Christian Churches of God
[QSD]
Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran
(Édition 1.0
20180611-20180611)
Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an
ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des
adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la
Ka'bah.
Christian Churches of God
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(Copyright
ã
2018 Wade Cox)
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Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran
[QSD]
Section 5
Cette section traite des Sourates révélées après la fuite ou Hégire à Médine
(Al-Madinah) en l’an 622. Ces textes traitent de l'approfondissement des
textes bibliques et de la place de Christ dans la Révélation.
622
L’Hégire
Le message adressé aux gens de Becca est tombé dans les oreilles sourdes,
et les convertis de l'église ont été persécutés et cette persécution a
empiré jusqu'à ce qu'ils aient dû fuir à Médine en 622 de notre ère. De
Médine, l'église a été forcée de recourir aux armes et leur succès dans la
bataille a forcé la reddition des gens de Becca et des groupes tribaux
environnants et l'Islam a commencé à consolider sa théologie et ses
explications sur la foi. Cependant, cela a également rempli l'église de faux
convertis des systèmes idolâtres païens pour des raisons de conquête.
La structure biblique du traitement des femmes a commencé à se développer
sur le modèle de la Loi Biblique. Après être allée à Médine, l'Église s'est
également occupée des Juifs et de leurs traditions et lois de la Kashrut et
du Calendrier Hillel, car l'Église sous le Prophète ne suivait pas Hillel,
et lui et l'Église célébraient le Jour des Expiations un autre jour que les
Juifs et Hillel. Ces questions sont également traitées dans les documents
sur le Coran et
Le Sabbat dans le Qour’an (No. 274) et le document
Les Calendriers Hébreu et Islamique Réconciliés (No.
053).
La sourate 003 traite des Lois de l'Alimentation et précise que tant les
Juifs, les Chrétiens que l'Islam doivent observer les lois de l’alimentation
correctes établies dans les Écritures (Sourate 3:93, cf. Lévitique 11 et
Deutéronome 14). L'église a également lié le Sabbat à l'Alliance de Dieu à
la Sourate 4:154, et il n'y a jamais eu aucune suggestion que la charia ait
été envisagée ; elle n'a pas existé dans sa version actuelle à l'époque ;
elle a été développée après la mort du Prophète, en se nourrissant des
traditions païennes existantes bien avant le Prophète. Seules les Lois de
Dieu telles qu'elles furent délivrées au Sinaï (Sourate 95) devraient être
observées. Leur compréhension de l'Alliance de Dieu a été telle qu'expliquée
dans les documents
Le Coran à propos de la Bible, de la Loi et de
l'Alliance (No. 083) ;
L'Alliance de Dieu (No. 152).
Révélées à Al-Médine
Sourates 47 (1-2 AH), 98 (1 AH?), 002 (1-2 AH),
008 (2AH), 003 (3-4 AH), 62 (2-4 AH),
004 (4AH), 59 (4AH), 63 (4 AH), 58 (4-5 AH), 65 (5-6
AH),
024 (5-6 AH),
33 (5-7 AH),
005 (5-10 AH), 48 (6 AH), 61 (6AH),
60 (8 AH)
57 (8-9 AH)
009 (9 AH)
49 (9 AH)
110 (10 AH)
Il n'est pas connu avec certitude le moment où les Sourates 007 et 66 ont
été données AH.
Les révélations après l’Hégire à Médine sont souvent des traités
théologiques complets, et la plus longue et la plus impliquée est la Sourate
2 qui est précédée de la Sourate 1, La prière d'ouverture, dont la date est
inconnue.
Sourate 47 (1-2 AH)
Mouhammad
Commentaire sur le Coran : Sourate 47 (No. Q047)
La Sourate tirerait son nom de l'utilisation du terme
Mouhammad au verset 2, qui est
alors affirmé comme étant le nom du prophète Qasim. Il s'agit en fait d'une
référence à l'autorité du Concile de l'Église dans l'Apocalypse de Dieu, et
au nom et au sceau des 144000 membres de l'Église en tant que les prophètes
de Dieu (voir
Introduction au Commentaire sur le Coran (Q001)).
La Sourate est considérée comme ayant été révélée dans la période qui a
suivi l’Hégire, et le verset 18 se réfère à la période pendant laquelle le
Prophète a regardé en arrière vers Becca dans sa fuite. Cependant, “l’Heure”
à laquelle il se réfère, est l'Heure de la destruction des Derniers Jours
sous le Messie. Les traditions Hadithiques cherchent à faire la distinction
entre le Coran et les Écritures dans les références prophétiques.
Sourate 98 (1 AH?) La Preuve
Commentaire sur le Coran : Sourate 98 (No. Q098)
Al-Beyyinah
tire son nom d'un
mot du premier verset. Il n'y a aucune certitude quant à la date de la
révélation. Beaucoup la considèrent comme une Sourate de la Dernière période
de Becca. Le Mushaf l'attribue à 1 AH comme date probable de la révélation,
et Pickthall est du même avis, comme il l’a fait tout au long de sa
traduction.
Le texte se réfère à ceux qui sont égarés et incrédules parmi
“les gens des Écritures”
et aussi les idolâtres. Ils n'auraient pu faire autrement qu'errer jusqu'à
ce qu'on leur donne des preuves claires.
La période de rééducation déterminera les fidèles à partir des erreurs au
cours du Jugement.
Sourate 002 (1-2 AH) La Vache
Commentaire sur le Coran : Sourate 1 et 2 (No. Q002)
C'est la plus longue et la plus étendue des Sourates, et est basée sur la
place du Messie et le commencement de la purification de l'église en tant
que la génisse rousse selon les lois données par Christ en tant que l'Ange
de la Présence à Moïse.
Rappelez-vous que la génisse rousse a été utilisée pour commencer le
processus de sanctification du Temple de Dieu.
Nous avons examiné la Sourate section par section, puis nous avons dégagé
les significations de chaque section.
Le Qour’an est un condensé des enseignements de l'église arabe et des
rappels de l'identité spirituelle de ceux qui suivent ce livre. Nous avons
comparé Paul et ses lettres et épîtres au Coran et à ses Sourates, et nous
avons fait de même pour l’église CCG et ses documents d'étude. Toutes ces
œuvres ont été et sont encore enseignées à l'église après la mort et la
résurrection du Christ ; toutes se conforment à la loi et au témoignage.
Pris comme un livre isolé ne dépendant d'aucune parole de Dieu antérieure,
il est comparable aux œuvres de Paul et il peut être et a été déformé en
significations qu'il n'était pas destiné à transmettre. La Bible doit être
comprise afin de comprendre le Qour’an correctement.
Le nom de cette Sourate, la Vache, se rapporte à la génisse rousse
physique et à sa fonction dans le processus de sanctification. Cette Sourate
explique aux élus ce qu'ils doivent faire pour être saints et être
présentables à Dieu. La génisse rousse est en fait la génisse rougeâtre
d'après le mot dérivé d’adam qui signifie le rougeâtre. La Sourate
fait ici référence à la “génisse d'or” provenant du visage rayonnant du
Christ, qui se reflétait dans le visage de Moïse qui brillait quand il fut
vu par Israël au Sinaï. Elle reflète la glorification spirituelle des élus.
La Sourate 2 pose les fondements des croyances de l'église arabe, et
donne la compréhension de base de l'identité d'un Chrétien. Ce chapitre
parle des exigences de la vie éternelle, du baptême et de l'observance des
commandements et rappelle aux gens de bien observer les lois de
l'alimentation. Il parle à ceux de l'alliance qui sont tombés dans l'erreur
et leur dit ce qu'ils doivent faire pour corriger leurs péchés. Il parle des
péchés de l'Israël physique et spirituel comme un avertissement à ceux qui
sont enseignés dans la Sourate 2. Il est intéressant de noter qu'aux ayats
189 à 190 il nous est parlé de la Nouvelle Lune et que nous devons entrer
dans les maisons (d’adoration) en toute franchise et sans avoir honte de ce
Sabbat.
C'est la Loi de Dieu que les Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Fêtes
doivent être observés continuellement (cf. aussi 1Cor. 3:16).
La Sourate 2 renforce également que les Lois de Dieu délivrées par Moïse
et le témoignage du Christ, qui révèle ce que nous devons faire pour
recevoir la vie éternelle, doivent être suivis, selon l'ayat 87.
Sans aucun doute, l'église arabe a eu des difficultés avec le concept de
Dieu ayant des fils. Il semble que ceux à qui l'on enseignait aient été
charnels, et ne comprenaient pas qu'un fils pouvait venir à l’existence
autrement que par des rapports sexuels. L'explication dans les ayats 105 à
117 contre la Trinité explique que Jésus n'était pas le produit d'un rapport
sexuel mais que Dieu l'a créé par Sa seule puissance, par décret divin.
Le prologue de cette Sourate s'adresse au peuple prédestiné (al
muttaqeen, voir verset 2) de Dieu, les élus, qui suivent “La Voie” (hudan
voir verset 2 cf. Jean 14:5 ; Actes 9:2) ou la “Foi Livrée aux Saints Une
Fois Pour Toutes”.
Première Section
: versets 2 à 27.
Il est important de comprendre et de toujours garder à l'esprit qu'à la
Pentecôte de l'an 30 de notre ère, il y a eu des Juifs, ou ceux d'Israël de
la diaspora, ou des fidèles de Dieu venus à Jérusalem, pour célébrer cette
fête (voir Actes chapitre 2, surtout au verset 14), et ayant été convaincus
par l’exposé de la Voie, l’Évangile du Royaume de Dieu, par les apôtres, il
est écrit que 3000 furent baptisés (cf. Actes 2:37-41). Alors ces Arabes
(voir Actes 2:11) sont retournés chez eux. Par conséquent, le fait
historique est que l'Église de Dieu était déjà dans les secteurs de l'Arabie
bien avant la destruction du Temple en l'an 70 de notre ère et plusieurs
siècles avant la naissance du Prophète Qasim. Nous devons le comprendre très
clairement en tant que règle primaire dans le traitement des textes. Les
érudits arabes malhonnêtes ont inventé le mensonge selon lequel les
Écritures ont été perdues pour arrêter cette référence aux Écritures et
détacher le Hadith et les enseignements ultérieurs des Écritures et ensuite
de s'en inspirer pour inventer de faux enseignements.
C'est un fait que les textes enseignent que les Écritures sont inspirées
de Dieu et sont infaillibles et que les Écritures ne peuvent être anéanties
comme Christ lui-même l'a dit en citant la loi de Dieu (Jean 10:34-36).
Le concept de l'universalité de Dieu en tant que partie intégrante de
l'Écriture est expliqué dans le texte suivant
Le
Cantique de Moïse dans Exode 15 (No. 179), en ce qu'il peut être dérivé du Cantique
de Moïse dans la Torah à l'Exode, et ne peut être perdu ou annulé car agir
ainsi est un blasphème et met en cause la Nature et l'Omnipotence de Dieu.
Cette hérésie est répandue dans l'Islam Hadithique et ses défenseurs sont
des apostats et mourront s'ils ne se repentent pas.
Comme nous l'avons expliqué, l'Écriture est le seul vrai texte sacerdotal
à part la prière spontanée, le témoignage et l'exhortation. Non seulement
les Psaumes, mais aussi d'autres parties de l'Écriture, comme le livre de
l'Apocalypse, sont clairement écrits avec l'intention d'être récités et
entendus sous forme d’adoration.
