Christian Churches of God
	
	[QSA]
	
	 
	
	
	
	Résumé des Commentaires sur le 
	Qour’an ou Coran
	(Édition 1.0 
	20180611-20180611) 
	
	Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an 
	ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des 
	adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la 
	Ka'bah.
	
	
	
	
		
		
		Christian Churches of God
		
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	 Résumé des Commentaires sur le Qour'an ou Coran 
	[QSA]
	
	Section 1 
	Ce texte retrace le début de la formation 
	et de la mission à Becca et traite des Toutes Premières Sourates de Becca et 
	des textes expliquant les premiers éléments de la Foi biblique.
	
	Contexte de la Foi
	
	Le développement de la foi tel que décrit dans les 
	Écritures et tel qu'il se trouve dans la Bible et dans le Qour'an ou Coran 
	est détaillé dans le texte sur la 
	
	
	Chronologie du Qour'an ou 
	Coran (Q001B). 
 
	La foi décrite dans le Coran est, comme nous l'avons 
	souligné dans la Chronologie et la séquence du développement du Coran, la 
	même que celle décrite dans l’Écriture. Elle a pour fondement l'Écriture en 
	de nombreux points.
 
	Bien qu'étant les mêmes à l'origine, les deux croyances 
	ont été déformées à tel point qu'elles sont presque inconciliables et donc, 
	nécessitent un programme massif de rééducation pour les remettre sur la 
	bonne voie. En raison de la manipulation des démons ou djinns, ainsi que de 
	l'intrusion des cultes du soleil et des mystères et du culte du dieu Baal 
	(ou Hubal) et de la déesse Easter ou Ashtoreth [Astarté], les deux plus 
	grandes religions du monde, à savoir le Christianisme et l'Islam, sont 
	devenues opposées et au bord d'une guerre mondiale (voir 
	
	
	Le Mysticisme Chapitre 1 
	(No. B7_1) 
	et suivants ; 
	
	voir aussi l'étude 
	
	
	Le Mysticisme Chapitre 5 
	: L'Islam (No. B7_5)). 
 
	À première vue, ces croyances s'appliquent à Abraham et 
	à ses descendants en tant que noyau d'une famille mondiale.
	
	Théoriquement, l'Islam (qui 
	signifie la soumission) embrasse 
	l’adoration du même Dieu que celle trouvée dans les pages de la Bible.
	
	Nous savons cela grâce à l'étude 
	de la Bible et du Coran. 
	
	Les grands théologiens (tels que Calvin, Harnack et Brunner) s'accordent à 
	dire que le Théisme rationnel, le Judaïsme, la Bible et l'Islam sont 
	Unitariens. 
	Théoriquement, ces croyances 
	devraient être capables de s'entendre sur le Dieu qu'elles adorent. De même, 
	nous devrions être en mesure de trouver des points communs au sein de ces 
	œuvres. 
 
	Pourquoi alors sont-ils en désaccord au point où, en 
	Égypte par exemple, après une existence de 1545 ans depuis le Concile de 
	Chalcédoine, l'Église Copte Égyptienne est de nos jours à tel point 
	persécutée par l'Islam fondamentaliste dans cette nation qu'elle a cherché 
	affiliation avec Rome, avec qui elle avait coupé la communication depuis le 
	Concile de Chalcédoine (vers 451) ? 
	Ce 
	fut la cause même de ce Concile (à savoir le Trinitarisme) qui était à 
	l’origine de l’émergence de l'Islam lui-même.
	
	
	Pourquoi, après plus ou moins quatorze siècles de coexistence pacifique, 
	devrait-il en être ainsi ?
	
	Le Prophète Qasim, lorsque l’on se base sur les preuves du Coran, 
	appuierait-il cette position 
	?
	
	
	Qu'est-ce que le Coran enseigne à propos du Christ, et l'Islam est-il fidèle 
	à la foi qui lui a été jadis donnée ?
	
	
	Notre tâche a consisté à examiner ce que le Coran enseigne à propos du 
	Christ et à examiner la position moderne de l'Islam et du Christianisme. 
 
	Le Dieu de la Bible 
	et du Coran 
	L'affirmation selon laquelle le concept islamique de 
	Dieu est, en dépit des ressemblances superficielles, très différent du 
	concept Chrétien de Dieu, provient des considérations de la structure 
	théologique des deux systèmes, laquelle a été dénaturée par rapport à 
	l'original. 
	Dans le système Chrétien, la 
	Divinité a été dénaturée par l'influence des religions à mystères avec des 
	adoptions syncrétiques selon un modèle Triune ou Trinitaire.
	
	L'Islam, par contre, a été 
	influencé par les développements métaphysiques du Monisme indien postérieur 
	en tant qu'une extension de la théologie aryenne. 
	Le concept original de la Bible et du Coran était, cependant, le concept 
	abrahamique de Dieu, et les nations descendues de lui partageaient cette 
	appréhension commune. 
	
	Cela incluait Israël, Juda, la nation arabe et les fils de Ketura. 
 
	Pour tous les peuples abrahamiques, Dieu était un 
	esprit et une puissance qui se manifestait Lui-même à Son peuple et avait un 
	plan et un but précis pour la création sous Sa direction.
	
	L'attente d'un Prince, Seigneur 
	ou Messie est évidente depuis Abraham et était partagée par les groupes 
	tribaux qui descendaient de lui.
	
	
	La nation arabe descend d'Ismaël jusqu’aux douze princes (Genèse 17:20) (ce 
	qui fait un parallèle à Israël et fournit douze autres divisions pour les 
	douze tribus). 
	
	Leurs traditions, jusqu'à et à travers le Prophète Arabe, sont transmises à 
	tout l'Islam. 
	
	D'Isaac, les traditions ont été transmises à la nation, Israël, et de là 
	portées dans les deux royaumes : Israël et Juda 
	(voir aussi l'étude
	
	
	
	Introduction au 
	Commentaire sur le Coran (No. Q001)).
 
	Les sectes juives attendaient le Messie au 1er siècle 
	et les fils de Tsadok (désignés comme faisant probablement partie des 
	Esséniens) ont déclaré qu'il y aurait deux Messies, le Messie d'Aaron et le 
	Roi Messie d'Israël, et que ces deux Messies correspondaient à un seul 
	Messie (voir G. Vermes, 
	The Dead Sea Scrolls in English
	
	
	re : 
	Damascus Rule VII 
	et le fragment de la grotte IV).
	
	
	Ainsi, on s'attendait donc à ce que le Messie soit de deux avènements.
	
	Après la mort de Christ, les 
	apôtres, les soixante-dix et leurs recrues ont porté l'évangile aux tribus 
	perdues ; ainsi, les traditions ont été apportées en Europe, en Égypte, en 
	Asie et en Inde. 
	
	Le Christianisme s'est donc libéré du Judaïsme et a étendu le salut aux 
	païens, qui, à partir de ces temps-là, devint accessible aux non-Juifs.
	
	Les emplacements des soixante-dix 
	sont abordés dans la 
	
	
	Chronologie du Qour'an ou 
	Coran (No. Q001B). 
 
	Nous avons montré sans l'ombre d'un doute dans les Commentaires sur les 
	Sourates que le Coran est un document Chrétien et qu'il se fonde entièrement 
	sur les Écritures, en ce qui concerne sa théologie et sa révélation. 
 
	Dans la séquence sur la chronologie, nous voyons comment la révélation a 
	été dévoilée. Nous énumérerons la séquence par périodes, et nous 
	expliquerons chaque Sourate, telles qu'elles ont été décrites dans la 
	Chronologie, ainsi que l’objectif des Sourates depuis le début de la 
	révélation. 
Section 1:1
 
	
	Les Toutes Premières Sourates de Becca
	
	An 611 EC (de l'Ère Courante) :
	
	
	début de la mission à Becca. 
	
	Sourate 96, Sourate 74 suivies des :
	
	Sourates 68, 73, 89, 90, 91, 92, 95, 97, 99, 100, 101, 102, 103, 105, 106. 
 
	
	Les Sourates selon l'ordre chronologique par liens Urls 
	
	 
	
	Les Toutes Premières Sourates de Becca
	
	611 EC Début de la mission à Becca.
	
	Sourate 96 
	
	Le Caillot 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 96 (No. Q096)
	
	L'Ange Gabriel apparaît au Prophète à Hira, lui donnant alors les cinq 
	premiers versets. 
	
	Les versets suivants (versets 6 à 19) ont été donnés quelques temps plus 
	tard. 
	
	 
	
	Sourate 74 
	Celui Revêtu d’un Manteau 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 74 (No. Q074)
	Al-Mudath-thir
	
	tire son nom 
	d'un mot du verset 1 signifiant “L'Enveloppé” ou “Celui Revêtu d'un 
	manteau”. 
	Les traditions 
	affirment que le Prophète s'est enveloppé dans son manteau au moment de ses 
	“transes révélatrices” ou méditations lorsqu'il recevait les Sourates. Sa 
	première révélation fut donnée dans la Sourate 96:1-5. Environ six mois plus 
	tard, il reçut cette Sourate dans son entièreté ; elle fut alors considérée 
	comme marquant le début de la mission publique du Prophète, qui démarra 
	environ trois ans après son appel (initial) et son éducation en 608 EC.
	
	Ainsi, au début 
	de l'année Sacrée en 611 EC, à la Nouvelle Lune d'Abib, l'église commença sa 
	mission auprès des Arabes à Becca, en tant que le Conseil du Mouhammad. 
 
