prophète nommé Ibrahim. Le Prophète s'est remarié à ce moment-là. Ce 
	manquement s'est produit un jour supposément attribué à Aïcha selon l’usage. 
	Cela ne peut pas avoir été plus tôt que quelques années avant la mort du 
	Prophète quand elle avait 18 ans. Apparemment le Prophète, ému par le vœu de 
	détresse de Hafsah de refouler Marya, lui aurait demandé de ne pas le dire à 
	Aïcha qui se serait rapidement vantée de la facilité avec laquelle elle 
	s'était débarrassée de Marya.
	 
	3. Avant Al-Islam, il était allégué 
	que les femmes n'avaient aucun droit en Arabie (paganisée), (ce qui n'était 
	pas vrai) car l'Église de Dieu accordait des droits Bibliques aux femmes et 
	les Juifs en accordaient aussi par la Loi Biblique. Le Coran accordait aux 
	femmes des droits conformément à la loi biblique que les traditions du 
	Hadith prétendent avoir tendance à exagérer. Omar est mentionné comme ayant 
	fait des reproches à Hafsah, sa femme, au sujet de sa présomption quand 
	celle-ci a dit que sa propre fille Hafsah, la femme du Prophète, était 
	coupable de ce comportement présomptueux.
	 
	Le but de ces trois traditions était 
	d'affirmer la polygamie au Prophète.
	 
	Pickthall considère que la deuxième 
	tradition est la plus probable et la plus favorisée par les commentateurs du 
	texte, mais admet que les première et troisième traditions sont les mieux 
	légitimées et favorisées par plusieurs des grands traditionalistes.
	 
	Le texte Biblique du NT ne permet 
	qu'une seule épouse à un ancien de l'Église de Dieu. Les aspects de la 
	Polygamie sont examinés dans le document 
	
	
	La Polygamie dans la Bible et le Coran (No. 
	293).  
	 
	La position du Prophète en tant que 
	dirigeant de l'Église et de l'État le rendait responsable des veuves et des 
	légataires. Il n’y a aucun enfant enregistré comme étant né du Prophète par 
	Ayesha. Et Marya est la mère présumée d'Ibrahim, le seul enfant mâle du 
	Prophète. Il a été fidèle à sa première femme jusqu'à sa mort. L'obligation 
	incombe à ceux qui affirment avoir des enfants avec de multiples épouses, 
	d'identifier les épouses et les noms des enfants. La polygamie n'est pas 
	permise aux anciens des Églises de Dieu. Le remariage en cas de décès ou de 
	divorce est permis.
	 
	Ali était le neveu du Prophète et il 
	a endossé la responsabilité de la conduite de la foi avec Hussein après les 
	Quatre Califes Correctement Guidés. Aucun enfant n'a été signalé comme étant 
	impliqué.
	 
	Ainsi, l'ordre chronologique, quand 
	celui-ci est couplé aux Écritures, donne une origine claire et certaine du 
	Coran, et ainsi rend évident, pour le lecteur, un cheminement éducatif.
	 
	Les Sourates remises dans l'ordre 
	Chronologique n'ont pas été énumérées mais plutôt données par le Prophète 
	sous forme poétique Arabe et apprises et consignées à des fins spécifiques. 
	Comme l'a été, par exemple, la Sourate 19 lorsqu'elle a été emportée en 
	Abyssinie pour prouver le Christianisme Sabbatarien de l'église à Becca aux 
	Églises Unitariennes Sabbatariennes là-bas en Abyssinie. C'est pour cette 
	raison que les gens de Becca idolâtres soutenaient que les réfugiés de 
	l'église n'étaient pas de vrais chrétiens parce qu'ils n'étaient pas 
	Trinitaires, un argument que le Négus 
	a rejeté. Ils avaient soutenu que les 
	réfugiés devaient être renvoyés à Becca, lieu où ils seraient davantage 
	persécutés. 
	 
	La liste des Sourates par ordre numérique :
	Elle a été faite en partie pour faire 
	du Coran une parabole. Et il est fort probable qu'elle ait été placée dans 
	cet ordre pour deux raisons. Cela a commencé par la prière qui a été un 
	ajout ultérieur. La Sourate 2 "La Génisse" a été écrite comme la plus longue 
	Sourate parce qu'elle explique la position de Jésus-Christ en tant que 
	Souverain Sacrificateur du Temple de Dieu et les élus en tant que Temple et 
	un Royaume de Sacrificateurs [Prêtres] selon l’ordre de Melchisédek tel 
	qu’expliqué dans 
	
	
	Le 
	Commentaire sur Hébreux (F058). Le Temple était totalement sanctifié par la génisse adamique ou rougeâtre 
	qui pointait vers Christ dans la sanctification du Temple de Dieu. Elle est 
	devenue la génisse dorée se référant à la justification des élus et à leur 
	glorification telle que vue sur le visage de Moïse au Sinaï quand il parlait 
	avec Christ. Cela décrivait le plan du salut.
	 
	La Sourate 3 explique l'établissement 
	du Sacerdoce avec Moïse en Israël et la loi, puis enchaîne avec les 
	Prophètes et le Messie par sa naissance de la Vierge et l'établissement de 
	l'église. Ce sont les deux documents clés avec la Quatrième et la Cinquième 
	[Sourate] expliquant la place des femmes dans la foi, qui était le plus 
	grand péché des Arabes. Le texte se poursuit ensuite en établissant le Dîner 
	du Seigneur en tant que Deuxième Sacrement de la Foi. La Sourate 6 concerne 
	les brebis du Peuple de Dieu.
	 
	Chacune des Sourates explique comment 
	les Résurrections sont critiques pour le Jugement et la survie dans les 
	Première et Deuxième Résurrections et dans le Jugement. C'est le thème le 
	plus important du Coran. Cela est renforcé encore et encore par le fait que 
	les Jardins du Paradis, qui étaient un ancien terme pour le système d'Éden, 
	sont restaurés pour la Première Résurrection et le règne de mille ans sous 
	le Messie ; et ensuite le Deuxième Jardin du Paradis dans la Deuxième 
	Résurrection. Si le repentir ne se manifeste pas, ceux qui ne se repentent 
	pas sont autorisés à mourir et sont jetés dans le Lac de Feu et leurs corps 
	[morts] brûlés et on ne se rappellera plus d'eux à jamais. 
	
	 
	Beaucoup d'érudits Islamiques n'ont pas 
	compris les Écritures, et l'un d'entre eux a fixé l'intervalle de temps à 
	cinq cents ans, et plusieurs autres n'avaient aucune idée de la durée, 
	tandis que la Bible est spécifique.
	 
	À la mort du Prophète, la séquence 
	numérique du Coran a été organisée de telle sorte que la structure 
	théologique était détaillée, mais les idolâtres ont utilisé le Hadith pour 
	détruire toute compréhension de la foi. Ils sont maintenant comme des ânes 
	chargés de livres d'or, ne comprenant rien. 
	
	 
	Dans tout le Qour'an ou Coran, on se 
	réfère à des milliers d'Écritures, et un grand nombre d'entre elles sont 
	citées à de nombreuses reprises. Nous les énumérons toutes dans les textes 
	et aussi dans l'Index des Écritures au QC ci-dessous.
	
	
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