Si l'Écriture est la Révélation de Dieu, on peut alors soutenir que
remplacer le livre des Psaumes par un livre de cantiques revient à remplacer
le Dieu des Écritures par une idole. Cependant, la transcription est
destinée à être chantée (voir Recueil de Cantiques de CCG).
Dieu devient [le] salut. Il s'agit d'un processus en quatre étapes. Il
commence par la reconnaissance de Dieu en tant que force dont l'homme est
totalement dépendant et dans laquelle il entretient la relation la plus
étroite possible avec Dieu. La deuxième étape est la réalisation que
l'Écriture est Dieu dans la mesure où les humains peuvent expérimenter Dieu
tel que révélé par l'Esprit Saint. La troisième étape est le salut par
l'habitation de l'Esprit Saint, comme Dieu avec nous. La quatrième étape
définit le salut : Il est mon Dieu.
L'état de salut est alors décrit. C'est de construire une demeure pour
Dieu, c'est-à-dire de chanter les Psaumes de délivrance, les louanges
d'Israël qui sont Sa demeure. Dieu a choisi d'habiter dans les élus en tant
qu'Israël. Ils deviennent ainsi le Temple de Dieu. La récitation de la
musique inspirée de la Bible par l'Esprit Saint, dans le culte est de
construire efficacement le Temple de Dieu. Les temples humains sont liés par
le lieu, et sont donc capables de monopole et éventuellement de corruption
et de manipulation. Le Temple de Dieu est fait de fils de Dieu engendrés par
l’Esprit qui adorent aux Sabbats ; ce temple démocratique, fugace et
insaisissable qui vient aussi bien vers le haut que vers le bas par
l’habitation de l'Esprit Saint, et qui contient également la présence de
Celui qui est invisible. Enfin, le Temple de Dieu est fait de la récitation
de l'Écriture, des louanges d'Israël, encore une fois potentiellement
disponibles pour tous ceux qui ont une voix, un œil, une oreille ou un
esprit. Je l'exalterai est un parallèle, une répétition de la pensée que je
vais Lui construire une demeure.
L'apôtre Paul a peut-être atteint le sommet contemplatif de
l'inimaginable vérité contenue dans ces expressions quand il a déclaré que
les corps des élus en Christ sont le Temple de Dieu. L'apôtre Pierre est
allé directement au cœur de la vérité en disant : “lesquelles nous assurent
de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par
elles vous deveniez participants de la nature divine” (2Pierre 1:4).
Exode 15:3 L’Éternel est un vaillant
guerrier l’Éternel est son nom.
L'hébreu utilise en fait le mot iish ou homme en
référence au SEIGNEUR. Ce serait interpréter les Écritures de façon
contraire à elles-mêmes que d'attribuer l'humanité à Dieu de quelque façon
que ce soit. Nombres 23:19 dit clairement : Loo iish Eel, Dieu n'est
pas un homme. L'expression pourrait être une référence elliptique à l'ange
du SEIGNEUR, mais le contexte semble clair que le verset parle de Dieu
Lui-même. En Hébreu, il n'est pas permis de séparer les deux mots d'une
construction expressive, et ceci en est un exemple. L’analyse doit se faire
sur la phrase entière iish milhaamaa,
homme de guerre. En tant que tel, l'expression ne tient pas compte de
l'humanité ou de son manque d'humanité. Il met l'accent sur la fonction
militaire. Dans ce cas, la fonction militaire est celle du salut.
L'expression a la portée que Dieu sauve.
La dernière moitié du verset révèle le
nom de Dieu. Connaître le nom ou la réputation d'une personne (en Hébreu, le
mot couvre les deux sens), donne accès à ce que cette personne peut faire en
faveur de quelqu'un. L'humanité a besoin d'être délivrée à l'occasion, et le
fait de connaître le Nom de Dieu, c'est savoir vers qui se tourner, en ayant
la possibilité de se tourner vers Lui.
Exode 15:4-10 tel qu’expliqué, instille
donc Dieu dans la parole de Dieu en tant qu’une partie inviolée de la nature
de Dieu et c'est pourquoi ces gens qui ignorent ou qui forgent ou qui
traduisent mal les Écritures, meurent spirituellement et sont envoyés à la
Deuxième Résurrection.
La présence des Écritures et des
enseignements Unitariens de l'Église en Arabie remontent également à des
siècles avant Arius dans leurs doctrines. La Pentecôte de l’an 30 EC (Ère
Courante) est alors l'histoire de la naissance de l'Islam Originel.
Dans la Sourate 2, il est fait mention
d'une Mosquée Sacrée. Nous devons considérer que c'est le Mont du Temple. La
Ka'aba était un sanctuaire païen à l'époque du prophète au VIIe
siècle et plus de 360 idoles ont été enlevées de la Ka'aba au VIIe siècle.
Le mot utilisé pour la place de la
Mosquée ou du sacrifice est juste un résumé ou un concept de tous les
sacrifices dans le livre de Lévitique. L'animal pour les sacrifices décrits
dans les Écritures doit être parfait, etc. Cela parle du Plan du Salut. La
Génisse (signifiant vache) a été utilisée pour le sacrifice et se réfère
spirituellement à la sanctification du Temple de Dieu, fonction qui a été
accomplie par le Messie.
La plus grande partie de la Sourate 2
parle d'exemples d'échec à obéir à Dieu et du fait que nous devons nous
repentir de nos péchés pour retourner ou revenir à Dieu. L'intention de
cette sourate est interreliée ; ainsi il est difficile de trouver un seul
ayat qui puisse être présenté et qui puisse avoir toute la compréhension
transmise. Ainsi, cette Sourate doit être lue dans son intégralité et on
doit prier pour sa compréhension. Cette Sourate traite de ceux qui
enfreignent les Lois de Dieu et leur indique ce qu'ils doivent faire pour
revenir à Son alliance. Nous voyons aussi que ceux qui entrent dans
l’alliance ont promis à Dieu de se soumettre à Lui. La différence majeure
entre les Chrétiens et l'Islam est Jésus et ses rôles de témoin, de
médiateur de l'Alliance, de sacrifice unique et parfait, de premier fils
engendré de Dieu dans la création spirituelle et de premier ressuscité
d'entre les morts. Les soi-disant Chrétiens sont eux-mêmes divisés en
éléments de distinction : le Christianisme Trinitaire et le Christianisme
Binitaire ou Dithéiste, dont la plupart sont des adeptes du culte du
dimanche et des cultes du mystère de Baal, et ceux des Sabbatariens qui ont
été Unitariens depuis deux millénaires, et les Binitaires/Trinitaires qui
ont corrompu le système Sabbatarien au cours des deux derniers siècles.
Dans l’ensemble, Q2.1-27 semble être
une récapitulation du chapitre 1 de Romains à l'église arabe.
Alif lam mim. sont des signes répandus dans les écrits rabbiniques, et transmettent la
signification du Salut de Dieu ou du Dieu des délivrances.
Cela peut être trouvé dans le Psaume
68:21 Notre Dieu est un Dieu qui sauve ; de [ADONAI Adonaï] vient la
délivrance de la mort. (Traduction libre de la Bible CBJ)
L'origine du Bismillah peut être
facilement trouvée parmi les Perses dont les livres sacrés commencent avec :
Au nom de Dieu, juste et Miséricordieux. Les Juifs disent :
Au nom de Dieu ou au nom du grand Dieu.
Il y a des textes bibliques qui
renforcent cette section et pour cette raison, elle fait office de portail
du Coran, car elle identifie les élus et les serviteurs des démons et montre
comment ces gens ne sont tout simplement pas autorisés à comprendre. Cet
aspect est visible chez ces pseudo-Musulmans qui tentent d'empêcher une
analyse correcte du Coran ou Qour’an.
Sourate 008 (2AH) Le Butin de Guerre
Commentaire sur le Coran : Sourate 8 (No.
Q008)
La Sourate 8 tire son nom de la phrase
d'ouverture, déclarant que ‘tous les biens du monde appartiennent à Allah’
et qu’en tant que tels, ils doivent être traités comme la propriété de Dieu
et doivent donc être soumis à la
dîme comme tous les autres biens selon les Lois Bibliques de la Dîme, comme
Abraham l’a fait à Melchisédek, prêtre du Dieu Très-Haut à Jérusalem (Voir
l'étude
Le Prélèvement de la Dîme (No. 161)). En conséquence de cette activité, tout le peuple arabe
est soumis à la dîme au Messie en tant que Souverain Sacrificateur de
l’ordre de Melchisédek, étant dans les reins d'Abraham, y compris Lévi et
l'ensemble du sacerdoce israélite, ainsi que ceux de l'Islam. Ceux-ci
incluent aussi tous les fils de Sem, qui était prêtre de Dieu en tant que
Melchisédek. Ainsi aussi les païens qui se sont convertis sont requis de
faire la dîme. Dès le retour du Messie, le monde entier sera soumis au
sacerdoce (voir
Melchisédek (No. 128) et
Commentaire sur Hébreux (F058)).
Le partage du butin entre les
participants a eu lieu un mois après la Bataille de Badr, dans la Deuxième
Année de l’Hégire et onze mois avant la Bataille du Mont Uhud (cf. Sourate
3), où l'ennemi du paganisé Qureysh est venu contre les Musulmans avec une
force de 3000, et dans la Cinquième Année de l’Hégire, les clans alliés
païens sont venus contre eux avec une force de quelque 10 000 pour assiéger
Al-Médine dans la Guerre des Tranchées (dans la Sourate 33 : “Les Clans”).
Les versets qui clôturent la Sourate 8
sont datés ultérieurement et mènent au sujet de la Sourate 9 ; certaines
autorités soutiennent que les versets 30 à 40, ou certains d'entre eux, ont
été révélés à Becca juste avant l'Hégire. La distinction est faite en raison
de la division des gens qui sont des ennemis, lesquels peuvent être épargnés
par leur repentir en épargnant les élus de la foi.
La bataille mentionnée ici est à l'eau
de Badr à Tabuk dans l'année précédant la bataille du Mont Uhud référencée à
la Sourate 3. Une caravane de Becca sous les ordres d'Abou Sufyan de Quraych
revenait de Syrie et craignant une attaque d'Al-Médine, a dépêché un
chamelier à Becca pour demander une assistance urgente. La demande a dû
arriver trop tard car le Prophète, à la tête des Musulmans, est arrivé et a
annoncé la destination à l'avance, contrairement à la coutume.
Ibn Ishaq (apud Ibn Hisham) (cf.
Pickthall) considère que les Musulmans ont voulu ce conflit, puisque le
prophète a annoncé la destination avant le voyage, ce qui était contraire à
ses habitudes. Ils ont traversé la vallée pendant trois jours et l'armée des
Quraych de Becca a été envoyée (dans la région d'Al-Médine) pour punir les
Musulmans qui ont prétendument attaqué la caravane. La bande musulmane de
313 hommes mal équipés et mal armés, a engagé l'armée alors qu'elle se
dirigeait vers l'eau à Badr, contre la force Al-Médine.
Il pleuvait abondamment et les gens de
Becca avaient du mal à avancer dans la boue, mais les Musulmans avaient
moins de pluie et avançaient mieux, alors ils arrivèrent à l'eau de Badr et
la sécurisèrent. Au même moment, Abu Sufyan et la caravane se dirigeaient
également vers l'eau à Badr mais furent avertis à temps par ses éclaireurs
de l'avancée musulmane et retournèrent vers la plaine côtière.
