Christian Churches of God

[QSD]

 

 

 

Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran

(Édition 1.0 20180611-20180611)

 

Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la Ka'bah.

 

 

 

Christian Churches of God

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(Copyright ã 2018 Wade Cox)

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 Résumé des Commentaires sur le Qour’an ou Coran [QSD]

 

 


Section 5

Cette section traite des Sourates révélées après la fuite ou Hégire à Médine (Al-Madinah) en l’an 622. Ces textes traitent de l'approfondissement des textes bibliques et de la place de Christ dans la Révélation.

 

622 L’Hégire

Le message adressé aux gens de Becca est tombé dans les oreilles sourdes, et les convertis de l'église ont été persécutés et cette persécution a empiré jusqu'à ce qu'ils aient dû fuir à Médine en 622 de notre ère. De Médine, l'église a été forcée de recourir aux armes et leur succès dans la bataille a forcé la reddition des gens de Becca et des groupes tribaux environnants et l'Islam a commencé à consolider sa théologie et ses explications sur la foi. Cependant, cela a également rempli l'église de faux convertis des systèmes idolâtres païens pour des raisons de conquête.

 

La structure biblique du traitement des femmes a commencé à se développer sur le modèle de la Loi Biblique. Après être allée à Médine, l'Église s'est également occupée des Juifs et de leurs traditions et lois de la Kashrut et du Calendrier Hillel, car l'Église sous le Prophète ne suivait pas Hillel, et lui et l'Église célébraient le Jour des Expiations un autre jour que les Juifs et Hillel. Ces questions sont également traitées dans les documents sur le Coran et Le Sabbat dans le Qour’an (No. 274) et le document Les Calendriers Hébreu et Islamique Réconciliés (No. 053).

 

La sourate 003 traite des Lois de l'Alimentation et précise que tant les Juifs, les Chrétiens que l'Islam doivent observer les lois de l’alimentation correctes établies dans les Écritures (Sourate 3:93, cf. Lévitique 11 et Deutéronome 14). L'église a également lié le Sabbat à l'Alliance de Dieu à la Sourate 4:154, et il n'y a jamais eu aucune suggestion que la charia ait été envisagée ; elle n'a pas existé dans sa version actuelle à l'époque ; elle a été développée après la mort du Prophète, en se nourrissant des traditions païennes existantes bien avant le Prophète. Seules les Lois de Dieu telles qu'elles furent délivrées au Sinaï (Sourate 95) devraient être observées. Leur compréhension de l'Alliance de Dieu a été telle qu'expliquée dans les documents Le Coran à propos de la Bible, de la Loi et de l'Alliance (No. 083) ; L'Alliance de Dieu (No. 152).

 

Révélées à Al-Médine

Sourates 47 (1-2 AH), 98 (1 AH?), 002 (1-2 AH),

008 (2AH), 003 (3-4 AH), 62 (2-4 AH),

004 (4AH), 59 (4AH), 63 (4 AH), 58 (4-5 AH), 65 (5-6 AH),

024 (5-6 AH),

33 (5-7 AH),

005 (5-10 AH), 48 (6 AH), 61 (6AH),   

60 (8 AH)

57 (8-9 AH)

009 (9 AH)

49 (9 AH)

110 (10 AH)

Il n'est pas connu avec certitude le moment où les Sourates 007 et 66 ont été données AH.

 

Les révélations après l’Hégire à Médine sont souvent des traités théologiques complets, et la plus longue et la plus impliquée est la Sourate 2 qui est précédée de la Sourate 1, La prière d'ouverture, dont la date est inconnue.

 

Sourate 47 (1-2 AH) Mouhammad Commentaire sur le Coran : Sourate 47 (No. Q047)

La Sourate tirerait son nom de l'utilisation du terme Mouhammad au verset 2, qui est alors affirmé comme étant le nom du prophète Qasim. Il s'agit en fait d'une référence à l'autorité du Concile de l'Église dans l'Apocalypse de Dieu, et au nom et au sceau des 144000 membres de l'Église en tant que les prophètes de Dieu (voir Introduction au Commentaire sur le Coran (Q001)).

 

La Sourate est considérée comme ayant été révélée dans la période qui a suivi l’Hégire, et le verset 18 se réfère à la période pendant laquelle le Prophète a regardé en arrière vers Becca dans sa fuite. Cependant, “l’Heure” à laquelle il se réfère, est l'Heure de la destruction des Derniers Jours sous le Messie. Les traditions Hadithiques cherchent à faire la distinction entre le Coran et les Écritures dans les références prophétiques.

 

Sourate 98 (1 AH?) La Preuve Commentaire sur le Coran : Sourate 98 (No. Q098)

Al-Beyyinah tire son nom d'un mot du premier verset. Il n'y a aucune certitude quant à la date de la révélation. Beaucoup la considèrent comme une Sourate de la Dernière période de Becca. Le Mushaf l'attribue à 1 AH comme date probable de la révélation, et Pickthall est du même avis, comme il l’a fait tout au long de sa traduction.

 

Le texte se réfère à ceux qui sont égarés et incrédules parmi les gens des Écritures et aussi les idolâtres. Ils n'auraient pu faire autrement qu'errer jusqu'à ce qu'on leur donne des preuves claires.

 

La période de rééducation déterminera les fidèles à partir des erreurs au cours du Jugement.

 

Sourate 002 (1-2 AH) La Vache Commentaire sur le Coran : Sourate 1 et 2 (No. Q002)

C'est la plus longue et la plus étendue des Sourates, et est basée sur la place du Messie et le commencement de la purification de l'église en tant que la génisse rousse selon les lois données par Christ en tant que l'Ange de la Présence à Moïse.

 

Rappelez-vous que la génisse rousse a été utilisée pour commencer le processus de sanctification du Temple de Dieu.

 

Nous avons examiné la Sourate section par section, puis nous avons dégagé les significations de chaque section.

 

Le Qour’an est un condensé des enseignements de l'église arabe et des rappels de l'identité spirituelle de ceux qui suivent ce livre. Nous avons comparé Paul et ses lettres et épîtres au Coran et à ses Sourates, et nous avons fait de même pour l’église CCG et ses documents d'étude. Toutes ces œuvres ont été et sont encore enseignées à l'église après la mort et la résurrection du Christ ; toutes se conforment à la loi et au témoignage. Pris comme un livre isolé ne dépendant d'aucune parole de Dieu antérieure, il est comparable aux œuvres de Paul et il peut être et a été déformé en significations qu'il n'était pas destiné à transmettre. La Bible doit être comprise afin de comprendre le Qour’an correctement.

 

Le nom de cette Sourate, la Vache, se rapporte à la génisse rousse physique et à sa fonction dans le processus de sanctification. Cette Sourate explique aux élus ce qu'ils doivent faire pour être saints et être présentables à Dieu. La génisse rousse est en fait la génisse rougeâtre d'après le mot dérivé d’adam qui signifie le rougeâtre. La Sourate fait ici référence à la “génisse d'or” provenant du visage rayonnant du Christ, qui se reflétait dans le visage de Moïse qui brillait quand il fut vu par Israël au Sinaï. Elle reflète la glorification spirituelle des élus.

 

La Sourate 2 pose les fondements des croyances de l'église arabe, et donne la compréhension de base de l'identité d'un Chrétien. Ce chapitre parle des exigences de la vie éternelle, du baptême et de l'observance des commandements et rappelle aux gens de bien observer les lois de l'alimentation. Il parle à ceux de l'alliance qui sont tombés dans l'erreur et leur dit ce qu'ils doivent faire pour corriger leurs péchés. Il parle des péchés de l'Israël physique et spirituel comme un avertissement à ceux qui sont enseignés dans la Sourate 2. Il est intéressant de noter qu'aux ayats 189 à 190 il nous est parlé de la Nouvelle Lune et que nous devons entrer dans les maisons (d’adoration) en toute franchise et sans avoir honte de ce Sabbat.

 

C'est la Loi de Dieu que les Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Fêtes doivent être observés continuellement (cf. aussi 1Cor. 3:16).

 

La Sourate 2 renforce également que les Lois de Dieu délivrées par Moïse et le témoignage du Christ, qui révèle ce que nous devons faire pour recevoir la vie éternelle, doivent être suivis, selon l'ayat 87.

 

Sans aucun doute, l'église arabe a eu des difficultés avec le concept de Dieu ayant des fils. Il semble que ceux à qui l'on enseignait aient été charnels, et ne comprenaient pas qu'un fils pouvait venir à l’existence autrement que par des rapports sexuels. L'explication dans les ayats 105 à 117 contre la Trinité explique que Jésus n'était pas le produit d'un rapport sexuel mais que Dieu l'a créé par Sa seule puissance, par décret divin.

 

Le prologue de cette Sourate s'adresse au peuple prédestiné (al muttaqeen, voir verset 2) de Dieu, les élus, qui suivent “La Voie” (hudan voir verset 2 cf. Jean 14:5 ; Actes 9:2) ou la “Foi Livrée aux Saints Une Fois Pour Toutes”.

 

 

Première Section : versets 2 à 27.

Il est important de comprendre et de toujours garder à l'esprit qu'à la Pentecôte de l'an 30 de notre ère, il y a eu des Juifs, ou ceux d'Israël de la diaspora, ou des fidèles de Dieu venus à Jérusalem, pour célébrer cette fête (voir Actes chapitre 2, surtout au verset 14), et ayant été convaincus par l’exposé de la Voie, l’Évangile du Royaume de Dieu, par les apôtres, il est écrit que 3000 furent baptisés (cf. Actes 2:37-41). Alors ces Arabes (voir Actes 2:11) sont retournés chez eux. Par conséquent, le fait historique est que l'Église de Dieu était déjà dans les secteurs de l'Arabie bien avant la destruction du Temple en l'an 70 de notre ère et plusieurs siècles avant la naissance du Prophète Qasim. Nous devons le comprendre très clairement en tant que règle primaire dans le traitement des textes. Les érudits arabes malhonnêtes ont inventé le mensonge selon lequel les Écritures ont été perdues pour arrêter cette référence aux Écritures et détacher le Hadith et les enseignements ultérieurs des Écritures et ensuite de s'en inspirer pour inventer de faux enseignements.

 

C'est un fait que les textes enseignent que les Écritures sont inspirées de Dieu et sont infaillibles et que les Écritures ne peuvent être anéanties comme Christ lui-même l'a dit en citant la loi de Dieu (Jean 10:34-36). 

 

Le concept de l'universalité de Dieu en tant que partie intégrante de l'Écriture est expliqué dans le texte suivant Le Cantique de Moïse dans Exode 15 (No. 179), en ce qu'il peut être dérivé du Cantique de Moïse dans la Torah à l'Exode, et ne peut être perdu ou annulé car agir ainsi est un blasphème et met en cause la Nature et l'Omnipotence de Dieu. Cette hérésie est répandue dans l'Islam Hadithique et ses défenseurs sont des apostats et mourront s'ils ne se repentent pas. 

 

Comme nous l'avons expliqué, l'Écriture est le seul vrai texte sacerdotal à part la prière spontanée, le témoignage et l'exhortation. Non seulement les Psaumes, mais aussi d'autres parties de l'Écriture, comme le livre de l'Apocalypse, sont clairement écrits avec l'intention d'être récités et entendus sous forme d’adoration.