	Selon la tradition, il vit de nouveau l'Ange 
	Gabriel qui lui apparut premièrement sur le mont Hira. Ainsi, il s'enveloppa 
	dans son manteau pour recevoir ce Second Message. 
 
	La séquence des Sourates suit ici les textes 
	du passage de l'autorité des Djinns à l'église, puis alors du Dîner du 
	Seigneur et de la Pâque qui confère l’Esprit Saint, à la manifestation 
	directe des messages de Dieu aux prophètes du conseil de l'église. 
 
	
	Sourate 68 : La Plume 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 68 (No. Q068)
	Al-Qalam, 
	"La 
	Plume" tire son nom d'un mot du premier verset et est une des toutes premières 
	Sourates de Becca. 
	Le premier mot est Nun qui signifie “endurance” dans l'ancien hébreu et 
	le texte biblique. 
	Yahoshua fils de Nun signifie que "le salut vient de l'endurance" ; ce 
	nom fut porté par le successeur de Moïse qui devint le chef pour l’entrée 
	dans la Terre Promise. 
	Le Messie a également été nommé Yahoshua.
	
	Le premier 
	message s'adressait aux Arabes de Becca, qui étaient en général illettrés. 
	Ne pouvant lire les Écritures, leur faiblesse fut contrée par l'annonce de 
	ce message. À ce jour, - bien qu'ils soient dans l'habilité de lire - ils ne 
	lisent même pas le Coran et encore moins les Écritures et les Lois de Dieu.
	
	Le texte traite 
	du rejet hâtif du Message du Prophète et des Écritures par les idolâtres de 
	Becca. 
	Cette situation allait continuer et empirer, jusqu'à mener à la Première 
	Hégire en l'an 613, lorsque les persécutés de l'église de Becca durent fuir 
	en Abyssinie pour y trouver refuge auprès de l'Église de Dieu et du Négus, 
	tel que décrit dans la Sourate 19 "Maryam". 
 
	Le texte nous montre l'appel de la foi ainsi 
	que l'intégration des appelés parmi les justes, et continue sur cette ligne 
	jusqu'aux derniers versets. 
 
	
	Sourate 73 : 
	
	Celui qui s’Enveloppe de Vêtements
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 73 (No. Q073)
	Nous avons vu le concept des 70 dans la Sourate 70, puis nous avons traité 
	de la chute de l'Armée [Angélique] et de l'humanité dans la
	Sourate 71 "Noé". La Sourate 72 traite des 
	Djinns, ainsi que de leur remplacement par les élus après l'ordination de 
	ces derniers. Nous voyons maintenant l'établissement de l'ordonnance du 
	Dîner du Seigneur 
	en vue de la préparation des vêtements des élus. Ces 
	vêtements sont les robes blanches de la Foi et de la Première Résurrection à 
	travers la mort du Messie, basé sur le sacrifice de l'Agneau de la Pâque, 
	qui était le sacrifice de Christ le 14 Abib à 15h. La Fête de 
	la Pâque de l'Exode a été instituée par l'Église en tant que la Nuit des 
	Observations [ou Nuit de Veille]. Elle est consécutive au Dîner du Seigneur. 
	Ce dernier fut entamé à partir de l'année 30 EC et institué comme étant 
	l'attente de la Résurrection à la fin des trois jours et trois nuits, 
	conformément au Signe de Jonas.
	Ces aspects 
	sont expliqués dans les documents suivants : 
	
	
	Le Dîner du Seigneur (No. 
	103) 
	et 
	
	
	(No. 103A),
	
	
	La Pâque (No. 098),
	
	
	La Signification du 
	Lavement des Pieds (No. 099),
	
	
	La Signification du Pain 
	et du Vin (No. 100),
	
	
	Le Moment de la 
	Crucifixion et de la Résurrection (No. 159) et 
	
	
	L'Offrande de la Gerbe 
	Agitée (No. 106b) 
	et ensuite 
	
	
	Les Quarante Jours 
	Suivant la Résurrection de Christ (No. 159A). 
 
	
	Sourate 89 : L'Aube 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 89 (No. Q089)
	Les commentateurs hadithiques n'ont pas compris le premier texte et son 
	application à l'Église ni non plus ce qu'étaient les Dix Derniers Jours de 
	l'attente pour la réception de l'Esprit Saint à la Pentecôte 
	qui s’est produit au 
	matin du Cinquantième 
	Jour du Troisième Mois Sivan, à la fin du Compte de l'Omer. 
	 
	Pickthall identifie le Troisième Mois comme le Mois du Pèlerinage, mais ne 
	fait pas de remarque supplémentaire.
	À l'époque du 
	Prophète, ce mois faisait partie du Compte de l'Omer, et le Ramadan a 
	clôturé ce compte au jour de la Pentecôte.
	Tout ceci a 
	été complètement perdu dans l'Islam Hadithique après la mort des Quatre 
	Califes Correctement Guidés et le meurtre d'Ali et d'Hussein. (Voir 
	aussi 
	
	
	Les Calendriers Hébreu et 
	Islamique Réconciliés (No. 053)).
 
	Les commentaires du verset 7 s'appuient, en règle générale, sur la lecture 
	de l'iram ou 'irad, signifiant
	
	
	“colonnes” ou 
	piliers. 
	Les commentaires de Picktall sur la diatribe d'Ibn 
	Kaldun offrent un rendu différent. Selon Ibn Kaldun, le mot signifiait
	
	
	“mât de tente” 
	à l'époque du Prophète, mais Pickthall s'appuie sur les découvertes de son 
	temps au Yémen et reste donc fidèle à la signification traditionnelle. 
 
	La bonne compréhension est dérivée du contexte dans lequel ils sont donnés. 
	Ils ont été utilisés par les 'Ād qui ont été condamnés par Dieu par le 
	prophète Hud. Le verset 8 décrit le genre de choses qui n'étaient pas commun 
	dans le pays. 
	Cela signifie qu'il 
	s'agissait de pôles spécifiques et idolâtres que l'on trouve dans les cultes 
	du Soleil et des mystères, tels que l’Asherah de la déesse Ashtoreth 
	[Astarté] ou Easter, décrite comme l'épouse de Baal, lesquels furent 
	condamnés par Dieu.
 
	Le verset 9 poursuit sur la corrélation du Thamud avec la crevasse des 
	rochers de la vallée, pour lesquels ils ont été détruits, sous 
	l'avertissement de Salih. Les péchés commis avaient trait à l'idolâtrie et 
	au fait de créer l'Asherah et les idoles des bosquets en tant que symboles 
	de la déesse mère. 
 
	
	Sourate 90 : 
	La Cité 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 90 (No. Q090) 
	Le texte se réfère à 
	
	
	La Cité de Dieu (No. 180) 
	et lorsque les élus se voient donner le chemin de l'ascension vers la cité 
	dans l'Esprit Saint. 
 
	Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates de Becca qui décrit les 
	objectifs de la foi. 
 
	
	Sourate 91 : Le 
	Soleil 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 91 (No. Q091)
	Ash-Shams
	tire son nom du verset 1.
	La traduction de Picktall pourrait sembler incorrecte, 
	car le Soleil y est dépeint comme étant féminin, et représentant la Déesse, 
	tandis que la lune Al-Qamar est masculine. Ces concepts représentent le 
	système de Baal et d'Easter dans les cultes du Soleil et des Mystères. 
	Cependant, le Soleil est mâle et la Lune est femelle dans le système Baal du 
	Levant.
 
	Un de ces concepts est repris dans les Écritures, pour désigner le Messie en 
	tant que le Soleil de la Justice.
	 
	C'est aussi une des Toutes Premières Sourates de Becca
	utilisée 
	dans le témoignage primaire auprès des gens de Becca et des Arabes en 
	général.
 
	
	Sourate 92 : 
	La Nuit 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 92 (No. Q092)
	Al-Leyl
	est une des Toutes Premières Sourates de Becca
	qui fait 
	partie du témoignage initial de la foi à Becca.
	Il tire son nom du verset 1 comme un commencement.
 
	Après les ténèbres [la nuit] vient le jour resplendissant et, de là, la 
	révélation de Dieu qui les a créés.
	Le texte est 
	constitué de trois structures de sept versets, formant un total de 21 
	versets. La première structure concerne la révélation de Dieu. La seconde 
	structure aborde le sujet de ceux qui mécroient, qui amassent leurs 
	richesses et ne font aucun bien. Quant à la dernière structure, elle traite 
	le thème du Feu Flamboyant
	comme fin des 
	plus désespérants de l'humanité seulement. Ceux qui cherchent à faire la 
	volonté de Dieu seront comblés de bonheur.
 
	
	Sourate 95 : 
	
	Le Figuier 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 95 (No. Q095)
	An-Tin
	"Le Figuier" tire son nom du premier des deux articles 
	du verset 1. Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates de Becca
	dans la révélation primaire aux gens de Becca et aux 
	Arabes en général et est une révélation qui traite de l'homme et de ses 
	devoirs envers Dieu sous les Lois de Dieu et la certitude de Son Jugement 
	avec les Mystères de Dieu et le Plan du Salut. Le 
	résultat a été qu'ils ont rejeté l'avertissement et ont inventé la Charia du 
	système païen à Becca au mépris direct des directives du Seul Vrai Dieu.
	Les textes stipulent que ce sont les lois qui ont été 
	promulguées au Sinaï et, par conséquent, les lois qui ont été livrées à 
	Moïse. 
 