En dépit de ce qui a dû sembler être
une évidence, le Prophète a autorisé les hommes de l'Ansar d'Al Médine à
partir, car leur serment d'allégeance ne comportait pas de vœu de se battre
dans le champ. Les Ansar furent simplement offensés par la suggestion qu'ils
quitteraient le Prophète dans de telles circonstances. En outre, plusieurs
membres du Qureysh, y compris tout le clan Zuhri, sont retournés à Becca
lorsqu'ils ont appris que la caravane était en sécurité, car ils croyaient
que le prophète et les Musulmans avaient été lésés à Becca.
Malgré cela, l'armée de la force du
Qureysh était deux fois plus nombreuse que les Musulmans et était beaucoup
mieux armée et équipée et ils s'attendaient à une victoire facile. Le
document allègue (cf. Pickthall) que le Prophète, lorsqu'il les a vus
affluer sur les collines de sable, a dit : “Ô Allah, voici Qureysh avec
toute leur chevalerie et leur pompe qui s'opposent à toi et renient ton
messager. Ô Allah ! Ton aide que tu m'as promise. Qu'Allah les fasse fléchir
aujourd'hui !”
Les Musulmans ont été victorieux dans
les combats singuliers avec lesquels les batailles arabes ont commencé, mais
ils ont été durement éprouvés dans la mêlée générale qui a suivi. Le
Prophète est rapporté comme s'étant tenu debout et ayant prié sous un linge.
“Ô Allah, si cette petite troupe est détruite, il n'y aura plus personne
dans le pays pour t'adorer !” Il tomba alors en transe et quand il reparla,
il dit à Abou Bakr, qui était avec lui, que l'aide promise était arrivée. Il
est alors sorti pour encourager les troupes. Il ramassa une poignée de
gravier et courut vers les forces de Qureysh (apparemment presque à
l'imitation de David) et cria : Les visages sont confus ! C'est à ce moment
que la situation s'est inversée en faveur des Musulmans. Le chef du Qureysh
et plusieurs de ses plus grands hommes ont été tués, beaucoup ont été faits
prisonniers et leurs bagages et chameaux ont été saisis par les Musulmans.
Ce fut un jour mémorable dans l'histoire des Musulmans et là, il est noté
(apud Pickthall et al) qu'il y a eu beaucoup de réjouissances à Al-Médine.
Cependant, nous voyons de cette Sourate
que les Musulmans sont avertis qu'il y aura des conflits beaucoup plus
importants à venir. Ainsi nous avons vu dans la Sourate 3 au Mont Uhud
l'année suivante avec 3000 ennemis et à la Bataille des tranchées, dans la
Sourate 33 avec 10000 à la "Bataille des Clans". C'est sans doute que les
avertissements ont été tirés de l'Esprit qui a inspiré la prophétie
d'Apocalypse chapitre 2 concernant l'ère Pergame, à l'attention du Concile
du Mouhammad de l'Église d'Arabie sous le Prophète. Christ a finalement ôté
leur pied de lampe et leur a apporté l'épée de guerre contre eux, et les a
détruits à plusieurs reprises à cause de leurs péchés et du paganisme. Le
Messie le fera maintenant dans les Derniers Jours pour purger et convertir
ces Pseudo-Musulmans paganisés. (Voir aussi les documents
La Distribution Générale des Églises
observant le Sabbat (No. 122)
;
Le Rôle du Quatrième Commandement dans
l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170) et
Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).
Sourate 003 (3-4 AH) Famille
d'Imran
Commentaire sur le Coran : Sourate 3 (No.
Q003)
La Sourate 3 tire son nom de l'Imram ou
Amram le père de Mariam, Moïse et Aaron (utilisé au verset 32), et se réfère
à tout le ministère sous la famille de Lévi. Il est un nom générique pour
tous les prophètes de la foi à partir de Moïse et Aaron, puis, à travers
tous les prophètes jusqu'à Jean le Baptiste et au Messie, les apôtres, et
les élus de l'Église de Dieu. La
foi se développe jusqu'au sacerdoce de Melchisédek avec Christ comme
Souverain Sacrificateur selon l'ordre de
Melchisédek (No. 128) et tous les élus étant Sacrificateurs [prêtres] selon
l'ordre de Melchisédek (voir aussi
Commentaire sur Hébreux (No. F058)).
Le nom Mariam tel qu'il s'applique à la
sœur de Moïse et d'Aaron est aussi le même nom appliqué à Mariam, la mère du
Christ, dans la mesure où la mauvaise traduction pour Maria ou Marie a créé
la confusion parmi autant ceux qui sont appelés Chrétiens que Musulmans.
Maria (Mariah) était la sœur de Mariam et l'épouse de Clophas. La famille de
Mariam, mère du Messie, avait aussi le sang lévitique par l'épouse du grand
prêtre Zacharie de la huitième division d'Abijah et mère de Jean le Baptiste
(cf. v. 35).
L'épouse d'Imram est nommée au verset
35 comme étant la mère de Marie, ce qui est contesté par la pensée mal
informée qui entend par là que cela évoquait la mère du Christ comme étant
Marie, ce qui est le but délibéré même du texte qui, aux versets 35-36, cite
ces femmes comme portant le même nom. Marie, Mariam ou Marium (I, A et U
sont utilisées de manière interchangeable dans les langues sémitiques) était
une prophétesse et le premier-né d'Imram ou Amram et de Yochebed (Nombres
26:59). Ses trois descendants ont été mis à part pour être prophètes et
protégés contre Satan comme le texte le dit. Mariam (Marie) est également
nommée sœur d'Aaron (Sourate 19:28) tandis que Mariam est la vraie sœur
d'Aaron mais le texte pour Mariam ou Marie, mère du Christ, s'adresse aussi
à sa lignée lévitique comme sœur d'Aaron conformément à sa lignée comme
fille d'Héli de David par Nathan et de Lévi par Schimeï, qu'ils
transpercèrent selon les prophéties de Zacharie 12:12-14.
Le texte de la Sourate traite ensuite
de Mariam (appelée Marie), la Mère de Christ le Messie et de sa place dans
le plan du salut à partir des versets 42-61. Ainsi, la mise à part de la
Famille d'Imram et de Yochebed devait se poursuivre jusqu'au Messie et aux
élus de l'église qui sont mentionnés dans les textes du verset 61.
Les traditions revendiquent que les
versets 1 à 34 ont été révélés à l'occasion de la députation des Chrétiens
de Najran qui a eu lieu la Dixième année de l'Hégire (632) (appelée “l'année
des députations”). Cependant, ils ne peuvent avoir été révélés que beaucoup
plus tôt et n'avoir pu être récités que par le Prophète à cette époque-là.
Les Juifs s'aigrirent après leur expérience à Badr. Le phénomène inverse qui
s'est produit à Uhud, est mentionné à partir des versets 120 à 188. Ce
revers aurait enhardi les Juifs. Ils ont désespérément tenté d'anéantir les
Chrétiens Unitariens car ceux-ci étaient alliés aux Pauliciens de l'ouest,
préoccupés par l'Empire byzantin, eux-mêmes devenus Unitariens sous certains
empereurs (e.g.
John Tzimiskes ; cf.
Le Rôle du Quatrième Commandement dans
l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170) ; cf. également
La Distribution Générale des Églises
observant le Sabbat (No. 122)). Les
Trinitaires étaient loin de la menace que les Musulmans Chrétiens Unitariens
constituaient pour les Juifs d'Arabie, car ils représentaient l'église
Chrétienne originale et un plus grand défi pour eux.
La période de la Révélation de cette
Sourate se situe dans les Troisième et Quatrième années de l'Hégire
(624-625) et l'explication de la Bataille du Mont Uhud est donnée par
Pickthall dans son introduction.
Dans la Troisième année de l'Hégire
(624), les gens de Becca des sections idolâtres de Qureysh, avec une force
de 3000 hommes sont venus contre Al-Médine pour se venger de leur défaite à
Badr dans la Deuxième Année de l'Hégire (623), et exterminer les Musulmans.
Le Prophète a initialement décidé de défendre Médine mais, sur l'insistance
des compagnons, il est parti à la rencontre de l'ennemi sur le Mont Uhud en
déployant soigneusement ses 1000 hommes. Il affecta un troisième sous
Abdullah ibn Ubeyy qui déserta avant la bataille et qui a dit après la
bataille qu'ils ne pensaient pas qu'il y aurait des combats ce jour-là et
ainsi mérita le surnom “l'Hypocrite”.
La bataille avait bien débuté pour les
Musulmans, mais elle s'est transformée en quasi défaite en raison de la
présence d'une bande de cinquante archers chargés de garder un secteur
important du champ de bataille. En voyant les Musulmans triompher, ils ont
craint de perdre leur part du butin et ont abandonné leur poste pour
s'installer à l'emplacement principal. Cela a ouvert le secteur qu'ils
gardaient à la cavalerie de Becca qui a pu attaquer et infliger de graves
pertes à la force Musulmane. Le Prophète lui-même a été blessé dans la
lutte, et la troupe croyant qu'il avait été tué s'est démoralisée jusqu'à ce
que quelqu'un le reconnaisse encore en vie et ainsi il mobilisa les troupes
et leur permit de prendre une retraite en bon ordre.
L'armée des Quraych s'est également
retirée après la bataille et les femmes des chefs tribaux qui les avaient
accompagnés sur le champ de bataille pour des raisons de moral, ont commencé
à mutiler les Musulmans morts, fabriquant des colliers et des bracelets avec
les oreilles et le nez des Musulmans tués.
Hind, la femme d'Abou Sufyan, a arraché le foie de l'oncle du
Prophète et a commencé à le manger. En voyant cela, le Prophète a été poussé
à faire vœu de représailles, mais une révélation importante lui a été
accordée et, par conséquent, la
mutilation a été interdite à tous les Musulmans. Ainsi, tout Musulman
qui autorise ou tolère la mutilation de soldats et de morts démontre qu'il
n'est pas un vrai Musulman et qu'il doit être puni pour cette infraction.
Le lendemain de la Bataille du Mont
Uhud, le Prophète est sorti avec les survivants de la Bataille, y compris de
nombreux blessés, pour tenter de convaincre les Quraych qu'ils étaient
capables de défendre Al-Medina et les dissuader de lancer une attaque. La
tradition prétend qu'un nomade ami a croisé le bras armé du Prophète et a,
par la suite, fait la rencontre des Quraych et a dit à Abu Sufyan qu'ils
étaient en bon ordre et en plus grand nombre et voulaient leur revanche, et
ainsi ce rapport persuada les Quraych sous Abu Sufyan de se retirer à Becca.
Sourate 62 (2-4 AH) La Congrégation
Commentaire sur le Coran : Sourate 62 (No.
Q062)
Al-Jumaah “La Congrégation” est l'assemblée commandée de la foi pour l’adoration le
Jour du Sabbat qui est lié à la foi et à l'alliance figurant à la Sourate
4:154.
La référence vise le verset 9. Le
Prophète prêchait dans la Mosquée selon la tradition. Cela dit, on a renoncé
à mettre l'accent sur le Sabbat et on a mis l'accent sur la période de
préparation de l'après-midi du Sixième Jour de la semaine, et cela a été
appelé le Jumaah et non plus la
congrégation du Sabbat du Septième jour de la Semaine, comme le préconise la
Sourate 4 et dans d'autres textes. Cet aspect est couvert dans le document
Le Juma'ah : La Préparation pour le Sabbat
(No. 285).
C’était le même péché démoniaque que
celui perpétré par les Trinitaires lors de leur changement pour passer au
culte du Dimanche de Baal. À cet égard, le Hadith n'a pu le faire passer à
la période de préparation pour le Sabbat qu'au VIIIe siècle.
