Christian Churches of God
[QSA]
Résumé des Commentaires sur le
Qour’an ou Coran
(Édition 1.0
20180611-20180611)
Le résumé est dédié au développement de l'Ordre Chronologique du Qour’an
ainsi qu'à son développement théologique dans la mission auprès des
adorateurs païens du dieu Baal ou Hubal et de la déesse centrée sur la
Ka'bah.
Christian Churches of God
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2018 Wade Cox)
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Résumé des Commentaires sur le Qour'an ou Coran
[QSA]
Section 1
Ce texte retrace le début de la formation
et de la mission à Becca et traite des Toutes Premières Sourates de Becca et
des textes expliquant les premiers éléments de la Foi biblique.
Contexte de la Foi
Le développement de la foi tel que décrit dans les
Écritures et tel qu'il se trouve dans la Bible et dans le Qour'an ou Coran
est détaillé dans le texte sur la
Chronologie du Qour'an ou
Coran (Q001B).
La foi décrite dans le Coran est, comme nous l'avons
souligné dans la Chronologie et la séquence du développement du Coran, la
même que celle décrite dans l’Écriture. Elle a pour fondement l'Écriture en
de nombreux points.
Bien qu'étant les mêmes à l'origine, les deux croyances
ont été déformées à tel point qu'elles sont presque inconciliables et donc,
nécessitent un programme massif de rééducation pour les remettre sur la
bonne voie. En raison de la manipulation des démons ou djinns, ainsi que de
l'intrusion des cultes du soleil et des mystères et du culte du dieu Baal
(ou Hubal) et de la déesse Easter ou Ashtoreth [Astarté], les deux plus
grandes religions du monde, à savoir le Christianisme et l'Islam, sont
devenues opposées et au bord d'une guerre mondiale (voir
Le Mysticisme Chapitre 1
(No. B7_1)
et suivants ;
voir aussi l'étude
Le Mysticisme Chapitre 5
: L'Islam (No. B7_5)).
À première vue, ces croyances s'appliquent à Abraham et
à ses descendants en tant que noyau d'une famille mondiale.
Théoriquement, l'Islam (qui
signifie la soumission) embrasse
l’adoration du même Dieu que celle trouvée dans les pages de la Bible.
Nous savons cela grâce à l'étude
de la Bible et du Coran.
Les grands théologiens (tels que Calvin, Harnack et Brunner) s'accordent à
dire que le Théisme rationnel, le Judaïsme, la Bible et l'Islam sont
Unitariens.
Théoriquement, ces croyances
devraient être capables de s'entendre sur le Dieu qu'elles adorent. De même,
nous devrions être en mesure de trouver des points communs au sein de ces
œuvres.
Pourquoi alors sont-ils en désaccord au point où, en
Égypte par exemple, après une existence de 1545 ans depuis le Concile de
Chalcédoine, l'Église Copte Égyptienne est de nos jours à tel point
persécutée par l'Islam fondamentaliste dans cette nation qu'elle a cherché
affiliation avec Rome, avec qui elle avait coupé la communication depuis le
Concile de Chalcédoine (vers 451) ?
Ce
fut la cause même de ce Concile (à savoir le Trinitarisme) qui était à
l’origine de l’émergence de l'Islam lui-même.
Pourquoi, après plus ou moins quatorze siècles de coexistence pacifique,
devrait-il en être ainsi ?
Le Prophète Qasim, lorsque l’on se base sur les preuves du Coran,
appuierait-il cette position
?
Qu'est-ce que le Coran enseigne à propos du Christ, et l'Islam est-il fidèle
à la foi qui lui a été jadis donnée ?
Notre tâche a consisté à examiner ce que le Coran enseigne à propos du
Christ et à examiner la position moderne de l'Islam et du Christianisme.
Le Dieu de la Bible
et du Coran
L'affirmation selon laquelle le concept islamique de
Dieu est, en dépit des ressemblances superficielles, très différent du
concept Chrétien de Dieu, provient des considérations de la structure
théologique des deux systèmes, laquelle a été dénaturée par rapport à
l'original.
Dans le système Chrétien, la
Divinité a été dénaturée par l'influence des religions à mystères avec des
adoptions syncrétiques selon un modèle Triune ou Trinitaire.
L'Islam, par contre, a été
influencé par les développements métaphysiques du Monisme indien postérieur
en tant qu'une extension de la théologie aryenne.
Le concept original de la Bible et du Coran était, cependant, le concept
abrahamique de Dieu, et les nations descendues de lui partageaient cette
appréhension commune.
Cela incluait Israël, Juda, la nation arabe et les fils de Ketura.
Pour tous les peuples abrahamiques, Dieu était un
esprit et une puissance qui se manifestait Lui-même à Son peuple et avait un
plan et un but précis pour la création sous Sa direction.
L'attente d'un Prince, Seigneur
ou Messie est évidente depuis Abraham et était partagée par les groupes
tribaux qui descendaient de lui.
La nation arabe descend d'Ismaël jusqu’aux douze princes (Genèse 17:20) (ce
qui fait un parallèle à Israël et fournit douze autres divisions pour les
douze tribus).
Leurs traditions, jusqu'à et à travers le Prophète Arabe, sont transmises à
tout l'Islam.
D'Isaac, les traditions ont été transmises à la nation, Israël, et de là
portées dans les deux royaumes : Israël et Juda
(voir aussi l'étude
Introduction au
Commentaire sur le Coran (No. Q001)).
Les sectes juives attendaient le Messie au 1er siècle
et les fils de Tsadok (désignés comme faisant probablement partie des
Esséniens) ont déclaré qu'il y aurait deux Messies, le Messie d'Aaron et le
Roi Messie d'Israël, et que ces deux Messies correspondaient à un seul
Messie (voir G. Vermes,
The Dead Sea Scrolls in English
re :
Damascus Rule VII
et le fragment de la grotte IV).