	
	Sourate 97 
	
	: 
	
	La Nuit du Décret 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 97 (No. Q097)
	Al-Qadr
	tire son nom d'un terme du verset 1. Il se réfère à la 
	nuit qui était considérée comme l'une des dernières nuits du Ramadan qui 
	clôturait le Compte de l'Omer menant à la Pentecôte lors de la Fête des 
	Semaines. 
	Cette nuit-là, le 
	Prophète fut appelé et reçut les révélations des premiers versets du Coran 
	(Sourate 96:1-5) au Mont Hira.
	De là, la 
	Sourate 97 fut révélée immédiatement après la Sourate 96.
 
	Le texte est également corrélé à l'octroi de la Loi à Moïse au Sinaï, tel 
	que révélé dans la Sourate 95 "Le Figuier". 
 
	Le fait de ne pas tenir compte du calcul des [mois] intercalaires du 
	calendrier a eu pour effet que l'Islam n'a aucune idée du moment où le vrai 
	calendrier se situait dans la pratique.
 
	Le texte se réfère à la séquence de la réception de l'Esprit Saint à la 
	Pentecôte et aux décrets donnés au Sinaï dans les lois de Dieu et dans la 
	prophétie. 
 
	Lisez Exode 20 sur l'octroi de la Loi à la Pentecôte au Sinaï. L'église a 
	été stimulée par le don de l'Esprit Saint le jour de la Pentecôte en l'an 30 
	EC. 
	Les commentateurs musulmans croient, comme il est écrit 
	dans l'Ayat 185 de la Sourate 2, que la révélation au prophète arabe a été 
	donnée une des nuits des 10 derniers jours du mois de jeûne, ce qui équivaut 
	aux derniers jours du Compte de l'Omer menant à la Pentecôte.
	Voir aussi l'étude sur 
	
	
	Les Quarante Jours 
	Suivant la Résurrection de Christ (No. 159A). 
	Les "Dix Jours" se 
	rapportent aux dix jours après les quarante derniers jours et à l'ascension 
	de Christ au trône de Dieu.
	Ces dix jours 
	sont les jours qui mènent à la Pentecôte et à l'habilitation de l'Église de 
	Dieu à Jérusalem en l'an 30 EC ainsi qu'à la réception de l'Esprit Saint en 
	puissance. 
 
	Le temps passé à jeûner et à prier intensivement ainsi que l’activité durant 
	ces dix jours est spirituellement d'une plus grande importance en 
	comparaison aux autres jours normaux dans nos vies. Nous savons qu'il y a 
	une grande réjouissance 
	parmi les anges de Dieu pour 
	un seul pécheur qui se repent, ce qui fait qu'il y a une grande activité 
	parmi les anges fidèles dans chaque progression dans le Plan de Dieu. La 
	nuit où la révélation fut donnée au Prophète a été marquée comme un 
	évènement plein d'activités et de réjouissances.
 
	Notez par ailleurs que le nombre de versets est de cinq. Cinq est le nombre 
	de la grâce à la Pentecôte à travers le don de Dieu. 
 
	Les textes de cette séquence provenaient tous des Toutes Premières Sourates 
	de Becca, tout comme l’est ce texte.
 
	
	Sourate 99 : Le Tremblement de Terre
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 99 (No. Q099) 
	Le dernier tremblement de terre sera le plus grand, et consécutivement à 
	cela, la terre et l'humanité se verront montrer leurs activités dans les 
	secteurs où les hommes ont fait des dégâts, et leurs péchés et leurs actions 
	leur seront exposés.
 
	Az-Zilzal
	tire son nom du tremblement de terre mentionné au 
	verset 1. Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates de Becca.
 
	
	Sourate 100 : Ceux qui Courent 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 100 (No. Q100)
	Al-A'adiyat
	prend son nom à partir du premier verset, d'un mot que 
	Pickthall a traduit comme "Coureurs". Il a le 
	sens de ceux qui courent pour des buts compétitifs. La signification des 
	cinq premiers versets n'est pas claire pour les traducteurs musulmans.
	Les mots "hennissement" et "étincelles de feu" 
	indiquent une poursuite à cheval. Ils 
	"ratissent" à l'aube lors d'un raid, se clivant ensemble comme un seul homme 
	au centre. 
	Ils sont violents 
	dans leur amour pour la richesse et sont des ingrats envers le Seigneur 
	Dieu. 
 
	Ils sont prévenus que lors de la résurrection, leur Seigneur connaîtra toute 
	chose les concernant. 
 
	
	Sourate 101 : 
	
	L’Heure du Choc 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 101 (No. Q101)  
	
	Al-Qari'ah
	est l’une des Toutes Premières Sourates de Becca qui 
	tire son nom des références à la calamité citée dans les versets 1, 2 et 3. 
	Le texte se réfère à nouveau au Jugement entre le bien et le mal à la fin 
	des temps, au jugement et à la sentence définitive de l'Étang de Feu.
 
	
	Sourate 102 : 
	Le Désir de s’Enrichir 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 102 (No Q102)
	At-Takathur.
	Pickthall l'intitule de la façon suivante : "Rivalité 
	dans l’accroissement mondain", qui ne sont autres que les mots du premier 
	verset.
 
	Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates mecquoises qui avertit contre 
	le fait de se préoccuper pour les biens de ce monde et de leur profit.
 
	
	Sourate 103 : Le Temps 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 103 (No. Q103)
	Une des Toutes Premières Sourates de Becca qui montre que le salut est 
	accessible uniquement à ceux qui sont appelés et exhortés aux bonnes œuvres 
	et qui s'exhortent les uns les autres à la vérité et à l'endurance. 
 
	
	Sourate 105 : 
	
	L’Éléphant 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 105 (No. Q105)
	Al-Fil
	"L'Éléphant" tire son nom d'un mot du premier verset.
	C'est une des 
	Toutes Premières Sourates de Becca.
	Le texte se 
	réfère à l'avancée des Abyssiniens du royaume Himyarite au Yémen sous 
	Abrahah en l'année 570 de l'Ère Courante (l’année de naissance du Prophète).
	La tradition dit qu'aux dernières étapes de la marche, 
	les éléphants refusèrent de continuer, peut-être à cause des insectes.
	Les idolâtres prétendent que des créatures volantes ont 
	jeté des pierres sur les Abyssiniens. Une autre 
	tradition dit qu'ils se sont retirés après une épidémie de variole, ou d’une 
	autre maladie, survenue chez eux. Cette version des faits semble être la 
	plus probable. Le 
	Dr. Krenkow considère 
	qu'il existait des essaims d'insectes porteurs d'infections.
	
	C'était 
	le moyen de sauvetage 
	de la Ka'bah que les Chrétiens Hymyarites Abyssiniens avaient l'intention de 
	détruire. 
	Cette vue montre 
	l'échec des gens de Becca à comprendre pleinement le danger de la Ka'bah en 
	tant qu'objet idolâtre comme tel.
 
	
	Sourate 106 : 
	
	La Tribu des Qurayshites 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 106 (No. Q106) 
	Ash-Shita
	"Hiver" est aussi un nom utilisé dans le texte (cf. v. 
	2) portant sur les Qurayshites. 
 
	La tribu de Qureych (ou des Qurayshites) était protégée contre ses ennemis 
	lors de ses voyages en Syrie l'été, et au Yémen l'hiver. Les Qurayshites 
	pouvaient ainsi faire fonctionner leur commerce. Leurs 
	activités commerciales leur permettaient de subvenir aux besoins quotidiens 
	et d'apporter des marchandises diverses aux habitants de Becca. Ils étaient 
	donc bien nourris et vivaient en sécurité. Les habitants étaient donc priés 
	d'être reconnaissants pour les bonnes conditions de vie dont ils 
	bénéficiaient et leur sécurité. 
 
	Tous ces textes sont des textes d'introduction de base pour le 
	perfectionnement des gens de Becca en vue de la compréhension de la foi sous 
	sa forme primitive. La structure de la foi a été construite à partir de ces 
	textes, et même dans leur forme la plus simple, ils ont engendré la 
	persécution lors de la Première Hégire vers l’Abyssinie que l'église a 
	entreprise sous Jaffar, le cousin du Prophète, en 613 EC. Notez que la 
	section suivante contient les dernières sourates numérotées qui ont été 
	conçues pour compléter la mission principale aux gens païens de Becca et les 
	sensibiliser à la foi des Écritures.
	
*****
Section 2 
Cette section 
	traite des Premières Sourates de Becca après la Première Hégire de l’an 613 
	en Abyssinie. La Sourate 19 Maryam a été révélée à cette époque pour 
	permettre à l'Église, dirigée par Jaffar, le cousin du Prophète, de prouver 
	sa bonne foi en demandant l'asile au Négus d'Abyssinie et à l'Église 
	sabbatarienne qui s'y trouvait. La Sourate 20 Ta Ha a joué un rôle 
	déterminant dans l'appel d'Omar à Becca en l’an 613.
	
	Les Premières Sourates de Becca
	
	Sourate 019, et peut-être la 020 
	
	La Sourate 1, qui est une prière, a été introduite après la Première Série 
	mais 
	
	personne n'est sûr du moment exact de l’introduction. 
	De la même manière, le Coran se termine par les Sourates 113 et 114 qui sont 
	des Sourates de prière pour la protection. 
 
	
	Sourates 34, 35, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 70, 71, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81, 
	82, 83, 84, 85, 86, 87, 93, 94 104, 107, 111, 112, 113, 114. 
 