Ils se sont appuyés sur la tradition
selon laquelle le Prophète et la congrégation priaient à la Mosquée
lorsqu'une caravane fit irruption à Al-Médine au son des tambours. La
congrégation s'est interrompue pour la regarder, à l'exception des douze
membres du noyau de la foi qui étaient probablement le conseil de l'église.
Selon Pickthall parlant d'une tradition, il s'agissait d'une caravane de
Dahyah al-Kalbi qui serait devenu Musulman la Cinquième année après l'Hégire
et qui aurait donc dû avoir lieu avant l’an 627 EC. Pickthall l'attribue
entre 2 et 4 AH ou 624-626 EC.
Toutefois, l'application au Vendredi en
tant que Juma'ah n'a eu lieu que bien après les Quatre Califes Correctement
Guidés, le meurtre de Ali et de Hussein, et la répression et suppression de
la vraie foi en Arabie et en Perse.
Le remplacement du Sabbat par les
prières du Vendredi après-midi est une hérésie et empêchera tous ceux qui la
suivent et qui n’observent pas le Sabbat d'entrer dans la Première
Résurrection.
Sourate 004 (4AH) Femmes
Commentaire sur le Coran : Sourate 4 (No.
Q004)
La Sourate 4 traite de la fidélité de
l'Église envers Christ et le Septième Commandement.
Exode 20:14 Tu ne commettras
point d’adultère.
Le verset 1 se rapporte à Adam et Ève,
ainsi qu'au Cinquième Commandement et au devoir envers la famille.
C'est ainsi que nous avons progressé de
la famille et de la responsabilité envers la création depuis Adam et Ève et
l'Armée Humaine, jusqu'au développement de la foi dans la fidélité envers le
Temple de Dieu et le Messie en tant que Souverain Sacrificateur selon
l'ordre de Melchisédek. Nous passons de la sanctification de la génisse
Rousse, ou Rougeâtre, à la génisse Dorée ou Glorifiée élue de la Sourate 2
(comme dans
Q002), à la
Famille des Prophètes et Prêtres en tant que fils de Imram et Yochebed des
élus dans la Sourate 3 (Q003). Nous
en arrivons maintenant à la fidélité de l'espèce humaine à Dieu et à la
famille et à la foi, dans la Sourate 4 (Q004) en
tant qu'Épouse du Christ. Ainsi le titre est intitulé Femme en tant que mère
de l'humanité et en tant que l'Épouse du Christ qui est l'Église de Dieu. Le
texte traite des “Droits des femmes” en tant que noyau de la famille dans
l'éducation et la protection des jeunes.
La Sourate aurait été révélée après la
Bataille d'Uhud, et reprend la séquence dans sa conclusion logique pour le
développement de la foi. Les pertes subies lors de la Bataille du Mont Uhud
ont nécessité que la question des soins aux veuves et aux orphelins soit
abordée et que des leçons soient tirées de ce problème au regard des Lois de
Dieu dans les Écritures. Cela se serait produit entre la fin de la Troisième
année et la fin de la Cinquième année du règne concile sous le Prophète à
Al-Médine (cf. Noldeke). Pickthall note Noldeke, mais affirme que cela est
plus vraisemblable entre la fin de la Troisième année et le
début de la Cinquième année, dans
son introduction à la Sourate 4.
La déclaration concernant les orphelins
fait suite à la perte des troupes, mais aussi les Arabes Païens n'ont pas
accordé de droits aux femmes, comme ils ne le font toujours pas jusqu’à
aujourd’hui, même en prétendant être Musulmans, ce qui est faux. C'est ainsi
que le texte fait écho aux Droits des Femmes dans les Écritures.
Les pertes à Uhud ont été
principalement causées par la défection des “hypocrites” qui représentaient
un tiers de leur nombre, comme nous l'avons vu dans l'introduction à la
Sourate 3. Ce terme a alors été appliqué au tempérament tiède ou au temps
passé à servir les gens dans la foi. Dans les derniers jours, l'un des deux
éléments de l'Église qui doivent être retirés de la Première Résurrection
est les Tièdes des Laodicéens en plus des “Morts” des Églises “Vivantes” du
système de Sardes des Derniers Jours (voir l'étude
Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).
Sourate 59 (4AH)
L’Exil
Commentaire sur le Coran : Sourate 59 (No.
Q059)
Al-Hashr
“L'exil” tire son nom des versets 2 à 17 qui
font référence à l'exil du Bani Nadir.
Il s'agissait d'une tribu Juive d'Al-Medine qui a été impliquée dans la
trahison et le meurtre projeté du Prophète. Leurs biens ont également été
confisqués. Les Hypocrites, comme étaient appelés les Musulmans tièdes
(comme le sont aussi les Laodicéens des Derniers Jours), sympathisaient en
secret avec ces Juifs. L'opposition des Hypocrites aux Musulmans s'était
renforcée depuis les revers du Mont Uhud. Cependant, lorsque les Musulmans
marchèrent contre le Bani Nadir installé dans leurs tours fortes, les
Hypocrites ne firent rien. Quand finalement les Juifs furent réduits et
exilés, les Hypocrites ne firent rien et ne les accompagnèrent pas en exil
malgré leurs assurances antérieures.
La date de la Sourate correspond à la
Quatrième année de l'Hégire ou 625 EC (de notre ère).
Sourate 63 (4 AH) Les Hypocrites
Commentaire sur le Coran : Sourate 63 (No.
Q063)
Al Munafiqun
“Les Hypocrites” tire son nom du mot du premier verset.
Le verset 8 renvoie à une remarque d'Abdullah Ibn Ubeyy, le leader
“Hypocrite”. Il exprima le désir que la vieille aristocratie de Yathrib,
dont il était le chef reconnu, puisse reprendre l'ascendant et fasse sortir
les réfugiés de Becca qu'il considérait comme des intrus. La date de la
Sourate est censée correspondre à la Quatrième année de l'Hégire ou 625/6
EC.
Sourate 58 (4-5 AH) La Femme qui Dispute
Commentaire sur le Coran : Sourate 58 (No.
Q058)
Al-Mujadilah
“La Femme qui Dispute”
tire son nom d'un mot au verset 1.
Une femme vint voir le Prophète avec
une plainte spécifique selon laquelle son mari l'avait mise à la porte sans
aucun motif valable en utilisant une vieille formule païenne, disant que
“son dos était pour lui comme le dos de sa mère”
et elle contesta avec le Prophète car il ne voulait rien faire avant que la
révélation ne lui fût donnée dans cette Sourate. Il existe une brève
référence à cette méthode pour se débarrasser des femmes que l’on peut
trouver dans la Sourate 33:4. Par conséquent, cette Sourate doit avoir
précédé la Sourate 33 telle que le Musulman l'a vue. Le Prophète et l'Église
ont statué sur le fait que les femmes ne pouvaient pas être répudiées pour
un mensonge et qu’aucune ne pouvait avoir le statut de mère sauf celles qui
leur ont donné naissance ou ont été une mère réelle pour eux comme épouse de
leur père (1Corinthiens 5:5).
La Sourate est révélée la même année
que la Sourate 33, dans la Quatrième ou Cinquième année de l’Hégire de 625 à
626 EC.
Sourate 65 (5-6 AH) Le Divorce
Commentaire sur le Coran : Sourate 65 (No.
Q065)
At-talaq tire son nom des textes des versets 1
à 7. Elle contient un amendement aux lois sur le divorce, exposées dans la
Sourate 2.
La tradition voudrait qu'il s'agisse
d'une erreur commise par Ibn
‘Omar lors de son divorce, qui aurait eu lieu la Sixième
année de l'Hégire. Cependant, d'autres ont relaté que le Prophète ne citait
que cette Sourate qui avait déjà été révélée. Ainsi, la datation est la
Sixième année de l'Hégire (627 EC) ou un peu plus tôt.
Sourate 024 (5-6 AH) La Lumière
Commentaire sur le Coran : Sourate 24 (No.
Q024)
La Sourate 24 An-Nur,
“La Lumière” tire son nom des versets 35 à 40. Elle
est considérée comme descriptive de la Lumière de Dieu
“telle qu'elle doit resplendir dans la
maison des disciples” comme l’estime Pickthall ; la plus grande partie de la Sourate étant la
législation pour la purification de la vie domestique. Il y a deux
traditions relatives à la Sourate. Il est convenu que la Sourate a été
révélée dans les Cinquième et Sixième années de l'Hégire qui fût en 626 et
627 EC. La deuxième tradition, plus fragile, la situe dans la Neuvième année
de l’Hégire (i.e. en 630/31).
Les versets 11 à 20 se rapportent à la
calomnie d'Ayeshah, la jeune épouse du Prophète, qui a été abandonnée lors
d'une marche de retour de la campagne contre les Bani'l-Mustaliq. Elle a été
retrouvée par un jeune soldat qui l'a montée sur son chameau pendant qu'il
marchait et le conduisait. N'oublions pas qu'il ne faut pas sous-estimer la
capacité de diffamation arrogante de la communauté religieuse.
Les Écritures prévoient la
réglementation de la Communauté en tant que Loi de Dieu. L'église a la
capacité de dispenser la justice avec miséricorde et donc certaines
punitions sont limitées. Par exemple, la lapidation à mort est limitée et
remplacée par les exemples de miséricorde du Christ avec le fouet plutôt que
par la mort.
Sourate 33 (5-7 AH) Les Clans
Commentaire sur le Coran : Sourate 33 (No.
Q033)
Nous avons vu plus haut, que les
Sourates 3 et 8 se réfèrent aux batailles précédentes de
Badr et du Mont Uhud, et
traitent des opérations des idolâtres de Becca contre les Musulmans. Le chef
de Becca était Abu Sufyan et ils ont continué sous son commandement dans les
batailles de la Guerre des Tranchées et les Batailles des Clans révélées
dans cette Sourate 33.
La Sourate Al Ahzab tire son
nom de l'armée des clans alliés qui sont venus contre les Musulmans à
Yathrib ou Al Médine la Cinquième année de l’Hégire (Versets 9 à
25). Le Prophète avait expulsé certains des Bani Nadir, une tribu Juive de
Yathrib, pour trahison (cf. Sourate LIX). Ces Juifs se rendirent d'abord
chez les chefs des Quraych à Becca, puis chez la grande tribu du désert des
Ghatafan pour se faire aider dans leur extermination des Musulmans. Ils ont
promis aux Juifs de Yathrib de les aider. Le résultat fut que les Quraych
avec tous leurs clans et les Ghatafan avec tous leurs clans marchèrent
contre les Musulmans avec l'intention de détruire leur force à Yathrib et de
les exterminer.
Lorsque la nouvelle fut transmise au
Prophète, il ordonna qu'une tranchée soit creusée devant la ville et dirigea
lui-même les excavations. La Tranchée, qui a donné son nom à la guerre, a
été achevée à l'arrivée des 10000 hommes de l'armée des clans. L'armée du
Prophète était forte de 3000 hommes et celle des clans de 10000 et la
Tranchée était entre elles.
Pendant près d'un mois, les Musulmans
ont été soumis à des pluies incessantes de flèches et ont été constamment
menacés par des attaques massives de forces beaucoup plus puissantes qu'eux.
Puis la tribu Juive des Bani Qureyzah sur leurs arrières rompit son alliance
avec les Musulmans et fit alliance avec les Qureysh. L'affaire fut sérieuse.
Les femmes et les enfants avaient été
placés dans des tours semblables aux tours-remparts du nord de l'Angleterre.