Ainsi, on s'attendait donc à ce que le Messie soit de deux avènements.
Après la mort de Christ, les
apôtres, les soixante-dix et leurs recrues ont porté l'évangile aux tribus
perdues ; ainsi, les traditions ont été apportées en Europe, en Égypte, en
Asie et en Inde.
Le Christianisme s'est donc libéré du Judaïsme et a étendu le salut aux
païens, qui, à partir de ces temps-là, devint accessible aux non-Juifs.
Les emplacements des soixante-dix
sont abordés dans la
Chronologie du Qour'an ou
Coran (No. Q001B).
Nous avons montré sans l'ombre d'un doute dans les Commentaires sur les
Sourates que le Coran est un document Chrétien et qu'il se fonde entièrement
sur les Écritures, en ce qui concerne sa théologie et sa révélation.
Dans la séquence sur la chronologie, nous voyons comment la révélation a
été dévoilée. Nous énumérerons la séquence par périodes, et nous
expliquerons chaque Sourate, telles qu'elles ont été décrites dans la
Chronologie, ainsi que l’objectif des Sourates depuis le début de la
révélation.
Section 1:1
Les Toutes Premières Sourates de Becca
An 611 EC (de l'Ère Courante) :
début de la mission à Becca.
Sourate 96, Sourate 74 suivies des :
Sourates 68, 73, 89, 90, 91, 92, 95, 97, 99, 100, 101, 102, 103, 105, 106.
Les Sourates selon l'ordre chronologique par liens Urls
Les Toutes Premières Sourates de Becca
611 EC Début de la mission à Becca.
Sourate 96
Le Caillot
Commentaire sur le Coran
: Sourate 96 (No. Q096)
L'Ange Gabriel apparaît au Prophète à Hira, lui donnant alors les cinq
premiers versets.
Les versets suivants (versets 6 à 19) ont été donnés quelques temps plus
tard.
Sourate 74
Celui Revêtu d’un Manteau
Commentaire sur le Coran
: Sourate 74 (No. Q074)
Al-Mudath-thir
tire son nom
d'un mot du verset 1 signifiant “L'Enveloppé” ou “Celui Revêtu d'un
manteau”.
Les traditions
affirment que le Prophète s'est enveloppé dans son manteau au moment de ses
“transes révélatrices” ou méditations lorsqu'il recevait les Sourates. Sa
première révélation fut donnée dans la Sourate 96:1-5. Environ six mois plus
tard, il reçut cette Sourate dans son entièreté ; elle fut alors considérée
comme marquant le début de la mission publique du Prophète, qui démarra
environ trois ans après son appel (initial) et son éducation en 608 EC.
Ainsi, au début
de l'année Sacrée en 611 EC, à la Nouvelle Lune d'Abib, l'église commença sa
mission auprès des Arabes à Becca, en tant que le Conseil du Mouhammad.
Selon la tradition, il vit de nouveau l'Ange
Gabriel qui lui apparut premièrement sur le mont Hira. Ainsi, il s'enveloppa
dans son manteau pour recevoir ce Second Message.
La séquence des Sourates suit ici les textes
du passage de l'autorité des Djinns à l'église, puis alors du Dîner du
Seigneur et de la Pâque qui confère l’Esprit Saint, à la manifestation
directe des messages de Dieu aux prophètes du conseil de l'église.
Sourate 68 : La Plume
Commentaire sur le Coran
: Sourate 68 (No. Q068)
Al-Qalam,
"La
Plume" tire son nom d'un mot du premier verset et est une des toutes premières
Sourates de Becca.
Le premier mot est Nun qui signifie “endurance” dans l'ancien hébreu et
le texte biblique.
Yahoshua fils de Nun signifie que "le salut vient de l'endurance" ; ce
nom fut porté par le successeur de Moïse qui devint le chef pour l’entrée
dans la Terre Promise.
Le Messie a également été nommé Yahoshua.
Le premier
message s'adressait aux Arabes de Becca, qui étaient en général illettrés.
Ne pouvant lire les Écritures, leur faiblesse fut contrée par l'annonce de
ce message. À ce jour, - bien qu'ils soient dans l'habilité de lire - ils ne
lisent même pas le Coran et encore moins les Écritures et les Lois de Dieu.
Le texte traite
du rejet hâtif du Message du Prophète et des Écritures par les idolâtres de
Becca.
Cette situation allait continuer et empirer, jusqu'à mener à la Première
Hégire en l'an 613, lorsque les persécutés de l'église de Becca durent fuir
en Abyssinie pour y trouver refuge auprès de l'Église de Dieu et du Négus,
tel que décrit dans la Sourate 19 "Maryam".
Le texte nous montre l'appel de la foi ainsi
que l'intégration des appelés parmi les justes, et continue sur cette ligne
jusqu'aux derniers versets.
Sourate 73 :
Celui qui s’Enveloppe de Vêtements
Commentaire sur le Coran
: Sourate 73 (No. Q073)
Nous avons vu le concept des 70 dans la Sourate 70, puis nous avons traité
de la chute de l'Armée [Angélique] et de l'humanité dans la
Sourate 71 "Noé". La Sourate 72 traite des
Djinns, ainsi que de leur remplacement par les élus après l'ordination de
ces derniers. Nous voyons maintenant l'établissement de l'ordonnance du
Dîner du Seigneur
en vue de la préparation des vêtements des élus. Ces
vêtements sont les robes blanches de la Foi et de la Première Résurrection à
travers la mort du Messie, basé sur le sacrifice de l'Agneau de la Pâque,
qui était le sacrifice de Christ le 14 Abib à 15h. La Fête de
la Pâque de l'Exode a été instituée par l'Église en tant que la Nuit des
Observations [ou Nuit de Veille]. Elle est consécutive au Dîner du Seigneur.