 

Si l'Écriture est la Révélation de Dieu, on peut alors soutenir que remplacer le livre des Psaumes par un livre de cantiques revient à remplacer le Dieu des Écritures par une idole. Cependant, la transcription est destinée à être chantée (voir Recueil de Cantiques de CCG).

 

Dieu devient [le] salut. Il s'agit d'un processus en quatre étapes. Il commence par la reconnaissance de Dieu en tant que force dont l'homme est totalement dépendant et dans laquelle il entretient la relation la plus étroite possible avec Dieu. La deuxième étape est la réalisation que l'Écriture est Dieu dans la mesure où les humains peuvent expérimenter Dieu tel que révélé par l'Esprit Saint. La troisième étape est le salut par l'habitation de l'Esprit Saint, comme Dieu avec nous. La quatrième étape définit le salut : Il est mon Dieu.

 

L'état de salut est alors décrit. C'est de construire une demeure pour Dieu, c'est-à-dire de chanter les Psaumes de délivrance, les louanges d'Israël qui sont Sa demeure. Dieu a choisi d'habiter dans les élus en tant qu'Israël. Ils deviennent ainsi le Temple de Dieu. La récitation de la musique inspirée de la Bible par l'Esprit Saint, dans le culte est de construire efficacement le Temple de Dieu. Les temples humains sont liés par le lieu, et sont donc capables de monopole et éventuellement de corruption et de manipulation. Le Temple de Dieu est fait de fils de Dieu engendrés par l’Esprit qui adorent aux Sabbats ; ce temple démocratique, fugace et insaisissable qui vient aussi bien vers le haut que vers le bas par l’habitation de l'Esprit Saint, et qui contient également la présence de Celui qui est invisible. Enfin, le Temple de Dieu est fait de la récitation de l'Écriture, des louanges d'Israël, encore une fois potentiellement disponibles pour tous ceux qui ont une voix, un œil, une oreille ou un esprit. Je l'exalterai est un parallèle, une répétition de la pensée que je vais Lui construire une demeure.

 

L'apôtre Paul a peut-être atteint le sommet contemplatif de l'inimaginable vérité contenue dans ces expressions quand il a déclaré que les corps des élus en Christ sont le Temple de Dieu. L'apôtre Pierre est allé directement au cœur de la vérité en disant : “lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine” (2Pierre 1:4). 

 

Exode 15:3 L’Éternel est un vaillant guerrier l’Éternel est son nom.

 

L'hébreu utilise en fait le mot iish ou homme en référence au SEIGNEUR. Ce serait interpréter les Écritures de façon contraire à elles-mêmes que d'attribuer l'humanité à Dieu de quelque façon que ce soit. Nombres 23:19 dit clairement : Loo iish Eel, Dieu n'est pas un homme. L'expression pourrait être une référence elliptique à l'ange du SEIGNEUR, mais le contexte semble clair que le verset parle de Dieu Lui-même. En Hébreu, il n'est pas permis de séparer les deux mots d'une construction expressive, et ceci en est un exemple. L’analyse doit se faire sur la phrase entière iish milhaamaa, homme de guerre. En tant que tel, l'expression ne tient pas compte de l'humanité ou de son manque d'humanité. Il met l'accent sur la fonction militaire. Dans ce cas, la fonction militaire est celle du salut. L'expression a la portée que Dieu sauve.

 

La dernière moitié du verset révèle le nom de Dieu. Connaître le nom ou la réputation d'une personne (en Hébreu, le mot couvre les deux sens), donne accès à ce que cette personne peut faire en faveur de quelqu'un. L'humanité a besoin d'être délivrée à l'occasion, et le fait de connaître le Nom de Dieu, c'est savoir vers qui se tourner, en ayant la possibilité de se tourner vers Lui.

 

Exode 15:4-10 tel qu’expliqué, instille donc Dieu dans la parole de Dieu en tant qu’une partie inviolée de la nature de Dieu et c'est pourquoi ces gens qui ignorent ou qui forgent ou qui traduisent mal les Écritures, meurent spirituellement et sont envoyés à la Deuxième Résurrection.

 

La présence des Écritures et des enseignements Unitariens de l'Église en Arabie remontent également à des siècles avant Arius dans leurs doctrines. La Pentecôte de l’an 30 EC (Ère Courante) est alors l'histoire de la naissance de l'Islam Originel.

 

Dans la Sourate 2, il est fait mention d'une Mosquée Sacrée. Nous devons considérer que c'est le Mont du Temple. La Ka'aba était un sanctuaire païen à l'époque du prophète au VIIe siècle et plus de 360 idoles ont été enlevées de la Ka'aba au VIIe siècle.

 

Le mot utilisé pour la place de la Mosquée ou du sacrifice est juste un résumé ou un concept de tous les sacrifices dans le livre de Lévitique. L'animal pour les sacrifices décrits dans les Écritures doit être parfait, etc. Cela parle du Plan du Salut. La Génisse (signifiant vache) a été utilisée pour le sacrifice et se réfère spirituellement à la sanctification du Temple de Dieu, fonction qui a été accomplie par le Messie.

 

La plus grande partie de la Sourate 2 parle d'exemples d'échec à obéir à Dieu et du fait que nous devons nous repentir de nos péchés pour retourner ou revenir à Dieu. L'intention de cette sourate est interreliée ; ainsi il est difficile de trouver un seul ayat qui puisse être présenté et qui puisse avoir toute la compréhension transmise. Ainsi, cette Sourate doit être lue dans son intégralité et on doit prier pour sa compréhension. Cette Sourate traite de ceux qui enfreignent les Lois de Dieu et leur indique ce qu'ils doivent faire pour revenir à Son alliance. Nous voyons aussi que ceux qui entrent dans l’alliance ont promis à Dieu de se soumettre à Lui. La différence majeure entre les Chrétiens et l'Islam est Jésus et ses rôles de témoin, de médiateur de l'Alliance, de sacrifice unique et parfait, de premier fils engendré de Dieu dans la création spirituelle et de premier ressuscité d'entre les morts. Les soi-disant Chrétiens sont eux-mêmes divisés en éléments de distinction : le Christianisme Trinitaire et le Christianisme Binitaire ou Dithéiste, dont la plupart sont des adeptes du culte du dimanche et des cultes du mystère de Baal, et ceux des Sabbatariens qui ont été Unitariens depuis deux millénaires, et les Binitaires/Trinitaires qui ont corrompu le système Sabbatarien au cours des deux derniers siècles.

 

Dans l’ensemble, Q2.1-27 semble être une récapitulation du chapitre 1 de Romains à l'église arabe.

 

Alif lam mim. sont des signes répandus dans les écrits rabbiniques, et transmettent la signification du Salut de Dieu ou du Dieu des délivrances.

 

Cela peut être trouvé dans le Psaume 68:21 Notre Dieu est un Dieu qui sauve ; de [ADONAI Adonaï] vient la délivrance de la mort. (Traduction libre de la Bible CBJ)

 

L'origine du Bismillah peut être facilement trouvée parmi les Perses dont les livres sacrés commencent avec : Au nom de Dieu, juste et Miséricordieux.  Les Juifs disent : Au nom de Dieu ou au nom du grand Dieu.

 

Il y a des textes bibliques qui renforcent cette section et pour cette raison, elle fait office de portail du Coran, car elle identifie les élus et les serviteurs des démons et montre comment ces gens ne sont tout simplement pas autorisés à comprendre. Cet aspect est visible chez ces pseudo-Musulmans qui tentent d'empêcher une analyse correcte du Coran ou Qour’an.

 

Sourate 008 (2AH) Le Butin de Guerre Commentaire sur le Coran : Sourate 8 (No. Q008)

La Sourate 8 tire son nom de la phrase d'ouverture, déclarant que ‘tous les biens du monde appartiennent à Allah’ et qu’en tant que tels, ils doivent être traités comme la propriété de Dieu et doivent  donc être soumis à la dîme comme tous les autres biens selon les Lois Bibliques de la Dîme, comme Abraham l’a fait à Melchisédek, prêtre du Dieu Très-Haut à Jérusalem (Voir l'étude Le Prélèvement de la Dîme (No. 161)). En conséquence de cette activité, tout le peuple arabe est soumis à la dîme au Messie en tant que Souverain Sacrificateur de l’ordre de Melchisédek, étant dans les reins d'Abraham, y compris Lévi et l'ensemble du sacerdoce israélite, ainsi que ceux de l'Islam. Ceux-ci incluent aussi tous les fils de Sem, qui était prêtre de Dieu en tant que Melchisédek. Ainsi aussi les païens qui se sont convertis sont requis de faire la dîme. Dès le retour du Messie, le monde entier sera soumis au sacerdoce (voir Melchisédek (No. 128) et Commentaire sur Hébreux (F058)).

 

Le partage du butin entre les participants a eu lieu un mois après la Bataille de Badr, dans la Deuxième Année de l’Hégire et onze mois avant la Bataille du Mont Uhud (cf. Sourate 3), où l'ennemi du paganisé Qureysh est venu contre les Musulmans avec une force de 3000, et dans la Cinquième Année de l’Hégire, les clans alliés païens sont venus contre eux avec une force de quelque 10 000 pour assiéger Al-Médine dans la Guerre des Tranchées (dans la Sourate 33 : “Les Clans”).

 

Les versets qui clôturent la Sourate 8 sont datés ultérieurement et mènent au sujet de la Sourate 9 ; certaines autorités soutiennent que les versets 30 à 40, ou certains d'entre eux, ont été révélés à Becca juste avant l'Hégire. La distinction est faite en raison de la division des gens qui sont des ennemis, lesquels peuvent être épargnés par leur repentir en épargnant les élus de la foi.

 

La bataille mentionnée ici est à l'eau de Badr à Tabuk dans l'année précédant la bataille du Mont Uhud référencée à la Sourate 3. Une caravane de Becca sous les ordres d'Abou Sufyan de Quraych revenait de Syrie et craignant une attaque d'Al-Médine, a dépêché un chamelier à Becca pour demander une assistance urgente. La demande a dû arriver trop tard car le Prophète, à la tête des Musulmans, est arrivé et a annoncé la destination à l'avance, contrairement à la coutume.

 

Ibn Ishaq (apud Ibn Hisham) (cf. Pickthall) considère que les Musulmans ont voulu ce conflit, puisque le prophète a annoncé la destination avant le voyage, ce qui était contraire à ses habitudes. Ils ont traversé la vallée pendant trois jours et l'armée des Quraych de Becca a été envoyée (dans la région d'Al-Médine) pour punir les Musulmans qui ont prétendument attaqué la caravane. La bande musulmane de 313 hommes mal équipés et mal armés, a engagé l'armée alors qu'elle se dirigeait vers l'eau à Badr, contre la force Al-Médine.

 

Il pleuvait abondamment et les gens de Becca avaient du mal à avancer dans la boue, mais les Musulmans avaient moins de pluie et avançaient mieux, alors ils arrivèrent à l'eau de Badr et la sécurisèrent. Au même moment, Abu Sufyan et la caravane se dirigeaient également vers l'eau à Badr mais furent avertis à temps par ses éclaireurs de l'avancée musulmane et retournèrent vers la plaine côtière.