Chaque famille en avait construit une pour se protéger des raids. Elles
n'étaient pas gardées et beaucoup de Musulmans ont demandé d'envoyer une
partie de leur nombre pour garder les familles. Les Bani Qureyzah n'avaient
pas encore manifesté leur trahison car les clans n'étaient pas encore
assurés de la victoire.
La cause Musulmane semblait
désespérée.
Un sympathisant Musulman dans le camp
ennemi a semé la méfiance entre les Bani Qureyzah et les chefs des Clans. La
Tranchée était un formidable obstacle inattendu et à ce moment critique, un
vent violent et glacial souffla de la mer pendant trois jours et trois nuits
et ils ne purent ni entretenir un abri ni faire de la cuisine ni allumer un
feu. Abu Sufyan, le chef du Quraych, leva alors le siège. Le lendemain
matin, voyant qu'ils étaient partis, les Ghatafans se retirèrent eux aussi
dans leurs zones tribales.
Le lendemain, lorsque les Musulmans
sont revenus de la Tranchée, ils ont assiégé les Juifs traîtres des Bani
Qureyzah installés dans leurs tours de refuge, au cours d'un siège qui s'est
étendu sur vingt-cinq jours. Lorsqu'ils se rendirent enfin, la tribu d'Aus,
dont les adeptes étaient les Juifs, demanda au Prophète de faire preuve de
la même bienveillance qu'il avait eue envers la tribu de Kharaj dans le cas
des Bani Nadir, en leur permettant d'intercéder pour leurs proches.
Le Prophète leur demanda s'ils
voulaient que l'un des leurs décide à leur sujet. Ils acceptèrent et il
nomma Sa'd Ibn Mu'adh, l'un des grands chefs de l'Aus qui avait été blessé
et qui se faisait soigner à la Mosquée.
Sa'd a ordonné que leurs hommes
soient mis à mort. Leurs femmes et leurs enfants furent faits prisonniers et
leurs biens répartis entre les Musulmans selon la volonté du Prophète. Notez
qu'il avait déjà donné les instructions de dîme exigibles de la guerre
conformément à la dîme de 20% pour les pauvres, de la Troisième année (cf.
Sourate 8). Les versets 26 et 27 se réfèrent à la punition du Bani Qureyzah.
Ce témoignage est dérivé de celui d'Ibn Kaldun que Pickthall utilise comme
étant meilleur que le témoignage plus répandu d'Ibn Hisham.
Comme nous l'avons vu, la Sourate 8
tire son nom de la phrase d'ouverture déclarant que
“toutes les choses dans le monde
appartiennent à Allah” et que comme telles elles doivent être traitées comme la propriété de Dieu
et doivent donc être soumises à la dîme, conformément aux Lois Bibliques de
la
dîme, comme Abraham
a donné la dîme à Melchisédek, Prêtre du Dieu Très Haut à Jérusalem (voir
l'étude Le
Prélèvement de la Dîme (No. 161). En conséquence de cette activité, tout le peuple arabe
est sujet à la
dîme au Messie en tant le Souverain Sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek,
étant dans les reins d'Abraham incluant Lévi et la totalité du sacerdoce
Israélite aussi bien que ceux de l'Islam. Cela inclut aussi tous les fils de
Sem qui était prêtre de Dieu selon l'ordre de Melchisédech. Ainsi aussi les
païens de la conversion sont requis de faire la dîme. Dès le retour du
Messie, le monde entier sera soumis au sacerdoce. (voir Melchisédek (No.
128) et Commentaire
sur Hébreux (F058)).
Le partage du butin entre les
participants a eu lieu un mois après la bataille de Badr, la deuxième année
de l'Hégire et onze mois avant la bataille du Mont Uhud (cf. Sourate 3) où
l'ennemi païen Quraych est venu combattre les Musulmans avec une force de
3000 personnes, et au cours de la cinquième année de l'Hégire, les clans
alliés païens ont assiégé Al-Médine avec 10,000 personnes environ, dans la
Guerre des Tranchées mentionnée dans cette Sourate.
La Bataille de Badr à Tabuk a eu lieu
l'année précédant la bataille du Mont Uhud mentionnée dans la Sourate 3. Une
caravane de Becca sous les ordres d'Abou Sufyan du Qureysh, revenait de
Syrie et, craignant une attaque d'Al-Madinah, a envoyé un chamelier à Becca
pour demander une assistance urgente. Les références historiques sont dans
la Sourate 8 ci-dessus.
Cependant, nous voyons de la Sourate 8
que les Musulmans ont été avertis qu'il y aurait des conflits beaucoup plus
importants à venir. C'est ainsi que nous avons vu dans la Sourate 3 au Mont
Uhud l'année suivante, avec 3000 ennemis et maintenant, à la Bataille des
Tranchées dans la Sourate 33 avec 10000 dans la “Bataille des Clans”. Comme
nous l'avons vu précédemment, il n’y a aucun doute sur le fait que les
avertissements ont été inspirés par l'Esprit qui a fait connaître la
prophétie d'Apocalypse chapitre 2 concernant l'ère Pergame, ère de laquelle
elle faisait partie, au Concile du Mouhammad de l'Église de l'Arabie sous le
Prophète. Les prophéties du Prophète dans la Sourate 30
Romains, ont fait allusion aux
victoires de ces batailles ultérieures.
Dans la Troisième année de l'Hégire
(624), les gens de Becca des sections idolâtres de Quraych avec une force de
3000 hommes, sont venus contre Al-Médine pour se venger de leur défaite à
Badr la Deuxième année de l'Hégire (623) et exterminer les Musulmans. Les
détails de la séquence de la bataille du Mont Uhud sont contenus dans le
texte de la Sourate 3, page 44 ci-dessus. Cependant, à partir des Sourates
003 et 033, une révélation importante a été donnée au Prophète et, par
conséquent, les mutilations ont été
interdites à tous les Musulmans. Ainsi, tout musulman qui autorise ou
cautionne la mutilation de soldats et de morts montre de ce fait qu'il n'est
pas un vrai Musulman et doit être puni pour cette infraction.
Malheureusement, cette barbarie
existe encore aujourd'hui chez les Arabes.
Une autre leçon importante a été
tirée de cette Sourate 33. Au verset 37, nous trouvons une référence au
malheureux mariage de Zeyd, homme de main et fils adoptif du Prophète, avec
Zeynab, cousine du prophète et noble femme du Quraych.
Le Prophète a arrangé le mariage avec
l'idée de faire tomber les anciennes barrières de l'orgueil et de classe
sociale, et a fait abstraction des sentiments de Zeynab.
Les traditions soutiennent qu'elle et
son frère se sont opposés au mariage et qu'elle a en réalité souhaité
épouser le Prophète. Pickthall note aussi que pour Zeyd, le mariage ne fut
rien d'autre qu'une honte et une humiliation.
Lorsque le Prophète a été mis au
courant de la situation, il les a exhortés à rester ensemble, selon la
tradition, pour sauver la face. Zeyd divorça de Zeynab et le Prophète fut
encouragé à épouser Zeynab.
Dans cette affaire, l'église a été
forcée de rejeter l'adoption comme un processus valide. Ainsi, la femme d'un
fils adoptif n'était pas soumise aux mêmes restrictions qu'un fils naturel.
Cela semble contraire à l'Écriture ainsi qu’aux limitations imposées au
mariage du père ou de l’épouse d'un fils naturel, contrairement à
1Corinthiens 5:5.
Dans le mariage, il a également été
établi que la volonté de la femme doit être prise en compte. Ainsi, les
mariages forcés Islamiques modernes sont contraires à l'Islam. Un mariage
malheureux est considéré comme contraire à la volonté de Dieu et donc, bien
que les Écritures soient claires sur le fait que le divorce est une violence
envers la famille et que Dieu le hait, il doit être permis dans certaines
circonstances dans la foi.
Sourate 005 (5-10 AH)
La Fête ou la Table Servie
Commentaire sur le Coran : Sourate 5 (No.
Q005)
Le nom de la Sourate découle du Second
Sacrement de la Foi qui suit le Baptême. C'est
Le Dîner du Seigneur et
cela signifie la Fête ou la
Table Servie. Le texte symbolisait
le Lavement des Pieds, le Pain et le Vin, de la principale fête de la foi
qui se déroulait le soir à la fin du 13 Abib en commençant le Dîner du
Seigneur le 14 Abib avant que Christ ne soit tué en tant que l'Agneau de la
Pâque à 15 heures le 14 Abib, et mis au tombeau avant la noirceur,
commençant le 15 Abib qui est le jour de la Pâque et qui a débuté la phase
du
Signe de Jonas et l'Histoire de la
Reconstruction du Temple (No. 013). Cela fait
référence au symbolisme du Dîner du Seigneur établi pour le Sacrifice du
Christ et est dérivé des versets 112 et suivants.
Les Pseudo-Chrétiens appellent cela
l'Eucharistie, mais ils ont trivialisé l'extrême sainteté de ce sacrement
annuel par une prestation hebdomadaire du sacrement, le dimanche, développée
à partir des Cultes de Baal ou du Soleil, et le culte de la Déesse Ishtar
dont le festival était aussi institué les vendredi et dimanche, du mois du
système de Pâque. Les Arabes paganisés du Hadith ont perdu toute la
compréhension du symbolisme et de la sainteté du Dîner du Seigneur et pour
cette raison, ils se verront consignés à la seconde résurrection des
infidèles et hérétiques. Ils ont aussi corrompu le Sabbat en une hérésie du
Vendredi, alors qu'à partir de la
Q004, nous
voyons que le Sabbat ou le Septième Jour de la semaine est lié à l'Alliance.
Il y a deux références, la première est
au verset 3, qui annonce l'accomplissement de leur religion de ceux de la
Soumission, qui est symbolisé par le Dîner du Seigneur et est le
parachèvement de la Foi. Aussi le dernier texte a été énoncé comme le
dernier de nos devoirs, et le dernier texte à la fin de la Sourate fait
référence aux derniers commentaires faits par le Prophète lors de sa
dernière visite à Becca. C'était la “Visite d'Adieu” quand il a parlé aux
milliers de personnes rassemblées à “Arafat”. Noldeke suppose que deux
autres versets proches sont de la même date à la fin, avant sa mort, et la
conversion de l'Arabie. Pickthall est d'accord avec Noldeke. Rodwell a placé
ce texte comme étant la dernière Sourate de la Révélation, comme le note
Pickthall, mais il est mieux [placé] ici car il s'inscrit plus correctement
dans la séquence de la révélation.
Le Baptême est le Premier Sacrement
ainsi que notre admission à la foi, et le Dîner du Seigneur (Le
Dîner du Seigneur (No. 103)) est notre confirmation annuelle et définitive de notre
alliance avec Dieu en tant que serviteurs du Christ et prêtres de l'ordre de
Melchisédek (cf. les études
Melchisédek (No. 128) et
128B) et
Commentaire sur Hébreux (F058).
C'est notre alliance et la confirmation
de notre Soumission à Eloah en tant que le Seul Vrai Dieu. Dans le texte
ici, nous soulignons que le texte du Coran utilise la forme Arabe dérivée de
l'Araméen Oriental, qui est dérivée du Chaldéen Elahh. Dans la langue Arabe
du Coran, c’est Allah’ ou Al Lah’ (les deux sont rendus comme Allah, ce qui
signifie en réalité “La Puissance” ou “La Déité” comme le fait également
l'Hébreux Eloah (Chald. Elahh) qui seul est le Seul Vrai Dieu. Lui seul est
Ha Elohim en tant que Le Dieu, le centre de la pluralité des
elohim, qui sont tous fils de Dieu de l'Armée céleste (cf. Job
38:4-7 ; Esdras 4:23-7:26).