Ce dernier fut entamé à partir de l'année 30 EC et institué comme étant
l'attente de la Résurrection à la fin des trois jours et trois nuits,
conformément au Signe de Jonas.
Ces aspects
sont expliqués dans les documents suivants :
Le Dîner du Seigneur (No.
103)
et
(No. 103A),
La Pâque (No. 098),
La Signification du
Lavement des Pieds (No. 099),
La Signification du Pain
et du Vin (No. 100),
Le Moment de la
Crucifixion et de la Résurrection (No. 159) et
L'Offrande de la Gerbe
Agitée (No. 106b)
et ensuite
Les Quarante Jours
Suivant la Résurrection de Christ (No. 159A).
Sourate 89 : L'Aube
Commentaire sur le Coran
: Sourate 89 (No. Q089)
Les commentateurs hadithiques n'ont pas compris le premier texte et son
application à l'Église ni non plus ce qu'étaient les Dix Derniers Jours de
l'attente pour la réception de l'Esprit Saint à la Pentecôte
qui s’est produit au
matin du Cinquantième
Jour du Troisième Mois Sivan, à la fin du Compte de l'Omer.
Pickthall identifie le Troisième Mois comme le Mois du Pèlerinage, mais ne
fait pas de remarque supplémentaire.
À l'époque du
Prophète, ce mois faisait partie du Compte de l'Omer, et le Ramadan a
clôturé ce compte au jour de la Pentecôte.
Tout ceci a
été complètement perdu dans l'Islam Hadithique après la mort des Quatre
Califes Correctement Guidés et le meurtre d'Ali et d'Hussein. (Voir
aussi
Les Calendriers Hébreu et
Islamique Réconciliés (No. 053)).
Les commentaires du verset 7 s'appuient, en règle générale, sur la lecture
de l'iram ou 'irad, signifiant
“colonnes” ou
piliers.
Les commentaires de Picktall sur la diatribe d'Ibn
Kaldun offrent un rendu différent. Selon Ibn Kaldun, le mot signifiait
“mât de tente”
à l'époque du Prophète, mais Pickthall s'appuie sur les découvertes de son
temps au Yémen et reste donc fidèle à la signification traditionnelle.
La bonne compréhension est dérivée du contexte dans lequel ils sont donnés.
Ils ont été utilisés par les 'Ād qui ont été condamnés par Dieu par le
prophète Hud. Le verset 8 décrit le genre de choses qui n'étaient pas commun
dans le pays.
Cela signifie qu'il
s'agissait de pôles spécifiques et idolâtres que l'on trouve dans les cultes
du Soleil et des mystères, tels que l’Asherah de la déesse Ashtoreth
[Astarté] ou Easter, décrite comme l'épouse de Baal, lesquels furent
condamnés par Dieu.
Le verset 9 poursuit sur la corrélation du Thamud avec la crevasse des
rochers de la vallée, pour lesquels ils ont été détruits, sous
l'avertissement de Salih. Les péchés commis avaient trait à l'idolâtrie et
au fait de créer l'Asherah et les idoles des bosquets en tant que symboles
de la déesse mère.
Sourate 90 :
La Cité
Commentaire sur le Coran
: Sourate 90 (No. Q090)
Le texte se réfère à
La Cité de Dieu (No. 180)
et lorsque les élus se voient donner le chemin de l'ascension vers la cité
dans l'Esprit Saint.
Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates de Becca qui décrit les
objectifs de la foi.
Sourate 91 : Le
Soleil
Commentaire sur le Coran
: Sourate 91 (No. Q091)
Ash-Shams
tire son nom du verset 1.
La traduction de Picktall pourrait sembler incorrecte,
car le Soleil y est dépeint comme étant féminin, et représentant la Déesse,
tandis que la lune Al-Qamar est masculine. Ces concepts représentent le
système de Baal et d'Easter dans les cultes du Soleil et des Mystères.
Cependant, le Soleil est mâle et la Lune est femelle dans le système Baal du
Levant.
Un de ces concepts est repris dans les Écritures, pour désigner le Messie en
tant que le Soleil de la Justice.
C'est aussi une des Toutes Premières Sourates de Becca
utilisée
dans le témoignage primaire auprès des gens de Becca et des Arabes en
général.
Sourate 92 :
La Nuit
Commentaire sur le Coran
: Sourate 92 (No. Q092)
Al-Leyl
est une des Toutes Premières Sourates de Becca
qui fait
partie du témoignage initial de la foi à Becca.
Il tire son nom du verset 1 comme un commencement.
Après les ténèbres [la nuit] vient le jour resplendissant et, de là, la
révélation de Dieu qui les a créés.
Le texte est
constitué de trois structures de sept versets, formant un total de 21
versets. La première structure concerne la révélation de Dieu. La seconde
structure aborde le sujet de ceux qui mécroient, qui amassent leurs
richesses et ne font aucun bien. Quant à la dernière structure, elle traite
le thème du Feu Flamboyant
comme fin des
plus désespérants de l'humanité seulement. Ceux qui cherchent à faire la
volonté de Dieu seront comblés de bonheur.
Sourate 95 :
Le Figuier
Commentaire sur le Coran
: Sourate 95 (No. Q095)
An-Tin
"Le Figuier" tire son nom du premier des deux articles
du verset 1. Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates de Becca
dans la révélation primaire aux gens de Becca et aux
Arabes en général et est une révélation qui traite de l'homme et de ses
devoirs envers Dieu sous les Lois de Dieu et la certitude de Son Jugement
avec les Mystères de Dieu et le Plan du Salut. Le
résultat a été qu'ils ont rejeté l'avertissement et ont inventé la Charia du
système païen à Becca au mépris direct des directives du Seul Vrai Dieu.