	
	613 EC : La Première Hégire en Abyssinie 
	
	Sourate 19 : Maryam 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 19 (No. Q019)
	 
	La Sourate 19 "Maryam" est nommée Marie par certains, par exemple 
	Pickthall, comme étant le nom putatif de la mère du Messie.
	Cependant, la mère du Messie était nommée 
	Mariam et sa sœur, l'épouse de Clophas, était nommée Mariah dans le texte 
	grec, et la vierge est également nommée Maryam dans le Coran. 
 
	Marie est la corruption en langue française de l'application latine de 
	"Maria". La Sourate "Maryam" tire son nom des versets 16 et suivants. 
 
	La Sourate est ancienne, et provient à l'origine de Becca.
	La plupart datent cette Sourate à partir de 
	la Cinquième année de la mission du Prophète, dans ce qui est connu comme 
	étant la Première Hégire, lorsque les pauvres de l'église à Becca étaient 
	persécutés et qu’ils étaient forcés de fuir en Abyssinie et de se réfugier 
	avec leurs homologues Unitariens Bibliques dans l'Église de Dieu en 
	Abyssinie (cf. l'étude 
	
	
	La Distribution Générale 
	des Églises observant le Sabbat (No. 122) ; cf. aussi Pickthall intr).
	Là-bas, ils ne seraient pas persécutés pour l'adoration 
	du Seul Vrai Dieu Éloah.
	           
	
	Cela se déroula en l'année 613 de l'Ère Courante, la Neuvième année avant 
	la fuite à Al-Madinah depuis Becca en l’an 622 EC, qui débuta la Seconde 
	Hégire, 
	laquelle 
	est la plus comprise par le terme.
	La 
	mission du Prophète avait débuté en l'année 608 de l'Ère Courante, lorsqu'il 
	fut appelé par l'Esprit et éduqué dans les Écritures. 
 
	Pickthall attire l'attention sur le fait qu'ils n'étaient pas 
	Trinitaires. 
	Les gens 
	de Becca utilisèrent intelligemment et habilement leur position d'Unitariens 
	Bibliques pour prétendre qu'ils n'étaient pas de vrais chrétiens, au sens 
	Trinitaires. 
	Les gens idolâtres de Becca, dans le but de 
	les persécuter, envoyèrent donc des ambassadeurs au Négus pour leur 
	extradition. 
 
	Le Négus, contre la volonté des envoyés de Becca, fit venir les 
	porte-paroles des réfugiés et les interrogea au tribunal, lors d'un procès 
	qui se déroula devant les évêques des églises d'Abyssinie. Le cousin du 
	Prophète, Ja'far ibn Abi Talib, était le porte-parole de l'église qui 
	cherchait refuge. 
	Ce qu'il a dit est connu et raconté par 
	Pickthall d'après les écrits d'Ibn Ishaq, qui ont été repris dans 
	l'introduction de la Sourate 19. 
 
	
	Les Premières Sourates de Becca avaient pour but d'expliquer la structure du 
	trône de Dieu et sa position en tant que Le Très Haut ou l'Elyon biblique et 
	le Créateur. 
	
	Les textes décrivent la position de Christ en tant que la nouvelle Étoile du 
	Matin qui destitue et remplace Satan à la fin de son règne (cf. les Sourates 
	86 et 87). 
	
	De même, les Sourates 70 à 72 furent données pour expliquer et retracer le 
	cheminement de la création depuis le témoignage sous Noé jusqu'aux 72 en 
	tant qu'église, en passant par la séquence des Jinn. 
	
	À moins qu'un individu ait été baptisé pour le repentir et qu'il ait 
	l'Esprit Saint ainsi qu’une ferme et solide compréhension de l'Écriture, il 
	n'a aucune chance de comprendre le Coran.
	
	
	Section 2:2
	
	 
	
	Sourate 20 
	
	(peut-être) :
	Ta-Ha 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 20 (No. Q020)
	Comme nous l'avons statué plus haut, la Sourate 20 Ta Ha 
	a été écrite en l'an 613, 
	lors de la Cinquième année de la mission du Prophète qui avait commencé en 
	l'an 608 de l'Ère Courante.
	Le 
	message fut donné peu de temps après la première Hijrah ou Fuite de Becca 
	vers l’Abyssinie sous Ja'far, cousin du Prophète. 
 
	Les pauvres cherchaient un abri sous la protection de l'Église 
	Sabbatarienne en Abyssinie. Cependant, les gens de Becca essayaient de les 
	extrader de Becca pour les persécuter.
 
	Cette Sourate permit la conversion d'Omar ibn ul-Khattab qui était un 
	scribe. 
	Ce fait 
	est relaté par Pickthall dans son introduction à la Sourate. 
	Omar ibn ul-Khattab devint khalife suite à sa conversion. 
	
 
	Un jour, Omar partit l'épée à la main, avec l'intention de tuer le 
	Prophète 
	– "Ce Sabéen qui a divisé l'unité des 
	Qureysh, en considérant leurs idéaux fous et leur religion honteuse, et qui 
	blasphème leurs dieux." 
 
	Un ami le croisa sur son chemin et le dissuada de tuer le Prophète.
	Il rappela à Omar que s'il le tuait, il 
	devrait faire face à la vengeance d'un clan puissant.
	Il lui fut dit : 
	“Penses-tu que les Banu abd Munaf te laisseraient vivant sur la surface de 
	cette terre s'ils apprenaient ton acte ?” 
	(Voir 
	aussi les commentaires de Pickthall sur Ta Ha concernant la fierté tribale 
	qui prévaut aux divergences religieuses). 
 
	Il demanda ensuite à Omar s'il ne valait pas mieux qu'il retourne chez 
	les gens de sa propre maison pour les garder dans le droit chemin.
	Omar souhaita alors qu'on lui précisât 
	l'identité des personnes en question. 
	On lui répondit : "Ton beau-frère et cousin Said ibn Zeyd et ta sœur 
	Fatimah, fille d'Al Khattab, sont devenus par la grâce d'Allah, des 
	Musulmans et des disciples [du Mouhammad] dans sa religion ; alors prends 
	exemple sur eux." 
	 
	Notez qu'Omar a utilisé le terme Sabéen dans sa citation, mais le mot est 
	ignoré par les érudits musulmans et dans la traduction de Pickthall.
	Les Sabéens venaient de la région de Saba 
	et la reine de Saba fut convertie par Salomon. 
	Les érudits modernes ont fait de leur mieux pour discréditer l'histoire ;
	cependant, plusieurs soutiennent que 
	le royaume date des années ca. 1200 AEC (avant notre ère). Après la conquête 
	du Yémen par le Négus d'Abyssinie, consécutif au massacre des Chrétiens par 
	le roi Juif, ils régnèrent sur les Sabéens, et ainsi la théologie du 
	Prophète était associée à eux.
 
	À l’époque où Omar utilisait le terme de Sabéen, il n'était pas en faveur 
	des croyances religieuses du Prophète qui forment le Coran.
	Ces croyances dépendent directement de 
	l'Unitarisme Biblique et utilisent la théologie de l'Ancien et du Nouveau 
	Testament. Ainsi, Omar n'a pu utiliser ce terme que dans son sens 
	d'Unitarisme Biblique, car les demandes des gens de Becca indiquaient très 
	clairement, dans le cadre de la mission au Négus d'Abyssinie, que ceux-ci 
	n'avaient rien à voir avec le Trinitarisme, et les déclarations de Ja'far, 
	cousin du Prophète, montrent qu'ils suivaient la Loi Biblique et l’adoration 
	du Seul Vrai Dieu, ainsi que la foi Messianique (cf. la Sourate 19 
	ci-dessus). 
	 
	Les auteurs islamiques ont également déclaré que les pratiques sabéennes 
	ont infiltré la Charia tel que nous le lisons ci-après.
	Les pratiques de mariage proviennent 
	principalement des Écritures. Les pèlerinages étaient idolâtres et dérivés 
	du mysticisme. 
 
	L'écrivain musulman Muhammad Shukri al-Alusi compare leurs pratiques 
	religieuses à l'Islam dans son Bulugh al-'Arab fi Ahwal al-Arab : (cf. 
	l'article anglais de Wikipédia sur les Sabéens) 
	
	
	[18]
	 
	Pendant la période préislamique, les Arabes avaient l'habitude de pratiquer 
	certaines choses qui étaient incluses dans la Charia Islamique.
	Par exemple, il leur était défendu d'épouser à la fois 
	une mère et sa fille. Ils considéraient par ailleurs l'acte d'épouser 
	simultanément deux sœurs comme l'un des crimes les plus odieux. Ils 
	réprimandaient aussi quiconque épousait sa belle-mère, en le qualifiant de
	
	dhaizan. 
	Ils faisaient le 
	grand pèlerinage [hajj] et le petit pèlerinage [umra] à la Ka'bah, en 
	effectuant les circumambulations autour de la Ka'ba [tawaf], 
	avaient pour coutume de courir sept fois entre les Monts Safa et Marwa [sa'y], 
	de jeter des pierres et de laver leurs corps après les rapports sexuels. Par 
	ailleurs, ils se gargarisaient, se nettoyaient les narines en reniflant de 
	l'eau, se coupaient les ongles, s'épilaient les aisselles, rasaient leurs 
	poils pubiens et pratiquaient le rite de la circoncision.
	De même, il était de coutume de couper la main droite 
	des voleurs.
	- 
	Muhammad 
	Shukri al-Alusi, Bulugh al-'Arab fi Ahwal al-'Arab, Vol. 2, p. 122
	 
	La Charia 
	était ainsi dérivée de la structure rituelle 
	préislamique des gens idolâtres de Becca. Elle était utilisée pour corrompre 
	les Lois de Dieu qui étaient la base de la Foi telle que livrée à Moïse au 
	Sinaï (voir le texte de la Sourate 095 "Le Figuier"). 
	