Sourate 48 (6 AH) Victoire
Commentaire sur le Coran : Sourate 48 (No.
Q048)
Al Fath tire son nom du mot Fath ou
“Victoire”.
Pickthall soutient qu'il ne fait pas référence à la conquête de
Becca, mais à la trêve d'Al Hudeybiyeh, qui semblait à l'époque être un
revers pour Al Islam, mais qui s'est en fait révélé être leur plus grande
victoire.
Au cours de la Sixième année de
l'Hégire (622 ou 627/628 EC), le Prophète partit avec quelque 1400 fidèles
d'Al Médine et des alentours, en habit de pèlerin, non pour y combattre
mais, selon les allégations, pour visiter la Ka'abah. Lorsqu'ils
s'approchèrent de Becca, on les avertit que les Quraych avaient rassemblé
leurs alliés contre eux. Leur cavalerie sous Khalid ibn Al Walid occupait la
route devant eux. Ils ont fait un détour par les ravins des collines et se
sont réfugiés dans la vallée de Becca et ont campé à Al Hudeybiyah en
contrebas de la ville. Le Prophète refusa de livrer bataille et tenta à
plusieurs reprises des pourparlers avec les Quraych, qui avaient eux-mêmes
juré de ne pas permettre aux Musulmans d'atteindre la Ka'abah. Les Musulmans
ont été en danger pendant tout ce temps. En raison de ses relations de clan
et de son influence, Othman ibn'Affan fut envoyé dans la ville. Il fut
arrêté par les gens de Becca et (selon Ibn Hisham partie II, pp. 176-178) la
nouvelle selon laquelle il avait été assassiné était parvenue au camp des
Musulmans.
C'est donc à ce moment-là que le
Prophète, assis sous un arbre, a fait prêter serment à ses camarades (cité
au verset 18) (cf. Ibn Hisham ibid., p.179 ; cf. aussi Pickthall). Ils ont
juré qu'ils se tiendraient ensemble et se battraient jusqu'à la mort. Puis
ils apprirent que la nouvelle de la mort d'Othman était fausse, et les
Quraych acceptèrent une trêve avec des conditions qui leur étaient
favorables. Les termes allégués étaient que le Prophète et ses gens devaient
abandonner le projet de visiter le sanctuaire cette année-là, mais qu'ils
entreprendraient le pèlerinage l'année suivante lorsque les idolâtres
évacueraient Becca pour une période de trois jours pour leur en faire
bénéficier.
Pickthall cite Ibn Khaldum en ces
termes :
“Et il n'y a
jamais eu de victoire plus grande que cette victoire ; car, comme le dit
Az-Zuhri, quand il s'agissait de guerre, les deux camps ne se rencontraient
pas ; en revanche en cas de trêve, et que la guerre imposait ses fardeaux,
les gens se rassemblaient, les uns les autres, se voyaient, se sentaient en
sécurité, puis se retrouvaient et disputaient dans les échanges et dans les
discussions. Et aucun homme n'a parlé d'Al Islam à un autre, mais ce dernier
l'a adopté, de sorte qu'ils sont entrés dans Al Islam pendant ces deux
années (c'est-à-dire entre Al Hudeybiyah et la rupture de la trêve par
Quraych) comme tous ceux qui y avaient adhéré avant ou plus” (Ibn Khaldun, Tarikh Additif de la Partie II Bulaq 1284
AH après Ibn Hisham, cf. Pickthall)).
La trêve a été rompue par les Quraych
qui voyaient la paix se détériorer et avaient perdu un grand nombre de
convertis à Al Islam, ce qui était sans aucun doute le but des forces du
Prophète qui visitaient Becca, sanctuaire idolâtre. La Sourate est datée de
cette Sixième année de l'Hégire.
Sourate 61 (6AH) Les Rangs
Commentaire sur le Coran : Sourate 61 (No.
Q061)
As-Saff Les Rangs, tire son
nom d'un mot du verset 4. Elle est censée avoir été révélée à Becca. Si tel
devait être le cas (selon Pickthall), elle a alors dû être révélée pendant
que le Prophète et ses compagnons campaient dans la vallée de Becca au
moment où la trêve de Hudeybiyah était en négociation, étant donné que son
contenu se réfère manifestement à la période Al-Médine. Traditionnellement,
une partie du texte est rattachée à cette période. Ainsi elle est attribuée
par Pickthall et d'autres, comme étant de la Sixième année de l’Hégire en
627/8 de l'ère courante.
Cette Sourate est une grande pierre
d'achoppement pour l'Islam. L'utilisation du mot
Ahmad, qui signifie le Consolateur ou l'Esprit Saint, est
incorrectement appliquée comme étant un nom du Prophète quand
celui qui est loué au verset 6 est
associé au Christ, et fait référence au Consolateur en tant que L'Esprit
Saint, lequel a été annoncé par Christ et rendu disponible par son sacrifice
et acceptation en tant que l'Offrande de la Gerbe Agitée, le Dimanche matin
devant le Trône de Dieu. Il est revenu cet après-midi-là vers les apôtres
avec le pouvoir de leur transmettre l'Esprit Saint (cf. Jean 20:22 ; et voir
le document
Les Quarante Jours Suivant la Résurrection de
Christ (No. 159A)).
Pickthall confirme ce malentendu par
lequel il est lui-même corrompu et qui apparaît dans sa note de bas de page
1 du verset 6 (p. 583) et il impute ensuite ce malentendu comme étant
accepté par de nombreuses communautés Chrétiennes de l'Orient, lesquelles le
considèrent comme un prophète à venir ; puis il dit “et la plupart ont
accepté Mouhammad comme ce prophète” ; ce qui est en soi une déclaration
manifestement fausse sur plusieurs points. Cela implique un rejet total du
but fondamental du Messie, consistant à rendre L'Esprit Saint disponible à
l'humanité à la Pentecôte de l’an 30 EC, ce qui est le but premier et
l’intention de la présente Sourate.
Aucune autre erreur de compréhension et
de fausse doctrine n'a fait plus de mal à la foi que cette hérésie en
Arabie.
Sourate 60 (8 AH)
La Femme devant Passer une Expertise
Commentaire sur le Coran : Sourate 60 (No.
Q060)
Al-Muntahanah "Celle qui doit être évaluée" tire son
nom du verset 10 où ils doivent examiner les femmes qui viennent à eux en
prétendant être converties à l'Islam, et si elles sont trouvées sincères,
elles ne doivent pas être renvoyées aux idolâtres.
Cette Sourate était une modification
majeure des termes de la Trêve de Hudeybiyah qui obligeait le Prophète à
accepter les termes selon lesquels l'Islam sous le Prophète devait rendre
tous les fugitifs aux idolâtres, hommes et femmes, tandis que les idolâtres
ne seraient pas tenus de remettre les renégats d’Al-Islam.
Ces termes, sous la Loi biblique,
étaient incorrects et ont dû être révoqués aussi tôt que possible.
Pickthall soutient que cela est à cause
des persécutions les plus terribles auxquelles les femmes devaient faire
face si elles étaient extradées et de leurs conditions sociales sans défense
qui ont été la cause des accusations, mais les raisons sont clairement
indiquées dans la Loi Biblique qui prévoit le non renvoi des domestiques à
leurs maîtres s’ils demandent asile en Israël, tant la Nation que la foi.
Les femmes réfugiées qui sont sincères
et ne sont pas des fugitives de crime ou de querelles familiales, pouvaient
recevoir une indemnité de la part des Musulmans, mais pour les femmes
musulmanes qui s'étaient enfuies vers les Quraych, aucune indemnité ne
devait leur être versée. Cependant, l'État Islamique prévoyait qu'à
l'inverse de la fortune, les indemnités seraient versées par l'État
Islamique quelle que soit la nature des biens que leurs épouses auraient
pris sur leur propriété commune.
Les femmes qui cherchaient refuge ont
dû faire un vœu qui est mentionné au verset 12 de la Sourate.
La Sourate a été révélée dans la
Huitième année de l'Hégire (629/30 EC).
Sourate 57 (8-9 AH) Le Fer
Commentaire sur le Coran : Sourate 57 (No.
Q057)
Al-Hadid “Le Fer” tire son nom d'un mot
du verset 25. La mention au verset 10 de la "Victoire" est soutenue par
Pickthall pour faire référence à la conquête de Becca. Noldeke la considère
plutôt comme une référence à la Bataille de Badr, (G. Des Qorans, 2ème
éd. Pt. 1, Lepzig 1909, p. 195) ; ce que Pickhtall tient pour impossible car
le texte stipule que les Musulmans ont dépensé et se sont battus, et aucun
ne l'avait fait antérieurement à Badr. Bien qu'il y ait eu plusieurs
personnes qui ont été persécutées avant le Premier Hégire en 613 qui
semblent être ignorées (cf. Introduction à la
Sourate 19 “Maryam”).
L'un ou l'autre laps de temps est donc
possible. Pickthall considère qu'elle a été écrite dans la Huitième ou
Neuvième année de l’Hégire (629/30), alors que Noldeke la placerait dans la
Quatrième ou Cinquième année de l'Hégire (de là 626/7). C'est dans tous les
cas une Sourate post-Becca.
Sourate 009 (9 AH) Le Repentir etc.
Commentaire
sur le Coran : Sourate 9 (No. Q009)
La fonction de la Sourate 9 “Le Repentir” et son
positionnement après la Sourate 8 “Le Butin” a deux buts. L'un est qu'elle
montre la responsabilité de la foi dans le soutien des veuves et des
orphelins à partir du butin sur le modèle des pauvres, en raison de la dîme
de la Troisième année. Le deuxième but est de montrer la fonction du
Calendrier et des quatre mois sacrés qui doivent être préservés. Les 12000
Arabes paganisés de la Bataille Post-Becca contre les Bédouins à Hunayn
montrent le manque de Repentir et la faiblesse en comparaison aux 300 sous
le commandement du Prophète à Badr et Tubuk. Cela indiquait la destruction
de l'Islam par les Hadiths.
La Sourate 9 est appelée “Le Repentir”
(At Taubah) d'après le verset 104.
Elle est aussi souvent appelée Al
Bara'at l'Immunité, tiré du mot commençant le verset 1. C'est ainsi que
se forme la déclaration d'Immunité d'obligation envers les idolâtres, qui
est également rendue “Répudiation” à partir de ce terme. Le repentir est une
réflexion introspective pour perfectionner l'individu. Le concept de
répudiation s'oppose à celui du repentir de l'individu. La répudiation
entraîne la persécution de ceux qui diffèrent, ce qui identifie le bain de
sang qu'est l'Islam moderne.
La Sourate a été portée à Becca dans la
9ème Année de l’Hégire par Abou Bakr en tant que leader et lue à
la multitude là-bas par Ali et signifiait ce que l'on espérait être la fin
de l'idolâtrie en Arabie. Les pseudo-Musulmans païens ont cependant veillé à
ce que l'idolâtrie ne soit pas supprimée.
Wikipedia explique aussi le texte comme Suit :
Sūrat al-Tawbah (en
Arabe
: سورة التوبة,
"Le repentir"), aussi
connu sous le nom de Al-Barā'ah ("La
Répudiation"),[1] est le neuvième chapitre du Qour’an. Il contient 129
versets et est l'un des derniers Chapitres de Médine. C'est la seule sourate du
Qour’an qui ne commence pas par le Basmala. Cette sourate a été révélée au moment de la Bataille
de Tabuk.