 

En dépit de ce qui a dû sembler être une évidence, le Prophète a autorisé les hommes de l'Ansar d'Al Médine à partir, car leur serment d'allégeance ne comportait pas de vœu de se battre dans le champ. Les Ansar furent simplement offensés par la suggestion qu'ils quitteraient le Prophète dans de telles circonstances. En outre, plusieurs membres du Qureysh, y compris tout le clan Zuhri, sont retournés à Becca lorsqu'ils ont appris que la caravane était en sécurité, car ils croyaient que le prophète et les Musulmans avaient été lésés à Becca.

 

Malgré cela, l'armée de la force du Qureysh était deux fois plus nombreuse que les Musulmans et était beaucoup mieux armée et équipée et ils s'attendaient à une victoire facile. Le document allègue (cf. Pickthall) que le Prophète, lorsqu'il les a vus affluer sur les collines de sable, a dit : “Ô Allah, voici Qureysh avec toute leur chevalerie et leur pompe qui s'opposent à toi et renient ton messager. Ô Allah ! Ton aide que tu m'as promise. Qu'Allah les fasse fléchir aujourd'hui !”

 

Les Musulmans ont été victorieux dans les combats singuliers avec lesquels les batailles arabes ont commencé, mais ils ont été durement éprouvés dans la mêlée générale qui a suivi. Le Prophète est rapporté comme s'étant tenu debout et ayant prié sous un linge. “Ô Allah, si cette petite troupe est détruite, il n'y aura plus personne dans le pays pour t'adorer !” Il tomba alors en transe et quand il reparla, il dit à Abou Bakr, qui était avec lui, que l'aide promise était arrivée. Il est alors sorti pour encourager les troupes. Il ramassa une poignée de gravier et courut vers les forces de Qureysh (apparemment presque à l'imitation de David) et cria : Les visages sont confus ! C'est à ce moment que la situation s'est inversée en faveur des Musulmans. Le chef du Qureysh et plusieurs de ses plus grands hommes ont été tués, beaucoup ont été faits prisonniers et leurs bagages et chameaux ont été saisis par les Musulmans. Ce fut un jour mémorable dans l'histoire des Musulmans et là, il est noté (apud Pickthall et al) qu'il y a eu beaucoup de réjouissances à Al-Médine.

 

Cependant, nous voyons de cette Sourate que les Musulmans sont avertis qu'il y aura des conflits beaucoup plus importants à venir. Ainsi nous avons vu dans la Sourate 3 au Mont Uhud l'année suivante avec 3000 ennemis et à la Bataille des tranchées, dans la Sourate 33 avec 10000 à la "Bataille des Clans". C'est sans doute que les avertissements ont été tirés de l'Esprit qui a inspiré la prophétie d'Apocalypse chapitre 2 concernant l'ère Pergame, à l'attention du Concile du Mouhammad de l'Église d'Arabie sous le Prophète. Christ a finalement ôté leur pied de lampe et leur a apporté l'épée de guerre contre eux, et les a détruits à plusieurs reprises à cause de leurs péchés et du paganisme. Le Messie le fera maintenant dans les Derniers Jours pour purger et convertir ces Pseudo-Musulmans paganisés. (Voir aussi les documents La Distribution Générale des Églises observant le Sabbat (No. 122) ; Le Rôle du Quatrième Commandement dans l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170) et Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).

 

Sourate 003 (3-4 AH)  Famille d'Imran Commentaire sur le Coran : Sourate 3 (No. Q003)

La Sourate 3 tire son nom de l'Imram ou Amram le père de Mariam, Moïse et Aaron (utilisé au verset 32), et se réfère à tout le ministère sous la famille de Lévi. Il est un nom générique pour tous les prophètes de la foi à partir de Moïse et Aaron, puis, à travers tous les prophètes jusqu'à Jean le Baptiste et au Messie, les apôtres, et les élus de l'Église de Dieu.  La foi se développe jusqu'au sacerdoce de Melchisédek avec Christ comme Souverain Sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek (No. 128) et tous les élus étant Sacrificateurs [prêtres] selon l'ordre de Melchisédek (voir aussi Commentaire sur Hébreux (No. F058)).

 

Le nom Mariam tel qu'il s'applique à la sœur de Moïse et d'Aaron est aussi le même nom appliqué à Mariam, la mère du Christ, dans la mesure où la mauvaise traduction pour Maria ou Marie a créé la confusion parmi autant ceux qui sont appelés Chrétiens que Musulmans. Maria (Mariah) était la sœur de Mariam et l'épouse de Clophas. La famille de Mariam, mère du Messie, avait aussi le sang lévitique par l'épouse du grand prêtre Zacharie de la huitième division d'Abijah et mère de Jean le Baptiste (cf. v. 35).

 

L'épouse d'Imram est nommée au verset 35 comme étant la mère de Marie, ce qui est contesté par la pensée mal informée qui entend par là que cela évoquait la mère du Christ comme étant Marie, ce qui est le but délibéré même du texte qui, aux versets 35-36, cite ces femmes comme portant le même nom. Marie, Mariam ou Marium (I, A et U sont utilisées de manière interchangeable dans les langues sémitiques) était une prophétesse et le premier-né d'Imram ou Amram et de Yochebed (Nombres 26:59). Ses trois descendants ont été mis à part pour être prophètes et protégés contre Satan comme le texte le dit. Mariam (Marie) est également nommée sœur d'Aaron (Sourate 19:28) tandis que Mariam est la vraie sœur d'Aaron mais le texte pour Mariam ou Marie, mère du Christ, s'adresse aussi à sa lignée lévitique comme sœur d'Aaron conformément à sa lignée comme fille d'Héli de David par Nathan et de Lévi par Schimeï, qu'ils transpercèrent selon les prophéties de Zacharie 12:12-14.

 

Le texte de la Sourate traite ensuite de Mariam (appelée Marie), la Mère de Christ le Messie et de sa place dans le plan du salut à partir des versets 42-61. Ainsi, la mise à part de la Famille d'Imram et de Yochebed devait se poursuivre jusqu'au Messie et aux élus de l'église qui sont mentionnés dans les textes du verset 61.

 

Les traditions revendiquent que les versets 1 à 34 ont été révélés à l'occasion de la députation des Chrétiens de Najran qui a eu lieu la Dixième année de l'Hégire (632) (appelée “l'année des députations”). Cependant, ils ne peuvent avoir été révélés que beaucoup plus tôt et n'avoir pu être récités que par le Prophète à cette époque-là. Les Juifs s'aigrirent après leur expérience à Badr. Le phénomène inverse qui s'est produit à Uhud, est mentionné à partir des versets 120 à 188. Ce revers aurait enhardi les Juifs. Ils ont désespérément tenté d'anéantir les Chrétiens Unitariens car ceux-ci étaient alliés aux Pauliciens de l'ouest, préoccupés par l'Empire byzantin, eux-mêmes devenus Unitariens sous certains empereurs (e.g. John Tzimiskes ; cf. Le Rôle du Quatrième Commandement dans l'Histoire des Églises de Dieu Observant le Sabbat (No. 170) ; cf. également La Distribution Générale des Églises observant le Sabbat (No. 122)). Les Trinitaires étaient loin de la menace que les Musulmans Chrétiens Unitariens constituaient pour les Juifs d'Arabie, car ils représentaient l'église Chrétienne originale et un plus grand défi pour eux.

 

La période de la Révélation de cette Sourate se situe dans les Troisième et Quatrième années de l'Hégire (624-625) et l'explication de la Bataille du Mont Uhud est donnée par Pickthall dans son introduction.

 

Dans la Troisième année de l'Hégire (624), les gens de Becca des sections idolâtres de Qureysh, avec une force de 3000 hommes sont venus contre Al-Médine pour se venger de leur défaite à Badr dans la Deuxième Année de l'Hégire (623), et exterminer les Musulmans. Le Prophète a initialement décidé de défendre Médine mais, sur l'insistance des compagnons, il est parti à la rencontre de l'ennemi sur le Mont Uhud en déployant soigneusement ses 1000 hommes. Il affecta un troisième sous Abdullah ibn Ubeyy qui déserta avant la bataille et qui a dit après la bataille qu'ils ne pensaient pas qu'il y aurait des combats ce jour-là et ainsi mérita le surnom “l'Hypocrite”.

 

La bataille avait bien débuté pour les Musulmans, mais elle s'est transformée en quasi défaite en raison de la présence d'une bande de cinquante archers chargés de garder un secteur important du champ de bataille. En voyant les Musulmans triompher, ils ont craint de perdre leur part du butin et ont abandonné leur poste pour s'installer à l'emplacement principal. Cela a ouvert le secteur qu'ils gardaient à la cavalerie de Becca qui a pu attaquer et infliger de graves pertes à la force Musulmane. Le Prophète lui-même a été blessé dans la lutte, et la troupe croyant qu'il avait été tué s'est démoralisée jusqu'à ce que quelqu'un le reconnaisse encore en vie et ainsi il mobilisa les troupes et leur permit de prendre une retraite en bon ordre. 

 

L'armée des Quraych s'est également retirée après la bataille et les femmes des chefs tribaux qui les avaient accompagnés sur le champ de bataille pour des raisons de moral, ont commencé à mutiler les Musulmans morts, fabriquant des colliers et des bracelets avec les oreilles et le nez des Musulmans tués.  Hind, la femme d'Abou Sufyan, a arraché le foie de l'oncle du Prophète et a commencé à le manger. En voyant cela, le Prophète a été poussé à faire vœu de représailles, mais une révélation importante lui a été accordée et, par conséquent, la mutilation a été interdite à tous les Musulmans. Ainsi, tout Musulman qui autorise ou tolère la mutilation de soldats et de morts démontre qu'il n'est pas un vrai Musulman et qu'il doit être puni pour cette infraction.

 

Le lendemain de la Bataille du Mont Uhud, le Prophète est sorti avec les survivants de la Bataille, y compris de nombreux blessés, pour tenter de convaincre les Quraych qu'ils étaient capables de défendre Al-Medina et les dissuader de lancer une attaque. La tradition prétend qu'un nomade ami a croisé le bras armé du Prophète et a, par la suite, fait la rencontre des Quraych et a dit à Abu Sufyan qu'ils étaient en bon ordre et en plus grand nombre et voulaient leur revanche, et ainsi ce rapport persuada les Quraych sous Abu Sufyan de se retirer à Becca.     

 

Sourate 62 (2-4 AH) La Congrégation Commentaire sur le Coran : Sourate 62 (No. Q062)

Al-Jumaah “La Congrégation” est l'assemblée commandée de la foi pour l’adoration le Jour du Sabbat qui est lié à la foi et à l'alliance figurant à la Sourate 4:154.

 

La référence vise le verset 9. Le Prophète prêchait dans la Mosquée selon la tradition. Cela dit, on a renoncé à mettre l'accent sur le Sabbat et on a mis l'accent sur la période de préparation de l'après-midi du Sixième Jour de la semaine, et cela a été appelé le Jumaah et non plus la congrégation du Sabbat du Septième jour de la Semaine, comme le préconise la Sourate 4 et dans d'autres textes. Cet aspect est couvert dans le document Le Juma'ah : La Préparation pour le Sabbat (No. 285).