	 
	Sourate 34 : 
	
	Sheba 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 34 (No. Q034)
	Sheba ou "Saba" 
	tire son nom des versets 15 et suivants. Il s'agit d'une région au Yaman ou 
	Yémen. 
	 
	Saba avait un royaume dont la richesse était 
	basée sur l'agriculture et l'irrigation et était considéré comme le Sheba de 
	la Bible. 
	Le système d'irrigation était préexistant ca. 800 AEC (Avant l'Ère 
	Courante) et a perduré jusqu'à l'effondrement de son système de barrage ca. 
	570 EC. 
	Il a 
	atteint son apogée dans les années ca. 750 et le système primitif a été 
	associé à Salomon et à la reine de Sheba, citée dans la Bible.
	
	Ceci fut un 
	exemple et un avertissement pour les Arabes idolâtres quant à ce qui leur 
	arriverait. 
	Ils sont 
	maintenant probablement pires que ce qu'ils étaient.
	 
	Les Sabéens étaient sous 
	Dominion 
	des Unitaires Abyssiniens 
	Himyarites, et ceci explique probablement l'origine du terme "Sabéen" tel 
	qu'appliqué au Prophète par Omar dans la Sourate 20 "Ta Ha", citée 
	ci-dessus. 
	
	 
	
	Sourate 35 : Les Anges 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 35 (No. Q035)
	La Sourate 35 Al Mala'ikah,
	Les Anges, est également 
	appelée Al Fatir Le Créateur, d'après un terme du verset 1. Le 
	texte se réfère à la création de l'Armée Angélique.
	
	Une des rares erreurs de transcription du Coran est 
	présente ici au verset 1. Les anges ici ont trait à ceux de deux, trois et 
	quatre anges ailés. Le fait est que la création de l'Armée Angélique était 
	en tant que des élohim, [et ils sont décrits] comme deux anges ailés et 
	quatre anges ailés, et les Étoiles du Matin comme des Séraphins ou des anges 
	à six ailes. Le texte original était très probablement "ayant des ailes deux 
	et deux fois trois et quatre". 
	 
	Il est surprenant que l'erreur n'ait pas été 
	constatée depuis longtemps.
	
	L'idée d'un être volant à trois ailes est ridicule.
	
	La distinction 
	est qu'Allah multiplie ce qu'Il veut dans la création.
	
	Cela fait 
	référence à la création initiale dans Job 38:4-7 où tous les fils de Dieu 
	étaient rassemblés sous l'autorité de leurs Étoiles du Matin lors de la 
	création initiale de la terre.
	
	Les Séraphim sont les chefs enseignants à six ailes de l'Armée Angélique.
	
	Les Chérubins sont également des créatures à six ailes qui entourent le 
	Trône de Dieu. 
	Le Messie devait devenir l'Étoile du Matin ou l'Al Tarikh en tant que 
	chef de l'Armée entière par son sacrifice comme nous le voyons dans la 
	Sourate 86 "Al Tarikh" ou "L'Étoile du Matin" ci-dessous. 
	
	 
	
	Sourate 51 : 
	
	Les Vents Tourbillonnants
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 51 (No. Q051)
	Adh 
	-
	Dhariyat
	tire son nom du verset 1. Les quatre premiers versets 
	sont habituellement compris pour se référer aux vents ou aux Anges qui 
	passent au crible l'humanité.
	Leurs 
	significations symboliques sont également mises en évidence dans le verset 
	50 où "l'avertisseur" d'Allah à l'église était un ange révélateur supposé 
	être Gabriel dans la mission pour l'église à Becca.
	Le verset 36 contient le terme arabe 
	Mouslimin, signifiant ceux qui se sont 
	soumis à Allah. 
	Ainsi, Lot était 
	considéré comme un Mouslimin tout comme 
	Abraham et ensuite Moïse et les prophètes, et les Églises de Dieu étaient 
	toutes des Mouslimin, signifiant qu'elles s'étaient soumises à Dieu.
	
	 
	
	Sourate 52 : Le Mont 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 52 (No. Q052)
	At-Tur 
	tire son nom du verset d'ouverture.
	
	C'est une des
	
	
	Premières Sourates des gens de Becca 
	associée à celles qui ont permis le début de l'instruction à Becca ainsi 
	que l'explication du plan de Salut de l'Écriture.
 
	Les premiers textes se réfèrent aux Écritures 
	utilisées dans l'appel de l'église à Becca. 
	
	 
	
	Sourate 53 : 
	
	L’Étoile 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 53 (No. Q053)
	L'étoile se réfère à la transition du pouvoir de Satan à Christ en tant 
	qu'Étoile du Matin, conformément à la prophétie dans Nombres 24:17. 
	
	 
	
	Sourate 54 
	
	: La Lune
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 54 (No. Q054)
	Al Qamr 
	“La 
	Lune” 
	tire son nom du verset 1 concernant le passage suivant : "L'heure approchait 
	et la Lune était déchirée en deux." 
 
	Le texte se réfère à l'époque où les 
	compagnons du Prophète étaient avec lui. Quand la Mission aux Arabes 
	commença, la lune apparut déchirée en deux. Cette vision fut comprise comme 
	ayant été donnée pour la mission ; c'est ainsi que la persécution de 
	l'église à Becca commença.
	
	Ainsi, cette Sourate qui fait partie des 
	
	Premières Sourates de Becca devait être 
	bien antérieure à l'an 613 de l'Ère Courante et à la Première Hégire en 
	Abyssinie. 
	Il est possible que cette Sourate fasse partie des Toutes 
	
	Premières Sourates de Becca. 
	Son écriture a été provoquée par le culte des Païens et de Qamar [la 
	Lune], tel que nous le voyons dans les textes précédents (Les Sourates 
	51-53). 
	
	 
	
	Sourate 55 : Le Plus Gracieux 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 55 (No. Q055)
	La Sourate Ar-Rahman "Le Bienfaisant" est le 
	titre par lequel la Sourate commence.
	
	
	Il porte le concept de la Miséricorde et de la Grâce de Dieu.
	
	 
	Dans la question au verset 13 : "Lequel des 
	bienfaits/faveurs de votre Seigneur reniez-vous ?", le pronom vous et le 
	verbe renier sont sous une forme dualiste. 
	La question s'adresse donc à la fois à 
	l'humanité et aux djinns [démons].
	
	Dans l'Islam Hadithique, une controverse a fait son 
	apparition selon laquelle les versets 46 à 76 ne se référeraient pas aux 
	résurrections de paradis, représentant les divisions de l'Éden, mais aux 
	conquêtes ultérieures des musulmans, représentées par quatre régions : 
	l'Égypte, la Syrie, la Mésopotamie et la Perse, et ainsi en arriver à 
	l'aspect physique et non plus à l'aspect spirituel. Le texte examine cette 
	double signification suggérée.
	 
	Cette Sourate parmi les 
	
	Premières Sourates de Becca est destinée - comme les autres Sourates de ce type - à ouvrir les yeux 
	de ceux qui sont appelés et à les éduquer dans les Écritures.
	
	  
	
	 
	
	Sourate 56 :
	L’Événement 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 56 (No. Q056)
	
	Al-Waqi'ab 
	"L'Événement" tire son nom de l'événement 
	dont il est question au verset 1. Il s'agit d'une des 
	Toutes 
	
	Premières Sourates de Becca 
	
	introduisant la Foi aux idolâtres à Becca et aux Convertis étant appelés 
	parmi eux. 
	Son but était d'expliquer 
	
	
	Le Jour du Seigneur et 
	les Derniers Jours (No. 192)
	
	ainsi que 
	les sujets traités dans les études sur 
	
	
	
	La Résurrection des Morts 
	(No. 143), 
	
	
	
	La Première Résurrection 
	(No. 143A) 
	et 
	
	La Deuxième Résurrection 
	et le Jugement du Grand Trône Blanc (No. 143B).
	 
	Le verset 40 aurait été révélé à al Madinah [Médine] en tant qu’une 
	révélation ultérieure, laquelle enseigne que la résurrection aura un élément 
	postérieur d’appelés au cours du système Millénaire et que ces appelés 
	seront changés en être spirituels à la Deuxième Résurrection. 
	
	
	 
	
	Sourate 70 : 
	
	Le Chemin de l'Ascension 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 70 (No. Q070)
	Le nombre attribué à cette Sourate n'est pas dû à un accident.
	Les Soixante-dix se rapportent aussi aux 
	Soixante-douze qui étaient à l'origine les Élohim de l'Armée Céleste 
	auxquels ont été attribuées les nations de la Terre tel que décrit dans 
	Deutéronome 32. Yahovah élohim, qui devint plus tard le Christ, se vit 
	attribuer Israël par Éloah en tant que son domaine, à travers lequel l'armée 
	humaine entière serait appelée et placée en tant qu'élus dans la Cité de 
	Dieu. 
	 