Le verset 37 documente l'interdiction
du nasīʾ, le calcul de l’Intercalation pour le calendrier
lunaire par les prêtres de Banu
Kinanah, tribu de Quraysh. Cette interdiction a été répétée par Mouhammad au cours
du Sermon
d'adieu sur Le
Mont Arafat, qui a été donné lors du
Pèlerinage d'adieu à Becca le 9 Dhu
Al-Hijjah 10 AH.
D'après Zayd
ibn Thabit, quand le Qour’an a été compilé pour la première fois, il
a trouvé les derniers versets de cette sourate en la possession de Abu'l-Khuzayma
Al-Ansari et personne d'autre.
[2][3] Dans un autre compte, Ubay
Ibn Ka'b a informé Zayd que le Prophète lui a enseigné la fin de
cette sourate,
et récité les mêmes versets.[4] Certains, comme Ibn
Hazm, ont suggéré qu'Abu Khuzayma était le seul à avoir les
derniers versets sous forme écrite, comme Zayd et d'autres les avaient
mémorisés.[4]
L'absence de la Bismillahi'r Rahim
(au nom d'Allah le Bienfaisant, le Miséricordieux) de ce texte est une
erreur ou est à cause du fait qu'“il contient les commandements sévères
contre les idolâtres” (aux vv. 1-12) (selon Pickthall et autres). Les
derniers textes de cette Sourate sont aussi des ajouts de mémoires de
quelques autres. Il s'agissait d'une faiblesse dans la compilation des
textes du Coran et il y avait des différences dans les autres textes. Les
textes Persan et Nord-Africain parmi les Berbères (en berbère) diffèrent
également, et un grand effort a été fait pour éradiquer tous les textes
autres que l'arabe qui se conformaient au texte plus commun pour revendiquer
une conformité. Cette pratique a toute l'intégrité académique des Luddites.
De même, l'Arabe original n'est pas entièrement compris par les Arabes
modernes et la plupart des Musulmans ne comprennent pas du tout la Bible sur
laquelle il est basé. L'Esprit Saint, qui est donné suite au baptême, est
essentiel pour comprendre non seulement les textes des Écritures mais aussi
ceux du Coran. C'est pourquoi les Trinitaires, les Dithéistes et les
Hadithiques etc. les Musulmans, ne peuvent pas et ne sont pas capables de
comprendre et de suivre correctement les textes. Le vrai repentir est exigé
en tant qu'adulte avant que le baptême soit conféré, ainsi que l'imposition
des mains pour recevoir l'Esprit Saint. Très peu de Musulmans sont baptisés
et il y a très peu, voire pas du tout d'officiers accrédités pour
administrer le baptême ; bien que le Coran exige le baptême. Voir les
documents
Le Coran à propos de la Bible, de la Loi et
de l'Alliance. (No. 083) et
Repentir et Baptême (No. 052).
La bataille de Tabuk est, comme nous le
voyons des Sourates précédentes, synonyme de la bataille de Badr. Nous avons
vu à partir de la Sourate 8 les règlements émis pour le butin de guerre et
l'indemnisation des veuves et des orphelins au taux de 20% de ce qui est dû
aux pauvres, provenant de la Dîme de la Troisième Année qui est payée avec
la Première Dîme qui totalise 20% de la Première et la Deuxième Dîme et est
payée dans la Troisième Année du Cycle de Sept ans qui se termine dans
l'Année de Sabbat.
En conséquence de ces règlements, les
Arabes paganisés ont détruit le Calendrier ainsi que la compréhension des
systèmes du Jubilé et ils ont délibérément fait des interprétations erronées
du Calendrier de l'église en Arabie avec la complicité des Juifs Rabbiniques
avec leur système Hillel, ainsi que des 49 ans pour le Jubilé (voir les
documents
Les Calendriers Hébreu et Islamique
Réconciliés (No. 053),
Les Nouvelles Lunes (No. 125) et
Hillel, les Intercalations Babyloniennes et
le Calendrier du Temple (No. 195C)).
Les derniers versets de la Sourate
étaient des ajouts et non des originaux, et les textes des versets ou ayats
36 et 37 ont été produits à cause des intercalations utilisées par les Juifs
et les Arabes paganisés dans le but d’altérer les intercalations du
Calendrier du Temple du système original en fonction des Nouvelles Lunes qui
ont été déterminées selon leurs conjonctions en usage au cours de la période
du Temple, et dans l'église à partir de Christ et les Apôtres.
En 344 de notre ère, deux Rabbins Juifs
emportèrent les intercalations Babyloniennes de Babylone à Hillel II, à la
cour Juive, de Jamnia. Elles n'étaient pas en conformité avec les
conjonctions et avaient été calculées à partir du Septième siècle AEC, à
Babylone. Elles permirent au croissant de lune de fonctionner et donnèrent
aux Juifs la possibilité de modifier le calendrier et d’ajourner des mois.
Ils ont développé ce système et en 358 EC, le Grand Rabbin Hillel II a
publié un nouveau calendrier qui a permis la perversion des intercalations
et le placement de la Nouvelle Lune sur le croissant de lune du Dieu Lune
Sin qui était adoré en tant que Qamar en Arabie avec la déesse du Soleil
représentant l'épouse Sham, de la même manière que Baal et Easter ou
Ashtoreth [Astarté] étaient adorés dans le Levant mais avec Baal (Seigneur)
un dieu soleil représentant une divinité masculine.
Nous voyons ici que les versets 36 et
37 documentent “l'interdiction de nasīʾ, le calcul de l’Intercalation pour le calendrier
lunaire par les prêtres de Banu
Kinanah tribu des Quraysh. Cette interdiction a été répétée par Mouhammad au cours du
Sermon d'adieu sur Le
Mont Arafat, qui a été
donné lors
du Pèlerinage
d'adieu à Becca le 9 Dhu
Al-Hijjah 10 AH.”
Nous voyons que ces deux versets
traitent en réalité de l’ajournement des mois Sacrés qui interdisent la
guerre, et se rapportent à la fausse utilisation des intercalations
babyloniennes par opposition au Calendrier original du Temple. Les
intercalations babyloniennes étaient de fausses intercalations qui se
produisent environ six fois dans les cycles de 19 ans, qui diffèrent du
Calendrier du Temple ainsi que du Calendrier de l'Église de Dieu. Il a été
présenté par le Hadith comme interdisant la réglementation appropriée du
prétendu Calendrier du Temple de “douze mois” (cf.
Le
Calendrier de Dieu (No. 156)).
L'église n'a jamais accepté le
Calendrier Hillel et les intercalations babyloniennes. En effet, le système
Hillel n'a pas été publié avant 330 ans après que Christ ait instauré
l'église, laquelle a utilisé le Calendrier correct du Temple en l’an 358 EC.
Et personne, pas même les Trinitaires [qui sont apparus] plus tard à partir
de l’an 381-451 à Chalcédoine, n'avait accepté l'hérésie ultérieure, et ce
n'est que lorsque les faux prophètes des Églises de Dieu ont accepté Hillel
au XXe siècle que ce calendrier a été introduit dans les Églises
de Dieu, sauf pendant une courte période en Transylvanie par un petit groupe
de Judaïsants, comme le Rabbin Kohn, en 1894 à Budapest, en a fait mention
dans un livre. Nous avons fait d'autres commentaires aux versets 36-37 de la
Sourate.
Comme nous pouvons le voir, la tribu
Banu Khinanah des Quraysh a été chargée de faire les intercalations à Becca
pour les Arabes paganisés, lesquelles étaient basées sur celles qui avaient
également été adoptées par les Juifs sous Hillel environ deux siècles et
demi avant que le Prophète Arabe ne tente de corriger et d’éradiquer ce
culte du croissant de la lune provenant du paganisme.
Le calendrier basé sur le croissant de
lune et ses intercalations en provenance de Babylone se poursuivit jusqu'au
dernier sermon du Prophète et il réitéra les injonctions, mais les Arabes
paganisés pervertirent complètement les réformes en détruisant le système
complet des intercalations, dénaturant les ayats dans la Sourate 9 dans le
but d’empêcher le rétablissement du Calendrier du Temple, et aussi à la
demande des Juifs rabbiniques postérieurs qui ont endommagé depuis 250-300
ans plus tôt leur calendrier illicite et répréhensible de Hillel.
L'exemple le plus récent est qu'en
2016, les intercalations de Hillel ont été appliquées de sorte que les fêtes
se situaient dans les Deuxième, Quatrième et Huitième mois selon les
Conjonctions et Équinoxes réels et selon le Véritable Calendrier du Temple.
Au lieu
d'observer correctement le calendrier dans les Premier, Deuxième, Troisième
et Septième mois Sacrés, ils ont été plutôt observés dans les Deuxième,
Troisième, Quatrième et Huitième mois de l'année et ce, contrairement à la
Loi de Dieu.
Le fait est que depuis que les
intercalations ont été interrompues par les Arabes paganisés sous le Hadith,
l'Islam a rarement observé les Mois Sacrés dans les bons mois et n'a jamais
observé le Calendrier de Dieu, ni les Sabbats, Nouvelles Lunes et Fêtes. De
la même manière, les Églises de Dieu qui suivent Armstrong de l’ère de
Sardes ont rarement et ce, seulement par accident, célébré les fêtes les
bons jours, et elles n'ont jamais observé correctement les Nouvelles Lunes
et Sabbats, tout en encourageant le commerce au Sabbat contrairement à Amos
8:5, et n'observant jamais les Nouvelles Lunes sauf par pur hasard. Les
Trinitaires n'ont jamais observé les Lois de Dieu.
Ils ne seront amenés au repentir que
lorsque les Témoins viendront et commenceront à s'occuper des fausses
religions du monde et surtout de l'Islam Hadithique, des Trinitaires et des
Juifs observateurs du Calendrier Hillel et les Églises de Dieu (voir le
document
Les Témoins (incluant les Deux Témoins) (No.
135)). Beaucoup mourront ou souffriront de grandes
agonies à cause des fléaux de l'Égypte qui leur seront infligés. S'ils ne se
sont pas repentis d’ici l'arrivée du Messie, ils seront exclus de la
Première Résurrection et le Messie tuera tous ceux qui ne se repentent pas.
Le fait que le Hadith a permis aux
païens de détruire l'Islam ainsi que le calendrier fonctionnel de l'église
Arabe, et a empêché l'observation du Calendrier du Temple ainsi que des
véritables Fêtes était et est considéré comme un bonus tant par les païens
Arabes du Hadith que par les Juifs de Hillel. Pour ce fait, ils mourront.
Le Calendrier originel du Temple est
historiquement vérifiable et est observé par les Églises de Dieu depuis
Christ et les Apôtres, à l'exception de certains systèmes de Sardes et de
Laodicée, surtout aux XXe et XXIe siècles (voir
Le Calendrier de Dieu (No. 156)). Pour ce péché et cette hérésie, ils seront exclus de la
Première Résurrection comme le sera l'Islam Hadithique (voir l'étude
Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).