 

C’était le même péché démoniaque que celui perpétré par les Trinitaires lors de leur changement pour passer au culte du Dimanche de Baal. À cet égard, le Hadith n'a pu le faire passer à la période de préparation pour le Sabbat qu'au VIIIe siècle.

 

Ils se sont appuyés sur la tradition selon laquelle le Prophète et la congrégation priaient à la Mosquée lorsqu'une caravane fit irruption à Al-Médine au son des tambours. La congrégation s'est interrompue pour la regarder, à l'exception des douze membres du noyau de la foi qui étaient probablement le conseil de l'église. Selon Pickthall parlant d'une tradition, il s'agissait d'une caravane de Dahyah al-Kalbi qui serait devenu Musulman la Cinquième année après l'Hégire et qui aurait donc dû avoir lieu avant l’an 627 EC. Pickthall l'attribue entre 2 et 4 AH ou 624-626 EC.

 

Toutefois, l'application au Vendredi en tant que Juma'ah n'a eu lieu que bien après les Quatre Califes Correctement Guidés, le meurtre de Ali et de Hussein, et la répression et suppression de la vraie foi en Arabie et en Perse.

 

Le remplacement du Sabbat par les prières du Vendredi après-midi est une hérésie et empêchera tous ceux qui la suivent et qui n’observent pas le Sabbat d'entrer dans la Première Résurrection.

 

Sourate 004 (4AH) Femmes Commentaire sur le Coran : Sourate 4 (No. Q004)

La Sourate 4 traite de la fidélité de l'Église envers Christ et le Septième Commandement.

 

Exode 20:14 Tu ne commettras point d’adultère.

 

Le verset 1 se rapporte à Adam et Ève, ainsi qu'au Cinquième Commandement et au devoir envers la famille.

 

C'est ainsi que nous avons progressé de la famille et de la responsabilité envers la création depuis Adam et Ève et l'Armée Humaine, jusqu'au développement de la foi dans la fidélité envers le Temple de Dieu et le Messie en tant que Souverain Sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek. Nous passons de la sanctification de la génisse Rousse, ou Rougeâtre, à la génisse Dorée ou Glorifiée élue de la Sourate 2 (comme dans Q002), à la Famille des Prophètes et Prêtres en tant que fils de Imram et Yochebed des élus dans la Sourate 3 (Q003). Nous en arrivons maintenant à la fidélité de l'espèce humaine à Dieu et à la famille et à la foi, dans la Sourate 4 (Q004) en tant qu'Épouse du Christ. Ainsi le titre est intitulé Femme en tant que mère de l'humanité et en tant que l'Épouse du Christ qui est l'Église de Dieu. Le texte traite des “Droits des femmes” en tant que noyau de la famille dans l'éducation et la protection des jeunes.

 

La Sourate aurait été révélée après la Bataille d'Uhud, et reprend la séquence dans sa conclusion logique pour le développement de la foi. Les pertes subies lors de la Bataille du Mont Uhud ont nécessité que la question des soins aux veuves et aux orphelins soit abordée et que des leçons soient tirées de ce problème au regard des Lois de Dieu dans les Écritures. Cela se serait produit entre la fin de la Troisième année et la fin de la Cinquième année du règne concile sous le Prophète à Al-Médine (cf. Noldeke). Pickthall note Noldeke, mais affirme que cela est plus vraisemblable entre la fin de la Troisième année et le début de la Cinquième année, dans son introduction à la Sourate 4.

 

La déclaration concernant les orphelins fait suite à la perte des troupes, mais aussi les Arabes Païens n'ont pas accordé de droits aux femmes, comme ils ne le font toujours pas jusqu’à aujourd’hui, même en prétendant être Musulmans, ce qui est faux. C'est ainsi que le texte fait écho aux Droits des Femmes dans les Écritures.

 

Les pertes à Uhud ont été principalement causées par la défection des “hypocrites” qui représentaient un tiers de leur nombre, comme nous l'avons vu dans l'introduction à la Sourate 3. Ce terme a alors été appliqué au tempérament tiède ou au temps passé à servir les gens dans la foi. Dans les derniers jours, l'un des deux éléments de l'Église qui doivent être retirés de la Première Résurrection est les Tièdes des Laodicéens en plus des “Morts” des Églises “Vivantes” du système de Sardes des Derniers Jours (voir l'étude Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).

 

Sourate 59 (4AH) L’Exil Commentaire sur le Coran : Sourate 59 (No. Q059)

Al-Hashr L'exil tire son nom des versets 2 à 17 qui font référence à l'exil du Bani Nadir. Il s'agissait d'une tribu Juive d'Al-Medine qui a été impliquée dans la trahison et le meurtre projeté du Prophète. Leurs biens ont également été confisqués. Les Hypocrites, comme étaient appelés les Musulmans tièdes (comme le sont aussi les Laodicéens des Derniers Jours), sympathisaient en secret avec ces Juifs. L'opposition des Hypocrites aux Musulmans s'était renforcée depuis les revers du Mont Uhud. Cependant, lorsque les Musulmans marchèrent contre le Bani Nadir installé dans leurs tours fortes, les Hypocrites ne firent rien. Quand finalement les Juifs furent réduits et exilés, les Hypocrites ne firent rien et ne les accompagnèrent pas en exil malgré leurs assurances antérieures.

 

La date de la Sourate correspond à la Quatrième année de l'Hégire ou 625 EC (de notre ère).

 

Sourate 63 (4 AH) Les Hypocrites Commentaire sur le Coran : Sourate 63 (No. Q063)

Al Munafiqun “Les Hypocrites” tire son nom du mot du premier verset.  Le verset 8 renvoie à une remarque d'Abdullah Ibn Ubeyy, le leader “Hypocrite”. Il exprima le désir que la vieille aristocratie de Yathrib, dont il était le chef reconnu, puisse reprendre l'ascendant et fasse sortir les réfugiés de Becca qu'il considérait comme des intrus. La date de la Sourate est censée correspondre à la Quatrième année de l'Hégire ou 625/6 EC.

 

Sourate 58 (4-5 AH) La Femme qui Dispute Commentaire sur le Coran : Sourate 58 (No. Q058)

Al-Mujadilah La Femme qui Dispute tire son nom d'un mot au verset 1.  

 

Une femme vint voir le Prophète avec une plainte spécifique selon laquelle son mari l'avait mise à la porte sans aucun motif valable en utilisant une vieille formule païenne, disant que son dos était pour lui comme le dos de sa mère et elle contesta avec le Prophète car il ne voulait rien faire avant que la révélation ne lui fût donnée dans cette Sourate. Il existe une brève référence à cette méthode pour se débarrasser des femmes que l’on peut trouver dans la Sourate 33:4. Par conséquent, cette Sourate doit avoir précédé la Sourate 33 telle que le Musulman l'a vue. Le Prophète et l'Église ont statué sur le fait que les femmes ne pouvaient pas être répudiées pour un mensonge et qu’aucune ne pouvait avoir le statut de mère sauf celles qui leur ont donné naissance ou ont été une mère réelle pour eux comme épouse de leur père (1Corinthiens 5:5).

 

La Sourate est révélée la même année que la Sourate 33, dans la Quatrième ou Cinquième année de l’Hégire de 625 à 626 EC.

 

Sourate 65 (5-6 AH) Le Divorce Commentaire sur le Coran : Sourate 65 (No. Q065)

At-talaq tire son nom des textes des versets 1 à 7. Elle contient un amendement aux lois sur le divorce, exposées dans la Sourate 2. 

 

La tradition voudrait qu'il s'agisse d'une erreur commise par Ibn Omar lors de son divorce, qui aurait eu lieu la Sixième année de l'Hégire. Cependant, d'autres ont relaté que le Prophète ne citait que cette Sourate qui avait déjà été révélée. Ainsi, la datation est la Sixième année de l'Hégire (627 EC) ou un peu plus tôt.

 

Sourate 024 (5-6 AH) La Lumière Commentaire sur le Coran : Sourate 24 (No. Q024)

La Sourate 24 An-Nur, La Lumière tire son nom des versets 35 à 40. Elle est considérée comme descriptive de la Lumière de Dieu telle qu'elle doit resplendir dans la maison des disciples comme l’estime Pickthall ; la plus grande partie de la Sourate étant la législation pour la purification de la vie domestique. Il y a deux traditions relatives à la Sourate. Il est convenu que la Sourate a été révélée dans les Cinquième et Sixième années de l'Hégire qui fût en 626 et 627 EC. La deuxième tradition, plus fragile, la situe dans la Neuvième année de l’Hégire (i.e. en 630/31).

 

Les versets 11 à 20 se rapportent à la calomnie d'Ayeshah, la jeune épouse du Prophète, qui a été abandonnée lors d'une marche de retour de la campagne contre les Bani'l-Mustaliq. Elle a été retrouvée par un jeune soldat qui l'a montée sur son chameau pendant qu'il marchait et le conduisait. N'oublions pas qu'il ne faut pas sous-estimer la capacité de diffamation arrogante de la communauté religieuse.

 

Les Écritures prévoient la réglementation de la Communauté en tant que Loi de Dieu. L'église a la capacité de dispenser la justice avec miséricorde et donc certaines punitions sont limitées. Par exemple, la lapidation à mort est limitée et remplacée par les exemples de miséricorde du Christ avec le fouet plutôt que par la mort.

 

Sourate 33 (5-7 AH) Les Clans Commentaire sur le Coran : Sourate 33 (No. Q033)

Nous avons vu plus haut, que les Sourates 3 et 8 se réfèrent aux batailles précédentes de Badr et du Mont Uhud, et traitent des opérations des idolâtres de Becca contre les Musulmans. Le chef de Becca était Abu Sufyan et ils ont continué sous son commandement dans les batailles de la Guerre des Tranchées et les Batailles des Clans révélées dans cette Sourate 33.

 

La Sourate Al Ahzab tire son nom de l'armée des clans alliés qui sont venus contre les Musulmans à Yathrib ou Al Médine la Cinquième année de l’Hégire (Versets 9 à 25). Le Prophète avait expulsé certains des Bani Nadir, une tribu Juive de Yathrib, pour trahison (cf. Sourate LIX). Ces Juifs se rendirent d'abord chez les chefs des Quraych à Becca, puis chez la grande tribu du désert des Ghatafan pour se faire aider dans leur extermination des Musulmans. Ils ont promis aux Juifs de Yathrib de les aider. Le résultat fut que les Quraych avec tous leurs clans et les Ghatafan avec tous leurs clans marchèrent contre les Musulmans avec l'intention de détruire leur force à Yathrib et de les exterminer.

 

Lorsque la nouvelle fut transmise au Prophète, il ordonna qu'une tranchée soit creusée devant la ville et dirigea lui-même les excavations. La Tranchée, qui a donné son nom à la guerre, a été achevée à l'arrivée des 10000 hommes de l'armée des clans. L'armée du Prophète était forte de 3000 hommes et celle des clans de 10000 et la Tranchée était entre elles.

 

Pendant près d'un mois, les Musulmans ont été soumis à des pluies incessantes de flèches et ont été constamment menacés par des attaques massives de forces beaucoup plus puissantes qu'eux. Puis la tribu Juive des Bani Qureyzah sur leurs arrières rompit son alliance avec les Musulmans et fit alliance avec les Qureysh. L'affaire fut sérieuse.