Les textes stipulent que ce sont les lois qui ont été
promulguées au Sinaï et, par conséquent, les lois qui ont été livrées à
Moïse.
Sourate 97
:
La Nuit du Décret
Commentaire sur le Coran
: Sourate 97 (No. Q097)
Al-Qadr
tire son nom d'un terme du verset 1. Il se réfère à la
nuit qui était considérée comme l'une des dernières nuits du Ramadan qui
clôturait le Compte de l'Omer menant à la Pentecôte lors de la Fête des
Semaines.
Cette nuit-là, le
Prophète fut appelé et reçut les révélations des premiers versets du Coran
(Sourate 96:1-5) au Mont Hira.
De là, la
Sourate 97 fut révélée immédiatement après la Sourate 96.
Le texte est également corrélé à l'octroi de la Loi à Moïse au Sinaï, tel
que révélé dans la Sourate 95 "Le Figuier".
Le fait de ne pas tenir compte du calcul des [mois] intercalaires du
calendrier a eu pour effet que l'Islam n'a aucune idée du moment où le vrai
calendrier se situait dans la pratique.
Le texte se réfère à la séquence de la réception de l'Esprit Saint à la
Pentecôte et aux décrets donnés au Sinaï dans les lois de Dieu et dans la
prophétie.
Lisez Exode 20 sur l'octroi de la Loi à la Pentecôte au Sinaï. L'église a
été stimulée par le don de l'Esprit Saint le jour de la Pentecôte en l'an 30
EC.
Les commentateurs musulmans croient, comme il est écrit
dans l'Ayat 185 de la Sourate 2, que la révélation au prophète arabe a été
donnée une des nuits des 10 derniers jours du mois de jeûne, ce qui équivaut
aux derniers jours du Compte de l'Omer menant à la Pentecôte.
Voir aussi l'étude sur
Les Quarante Jours
Suivant la Résurrection de Christ (No. 159A).
Les "Dix Jours" se
rapportent aux dix jours après les quarante derniers jours et à l'ascension
de Christ au trône de Dieu.
Ces dix jours
sont les jours qui mènent à la Pentecôte et à l'habilitation de l'Église de
Dieu à Jérusalem en l'an 30 EC ainsi qu'à la réception de l'Esprit Saint en
puissance.
Le temps passé à jeûner et à prier intensivement ainsi que l’activité durant
ces dix jours est spirituellement d'une plus grande importance en
comparaison aux autres jours normaux dans nos vies. Nous savons qu'il y a
une grande réjouissance
parmi les anges de Dieu pour
un seul pécheur qui se repent, ce qui fait qu'il y a une grande activité
parmi les anges fidèles dans chaque progression dans le Plan de Dieu. La
nuit où la révélation fut donnée au Prophète a été marquée comme un
évènement plein d'activités et de réjouissances.
Notez par ailleurs que le nombre de versets est de cinq. Cinq est le nombre
de la grâce à la Pentecôte à travers le don de Dieu.
Les textes de cette séquence provenaient tous des Toutes Premières Sourates
de Becca, tout comme l’est ce texte.
Sourate 99 : Le Tremblement de Terre
Commentaire sur le Coran
: Sourate 99 (No. Q099)
Le dernier tremblement de terre sera le plus grand, et consécutivement à
cela, la terre et l'humanité se verront montrer leurs activités dans les
secteurs où les hommes ont fait des dégâts, et leurs péchés et leurs actions
leur seront exposés.
Az-Zilzal
tire son nom du tremblement de terre mentionné au
verset 1. Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates de Becca.
Sourate 100 : Ceux qui Courent
Commentaire sur le Coran
: Sourate 100 (No. Q100)
Al-A'adiyat
prend son nom à partir du premier verset, d'un mot que
Pickthall a traduit comme "Coureurs". Il a le
sens de ceux qui courent pour des buts compétitifs. La signification des
cinq premiers versets n'est pas claire pour les traducteurs musulmans.
Les mots "hennissement" et "étincelles de feu"
indiquent une poursuite à cheval. Ils
"ratissent" à l'aube lors d'un raid, se clivant ensemble comme un seul homme
au centre.
Ils sont violents
dans leur amour pour la richesse et sont des ingrats envers le Seigneur
Dieu.
Ils sont prévenus que lors de la résurrection, leur Seigneur connaîtra toute
chose les concernant.
Sourate 101 :
L’Heure du Choc
Commentaire sur le Coran
: Sourate 101 (No. Q101)
Al-Qari'ah
est l’une des Toutes Premières Sourates de Becca qui
tire son nom des références à la calamité citée dans les versets 1, 2 et 3.
Le texte se réfère à nouveau au Jugement entre le bien et le mal à la fin
des temps, au jugement et à la sentence définitive de l'Étang de Feu.
Sourate 102 :
Le Désir de s’Enrichir
Commentaire sur le Coran
: Sourate 102 (No Q102)
At-Takathur.
Pickthall l'intitule de la façon suivante : "Rivalité
dans l’accroissement mondain", qui ne sont autres que les mots du premier
verset.
Il s'agit d'une des Toutes Premières Sourates mecquoises qui avertit contre
le fait de se préoccuper pour les biens de ce monde et de leur profit.
Sourate 103 : Le Temps
Commentaire sur le Coran
: Sourate 103 (No. Q103)
Une des Toutes Premières Sourates de Becca qui montre que le salut est
accessible uniquement à ceux qui sont appelés et exhortés aux bonnes œuvres
et qui s'exhortent les uns les autres à la vérité et à l'endurance.
Sourate 105 :
L’Éléphant
Commentaire sur le Coran
: Sourate 105 (No. Q105)
Al-Fil
"L'Éléphant" tire son nom d'un mot du premier verset.
C'est une des
Toutes Premières Sourates de Becca.