	De la même façon, les Soixante-dix formant le Sanhédrin furent mis 
	responsables des Tribus d'Israël. Par la suite, Christ ordonna les 
	Soixante-dix en tant que le Conseil des Anciens, tel que nous le voyons dans 
	Luc 10:1 et 17. Dans les textes originaux, ils ont été appelés les 
	Hebdomekonta [Duo] signifiant les Soixante-dix [Deux]. Il leur a été donné 
	le pouvoir de baptiser et d'ordonner en vue d’établir les moyens du Salut et 
	l'ascension aux Résurrections par le moyen de l'Esprit Saint.
	 
	Les ascensions de Moïse étaient aussi indicatives à la préparation de 
	l'humanité aux Lois de Dieu afin de rencontrer le Messie lors de son Premier 
	et Second Avènement (voir l'étude 
	
	
	
	Les Ascensions de Moïse 
	(No. 070)).
	Voir aussi l'Introduction à la Sourate 72. 
	 
	L'église sous Christ devint le seul moyen par lequel les hommes pouvaient 
	s'élever à Dieu dans l'Esprit Saint. 
	Le Prophète était simplement l'un des dirigeants des Églises de Dieu, qui 
	étaient tous le Mouhammad habilité à diriger les Églises de Dieu dans 
	l’Ahmad ou Esprit Saint.
	
	 
	
	Sourate 71 : Noé 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 71 (No. Q071) 
	Cette Sourate tire son nom du sujet traité, 
	qui sont les prophéties du prophète Noé et la destruction du monde. 
	 
	Il s'agit d'une des 
	
	Premières Sourates de Becca utilisée pour introniser l'église primitive à Becca aux Écritures de la 
	Bible. 
	Elle allait aussi permettre de montrer le premier témoignage contre les 
	Djinns et ce qu'était le monde antédiluvien.
	
	 
	
	Sourate 75 : La Résurrection
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 75 (No. Q075)
	Al-Qiyamah 
	tire son 
	nom de la référence à la Résurrection au verset 1. Il s'agit d'une des
	Premières Sourates de Becca placée 
	ici pour faire suite à l'avertissement initial aux Arabes de la Sourate 
	précédente (Sourate 74). 
 
	Les versets 1 à 4 dans cette Sourate se réfèrent aux textes d'Ézéchiel, 
	de Job et d'Ésaïe recouvrant l'aspect physique qui doit se produire à 
	l'humanité lors des résurrections. Cela inclut à la fois la Première et la 
	Deuxième Résurrection, auxquelles tous les hommes sont assignés pour leur 
	jugement, ainsi que la récompense ou la correction. 
	 
	Les adorateurs des cultes du Soleil et des Mystères à Becca qui adorent 
	Hubal (signifiant "Le Seigneur") statuaient qu'après la mort, ils allaient 
	au ciel. Il en est de même pour les adorateurs de Baal, qui vouaient leur 
	culte le dimanche, et qui ont gardé les fêtes de Noël et de Easter/Pâques, 
	et qui ont, plus tard, pénétré le Christianisme à Rome et ce, à partir du 
	culte du dieu Attis (voir l'étude sur 
	
	
	
	Les Origines de Noël et 
	de Easter/Pâques (No. 235)).
	
	 
	Quiconque statue qu'après la mort, nous allons au ciel n'est pas un 
	disciple de la foi du Christ et des Apôtres et des Prophètes, mais est un 
	adorateur des Cultes du Soleil et de Baal ou Hubal. Ces mêmes infidèles 
	contrôlent Becca et Rome, ainsi que le pseudo-Islam et le 
	pseudo-Christianisme à ce jour. 
	
	 
	
	Sourate 76 : 
	L’Homme ou le Temps 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 76 (No. Q076)
	
	"Al-Insan" 
	ou Ad-Dar dans l'un ou l'autre cas tire son 
	nom du verset 1. C'est une des Premières 
	Sourates de Becca qui concerne la doctrine de 
	
	
	La Prédestination (No. 
	296) 
	des élus dans le plan du Salut et elle est liée aux autres
	Premières Sourates de Becca portant 
	l'attention de l'appel aux oreilles des idolâtres de Becca et de ceux qui 
	devaient être appelés et baptisés parmi eux. 
	
	 
	
	Sourate 77 : Les Émissaires
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 77 (No. Q077)
	Le texte montre que Dieu envoie Ses messagers ou Al-Mursalat 
	en tant qu'émissaires avec 
	un but spécifique pour la direction de l'humanité. 
	Il utilise à la fois des moyens naturels et spirituels.
	Ceci est une référence au livre des 
	
	
	Hébreux (No. F058) 
	et le but de l'Armée 
	Angélique en tant qu'esprits au service de l'humanité.
 
	C'est une 
	des 
	
	Premières Sourates de Becca 
	utilisée pour commencer l’explication du Ministère aux Arabes.
	
	 
	
	Sourate 78 : Les Nouvelles
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 78 (No. Q078)
	An-Naha 
	tire son nom des mauvaises nouvelles dont il est question au verset 2. 
 
	C'est une des 
	
	Premières Sourates de Becca 
	faisant partie 
	des premières proclamations après le commencement de la Mission du Conseil 
	de l'Église, qui est le Mouhammad sous l’autorité du Prophète. 
	
	 
	
	Sourate 79 : 
	Ceux qui Arrachent 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 79 (No. Q079)
	An Nazi'at 
	tire son nom d'un mot du verset 1 qui se 
	réfère à ceux qui traînent avec l'intention de faire face aux Résurrections 
	avec possibilité de destruction.
	
	Les versets 2 et 3 sont désignés par certains comme se référant aux Anges 
	dans leurs rôles célestes et (comme l'a noté Pickthall) comme "ceux qui 
	consolent tendrement les esprits des justes" et "ceux qui descendent du ciel 
	sous l'ordre de leur Seigneur". Le rendu de Pickthall est le plus évident.
	
	Cependant, la signification est celle du soutien angélique spécifique aux 
	élus.
	 
	C'est une des 
	
	Premières Sourates de Becca qui s'accorde 
	sur les thèmes de l'avertissement des Arabes et sur le spectre de la 
	Résurrection et du Jugement. 
	
	 
	
	Sourate 80 : 
	Il a Froncé les Sourcils 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 80 (No. Q080) 
	‘Abasa 
	est une réprimande du Prophète pour l'acception des personnes. En effet, 
	lui-même s'est détourné d'un aveugle, après que celui-ci lui ait posé une 
	question. À ce moment-là, le Prophète expliquait la foi à l'un des 
	dirigeants de sa tribu, les Qureysh. Il s'est détourné de l'aveugle qui 
	était visiblement intéressé et a froncé les sourcils.
	
	Dans cette Sourate, il fut réprimandé pour son 
	acception de personnes, et est enseigné que l'importance d'un homme ne 
	dépend pas de son apparence ou de sa position dans la société.
	
	Dieu ne fait pas 
	acception de personnes (Actes 10:34). 
 
	De nouveau, la Sourate suivante est une des
	
	
	Premières Sourates de Becca 
	ayant pour objet l'appel des élus de Dieu dans la foi.
	
	 
	
	Sourate 81 : Le Renversement
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 81 (No. Q081)
	Al-Takwir 
	tire son 
	nom du verset 1. Il se réfère au renversement du système solaire sous 
	l'ordre angélique de l'Armée Déchue.
	Le 
	temps de Satan est court et son ordre mondial de la semaine de travail de 
	6000 ans touche à sa fin.
	
	D'après les textes bibliques, Adam et Ève ont été créés en 4004 AEC (avant 
	notre ère). Le Jardin d'Éden fut fermé et le monde placé sous la domination 
	de Satan trente ans plus tard, lorsque Adam était pleinement responsable, en 
	3974 AEC (avant notre ère), lors du Premier Jubilé.
	Le 
	120ème jubilé se termine en 2027. Le Messie sera envoyé avant 
	cette date pour écourter ce règne, sinon il n'y aura aucune chair laissée 
	vivante (voir 
	
	Les Grandes Lignes de la 
	Chronologie de l’Âge (No. 272)). 
	 
	Le repos de Sabbat du Messie dure 1000 ans après la Première Résurrection 
	pour le Millénium. 
	 
	Les textes se réfèrent au système satanique du Soleil et aux cultes des 
	mystères et à leur massacre d'enfants et de bébés, généralement à Becca et 
	en Syrie, sous les cultes du soleil et les systèmes de Baal et Easter au 
	Levant, et à Babylone et au Moyen-Orient en général. 
	 
	C'est un avertissement aux Arabes et au Moyen-Orient et à l'Afrique du 
	Nord en général. 
	Il sera 
	encore renforcé dans ces derniers jours et la dernière des Guerres d'Amalek 
	annoncées par Moïse, qui se produiront dans les derniers jours et qui sont 
	en cours maintenant au Moyen-Orient (Exode 17:14-16). 
	Le Seigneur a dit à Moïse : "Écris un récit de cette victoire et lis-le à 
	Josué. 
	Je veux 
	que les Amalécites soient oubliés pour toujours." (15) Moïse 
	construisit un autel et le nomma "Le Seigneur me donne la victoire" 
	(16) Puis Moïse expliqua : "C'est parce que je dépendais du Seigneur, 
	mais dans le futur, Le Seigneur devra à nouveau combattre les Amalécites." 
	 
	Les Arabes ont apporté les guerres de la fin sur eux-mêmes à partir de 
	1948 à 1967, et maintenant jusqu'à la fin des guerres et la venue du Messie, 
	pour écourter le temps et forcer les Coupes de la Colère de Dieu sur les 
	gens qui doivent se repentir afin de vivre et entrer dans le Millenium (voir 
	l'étude 
	
	
	Les Guerres des Derniers 
	Jours et les Coupes de la Colère de Dieu (No. 141B)). 
	 