Les Élus de la Première Résurrection
seront les 144000 Élus dirigeants et prophètes, et la Grande Multitude,
quelques Musulmans sous les Califes Correctement Guidés et très peu sinon
aucun dans les systèmes Trinitaires. Ils sont ceux qui ont été baptisés et
qui observent les Lois de Dieu, y compris les Sabbats, les Nouvelles Lunes
et les Fêtes ; les deux sacrements de l'église étant le Baptême des Adultes
et le Dîner du Seigneur. Peu nombreux sont ceux qui y parviendront et ce,
seulement ceux des Cinq ères choisies des Églises de Dieu en tant
qu’Églises. Sardes et Laodicée des 19e, 20e et 21e
siècles sont exclues à l'exception de quelques fidèles.
Sourate 49 (9 AH) les Appartements
Commentaire sur le Coran : Sourate 49 (No.
Q049)
Al-Hujarat tire son nom du verset 4 qui
signifie le
“logement”
ou les
“appartements
privés”
et est compris
comme se référant aux nombreux représentants qui sont venus à Médine pour
consulter le Prophète et lui faire allégeance (et peut-être moins à la foi
et à l'église qui y est centrée). C'était la Neuvième année de l’Hégire et
il est dit qu'elle concerne la conduite des représentants et en particulier
une dont le déroulement était anarchique. Beaucoup de représentants venant
pour professer allégeance au Prophète le faisaient pour de mauvaises raisons
et indiquaient la spirale descendante de l’Église et de ses doctrines
là-bas, sa militarisation croissante, qui aboutirait finalement à la
dégénérescence dans le hadith et les fausses doctrines émanant du culte de
Baal en tant que Hubal ou
“Le Seigneur” à Becca et dans tout le Moyen Orient.
Elle est datée de la Neuvième année de
l’Hégire ou 630/1 EC.
Sourate 110 (10 AH) Le Secours
Commentaire sur le Coran : Sourate 110 (No.
Q110)
An-Nasr est l'une des toutes dernières Sourates révélées au Prophète deux semaines
seulement avant sa mort. Elle fait référence aux derniers jours et au
triomphe sous le Messie quand tous sont convertis.
On ne sait pas quand les Sourates 007
et 066 ont été données AH.
Les hauteurs
Commentaire sur le Coran : Sourate 7 (No.
Q007)
La Sourate 7 tire son nom de mots
utilisés au verset 46
“Et sur les Hauteurs se trouvent des hommes qui les connaissent tous par
leurs marques. ” Ce texte est souvent utilisé pour qualifier la Sourate de
“Purgatoire” (e.g. Rashad Khalifa) en référence au
thème général de ceux qui s’opposent à la volonté de Dieu depuis Satan
jusqu’à travers les âges et selon la Guidance Divine. Ils sont ainsi retirés
de la Première Résurrection et envoyés à la Deuxième Résurrection qui les
oblige à attendre encore mille ans, et qui se produira après le Millénaire.
D'où l'introduction du concept Trinitaire pseudo-Chrétien du Purgatoire, qui
consiste à être en position d'attente pour le jugement.
Pickthall considère que les plus
éminentes autorités attribuent toutes le texte à la même période que la
Sourate 6, celle de la dernière année du Prophète à Becca ; bien qu'il dise
que certains considèrent que les versets 163-167 ont pu être révélés à
Al-Médine.
Sourate 66 L'Interdiction
Commentaire sur le Coran : Sourate 66 (No.
Q066)
Il y a trois points de vue ou
traditions quant à l'origine de cette Sourate à partir des versets 1-4.
At-Tahrim tire son nom
“Proscription”
ou
“'Interdiction ”
d'un mot du verset 1.
Les traditions Hadithiques attribuent
trois origines à la Sourate, dont une seule pourrait être vraie, et très
probablement aucune n'est vraie.
Un aspect important de la traduction
et du texte est que, selon Pickthall, toutes les épouses du Prophète étaient
des veuves sauf Ayeshah [Aïcha], et elle, comme elles l’étaient toutes, a
été imposée au Prophète par nécessité en tant que veuves ou avec Ayeshah
comme légataire d'Abu Bakr qui lui avait de toute manière survécu.
Il est noté par les érudits, tel que
rapporté par Pickthall, comme n'ayant eu qu'un seul fils qui s'appelait
Ibrahim et par conséquent il n'était pas le père d'un fils nommé Qasim qui
était son vrai nom. Abou Qasim est donc le nom improprement utilisé du Père
Qasim et non le Père de Qasim.
Les traditions sont documentées et
rapportées par Pickthall comme suit :
1. Le Prophète était friand de miel.
L'une de ses épouses a été persuadée de rester avec lui plus longtemps que
d'habitude. Aïcha avait conscience que le prophète avait horreur des odeurs
désagréables et, avec deux autres femmes, se bouchèrent les narines et
l'accusèrent de manger le produit d’un arbre sentant mauvais : le
Maghafir. Le prophète aurait dit
qu'il n'avait mangé que du miel et les femmes auraient alors dit que les
abeilles avaient donc été nourries au Maghafir. Le Prophète a alors
prétendument juré de ne plus manger de miel.
2. Hafsah aurait trouvé le
Prophète dans sa chambre avec Marya, la jeune fille copte donnée au Prophète
par le souverain de l`Égypte. Marya devint la mère du seul enfant mâle du
Prophète nommé Ibrahim. Le Prophète s'est remarié à ce moment-là. Ce
manquement s'est produit un jour supposément attribué à Aïcha selon l’usage.
Cela ne peut pas avoir été plus tôt que quelques années avant la mort du
Prophète quand elle avait 18 ans. Apparemment le Prophète, ému par le vœu de
détresse de Hafsah de refouler Marya, lui aurait demandé de ne pas le dire à
Aïcha qui se serait rapidement vantée de la facilité avec laquelle elle
s'était débarrassée de Marya.
3. Avant Al-Islam, il était allégué
que les femmes n'avaient aucun droit en Arabie (paganisée), (ce qui n'était
pas vrai) car l'Église de Dieu accordait des droits Bibliques aux femmes et
les Juifs en accordaient aussi par la Loi Biblique. Le Coran accordait aux
femmes des droits conformément à la loi biblique que les traditions du
Hadith prétendent avoir tendance à exagérer. Omar est mentionné comme ayant
fait des reproches à Hafsah, sa femme, au sujet de sa présomption quand
celle-ci a dit que sa propre fille Hafsah, la femme du Prophète, était
coupable de ce comportement présomptueux.
Le but de ces trois traditions était
d'affirmer la polygamie au Prophète.
Pickthall considère que la deuxième
tradition est la plus probable et la plus favorisée par les commentateurs du
texte, mais admet que les première et troisième traditions sont les mieux
légitimées et favorisées par plusieurs des grands traditionalistes.
Le texte Biblique du NT ne permet
qu'une seule épouse à un ancien de l'Église de Dieu. Les aspects de la
Polygamie sont examinés dans le document
La Polygamie dans la Bible et le Coran (No.
293).
La position du Prophète en tant que
dirigeant de l'Église et de l'État le rendait responsable des veuves et des
légataires. Il n’y a aucun enfant enregistré comme étant né du Prophète par
Ayesha. Et Marya est la mère présumée d'Ibrahim, le seul enfant mâle du
Prophète. Il a été fidèle à sa première femme jusqu'à sa mort. L'obligation
incombe à ceux qui affirment avoir des enfants avec de multiples épouses,
d'identifier les épouses et les noms des enfants. La polygamie n'est pas
permise aux anciens des Églises de Dieu. Le remariage en cas de décès ou de
divorce est permis.
Ali était le neveu du Prophète et il
a endossé la responsabilité de la conduite de la foi avec Hussein après les
Quatre Califes Correctement Guidés. Aucun enfant n'a été signalé comme étant
impliqué.
Ainsi, l'ordre chronologique, quand
celui-ci est couplé aux Écritures, donne une origine claire et certaine du
Coran, et ainsi rend évident, pour le lecteur, un cheminement éducatif.
Les Sourates remises dans l'ordre
Chronologique n'ont pas été énumérées mais plutôt données par le Prophète
sous forme poétique Arabe et apprises et consignées à des fins spécifiques.
Comme l'a été, par exemple, la Sourate 19 lorsqu'elle a été emportée en
Abyssinie pour prouver le Christianisme Sabbatarien de l'église à Becca aux
Églises Unitariennes Sabbatariennes là-bas en Abyssinie. C'est pour cette
raison que les gens de Becca idolâtres soutenaient que les réfugiés de
l'église n'étaient pas de vrais chrétiens parce qu'ils n'étaient pas
Trinitaires, un argument que le Négus
a rejeté. Ils avaient soutenu que les
réfugiés devaient être renvoyés à Becca, lieu où ils seraient davantage
persécutés.
La liste des Sourates par ordre numérique :
Elle a été faite en partie pour faire
du Coran une parabole. Et il est fort probable qu'elle ait été placée dans
cet ordre pour deux raisons. Cela a commencé par la prière qui a été un
ajout ultérieur. La Sourate 2 "La Génisse" a été écrite comme la plus longue
Sourate parce qu'elle explique la position de Jésus-Christ en tant que
Souverain Sacrificateur du Temple de Dieu et les élus en tant que Temple et
un Royaume de Sacrificateurs [Prêtres] selon l’ordre de Melchisédek tel
qu’expliqué dans
Le
Commentaire sur Hébreux (F058). Le Temple était totalement sanctifié par la génisse adamique ou rougeâtre
qui pointait vers Christ dans la sanctification du Temple de Dieu. Elle est
devenue la génisse dorée se référant à la justification des élus et à leur
glorification telle que vue sur le visage de Moïse au Sinaï quand il parlait
avec Christ. Cela décrivait le plan du salut.
La Sourate 3 explique l'établissement
du Sacerdoce avec Moïse en Israël et la loi, puis enchaîne avec les
Prophètes et le Messie par sa naissance de la Vierge et l'établissement de
l'église. Ce sont les deux documents clés avec la Quatrième et la Cinquième
[Sourate] expliquant la place des femmes dans la foi, qui était le plus
grand péché des Arabes. Le texte se poursuit ensuite en établissant le Dîner
du Seigneur en tant que Deuxième Sacrement de la Foi. La Sourate 6 concerne
les brebis du Peuple de Dieu.
Chacune des Sourates explique comment
les Résurrections sont critiques pour le Jugement et la survie dans les
Première et Deuxième Résurrections et dans le Jugement. C'est le thème le
plus important du Coran. Cela est renforcé encore et encore par le fait que
les Jardins du Paradis, qui étaient un ancien terme pour le système d'Éden,
sont restaurés pour la Première Résurrection et le règne de mille ans sous
le Messie ; et ensuite le Deuxième Jardin du Paradis dans la Deuxième
Résurrection. Si le repentir ne se manifeste pas, ceux qui ne se repentent
pas sont autorisés à mourir et sont jetés dans le Lac de Feu et leurs corps
[morts] brûlés et on ne se rappellera plus d'eux à jamais.
Beaucoup d'érudits Islamiques n'ont pas
compris les Écritures, et l'un d'entre eux a fixé l'intervalle de temps à
cinq cents ans, et plusieurs autres n'avaient aucune idée de la durée,
tandis que la Bible est spécifique.
À la mort du Prophète, la séquence
numérique du Coran a été organisée de telle sorte que la structure
théologique était détaillée, mais les idolâtres ont utilisé le Hadith pour
détruire toute compréhension de la foi. Ils sont maintenant comme des ânes
chargés de livres d'or, ne comprenant rien.
Dans tout le Qour'an ou Coran, on se
réfère à des milliers d'Écritures, et un grand nombre d'entre elles sont
citées à de nombreuses reprises. Nous les énumérons toutes dans les textes
et aussi dans l'Index des Écritures au QC ci-dessous.
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