Le texte se
réfère à l'avancée des Abyssiniens du royaume Himyarite au Yémen sous
Abrahah en l'année 570 de l'Ère Courante (l’année de naissance du Prophète).
La tradition dit qu'aux dernières étapes de la marche,
les éléphants refusèrent de continuer, peut-être à cause des insectes.
Les idolâtres prétendent que des créatures volantes ont
jeté des pierres sur les Abyssiniens. Une autre
tradition dit qu'ils se sont retirés après une épidémie de variole, ou d’une
autre maladie, survenue chez eux. Cette version des faits semble être la
plus probable. Le
Dr. Krenkow considère
qu'il existait des essaims d'insectes porteurs d'infections.
C'était
le moyen de sauvetage
de la Ka'bah que les Chrétiens Hymyarites Abyssiniens avaient l'intention de
détruire.
Cette vue montre
l'échec des gens de Becca à comprendre pleinement le danger de la Ka'bah en
tant qu'objet idolâtre comme tel.
Sourate 106 :
La Tribu des Qurayshites
Commentaire sur le Coran
: Sourate 106 (No. Q106)
Ash-Shita
"Hiver" est aussi un nom utilisé dans le texte (cf. v.
2) portant sur les Qurayshites.
La tribu de Qureych (ou des Qurayshites) était protégée contre ses ennemis
lors de ses voyages en Syrie l'été, et au Yémen l'hiver. Les Qurayshites
pouvaient ainsi faire fonctionner leur commerce. Leurs
activités commerciales leur permettaient de subvenir aux besoins quotidiens
et d'apporter des marchandises diverses aux habitants de Becca. Ils étaient
donc bien nourris et vivaient en sécurité. Les habitants étaient donc priés
d'être reconnaissants pour les bonnes conditions de vie dont ils
bénéficiaient et leur sécurité.
Tous ces textes sont des textes d'introduction de base pour le
perfectionnement des gens de Becca en vue de la compréhension de la foi sous
sa forme primitive. La structure de la foi a été construite à partir de ces
textes, et même dans leur forme la plus simple, ils ont engendré la
persécution lors de la Première Hégire vers l’Abyssinie que l'église a
entreprise sous Jaffar, le cousin du Prophète, en 613 EC. Notez que la
section suivante contient les dernières sourates numérotées qui ont été
conçues pour compléter la mission principale aux gens païens de Becca et les
sensibiliser à la foi des Écritures.
*****
Section 2
Cette section
traite des Premières Sourates de Becca après la Première Hégire de l’an 613
en Abyssinie. La Sourate 19 Maryam a été révélée à cette époque pour
permettre à l'Église, dirigée par Jaffar, le cousin du Prophète, de prouver
sa bonne foi en demandant l'asile au Négus d'Abyssinie et à l'Église
sabbatarienne qui s'y trouvait. La Sourate 20 Ta Ha a joué un rôle
déterminant dans l'appel d'Omar à Becca en l’an 613.
Les Premières Sourates de Becca
Sourate 019, et peut-être la 020
La Sourate 1, qui est une prière, a été introduite après la Première Série
mais
personne n'est sûr du moment exact de l’introduction.
De la même manière, le Coran se termine par les Sourates 113 et 114 qui sont
des Sourates de prière pour la protection.
Sourates 34, 35, 51, 52, 53, 54, 55, 56, 70, 71, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81,
82, 83, 84, 85, 86, 87, 93, 94 104, 107, 111, 112, 113, 114.
613 EC : La Première Hégire en Abyssinie
Sourate 19 : Maryam
Commentaire sur le Coran
: Sourate 19 (No. Q019)
La Sourate 19 "Maryam" est nommée Marie par certains, par exemple
Pickthall, comme étant le nom putatif de la mère du Messie.
Cependant, la mère du Messie était nommée
Mariam et sa sœur, l'épouse de Clophas, était nommée Mariah dans le texte
grec, et la vierge est également nommée Maryam dans le Coran.
Marie est la corruption en langue française de l'application latine de
"Maria". La Sourate "Maryam" tire son nom des versets 16 et suivants.
La Sourate est ancienne, et provient à l'origine de Becca.
La plupart datent cette Sourate à partir de
la Cinquième année de la mission du Prophète, dans ce qui est connu comme
étant la Première Hégire, lorsque les pauvres de l'église à Becca étaient
persécutés et qu’ils étaient forcés de fuir en Abyssinie et de se réfugier
avec leurs homologues Unitariens Bibliques dans l'Église de Dieu en
Abyssinie (cf. l'étude
La Distribution Générale
des Églises observant le Sabbat (No. 122) ; cf. aussi Pickthall intr).
Là-bas, ils ne seraient pas persécutés pour l'adoration
du Seul Vrai Dieu Éloah.
Cela se déroula en l'année 613 de l'Ère Courante, la Neuvième année avant
la fuite à Al-Madinah depuis Becca en l’an 622 EC, qui débuta la Seconde
Hégire,
laquelle
est la plus comprise par le terme.
La
mission du Prophète avait débuté en l'année 608 de l'Ère Courante, lorsqu'il
fut appelé par l'Esprit et éduqué dans les Écritures.
Pickthall attire l'attention sur le fait qu'ils n'étaient pas
Trinitaires.
Les gens
de Becca utilisèrent intelligemment et habilement leur position d'Unitariens
Bibliques pour prétendre qu'ils n'étaient pas de vrais chrétiens, au sens
Trinitaires.
Les gens idolâtres de Becca, dans le but de
les persécuter, envoyèrent donc des ambassadeurs au Négus pour leur
extradition.
Le Négus, contre la volonté des envoyés de Becca, fit venir les
porte-paroles des réfugiés et les interrogea au tribunal, lors d'un procès
qui se déroula devant les évêques des églises d'Abyssinie. Le cousin du
Prophète, Ja'far ibn Abi Talib, était le porte-parole de l'église qui
cherchait refuge.