 

Les femmes et les enfants avaient été placés dans des tours semblables aux tours-remparts du nord de l'Angleterre. Chaque famille en avait construit une pour se protéger des raids. Elles n'étaient pas gardées et beaucoup de Musulmans ont demandé d'envoyer une partie de leur nombre pour garder les familles. Les Bani Qureyzah n'avaient pas encore manifesté leur trahison car les clans n'étaient pas encore assurés de la victoire.

 

La cause Musulmane semblait désespérée.

 

Un sympathisant Musulman dans le camp ennemi a semé la méfiance entre les Bani Qureyzah et les chefs des Clans. La Tranchée était un formidable obstacle inattendu et à ce moment critique, un vent violent et glacial souffla de la mer pendant trois jours et trois nuits et ils ne purent ni entretenir un abri ni faire de la cuisine ni allumer un feu. Abu Sufyan, le chef du Quraych, leva alors le siège. Le lendemain matin, voyant qu'ils étaient partis, les Ghatafans se retirèrent eux aussi dans leurs zones tribales.

 

Le lendemain, lorsque les Musulmans sont revenus de la Tranchée, ils ont assiégé les Juifs traîtres des Bani Qureyzah installés dans leurs tours de refuge, au cours d'un siège qui s'est étendu sur vingt-cinq jours. Lorsqu'ils se rendirent enfin, la tribu d'Aus, dont les adeptes étaient les Juifs, demanda au Prophète de faire preuve de la même bienveillance qu'il avait eue envers la tribu de Kharaj dans le cas des Bani Nadir, en leur permettant d'intercéder pour leurs proches.

 

Le Prophète leur demanda s'ils voulaient que l'un des leurs décide à leur sujet. Ils acceptèrent et il nomma Sa'd Ibn Mu'adh, l'un des grands chefs de l'Aus qui avait été blessé et qui se faisait soigner à la Mosquée.

 

Sa'd a ordonné que leurs hommes soient mis à mort. Leurs femmes et leurs enfants furent faits prisonniers et leurs biens répartis entre les Musulmans selon la volonté du Prophète. Notez qu'il avait déjà donné les instructions de dîme exigibles de la guerre conformément à la dîme de 20% pour les pauvres, de la Troisième année (cf. Sourate 8). Les versets 26 et 27 se réfèrent à la punition du Bani Qureyzah. Ce témoignage est dérivé de celui d'Ibn Kaldun que Pickthall utilise comme étant meilleur que le témoignage plus répandu d'Ibn Hisham.

 

Comme nous l'avons vu, la Sourate 8 tire son nom de la phrase d'ouverture déclarant que toutes les choses dans le monde appartiennent à Allah et que comme telles elles doivent être traitées comme la propriété de Dieu et doivent donc être soumises à la dîme, conformément aux Lois Bibliques de la dîme, comme Abraham a donné la dîme à Melchisédek, Prêtre du Dieu Très Haut à Jérusalem (voir l'étude Le Prélèvement de la Dîme (No. 161). En conséquence de cette activité, tout le peuple arabe est sujet à la dîme au Messie en tant le Souverain Sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek, étant dans les reins d'Abraham incluant Lévi et la totalité du sacerdoce Israélite aussi bien que ceux de l'Islam. Cela inclut aussi tous les fils de Sem qui était prêtre de Dieu selon l'ordre de Melchisédech. Ainsi aussi les païens de la conversion sont requis de faire la dîme. Dès le retour du Messie, le monde entier sera soumis au sacerdoce. (voir Melchisédek (No. 128) et Commentaire sur Hébreux (F058)).

 

Le partage du butin entre les participants a eu lieu un mois après la bataille de Badr, la deuxième année de l'Hégire et onze mois avant la bataille du Mont Uhud (cf. Sourate 3) où l'ennemi païen Quraych est venu combattre les Musulmans avec une force de 3000 personnes, et au cours de la cinquième année de l'Hégire, les clans alliés païens ont assiégé Al-Médine avec 10,000 personnes environ, dans la Guerre des Tranchées mentionnée dans cette Sourate.

 

La Bataille de Badr à Tabuk a eu lieu l'année précédant la bataille du Mont Uhud mentionnée dans la Sourate 3. Une caravane de Becca sous les ordres d'Abou Sufyan du Qureysh, revenait de Syrie et, craignant une attaque d'Al-Madinah, a envoyé un chamelier à Becca pour demander une assistance urgente. Les références historiques sont dans la Sourate 8 ci-dessus.

  

Cependant, nous voyons de la Sourate 8 que les Musulmans ont été avertis qu'il y aurait des conflits beaucoup plus importants à venir. C'est ainsi que nous avons vu dans la Sourate 3 au Mont Uhud l'année suivante, avec 3000 ennemis et maintenant, à la Bataille des Tranchées dans la Sourate 33 avec 10000 dans la “Bataille des Clans”. Comme nous l'avons vu précédemment, il n’y a aucun doute sur le fait que les avertissements ont été inspirés par l'Esprit qui a fait connaître la prophétie d'Apocalypse chapitre 2 concernant l'ère Pergame, ère de laquelle elle faisait partie, au Concile du Mouhammad de l'Église de l'Arabie sous le Prophète. Les prophéties du Prophète dans la Sourate 30 Romains, ont fait allusion aux victoires de ces batailles ultérieures.

 

Dans la Troisième année de l'Hégire (624), les gens de Becca des sections idolâtres de Quraych avec une force de 3000 hommes, sont venus contre Al-Médine pour se venger de leur défaite à Badr la Deuxième année de l'Hégire (623) et exterminer les Musulmans. Les détails de la séquence de la bataille du Mont Uhud sont contenus dans le texte de la Sourate 3, page 44 ci-dessus. Cependant, à partir des Sourates 003 et 033, une révélation importante a été donnée au Prophète et, par conséquent, les mutilations ont été interdites à tous les Musulmans. Ainsi, tout musulman qui autorise ou cautionne la mutilation de soldats et de morts montre de ce fait qu'il n'est pas un vrai Musulman et doit être puni pour cette infraction.

 

Malheureusement, cette barbarie existe encore aujourd'hui chez les Arabes.

 

Une autre leçon importante a été tirée de cette Sourate 33. Au verset 37, nous trouvons une référence au malheureux mariage de Zeyd, homme de main et fils adoptif du Prophète, avec Zeynab, cousine du prophète et noble femme du Quraych.

 

Le Prophète a arrangé le mariage avec l'idée de faire tomber les anciennes barrières de l'orgueil et de classe sociale, et a fait abstraction des sentiments de Zeynab.

 

Les traditions soutiennent qu'elle et son frère se sont opposés au mariage et qu'elle a en réalité souhaité épouser le Prophète. Pickthall note aussi que pour Zeyd, le mariage ne fut rien d'autre qu'une honte et une humiliation.

 

Lorsque le Prophète a été mis au courant de la situation, il les a exhortés à rester ensemble, selon la tradition, pour sauver la face. Zeyd divorça de Zeynab et le Prophète fut encouragé à épouser Zeynab.

 

Dans cette affaire, l'église a été forcée de rejeter l'adoption comme un processus valide. Ainsi, la femme d'un fils adoptif n'était pas soumise aux mêmes restrictions qu'un fils naturel. Cela semble contraire à l'Écriture ainsi qu’aux limitations imposées au mariage du père ou de l’épouse d'un fils naturel, contrairement à 1Corinthiens 5:5.

 

Dans le mariage, il a également été établi que la volonté de la femme doit être prise en compte. Ainsi, les mariages forcés Islamiques modernes sont contraires à l'Islam. Un mariage malheureux est considéré comme contraire à la volonté de Dieu et donc, bien que les Écritures soient claires sur le fait que le divorce est une violence envers la famille et que Dieu le hait, il doit être permis dans certaines circonstances dans la foi. 

 

Sourate 005 (5-10 AH)  La Fête ou la Table Servie Commentaire sur le Coran : Sourate 5 (No. Q005)

Le nom de la Sourate découle du Second Sacrement de la Foi qui suit le Baptême. C'est Le Dîner du Seigneur et cela signifie la Fête ou la Table Servie. Le texte symbolisait le Lavement des Pieds, le Pain et le Vin, de la principale fête de la foi qui se déroulait le soir à la fin du 13 Abib en commençant le Dîner du Seigneur le 14 Abib avant que Christ ne soit tué en tant que l'Agneau de la Pâque à 15 heures le 14 Abib, et mis au tombeau avant la noirceur, commençant le 15 Abib qui est le jour de la Pâque et qui a débuté la phase du Signe de Jonas et l'Histoire de la Reconstruction du Temple (No. 013). Cela fait référence au symbolisme du Dîner du Seigneur établi pour le Sacrifice du Christ et est dérivé des versets 112 et suivants.

 

Les Pseudo-Chrétiens appellent cela l'Eucharistie, mais ils ont trivialisé l'extrême sainteté de ce sacrement annuel par une prestation hebdomadaire du sacrement, le dimanche, développée à partir des Cultes de Baal ou du Soleil, et le culte de la Déesse Ishtar dont le festival était aussi institué les vendredi et dimanche, du mois du système de Pâque. Les Arabes paganisés du Hadith ont perdu toute la compréhension du symbolisme et de la sainteté du Dîner du Seigneur et pour cette raison, ils se verront consignés à la seconde résurrection des infidèles et hérétiques. Ils ont aussi corrompu le Sabbat en une hérésie du Vendredi, alors qu'à partir de la Q004, nous voyons que le Sabbat ou le Septième Jour de la semaine est lié à l'Alliance.

 

Il y a deux références, la première est au verset 3, qui annonce l'accomplissement de leur religion de ceux de la Soumission, qui est symbolisé par le Dîner du Seigneur et est le parachèvement de la Foi. Aussi le dernier texte a été énoncé comme le dernier de nos devoirs, et le dernier texte à la fin de la Sourate fait référence aux derniers commentaires faits par le Prophète lors de sa dernière visite à Becca. C'était la “Visite d'Adieu” quand il a parlé aux milliers de personnes rassemblées à “Arafat”. Noldeke suppose que deux autres versets proches sont de la même date à la fin, avant sa mort, et la conversion de l'Arabie. Pickthall est d'accord avec Noldeke. Rodwell a placé ce texte comme étant la dernière Sourate de la Révélation, comme le note Pickthall, mais il est mieux [placé] ici car il s'inscrit plus correctement dans la séquence de la révélation.

 

Le Baptême est le Premier Sacrement ainsi que notre admission à la foi, et le Dîner du Seigneur (Le Dîner du Seigneur (No. 103)) est notre confirmation annuelle et définitive de notre alliance avec Dieu en tant que serviteurs du Christ et prêtres de l'ordre de Melchisédek (cf. les études Melchisédek (No. 128) et 128B) et Commentaire sur Hébreux (F058).

 

C'est notre alliance et la confirmation de notre Soumission à Eloah en tant que le Seul Vrai Dieu. Dans le texte ici, nous soulignons que le texte du Coran utilise la forme Arabe dérivée de l'Araméen Oriental, qui est dérivée du Chaldéen Elahh. Dans la langue Arabe du Coran, c’est Allah’ ou Al Lah’ (les deux sont rendus comme Allah, ce qui signifie en réalité “La Puissance” ou “La Déité” comme le fait également l'Hébreux Eloah (Chald. Elahh) qui seul est le Seul Vrai Dieu. Lui seul est Ha Elohim en tant que Le Dieu, le centre de la pluralité des elohim, qui sont tous fils de Dieu de l'Armée céleste (cf. Job 38:4-7 ; Esdras 4:23-7:26).