	Le Moyen-Orient a été détruit par les Arabes idolâtres bien qu'ils aient 
	reçu le Coran et les Lois de Dieu.
	On 
	leur a dit d'obéir aux Lois de l’Alimentation (Sourate 3:93) mais ils les 
	ont corrompues avec le soi-disant Halal.
	
	Ils ont mangé des chameaux issus des sacrifices à Becca à la Kaaba, allant 
	de pair avec le massacre des enfants, et ils ont mangé tout ce qui pouvait 
	être mauvais et impur, excepté le porc.
	 
	Sous les Romains, l'Afrique du Nord était la corbeille à pain de la 
	Méditerranée. Avec les arbres allant du Nil à l'Atlantique et à l'Asie, elle 
	était encore riche, productive et arborée. 
	Elle a été transformée en un désert aride et doit être soumise, reboisée 
	et stabilisée à nouveau. 
	Cela 
	n'arrivera pas sous le règne actuel.
	Le 
	golfe d'Oman a été transformé en la plus grande zone morte des océans dans 
	le monde, en raison de la pêche continuelle des animaux marins, des huîtres 
	et des coquillages qui maintiennent les océans et nettoient les eaux. 
	Tout cela a été fait en désobéissance aux lois de Dieu.
	Ces infidèles pseudo-islamiques et 
	pseudo-chrétiens ont tué la région, en même temps qu'ils détruisent le monde 
	entier. 
	 
	La Sourate a 29 versets, un nombre qui symbolise le Jugement (voir 
	l'étude 
	
	
	Le Symbolisme des Nombres 
	(No. 007)). 
	
	 
	
	Sourate 82 : 
	La Scission 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 82 (No. Q082)
	Al-Infitar 
	fait référence au clivage du premier ciel.
	
	Les planètes qui 
	se dispersent sont liées au texte du verset 4 se référant aux sépulcres qui 
	sont renversés. Les lieux de cultes païens de Becca et ce, jusqu’à Rome, 
	ainsi que ceux qui 
	observent les astres 
	vont être renversés et dispersés. 
	Tous les faux systèmes religieux seront 
	détruits, de la Kaaba jusqu’au Vatican. 
	 
	Notez une fois de plus que le texte a 19 
	versets, ce qui correspond au nombre du jugement immédiat.
	
	Le texte montre 
	que chacun est jugé en fonction de sa propre conduite et de sa façon 
	d'adorer ou de négliger. 
 
	Il s'agit encore une fois d'une des 
	
	Premières Sourates de Becca regroupée avec les textes missionnaires initiaux.
	
	 
	
	Sourate 83 : Ceux qui se Livrent à la Fraude
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 83 (No. Q083)
	At Tatfif, 
	"frauder" 
	est mentionné dans le premier verset. 
	Cela traite du Huitième Commandement et de ceux qui le violent.
 
	
	Sourate 84 : La Déchirure
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 84 (No. Q084)
	Al-Inshiqaq 
	tire son nom des cieux divisés (en deux) au 
	verset 1. C’est l'arrivée du Messie et du conseil céleste chargé de 
	superviser les Saints, lequel est désigné en tant que les anges gardiens de 
	la Sourate 82. Ces anges forment le conseil du Trône de Dieu, chargés de 
	surveiller les prières des saints.
	
	Ils sont Vingt-quatre et le Vingt-cinquième est le Messie en tant que 
	Souverain Sacrificateur, tel que nous le voyons dans Apocalypse chapitres 4 
	et 5. Ce sont les chefs des vingt-quatre divisions du sacerdoce, devant être 
	établis à Jérusalem. 
	 
	La terre a précipité tous [les hommes] dans le 
	jugement de la Première Résurrection et ensuite de la Deuxième Résurrection 
	à la fin du Millénaire dont il est question dans Apocalypse chapitre 20.
	 
	Encore une fois, il s'agit d'une des 
	
	Premières Sourates de Becca qui met l'accent sur le Jugement et l'Avènement du Messie pour ce but. 
	
	 
	
	Sourate 85 : 
	
	La Demeure des Étoiles
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 85 (No. Q085)
	Al-Buruj
	tire son nom du texte du verset 1.
	Pickthall le traduit par demeures des Étoiles et 
	c'est le sens qui est retenu ici.
	Le mot a le 
	sens de manoirs ou de tours et comme Pickthall l'indique, il est appliqué 
	aux signes du zodiaque. 
	Nous examinerons cet 
	aspect plus tard. 
	 
	Les versets 4 à 7 sont généralement considérés comme faisant référence au 
	massacre des chrétiens de Najaran à Al-Yaman par le roi juif Dhu Nawas.
	Cela devait s'avérer d'une grande importance 
	historique, car il provoqua l'intervention du Négus des Abyssiniens au Yémen 
	et aboutit à leur suprématie.
	Comme cela a 
	été souligné dans l'introduction de la Sourate 19, le système abyssinien 
	était un système Sabbatarien Unitarien en général, et le Négus accorda un 
	sanctuaire à l'église à Becca, sous Jaffar le cousin du Prophète en l'an 
	613. 
	 
	La suprématie du royaume Himyarite du Yémen a vu la langue arabe se 
	développer par les Chrétiens Sabbatariens en l'année 470 EC (Ère Courante). 
	Cette domination a duré jusqu'à la Guerre de l'Éléphant (voir la Sourate 
	105) qui était l'année de la naissance du Prophète, soit 570 EC. 
	 
	Les mots "propriétaires du fossé du feu alimenté par le combustible" se 
	réfèrent à la condition de tous les persécuteurs de la foi dans l’autre vie 
	qui ne se repentiront pas et qui seront détruits dans l'étang de feu à la 
	fin de la Deuxième Résurrection.
	Le professeur 
	Horowitz semble être de cet avis, et Pickthall le mentionne aussi dans son 
	introduction. Cependant, il ne semble pas comprendre la fonction du Lac de 
	Feu dans Apocalypse chapitre 20. 
	 
	Le texte se réfère sans aucun doute à la nécessité de la Première Hégire en 
	613, pour laquelle ce texte a également été publié sans aucun doute à 
	l'appui du texte de la Sourate 19. 
 
	(Reportez-vous également à l'ouvrage 
	Islamic Culture, avril 1929, Hyderabad, Deccan) 
	 
	Sourate 86 : L'Étoile du 
	Matin ou Al Tarikh ou le Visiteur Nocturne 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 86 (No. Q086)
	Ce texte a été expliqué davantage en détail dans 
	l'étude 
	
	
	Christ et le Coran (No. 
	163).
	 
	Le titre peut être rendu comme
	Al Tariq ou Al Tarikh ou Al Tarik. 
	Le nom a de multiples dérivés ou significations en araméen et Christ a 
	utilisé ces références pour se référer à lui-même dans les paraboles des 
	évangiles et dans la Révélation (Apocalypse) à Jean.
	 
	Jésus-Christ en tant 
	que Messie 
	Le Messie ou le oint de l'Ancien Testament s'est 
	accompli dans l'avènement de Yahoshua ou Jésus et ce, par sa naissance de 
	Mariam (ou Marie) de Nazareth.
	
	
	La généalogie du Christ (voir l'étude 
	
	
	
	La Généalogie du Messie 
	(No. 119)) 
	dans le Nouveau Testament dans l’Évangile de Luc est comprise par le 
	judaïsme rabbinique comme celle d'Héli, le père de Mariam (ou Marie).
	
	La structure familiale en entier 
	et ce, depuis Moïse est développée dans l'étude suivante : 
	
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 3 “Ali ‘Imram”.
	 
	Le terme Christ signifie
	oint en grec. 
	
	Ce mot a la même signification que Messie en tant que oint, en hébreu.
	
	Ainsi, les termes de Christ et 
	Messie ont la même signification.
	
	
	La forme arabe dans le Coran a la même signification que l’oint ou le Messie 
	de Dieu. 
	Le Prophète Arabe 
	(incorrectement appelé 
	Mouhammad), se réfère à Jésus Christ comme le Messie à diverses 
	sections du Coran et notablement dans sa condamnation de la nouvelle hérésie 
	de la Trinité, à la Sourate 4 Les
	femmes, au verset 171, où aussi il 
	le qualifiait comme la Parole. Il 
	en est de même au verset 172.
	
	
	La Sourate 86, Al Tariq (L'Étoile 
	du Matin - telle que traduite par Pickthall) a été donnée pour expliquer 
	la signification de la mort du Christ, la nouvelle Étoile du Matin, en ce 
	que tous les hommes sont créés de nouveau ou renaissent par sa mort. Cela 
	est symbolisé et signifié par l'émanation du sang et de l'eau, provenant de 
	la blessure entaillée par la lance,
	
	
	située entre les reins et les côtes.
	 
	D'autres significations anciennes et originales d'Al 
	Tariq sont significativement celles de
	Celui qui vient dans la nuit (cf. 
	la traduction de Dawood) et de Celui 
	qui frappe à la porte.
	
	
	La signification des déclarations du Christ à l'Église et l'ère de Sardes et 
	aux églises en général à Apocalypse 3:3 et 16:15, et à l'Église de Laodicée 
	à Apocalypse 3:20 devient alors plus claire. 
	Il dit à l'Église et à l'ère de Laodicée qu'il vient en tant que Messie.
	