Ce qu'il a dit est connu et raconté par
Pickthall d'après les écrits d'Ibn Ishaq, qui ont été repris dans
l'introduction de la Sourate 19.
Les Premières Sourates de Becca avaient pour but d'expliquer la structure du
trône de Dieu et sa position en tant que Le Très Haut ou l'Elyon biblique et
le Créateur.
Les textes décrivent la position de Christ en tant que la nouvelle Étoile du
Matin qui destitue et remplace Satan à la fin de son règne (cf. les Sourates
86 et 87).
De même, les Sourates 70 à 72 furent données pour expliquer et retracer le
cheminement de la création depuis le témoignage sous Noé jusqu'aux 72 en
tant qu'église, en passant par la séquence des Jinn.
À moins qu'un individu ait été baptisé pour le repentir et qu'il ait
l'Esprit Saint ainsi qu’une ferme et solide compréhension de l'Écriture, il
n'a aucune chance de comprendre le Coran.
Section 2:2
Sourate 20
(peut-être) :
Ta-Ha
Commentaire sur le Coran
: Sourate 20 (No. Q020)
Comme nous l'avons statué plus haut, la Sourate 20 Ta Ha
a été écrite en l'an 613,
lors de la Cinquième année de la mission du Prophète qui avait commencé en
l'an 608 de l'Ère Courante.
Le
message fut donné peu de temps après la première Hijrah ou Fuite de Becca
vers l’Abyssinie sous Ja'far, cousin du Prophète.
Les pauvres cherchaient un abri sous la protection de l'Église
Sabbatarienne en Abyssinie. Cependant, les gens de Becca essayaient de les
extrader de Becca pour les persécuter.
Cette Sourate permit la conversion d'Omar ibn ul-Khattab qui était un
scribe.
Ce fait
est relaté par Pickthall dans son introduction à la Sourate.
Omar ibn ul-Khattab devint khalife suite à sa conversion.
Un jour, Omar partit l'épée à la main, avec l'intention de tuer le
Prophète
– "Ce Sabéen qui a divisé l'unité des
Qureysh, en considérant leurs idéaux fous et leur religion honteuse, et qui
blasphème leurs dieux."
Un ami le croisa sur son chemin et le dissuada de tuer le Prophète.
Il rappela à Omar que s'il le tuait, il
devrait faire face à la vengeance d'un clan puissant.
Il lui fut dit :
“Penses-tu que les Banu abd Munaf te laisseraient vivant sur la surface de
cette terre s'ils apprenaient ton acte ?”
(Voir
aussi les commentaires de Pickthall sur Ta Ha concernant la fierté tribale
qui prévaut aux divergences religieuses).
Il demanda ensuite à Omar s'il ne valait pas mieux qu'il retourne chez
les gens de sa propre maison pour les garder dans le droit chemin.
Omar souhaita alors qu'on lui précisât
l'identité des personnes en question.
On lui répondit : "Ton beau-frère et cousin Said ibn Zeyd et ta sœur
Fatimah, fille d'Al Khattab, sont devenus par la grâce d'Allah, des
Musulmans et des disciples [du Mouhammad] dans sa religion ; alors prends
exemple sur eux."
Notez qu'Omar a utilisé le terme Sabéen dans sa citation, mais le mot est
ignoré par les érudits musulmans et dans la traduction de Pickthall.
Les Sabéens venaient de la région de Saba
et la reine de Saba fut convertie par Salomon.
Les érudits modernes ont fait de leur mieux pour discréditer l'histoire ;
cependant, plusieurs soutiennent que
le royaume date des années ca. 1200 AEC (avant notre ère). Après la conquête
du Yémen par le Négus d'Abyssinie, consécutif au massacre des Chrétiens par
le roi Juif, ils régnèrent sur les Sabéens, et ainsi la théologie du
Prophète était associée à eux.
À l’époque où Omar utilisait le terme de Sabéen, il n'était pas en faveur
des croyances religieuses du Prophète qui forment le Coran.
Ces croyances dépendent directement de
l'Unitarisme Biblique et utilisent la théologie de l'Ancien et du Nouveau
Testament. Ainsi, Omar n'a pu utiliser ce terme que dans son sens
d'Unitarisme Biblique, car les demandes des gens de Becca indiquaient très
clairement, dans le cadre de la mission au Négus d'Abyssinie, que ceux-ci
n'avaient rien à voir avec le Trinitarisme, et les déclarations de Ja'far,
cousin du Prophète, montrent qu'ils suivaient la Loi Biblique et l’adoration
du Seul Vrai Dieu, ainsi que la foi Messianique (cf. la Sourate 19
ci-dessus).
Les auteurs islamiques ont également déclaré que les pratiques sabéennes
ont infiltré la Charia tel que nous le lisons ci-après.
Les pratiques de mariage proviennent
principalement des Écritures. Les pèlerinages étaient idolâtres et dérivés
du mysticisme.
L'écrivain musulman Muhammad Shukri al-Alusi compare leurs pratiques
religieuses à l'Islam dans son Bulugh al-'Arab fi Ahwal al-Arab : (cf.
l'article anglais de Wikipédia sur les Sabéens)
[18]
Pendant la période préislamique, les Arabes avaient l'habitude de pratiquer
certaines choses qui étaient incluses dans la Charia Islamique.
Par exemple, il leur était défendu d'épouser à la fois
une mère et sa fille. Ils considéraient par ailleurs l'acte d'épouser
simultanément deux sœurs comme l'un des crimes les plus odieux. Ils
réprimandaient aussi quiconque épousait sa belle-mère, en le qualifiant de
dhaizan.