 

Sourate 48 (6 AH) Victoire Commentaire sur le Coran : Sourate 48 (No. Q048)

Al Fath tire son nom du mot Fath ou Victoire.  Pickthall soutient qu'il ne fait pas référence à la conquête de Becca, mais à la trêve d'Al Hudeybiyeh, qui semblait à l'époque être un revers pour Al Islam, mais qui s'est en fait révélé être leur plus grande victoire.

 

Au cours de la Sixième année de l'Hégire (622 ou 627/628 EC), le Prophète partit avec quelque 1400 fidèles d'Al Médine et des alentours, en habit de pèlerin, non pour y combattre mais, selon les allégations, pour visiter la Ka'abah. Lorsqu'ils s'approchèrent de Becca, on les avertit que les Quraych avaient rassemblé leurs alliés contre eux. Leur cavalerie sous Khalid ibn Al Walid occupait la route devant eux. Ils ont fait un détour par les ravins des collines et se sont réfugiés dans la vallée de Becca et ont campé à Al Hudeybiyah en contrebas de la ville. Le Prophète refusa de livrer bataille et tenta à plusieurs reprises des pourparlers avec les Quraych, qui avaient eux-mêmes juré de ne pas permettre aux Musulmans d'atteindre la Ka'abah. Les Musulmans ont été en danger pendant tout ce temps. En raison de ses relations de clan et de son influence, Othman ibn'Affan fut envoyé dans la ville. Il fut arrêté par les gens de Becca et (selon Ibn Hisham partie II, pp. 176-178) la nouvelle selon laquelle il avait été assassiné était parvenue au camp des Musulmans.

 

C'est donc à ce moment-là que le Prophète, assis sous un arbre, a fait prêter serment à ses camarades (cité au verset 18) (cf. Ibn Hisham ibid., p.179 ; cf. aussi Pickthall). Ils ont juré qu'ils se tiendraient ensemble et se battraient jusqu'à la mort. Puis ils apprirent que la nouvelle de la mort d'Othman était fausse, et les Quraych acceptèrent une trêve avec des conditions qui leur étaient favorables. Les termes allégués étaient que le Prophète et ses gens devaient abandonner le projet de visiter le sanctuaire cette année-là, mais qu'ils entreprendraient le pèlerinage l'année suivante lorsque les idolâtres évacueraient Becca pour une période de trois jours pour leur en faire bénéficier.

 

Pickthall cite Ibn Khaldum en ces termes : Et il n'y a jamais eu de victoire plus grande que cette victoire ; car, comme le dit Az-Zuhri, quand il s'agissait de guerre, les deux camps ne se rencontraient pas ; en revanche en cas de trêve, et que la guerre imposait ses fardeaux, les gens se rassemblaient, les uns les autres, se voyaient, se sentaient en sécurité, puis se retrouvaient et disputaient dans les échanges et dans les discussions. Et aucun homme n'a parlé d'Al Islam à un autre, mais ce dernier l'a adopté, de sorte qu'ils sont entrés dans Al Islam pendant ces deux années (c'est-à-dire entre Al Hudeybiyah et la rupture de la trêve par Quraych) comme tous ceux qui y avaient adhéré avant ou plus (Ibn Khaldun, Tarikh Additif de la Partie II Bulaq 1284 AH après Ibn Hisham, cf. Pickthall)).

 

La trêve a été rompue par les Quraych qui voyaient la paix se détériorer et avaient perdu un grand nombre de convertis à Al Islam, ce qui était sans aucun doute le but des forces du Prophète qui visitaient Becca, sanctuaire idolâtre. La Sourate est datée de cette Sixième année de l'Hégire.

 

Sourate 61 (6AH) Les Rangs Commentaire sur le Coran : Sourate 61 (No. Q061)

As-Saff Les Rangs, tire son nom d'un mot du verset 4. Elle est censée avoir été révélée à Becca. Si tel devait être le cas (selon Pickthall), elle a alors dû être révélée pendant que le Prophète et ses compagnons campaient dans la vallée de Becca au moment où la trêve de Hudeybiyah était en négociation, étant donné que son contenu se réfère manifestement à la période Al-Médine. Traditionnellement, une partie du texte est rattachée à cette période. Ainsi elle est attribuée par Pickthall et d'autres, comme étant de la Sixième année de l’Hégire en 627/8 de l'ère courante.

 

Cette Sourate est une grande pierre d'achoppement pour l'Islam. L'utilisation du mot Ahmad, qui signifie le Consolateur ou l'Esprit Saint, est incorrectement appliquée comme étant un nom du Prophète quand celui qui est loué au verset 6 est associé au Christ, et fait référence au Consolateur en tant que L'Esprit Saint, lequel a été annoncé par Christ et rendu disponible par son sacrifice et acceptation en tant que l'Offrande de la Gerbe Agitée, le Dimanche matin devant le Trône de Dieu. Il est revenu cet après-midi-là vers les apôtres avec le pouvoir de leur transmettre l'Esprit Saint (cf. Jean 20:22 ; et voir le document Les Quarante Jours Suivant la Résurrection de Christ (No. 159A)).

 

Pickthall confirme ce malentendu par lequel il est lui-même corrompu et qui apparaît dans sa note de bas de page 1 du verset 6 (p. 583) et il impute ensuite ce malentendu comme étant accepté par de nombreuses communautés Chrétiennes de l'Orient, lesquelles le considèrent comme un prophète à venir ; puis il dit “et la plupart ont accepté Mouhammad comme ce prophète” ; ce qui est en soi une déclaration manifestement fausse sur plusieurs points. Cela implique un rejet total du but fondamental du Messie, consistant à rendre L'Esprit Saint disponible à l'humanité à la Pentecôte de l’an 30 EC, ce qui est le but premier et l’intention de la présente Sourate.

 

Aucune autre erreur de compréhension et de fausse doctrine n'a fait plus de mal à la foi que cette hérésie en Arabie.

 

Sourate 60 (8 AH) La Femme devant Passer une Expertise Commentaire sur le Coran : Sourate 60 (No. Q060)

Al-Muntahanah "Celle qui doit être évaluée" tire son nom du verset 10 où ils doivent examiner les femmes qui viennent à eux en prétendant être converties à l'Islam, et si elles sont trouvées sincères, elles ne doivent pas être renvoyées aux idolâtres.

 

Cette Sourate était une modification majeure des termes de la Trêve de Hudeybiyah qui obligeait le Prophète à accepter les termes selon lesquels l'Islam sous le Prophète devait rendre tous les fugitifs aux idolâtres, hommes et femmes, tandis que les idolâtres ne seraient pas tenus de remettre les renégats d’Al-Islam.

 

Ces termes, sous la Loi biblique, étaient incorrects et ont dû être révoqués aussi tôt que possible.

 

Pickthall soutient que cela est à cause des persécutions les plus terribles auxquelles les femmes devaient faire face si elles étaient extradées et de leurs conditions sociales sans défense qui ont été la cause des accusations, mais les raisons sont clairement indiquées dans la Loi Biblique qui prévoit le non renvoi des domestiques à leurs maîtres s’ils demandent asile en Israël, tant la Nation que la foi.

 

Les femmes réfugiées qui sont sincères et ne sont pas des fugitives de crime ou de querelles familiales, pouvaient recevoir une indemnité de la part des Musulmans, mais pour les femmes musulmanes qui s'étaient enfuies vers les Quraych, aucune indemnité ne devait leur être versée. Cependant, l'État Islamique prévoyait qu'à l'inverse de la fortune, les indemnités seraient versées par l'État Islamique quelle que soit la nature des biens que leurs épouses auraient pris sur leur propriété commune.

 

Les femmes qui cherchaient refuge ont dû faire un vœu qui est mentionné au verset 12 de la Sourate.

 

La Sourate a été révélée dans la Huitième année de l'Hégire (629/30 EC).

 

Sourate 57 (8-9 AH) Le Fer Commentaire sur le Coran : Sourate 57 (No. Q057)

Al-Hadid “Le Fer” tire son nom d'un mot du verset 25. La mention au verset 10 de la "Victoire" est soutenue par Pickthall pour faire référence à la conquête de Becca. Noldeke la considère plutôt comme une référence à la Bataille de Badr, (G. Des Qorans, 2ème éd. Pt. 1, Lepzig 1909, p. 195) ; ce que Pickhtall tient pour impossible car le texte stipule que les Musulmans ont dépensé et se sont battus, et aucun ne l'avait fait antérieurement à Badr. Bien qu'il y ait eu plusieurs personnes qui ont été persécutées avant le Premier Hégire en 613 qui semblent être ignorées (cf. Introduction à la Sourate 19  “Maryam”).

L'un ou l'autre laps de temps est donc possible. Pickthall considère qu'elle a été écrite dans la Huitième ou Neuvième année de l’Hégire (629/30), alors que Noldeke la placerait dans la Quatrième ou Cinquième année de l'Hégire (de là 626/7). C'est dans tous les cas une Sourate post-Becca.

 

Sourate 009 (9 AH) Le Repentir etc. Commentaire sur le Coran : Sourate 9 (No. Q009)

La fonction de la Sourate 9 “Le Repentir” et son positionnement après la Sourate 8 “Le Butin” a deux buts. L'un est qu'elle montre la responsabilité de la foi dans le soutien des veuves et des orphelins à partir du butin sur le modèle des pauvres, en raison de la dîme de la Troisième année. Le deuxième but est de montrer la fonction du Calendrier et des quatre mois sacrés qui doivent être préservés. Les 12000 Arabes paganisés de la Bataille Post-Becca contre les Bédouins à Hunayn montrent le manque de Repentir et la faiblesse en comparaison aux 300 sous le commandement du Prophète à Badr et Tubuk. Cela indiquait la destruction de l'Islam par les Hadiths.

 

La Sourate 9 est appelée “Le Repentir” (At Taubah) d'après le verset 104. Elle est aussi souvent appelée Al Bara'at l'Immunité, tiré du mot commençant le verset 1. C'est ainsi que se forme la déclaration d'Immunité d'obligation envers les idolâtres, qui est également rendue “Répudiation” à partir de ce terme. Le repentir est une réflexion introspective pour perfectionner l'individu. Le concept de répudiation s'oppose à celui du repentir de l'individu. La répudiation entraîne la persécution de ceux qui diffèrent, ce qui identifie le bain de sang qu'est l'Islam moderne. 

 

La Sourate a été portée à Becca dans la 9ème Année de l’Hégire par Abou Bakr en tant que leader et lue à la multitude là-bas par Ali et signifiait ce que l'on espérait être la fin de l'idolâtrie en Arabie. Les pseudo-Musulmans païens ont cependant veillé à ce que l'idolâtrie ne soit pas supprimée.

 

Wikipedia explique aussi le texte comme Suit :

Sūrat al-Tawbah (en Arabe سورة التوبة‎‎, "Le repentir"), aussi connu sous le nom de Al-Barā'ah ("La Répudiation"),[1] est le neuvième chapitre du Qour’an. Il contient 129 versets et est l'un des derniers Chapitres de Médine. C'est la seule sourate du Qour’an qui ne commence pas par le Basmala. Cette sourate a été révélée au moment de la Bataille de Tabuk.