	Il dit qu'il est
	Al Tariq, l'Étoile du Matin ou le 
	Roi Messie. 
	Il dit aussi que les églises, en 
	particulier celles de Sardes et de Laodicée, ne seront pas en train de 
	l’attendre lorsqu'il reviendra. Ces ères d'églises existent donc à son 
	retour. 
	La signification de la Sourate
	Al Tariq est complètement perdue 
	dans l'Islam moderne. 
	 
	Jésus, la Parole, le Souverain Sacrificateur selon 
	l'ordre de Melchisédek, est la nouvelle Étoile du Matin de la planète Terre.
	
	Malheureusement, une partie de la 
	compréhension plus profonde du nom est perdue en français, et nécessite 
	quelques éclaircissements sur la question. 
	On peut voir à partir de Job 1:6 ; 
	2:1 et 38:4-7 qu'il y avait des Étoiles du Matin et des fils de Dieu 
	présents à la création du monde et que ces fils de Dieu, dont Satan en était 
	un, avaient accès au trône de Dieu sur une base continue.
	
	Christ a fait allusion à qui il 
	était dans les Évangiles, mais la pleine signification de ce qu'il a dit n'a 
	pas été comprise. 
	
	Le nom Étoile du Matin dans 
	l'hébreu original et l'araméen signifiait
	ce qui vient dans la nuit ou
	celui qui frappe à la porte.
	
	
	Ceci est conservé dans l'arabe Al 
	Tariq et est compris par eux.
	
	
	Le Coran montre une compréhension claire et précise de qui était l'Étoile du 
	Matin. 
	
	 
	
	Sourate 87 : Le Très Haut
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 87 (No. Q087) 
	Le texte se réfère à l'Elyon qui est le Très-Haut.
	
	Il est le Seul Vrai Dieu 
	Éloah (ou Allah') qui est devenu le Ha Élohim par la création des fils de 
	Dieu qui sont les élohim en tant que classe. 
	Le texte de cette Sourate fait suite au texte de 
	l'Étoile du Matin pour montrer qu'Il est le Dieu du Messie en tant que 
	l'Étoile du Matin en tant que futur dirigeant du monde, afin que ce monde 
	soit soumis et que l'Elyon vienne sur la terre pour établir la domination 
	universelle à partir de la terre, comme nous le voyons dans Apocalypse 
	chapitres 21 et 22. 
	
	 
	
	Sourate 93 : La Matinée 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 93 (No. Q093) 
	C'est une des 
	
	Premières Sourates de Becca 
	renforçant les Tout Premiers Messages sur lesquels elle s’appuie.
	Elle suit les textes qui ont mené à la persécution et à 
	la Première Hijrah/Hégire de 613 EC et montre que Dieu ne les a pas 
	abandonnés. 
	La dernière partie 
	sera meilleure que la précédente et ils en seront ravis.
	 
	Il y a 11 versets, de telle sorte que le problème n'est donc pas complet et 
	n'en est qu'à son stade médian, lequel est la moitié du chiffre complet 22.
	 
	Une fois de plus, nous étions des mendiants et des orphelins et Dieu nous a 
	protégés et enrichis. C’est pourquoi Il nous demande de faire de même pour 
	ceux qui sont orphelins et dans le besoin. 
	Par conséquent, 
	la bonté du Seigneur fait partie du discours des élus. 
	
	 
	
	Sourate 94 : Le Réconfort
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 94 (No. Q094)
	Al-Inshirah
	"Réconfort" tire son nom du sujet du verset 1, et du 
	sujet de la Sourate qui est la libération de l'anxiété.
	Elle a très probablement été publiée au moment le plus 
	fort de la persécution, lorsque l'église a dû fuir en Abyssinie lors de la 
	Première Hijrah/Hégire en l'an 613 de l'Ère Courante. 
	Cette Sourate a été publiée en même temps que la Sourate 
	93. Cela aurait semblé ridicule aux gens de Becca, car le Prophète et 
	l'Église ont été raillés et rejetés, et les pauvres et les faibles forcés de 
	fuir. 
	
	  
	 
	Néanmoins, l'Esprit Saint avait donné à l'église l'assurance intérieure des 
	choses à venir ainsi que la tranquillité qui vient de la connaissance ferme 
	de la volonté de Dieu, pour un avenir non encore réalisé mais vu comme 
	promis par Dieu, et ainsi, assuré. 
	 
	Le Prophète était absolument sûr de la reconnaissance à venir, tout comme 
	l’était l'église ou le 
	Mouhammad qui faisait l'objet de persécutions. 
	 
	Les huit versets culminent dans l'effort pour plaire au Seigneur et avec 
	cela vient le soulagement, mais même ainsi, nous devons continuer à 
	travailler dur dans la foi. 
	
	 
	
	Sourate 104 : Le Calomniateur 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 104 (No. Q104)
	Al-Humazah 
	tire son nom des calomniateurs mentionnés au verset 1. 
 
	À l'époque du Prophète, les infidèles à Becca se sont mis à détourner 
	l’attention des nouveaux venus à Becca, et ont calomnié le Prophète pour 
	nier la foi. 
	Il en est de même pour la foi jusqu'à ce jour, et 
	encore davantage dans les Églises de Dieu corrompues. 
 
	C'est une des 
	
	Premières Sourates de Becca.
	
	 
	
	Sourate 107 : Petites Bontés 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 107 (No. Q107)
	Al-Ma'un
	est une des 
	
	Premières Sourates de Becca 
	qui tire son nom du dernier verset. 
 
	Elle se réfère aux faux adorateurs qui sont méchants envers les nécessiteux 
	et les orphelins, qui ne tiennent pas compte de leurs prières mais désirent 
	simplement être vus au culte, comme ils le sont aujourd'hui. 
	
	 
	
	Sourate 111 : La Fibre de Palmier 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 111 (No. Q111)
	Al-Masad
	tire son nom d'un terme présent dans le dernier verset.
	C'est la seule 
	Sourate de tout le Coran où un opposant du Prophète est dénoncé par son nom. 
	Il est dénommé en tant que Abu Lahab ou le "père des flammes". 
	 
	Abdul-'Uzzå, parent du Prophète et cousin germain de 
	son grand-père Abdul Muttalib, était apparemment connu sous le nom d'Abu 
	Lahab, signifiant le Père des Flammes à cause de son teint roux et de son 
	caractère féroce. 
	
	Lui et sa femme entretenaient de l'hostilité envers le Prophète et étaient 
	les épines dans sa vie. 
	
	Ils sont maudits à cause de leurs actes et de leurs pensées.
	
	Sa femme a participé à ses 
	manœuvres hostiles contre l'Islam.
	
	Il serait mort peu de temps après avoir appris la défaite des Qureysh à la 
	bataille de Badr. 
	 
	Il est statué que son épouse était une porteuse de 
	bois ou une porteuse de combustible, ce qui signifie, de manière figurée, 
	qu'elle aurait ajouté du combustible aux 
	ragots que se racontaient les gens, pour impliquer 
	ces derniers dans la calomnie.
	
	
	Elle a dû être impliquée dans la diffusion de faux rapports
	
	contre le Prophète. 
	 
	On dit qu'elle a été étranglée par la même corde 
	qu'elle utilisa pour ramener les arbustes épineux de la forêt qui ont été 
	placés sur les chemins utilisés par le Prophète. 
	Le
	collier de 
	bijoux qu'elle portait est devenu 
	symboliquement une corde de fibre torsadée qui a mis fin à sa vie. 
	
	 
	
	Sourate 112 : L’Unité 
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 112 (No. Q112)
	At-Taubid
	"L'Unité" est un titre tirant son nom de son sujet. 
	Celle-ci est souvent considérée comme étant la substance du Coran dont elle 
	est en réalité la dernière Sourate fondamentale de la foi.
	C'est une des
	
	Premières Sourates de Becca.
	
	D'après
	Pickthall, certaines autorités considèrent qu'elle a 
	été révélée durant la période médinoise et que c’était en réponse à une 
	question posée par certaines autorités juives sur la Nature de Dieu. 
	 
	Le thème est basé sur l'Écriture de Jean qui dit clairement
	: "Et c’est ici la vie éternelle, c’est qu’ils te 
	connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, 
	Jésus–Christ." (Jean 17:3).
	 
	Sourate 113 : 
	
	Le Lever du Jour
	
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 113 (No. Q113)
	Al-Falaq est une des
	
	Premières Sourates de Becca. Celle-ci et la Sourate 114 sont toutes 
	deux des prières pour la sécurité et la protection. Dans le 
	cas présent, il s'agit de prières ayant pour but la protection contre des 
	peurs, des craintes provenant de sources inconnues.
	Les deux Sourates sont connues comme
	Al-Mu'awwadhateyn, les deux cris 
	pour le refuge et la protection. 
 
	Sourate 114 : L’Humanité 
	
	Commentaire sur le Coran 
	: Sourate 114 (No. Q114)
	An-Nas
	est le deuxième des deux appels à la protection et est 
	également une des
	
	Premières Sourates de Becca. Il tire son nom du mot récurrent en 
	arabe qui forme ou marque le rythme en arabe. Dans cette 
	prière, la protection est recherchée contre le mal qui se trouve dans le 
	cœur même de l'homme, mais plus spécifiquement contre la calomnie diabolique 
	du murmure furtif des djinns et de l'humanité. 
	  
 
	
	La foi a été développée davantage dans la Deuxième série en approfondissant 
	le thème de la Première série.
	
	
	
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