Ils faisaient le
grand pèlerinage [hajj] et le petit pèlerinage [umra] à la Ka'bah, en
effectuant les circumambulations autour de la Ka'ba [tawaf],
avaient pour coutume de courir sept fois entre les Monts Safa et Marwa [sa'y],
de jeter des pierres et de laver leurs corps après les rapports sexuels. Par
ailleurs, ils se gargarisaient, se nettoyaient les narines en reniflant de
l'eau, se coupaient les ongles, s'épilaient les aisselles, rasaient leurs
poils pubiens et pratiquaient le rite de la circoncision.
De même, il était de coutume de couper la main droite
des voleurs.
-
Muhammad
Shukri al-Alusi, Bulugh al-'Arab fi Ahwal al-'Arab, Vol. 2, p. 122
La Charia
était ainsi dérivée de la structure rituelle
préislamique des gens idolâtres de Becca. Elle était utilisée pour corrompre
les Lois de Dieu qui étaient la base de la Foi telle que livrée à Moïse au
Sinaï (voir le texte de la Sourate 095 "Le Figuier").
Sourate 34 :
Sheba
Commentaire sur le Coran
: Sourate 34 (No. Q034)
Sheba ou "Saba"
tire son nom des versets 15 et suivants. Il s'agit d'une région au Yaman ou
Yémen.
Saba avait un royaume dont la richesse était
basée sur l'agriculture et l'irrigation et était considéré comme le Sheba de
la Bible.
Le système d'irrigation était préexistant ca. 800 AEC (Avant l'Ère
Courante) et a perduré jusqu'à l'effondrement de son système de barrage ca.
570 EC.
Il a
atteint son apogée dans les années ca. 750 et le système primitif a été
associé à Salomon et à la reine de Sheba, citée dans la Bible.
Ceci fut un
exemple et un avertissement pour les Arabes idolâtres quant à ce qui leur
arriverait.
Ils sont
maintenant probablement pires que ce qu'ils étaient.
Les Sabéens étaient sous
Dominion
des Unitaires Abyssiniens
Himyarites, et ceci explique probablement l'origine du terme "Sabéen" tel
qu'appliqué au Prophète par Omar dans la Sourate 20 "Ta Ha", citée
ci-dessus.
Sourate 35 : Les Anges
Commentaire sur le Coran
: Sourate 35 (No. Q035)
La Sourate 35 Al Mala'ikah,
Les Anges, est également
appelée Al Fatir Le Créateur, d'après un terme du verset 1. Le
texte se réfère à la création de l'Armée Angélique.
Une des rares erreurs de transcription du Coran est
présente ici au verset 1. Les anges ici ont trait à ceux de deux, trois et
quatre anges ailés. Le fait est que la création de l'Armée Angélique était
en tant que des élohim, [et ils sont décrits] comme deux anges ailés et
quatre anges ailés, et les Étoiles du Matin comme des Séraphins ou des anges
à six ailes. Le texte original était très probablement "ayant des ailes deux
et deux fois trois et quatre".
Il est surprenant que l'erreur n'ait pas été
constatée depuis longtemps.
L'idée d'un être volant à trois ailes est ridicule.
La distinction
est qu'Allah multiplie ce qu'Il veut dans la création.
Cela fait
référence à la création initiale dans Job 38:4-7 où tous les fils de Dieu
étaient rassemblés sous l'autorité de leurs Étoiles du Matin lors de la
création initiale de la terre.
Les Séraphim sont les chefs enseignants à six ailes de l'Armée Angélique.
Les Chérubins sont également des créatures à six ailes qui entourent le
Trône de Dieu.
Le Messie devait devenir l'Étoile du Matin ou l'Al Tarikh en tant que
chef de l'Armée entière par son sacrifice comme nous le voyons dans la
Sourate 86 "Al Tarikh" ou "L'Étoile du Matin" ci-dessous.
Sourate 51 :
Les Vents Tourbillonnants
Commentaire sur le Coran
: Sourate 51 (No. Q051)
Adh
-
Dhariyat
tire son nom du verset 1. Les quatre premiers versets
sont habituellement compris pour se référer aux vents ou aux Anges qui
passent au crible l'humanité.
Leurs
significations symboliques sont également mises en évidence dans le verset
50 où "l'avertisseur" d'Allah à l'église était un ange révélateur supposé
être Gabriel dans la mission pour l'église à Becca.
Le verset 36 contient le terme arabe
Mouslimin, signifiant ceux qui se sont
soumis à Allah.
Ainsi, Lot était
considéré comme un Mouslimin tout comme
Abraham et ensuite Moïse et les prophètes, et les Églises de Dieu étaient
toutes des Mouslimin, signifiant qu'elles s'étaient soumises à Dieu.
Sourate 52 : Le Mont
Commentaire sur le Coran
: Sourate 52 (No. Q052)
At-Tur
tire son nom du verset d'ouverture.
C'est une des
Premières Sourates des gens de Becca
associée à celles qui ont permis le début de l'instruction à Becca ainsi
que l'explication du plan de Salut de l'Écriture.
Les premiers textes se réfèrent aux Écritures
utilisées dans l'appel de l'église à Becca.
Sourate 53 :
L’Étoile
Commentaire sur le Coran
: Sourate 53 (No. Q053)
L'étoile se réfère à la transition du pouvoir de Satan à Christ en tant
qu'Étoile du Matin, conformément à la prophétie dans Nombres 24:17.
Sourate 54
: La Lune
Commentaire sur le Coran
: Sourate 54 (No. Q054)
Al Qamr
“La
Lune”
tire son nom du verset 1 concernant le passage suivant : "L'heure approchait
et la Lune était déchirée en deux."
Le texte se réfère à l'époque où les
compagnons du Prophète étaient avec lui. Quand la Mission aux Arabes
commença, la lune apparut déchirée en deux. Cette vision fut comprise comme
ayant été donnée pour la mission ; c'est ainsi que la persécution de
l'église à Becca commença.