Le verset 37 documente l'interdiction du nasīʾ, le calcul de l’Intercalation pour le calendrier lunaire par les prêtres de Banu Kinanah, tribu de Quraysh. Cette interdiction a été répétée par Mouhammad au cours du Sermon d'adieu sur Le Mont Arafat, qui a été donné lors du Pèlerinage d'adieu à Becca le 9 Dhu Al-Hijjah 10 AH.

D'après Zayd ibn Thabit, quand le Qour’an a été compilé pour la première fois, il a trouvé les derniers versets de cette sourate en la possession de Abu'l-Khuzayma Al-Ansari et personne d'autre. [2][3] Dans un autre compte, Ubay Ibn Ka'b a informé Zayd que le Prophète lui a enseigné la fin de cette sourate, et récité les mêmes versets.[4] Certains, comme Ibn Hazm, ont suggéré qu'Abu Khuzayma était le seul à avoir les derniers versets sous forme écrite, comme Zayd et d'autres les avaient mémorisés.[4]

 

L'absence de la Bismillahi'r Rahim (au nom d'Allah le Bienfaisant, le Miséricordieux) de ce texte est une erreur ou est à cause du fait qu'“il contient les commandements sévères contre les idolâtres” (aux vv. 1-12) (selon Pickthall et autres). Les derniers textes de cette Sourate sont aussi des ajouts de mémoires de quelques autres. Il s'agissait d'une faiblesse dans la compilation des textes du Coran et il y avait des différences dans les autres textes. Les textes Persan et Nord-Africain parmi les Berbères (en berbère) diffèrent également, et un grand effort a été fait pour éradiquer tous les textes autres que l'arabe qui se conformaient au texte plus commun pour revendiquer une conformité. Cette pratique a toute l'intégrité académique des Luddites. De même, l'Arabe original n'est pas entièrement compris par les Arabes modernes et la plupart des Musulmans ne comprennent pas du tout la Bible sur laquelle il est basé. L'Esprit Saint, qui est donné suite au baptême, est essentiel pour comprendre non seulement les textes des Écritures mais aussi ceux du Coran. C'est pourquoi les Trinitaires, les Dithéistes et les Hadithiques etc. les Musulmans, ne peuvent pas et ne sont pas capables de comprendre et de suivre correctement les textes. Le vrai repentir est exigé en tant qu'adulte avant que le baptême soit conféré, ainsi que l'imposition des mains pour recevoir l'Esprit Saint. Très peu de Musulmans sont baptisés et il y a très peu, voire pas du tout d'officiers accrédités pour administrer le baptême ; bien que le Coran exige le baptême. Voir les documents Le Coran à propos de la Bible, de la Loi et de l'Alliance. (No. 083) et Repentir et Baptême (No. 052).

 

La bataille de Tabuk est, comme nous le voyons des Sourates précédentes, synonyme de la bataille de Badr. Nous avons vu à partir de la Sourate 8 les règlements émis pour le butin de guerre et l'indemnisation des veuves et des orphelins au taux de 20% de ce qui est dû aux pauvres, provenant de la Dîme de la Troisième Année qui est payée avec la Première Dîme qui totalise 20% de la Première et la Deuxième Dîme et est payée dans la Troisième Année du Cycle de Sept ans qui se termine dans l'Année de Sabbat. 

 

En conséquence de ces règlements, les Arabes paganisés ont détruit le Calendrier ainsi que la compréhension des systèmes du Jubilé et ils ont délibérément fait des interprétations erronées du Calendrier de l'église en Arabie avec la complicité des Juifs Rabbiniques avec leur système Hillel, ainsi que des 49 ans pour le Jubilé (voir les documents Les Calendriers Hébreu et Islamique Réconciliés  (No. 053), Les Nouvelles Lunes (No. 125) et Hillel, les Intercalations Babyloniennes et le Calendrier du Temple (No. 195C)).

 

Les derniers versets de la Sourate étaient des ajouts et non des originaux, et les textes des versets ou ayats 36 et 37 ont été produits à cause des intercalations utilisées par les Juifs et les Arabes paganisés dans le but d’altérer les intercalations du Calendrier du Temple du système original en fonction des Nouvelles Lunes qui ont été déterminées selon leurs conjonctions en usage au cours de la période du Temple, et dans l'église à partir de Christ et les Apôtres.

 

En 344 de notre ère, deux Rabbins Juifs emportèrent les intercalations Babyloniennes de Babylone à Hillel II, à la cour Juive, de Jamnia. Elles n'étaient pas en conformité avec les conjonctions et avaient été calculées à partir du Septième siècle AEC, à Babylone. Elles permirent au croissant de lune de fonctionner et donnèrent aux Juifs la possibilité de modifier le calendrier et d’ajourner des mois. Ils ont développé ce système et en 358 EC, le Grand Rabbin Hillel II a publié un nouveau calendrier qui a permis la perversion des intercalations et le placement de la Nouvelle Lune sur le croissant de lune du Dieu Lune Sin qui était adoré en tant que Qamar en Arabie avec la déesse du Soleil représentant l'épouse Sham, de la même manière que Baal et Easter ou Ashtoreth [Astarté] étaient adorés dans le Levant mais avec Baal (Seigneur) un dieu soleil représentant une divinité masculine.

 

Nous voyons ici que les versets 36 et 37 documentent “l'interdiction de nasīʾ, le calcul de l’Intercalation pour le calendrier lunaire par les prêtres de Banu Kinanah tribu des Quraysh. Cette interdiction a été répétée par Mouhammad au cours du Sermon d'adieu sur Le Mont Arafat, qui a été donné lors du Pèlerinage d'adieu à Becca le 9 Dhu Al-Hijjah 10 AH.”

 

Nous voyons que ces deux versets traitent en réalité de l’ajournement des mois Sacrés qui interdisent la guerre, et se rapportent à la fausse utilisation des intercalations babyloniennes par opposition au Calendrier original du Temple. Les intercalations babyloniennes étaient de fausses intercalations qui se produisent environ six fois dans les cycles de 19 ans, qui diffèrent du Calendrier du Temple ainsi que du Calendrier de l'Église de Dieu. Il a été présenté par le Hadith comme interdisant la réglementation appropriée du prétendu Calendrier du Temple de “douze mois” (cf. Le Calendrier de Dieu (No. 156)).

 

L'église n'a jamais accepté le Calendrier Hillel et les intercalations babyloniennes. En effet, le système Hillel n'a pas été publié avant 330 ans après que Christ ait instauré l'église, laquelle a utilisé le Calendrier correct du Temple en l’an 358 EC. Et personne, pas même les Trinitaires [qui sont apparus] plus tard à partir de l’an 381-451 à Chalcédoine, n'avait accepté l'hérésie ultérieure, et ce n'est que lorsque les faux prophètes des Églises de Dieu ont accepté Hillel au XXe siècle que ce calendrier a été introduit dans les Églises de Dieu, sauf pendant une courte période en Transylvanie par un petit groupe de Judaïsants, comme le Rabbin Kohn, en 1894 à Budapest, en a fait mention dans un livre. Nous avons fait d'autres commentaires aux versets 36-37 de la Sourate.

 

Comme nous pouvons le voir, la tribu Banu Khinanah des Quraysh a été chargée de faire les intercalations à Becca pour les Arabes paganisés, lesquelles étaient basées sur celles qui avaient également été adoptées par les Juifs sous Hillel environ deux siècles et demi avant que le Prophète Arabe ne tente de corriger et d’éradiquer ce culte du croissant de la lune provenant du paganisme.

 

Le calendrier basé sur le croissant de lune et ses intercalations en provenance de Babylone se poursuivit jusqu'au dernier sermon du Prophète et il réitéra les injonctions, mais les Arabes paganisés pervertirent complètement les réformes en détruisant le système complet des intercalations, dénaturant les ayats dans la Sourate 9 dans le but d’empêcher le rétablissement du Calendrier du Temple, et aussi à la demande des Juifs rabbiniques postérieurs qui ont endommagé depuis 250-300 ans plus tôt leur calendrier illicite et répréhensible de Hillel.

 

L'exemple le plus récent est qu'en 2016, les intercalations de Hillel ont été appliquées de sorte que les fêtes se situaient dans les Deuxième, Quatrième et Huitième mois selon les Conjonctions et Équinoxes réels et selon le Véritable Calendrier du Temple. Au lieu d'observer correctement le calendrier dans les Premier, Deuxième, Troisième et Septième mois Sacrés, ils ont été plutôt observés dans les Deuxième, Troisième, Quatrième et Huitième mois de l'année et ce, contrairement à la Loi de Dieu.

 

Le fait est que depuis que les intercalations ont été interrompues par les Arabes paganisés sous le Hadith, l'Islam a rarement observé les Mois Sacrés dans les bons mois et n'a jamais observé le Calendrier de Dieu, ni les Sabbats, Nouvelles Lunes et Fêtes. De la même manière, les Églises de Dieu qui suivent Armstrong de l’ère de Sardes ont rarement et ce, seulement par accident, célébré les fêtes les bons jours, et elles n'ont jamais observé correctement les Nouvelles Lunes et Sabbats, tout en encourageant le commerce au Sabbat contrairement à Amos 8:5, et n'observant jamais les Nouvelles Lunes sauf par pur hasard. Les Trinitaires n'ont jamais observé les Lois de Dieu.

 

Ils ne seront amenés au repentir que lorsque les Témoins viendront et commenceront à s'occuper des fausses religions du monde et surtout de l'Islam Hadithique, des Trinitaires et des Juifs observateurs du Calendrier Hillel et les Églises de Dieu (voir le document Les Témoins (incluant les Deux Témoins) (No. 135)).  Beaucoup mourront ou souffriront de grandes agonies à cause des fléaux de l'Égypte qui leur seront infligés. S'ils ne se sont pas repentis d’ici l'arrivée du Messie, ils seront exclus de la Première Résurrection et le Messie tuera tous ceux qui ne se repentent pas.

 

Le fait que le Hadith a permis aux païens de détruire l'Islam ainsi que le calendrier fonctionnel de l'église Arabe, et a empêché l'observation du Calendrier du Temple ainsi que des véritables Fêtes était et est considéré comme un bonus tant par les païens Arabes du Hadith que par les Juifs de Hillel. Pour ce fait, ils mourront.

 

Le Calendrier originel du Temple est historiquement vérifiable et est observé par les Églises de Dieu depuis Christ et les Apôtres, à l'exception de certains systèmes de Sardes et de Laodicée, surtout aux XXe et XXIe siècles (voir Le Calendrier de Dieu (No. 156)). Pour ce péché et cette hérésie, ils seront exclus de la Première Résurrection comme le sera l'Islam Hadithique (voir l'étude Les Colonnes de Philadelphie (No. 283)).

 

Les Élus de la Première Résurrection seront les 144000 Élus dirigeants et prophètes, et la Grande Multitude, quelques Musulmans sous les Califes Correctement Guidés et très peu sinon aucun dans les systèmes Trinitaires. Ils sont ceux qui ont été baptisés et qui observent les Lois de Dieu, y compris les Sabbats, les Nouvelles Lunes et les Fêtes ; les deux sacrements de l'église étant le Baptême des Adultes et le Dîner du Seigneur. Peu nombreux sont ceux qui y parviendront et ce, seulement ceux des Cinq ères choisies des Églises de Dieu en tant qu’Églises. Sardes et Laodicée des 19e, 20e et 21e siècles sont exclues à l'exception de quelques fidèles.

 

Sourate 49 (9 AH) les Appartements Commentaire sur le Coran : Sourate 49 (No. Q049)

Al-Hujarat tire son nom du verset 4 qui signifie le logement ou les appartements privés et est compris comme se référant aux nombreux représentants qui sont venus à Médine pour consulter le Prophète et lui faire allégeance (et peut-être moins à la foi et à l'église qui y est centrée). C'était la Neuvième année de l’Hégire et il est dit qu'elle concerne la conduite des représentants et en particulier une dont le déroulement était anarchique. Beaucoup de représentants venant pour professer allégeance au Prophète le faisaient pour de mauvaises raisons et indiquaient la spirale descendante de l’Église et de ses doctrines là-bas, sa militarisation croissante, qui aboutirait finalement à la dégénérescence dans le hadith et les fausses doctrines émanant du culte de Baal en tant que Hubal ou Le Seigneur à Becca et dans tout le Moyen Orient.

 

Elle est datée de la Neuvième année de l’Hégire ou 630/1 EC.

 

Sourate 110 (10 AH) Le Secours Commentaire sur le Coran : Sourate 110 (No. Q110)

An-Nasr est l'une des toutes dernières Sourates révélées au Prophète deux semaines seulement avant sa mort. Elle fait référence aux derniers jours et au triomphe sous le Messie quand tous sont convertis.

 

On ne sait pas quand les Sourates 007 et 066 ont été données AH.

 

Les hauteurs Commentaire sur le Coran : Sourate 7 (No. Q007)

La Sourate 7 tire son nom de mots utilisés au verset 46 Et sur les Hauteurs se trouvent des hommes qui les connaissent tous par leurs marques. Ce texte est souvent utilisé pour qualifier la Sourate de Purgatoire (e.g. Rashad Khalifa) en référence au thème général de ceux qui s’opposent à la volonté de Dieu depuis Satan jusqu’à travers les âges et selon la Guidance Divine. Ils sont ainsi retirés de la Première Résurrection et envoyés à la Deuxième Résurrection qui les oblige à attendre encore mille ans, et qui se produira après le Millénaire. D'où l'introduction du concept Trinitaire pseudo-Chrétien du Purgatoire, qui consiste à être en position d'attente pour le jugement.

 

Pickthall considère que les plus éminentes autorités attribuent toutes le texte à la même période que la Sourate 6, celle de la dernière année du Prophète à Becca ; bien qu'il dise que certains considèrent que les versets 163-167 ont pu être révélés à Al-Médine.

 

Sourate 66 L'Interdiction Commentaire sur le Coran : Sourate 66 (No. Q066)

Il y a trois points de vue ou traditions quant à l'origine de cette Sourate à partir des versets 1-4.

 

At-Tahrim tire son nom “Proscription” ou 'Interdiction d'un mot du verset 1.

 

Les traditions Hadithiques attribuent trois origines à la Sourate, dont une seule pourrait être vraie, et très probablement aucune n'est vraie.

 

Un aspect important de la traduction et du texte est que, selon Pickthall, toutes les épouses du Prophète étaient des veuves sauf Ayeshah [Aïcha], et elle, comme elles l’étaient toutes, a été imposée au Prophète par nécessité en tant que veuves ou avec Ayeshah comme légataire d'Abu Bakr qui lui avait de toute manière survécu.

 

Il est noté par les érudits, tel que rapporté par Pickthall, comme n'ayant eu qu'un seul fils qui s'appelait Ibrahim et par conséquent il n'était pas le père d'un fils nommé Qasim qui était son vrai nom. Abou Qasim est donc le nom improprement utilisé du Père Qasim et non le Père de Qasim.

 

Les traditions sont documentées et rapportées par Pickthall comme suit :

1. Le Prophète était friand de miel. L'une de ses épouses a été persuadée de rester avec lui plus longtemps que d'habitude. Aïcha avait conscience que le prophète avait horreur des odeurs désagréables et, avec deux autres femmes, se bouchèrent les narines et l'accusèrent de manger le produit d’un arbre sentant mauvais : le Maghafir. Le prophète aurait dit qu'il n'avait mangé que du miel et les femmes auraient alors dit que les abeilles avaient donc été nourries au Maghafir. Le Prophète a alors prétendument juré de ne plus manger de miel.

 

2.  Hafsah aurait trouvé le Prophète dans sa chambre avec Marya, la jeune fille copte donnée au Prophète par le souverain de l`Égypte. Marya devint la mère du seul enfant mâle du Prophète nommé Ibrahim. Le Prophète s'est remarié à ce moment-là. Ce manquement s'est produit un jour supposément attribué à Aïcha selon l’usage. Cela ne peut pas avoir été plus tôt que quelques années avant la mort du Prophète quand elle avait 18 ans. Apparemment le Prophète, ému par le vœu de détresse de Hafsah de refouler Marya, lui aurait demandé de ne pas le dire à Aïcha qui se serait rapidement vantée de la facilité avec laquelle elle s'était débarrassée de Marya.

 

3. Avant Al-Islam, il était allégué que les femmes n'avaient aucun droit en Arabie (paganisée), (ce qui n'était pas vrai) car l'Église de Dieu accordait des droits Bibliques aux femmes et les Juifs en accordaient aussi par la Loi Biblique. Le Coran accordait aux femmes des droits conformément à la loi biblique que les traditions du Hadith prétendent avoir tendance à exagérer. Omar est mentionné comme ayant fait des reproches à Hafsah, sa femme, au sujet de sa présomption quand celle-ci a dit que sa propre fille Hafsah, la femme du Prophète, était coupable de ce comportement présomptueux.

 

Le but de ces trois traditions était d'affirmer la polygamie au Prophète.

 

Pickthall considère que la deuxième tradition est la plus probable et la plus favorisée par les commentateurs du texte, mais admet que les première et troisième traditions sont les mieux légitimées et favorisées par plusieurs des grands traditionalistes.

 

Le texte Biblique du NT ne permet qu'une seule épouse à un ancien de l'Église de Dieu. Les aspects de la Polygamie sont examinés dans le document La Polygamie dans la Bible et le Coran (No. 293)

 

La position du Prophète en tant que dirigeant de l'Église et de l'État le rendait responsable des veuves et des légataires. Il n’y a aucun enfant enregistré comme étant né du Prophète par Ayesha. Et Marya est la mère présumée d'Ibrahim, le seul enfant mâle du Prophète. Il a été fidèle à sa première femme jusqu'à sa mort. L'obligation incombe à ceux qui affirment avoir des enfants avec de multiples épouses, d'identifier les épouses et les noms des enfants. La polygamie n'est pas permise aux anciens des Églises de Dieu. Le remariage en cas de décès ou de divorce est permis.

 

Ali était le neveu du Prophète et il a endossé la responsabilité de la conduite de la foi avec Hussein après les Quatre Califes Correctement Guidés. Aucun enfant n'a été signalé comme étant impliqué.

 

Ainsi, l'ordre chronologique, quand celui-ci est couplé aux Écritures, donne une origine claire et certaine du Coran, et ainsi rend évident, pour le lecteur, un cheminement éducatif.

 

Les Sourates remises dans l'ordre Chronologique n'ont pas été énumérées mais plutôt données par le Prophète sous forme poétique Arabe et apprises et consignées à des fins spécifiques. Comme l'a été, par exemple, la Sourate 19 lorsqu'elle a été emportée en Abyssinie pour prouver le Christianisme Sabbatarien de l'église à Becca aux Églises Unitariennes Sabbatariennes là-bas en Abyssinie. C'est pour cette raison que les gens de Becca idolâtres soutenaient que les réfugiés de l'église n'étaient pas de vrais chrétiens parce qu'ils n'étaient pas Trinitaires, un argument que le Négus a rejeté. Ils avaient soutenu que les réfugiés devaient être renvoyés à Becca, lieu où ils seraient davantage persécutés.

 

La liste des Sourates par ordre numérique :

Elle a été faite en partie pour faire du Coran une parabole. Et il est fort probable qu'elle ait été placée dans cet ordre pour deux raisons. Cela a commencé par la prière qui a été un ajout ultérieur. La Sourate 2 "La Génisse" a été écrite comme la plus longue Sourate parce qu'elle explique la position de Jésus-Christ en tant que Souverain Sacrificateur du Temple de Dieu et les élus en tant que Temple et un Royaume de Sacrificateurs [Prêtres] selon l’ordre de Melchisédek tel qu’expliqué dans Le Commentaire sur Hébreux (F058). Le Temple était totalement sanctifié par la génisse adamique ou rougeâtre qui pointait vers Christ dans la sanctification du Temple de Dieu. Elle est devenue la génisse dorée se référant à la justification des élus et à leur glorification telle que vue sur le visage de Moïse au Sinaï quand il parlait avec Christ. Cela décrivait le plan du salut.

 

La Sourate 3 explique l'établissement du Sacerdoce avec Moïse en Israël et la loi, puis enchaîne avec les Prophètes et le Messie par sa naissance de la Vierge et l'établissement de l'église. Ce sont les deux documents clés avec la Quatrième et la Cinquième [Sourate] expliquant la place des femmes dans la foi, qui était le plus grand péché des Arabes. Le texte se poursuit ensuite en établissant le Dîner du Seigneur en tant que Deuxième Sacrement de la Foi. La Sourate 6 concerne les brebis du Peuple de Dieu.

 

Chacune des Sourates explique comment les Résurrections sont critiques pour le Jugement et la survie dans les Première et Deuxième Résurrections et dans le Jugement. C'est le thème le plus important du Coran. Cela est renforcé encore et encore par le fait que les Jardins du Paradis, qui étaient un ancien terme pour le système d'Éden, sont restaurés pour la Première Résurrection et le règne de mille ans sous le Messie ; et ensuite le Deuxième Jardin du Paradis dans la Deuxième Résurrection. Si le repentir ne se manifeste pas, ceux qui ne se repentent pas sont autorisés à mourir et sont jetés dans le Lac de Feu et leurs corps [morts] brûlés et on ne se rappellera plus d'eux à jamais.

 

Beaucoup d'érudits Islamiques n'ont pas compris les Écritures, et l'un d'entre eux a fixé l'intervalle de temps à cinq cents ans, et plusieurs autres n'avaient aucune idée de la durée, tandis que la Bible est spécifique.

 

À la mort du Prophète, la séquence numérique du Coran a été organisée de telle sorte que la structure théologique était détaillée, mais les idolâtres ont utilisé le Hadith pour détruire toute compréhension de la foi. Ils sont maintenant comme des ânes chargés de livres d'or, ne comprenant rien.

 

Dans tout le Qour'an ou Coran, on se réfère à des milliers d'Écritures, et un grand nombre d'entre elles sont citées à de nombreuses reprises. Nous les énumérons toutes dans les textes et aussi dans l'Index des Écritures au QC ci-dessous.

 

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