Ainsi, cette Sourate qui fait partie des
Premières Sourates de Becca devait être
bien antérieure à l'an 613 de l'Ère Courante et à la Première Hégire en
Abyssinie.
Il est possible que cette Sourate fasse partie des Toutes
Premières Sourates de Becca.
Son écriture a été provoquée par le culte des Païens et de Qamar [la
Lune], tel que nous le voyons dans les textes précédents (Les Sourates
51-53).
Sourate 55 : Le Plus Gracieux
Commentaire sur le Coran
: Sourate 55 (No. Q055)
La Sourate Ar-Rahman "Le Bienfaisant" est le
titre par lequel la Sourate commence.
Il porte le concept de la Miséricorde et de la Grâce de Dieu.
Dans la question au verset 13 : "Lequel des
bienfaits/faveurs de votre Seigneur reniez-vous ?", le pronom vous et le
verbe renier sont sous une forme dualiste.
La question s'adresse donc à la fois à
l'humanité et aux djinns [démons].
Dans l'Islam Hadithique, une controverse a fait son
apparition selon laquelle les versets 46 à 76 ne se référeraient pas aux
résurrections de paradis, représentant les divisions de l'Éden, mais aux
conquêtes ultérieures des musulmans, représentées par quatre régions :
l'Égypte, la Syrie, la Mésopotamie et la Perse, et ainsi en arriver à
l'aspect physique et non plus à l'aspect spirituel. Le texte examine cette
double signification suggérée.
Cette Sourate parmi les
Premières Sourates de Becca est destinée - comme les autres Sourates de ce type - à ouvrir les yeux
de ceux qui sont appelés et à les éduquer dans les Écritures.
Sourate 56 :
L’Événement
Commentaire sur le Coran
: Sourate 56 (No. Q056)
Al-Waqi'ab
"L'Événement" tire son nom de l'événement
dont il est question au verset 1. Il s'agit d'une des
Toutes
Premières Sourates de Becca
introduisant la Foi aux idolâtres à Becca et aux Convertis étant appelés
parmi eux.
Son but était d'expliquer
Le Jour du Seigneur et
les Derniers Jours (No. 192)
ainsi que
les sujets traités dans les études sur
La Résurrection des Morts
(No. 143),
La Première Résurrection
(No. 143A)
et
La Deuxième Résurrection
et le Jugement du Grand Trône Blanc (No. 143B).
Le verset 40 aurait été révélé à al Madinah [Médine] en tant qu’une
révélation ultérieure, laquelle enseigne que la résurrection aura un élément
postérieur d’appelés au cours du système Millénaire et que ces appelés
seront changés en être spirituels à la Deuxième Résurrection.
Sourate 70 :
Le Chemin de l'Ascension
Commentaire sur le Coran
: Sourate 70 (No. Q070)
Le nombre attribué à cette Sourate n'est pas dû à un accident.
Les Soixante-dix se rapportent aussi aux
Soixante-douze qui étaient à l'origine les Élohim de l'Armée Céleste
auxquels ont été attribuées les nations de la Terre tel que décrit dans
Deutéronome 32. Yahovah élohim, qui devint plus tard le Christ, se vit
attribuer Israël par Éloah en tant que son domaine, à travers lequel l'armée
humaine entière serait appelée et placée en tant qu'élus dans la Cité de
Dieu.
De la même façon, les Soixante-dix formant le Sanhédrin furent mis
responsables des Tribus d'Israël. Par la suite, Christ ordonna les
Soixante-dix en tant que le Conseil des Anciens, tel que nous le voyons dans
Luc 10:1 et 17. Dans les textes originaux, ils ont été appelés les
Hebdomekonta [Duo] signifiant les Soixante-dix [Deux]. Il leur a été donné
le pouvoir de baptiser et d'ordonner en vue d’établir les moyens du Salut et
l'ascension aux Résurrections par le moyen de l'Esprit Saint.
Les ascensions de Moïse étaient aussi indicatives à la préparation de
l'humanité aux Lois de Dieu afin de rencontrer le Messie lors de son Premier
et Second Avènement (voir l'étude
Les Ascensions de Moïse
(No. 070)).
Voir aussi l'Introduction à la Sourate 72.
L'église sous Christ devint le seul moyen par lequel les hommes pouvaient
s'élever à Dieu dans l'Esprit Saint.
Le Prophète était simplement l'un des dirigeants des Églises de Dieu, qui
étaient tous le Mouhammad habilité à diriger les Églises de Dieu dans
l’Ahmad ou Esprit Saint.
Sourate 71 : Noé
Commentaire sur le Coran
: Sourate 71 (No. Q071)
Cette Sourate tire son nom du sujet traité,
qui sont les prophéties du prophète Noé et la destruction du monde.
Il s'agit d'une des
Premières Sourates de Becca utilisée pour introniser l'église primitive à Becca aux Écritures de la
Bible.
Elle allait aussi permettre de montrer le premier témoignage contre les
Djinns et ce qu'était le monde antédiluvien.
Sourate 75 : La Résurrection
Commentaire sur le Coran
: Sourate 75 (No. Q075)
Al-Qiyamah
tire son
nom de la référence à la Résurrection au verset 1. Il s'agit d'une des
Premières Sourates de Becca placée
ici pour faire suite à l'avertissement initial aux Arabes de la Sourate
précédente (Sourate 74).
Les versets 1 à 4 dans cette Sourate se réfèrent aux textes d'Ézéchiel,
de Job et d'Ésaïe recouvrant l'aspect physique qui doit se produire à
l'humanité lors des résurrections. Cela inclut à la fois la Première et la
Deuxième Résurrection, auxquelles tous les hommes sont assignés pour leur
jugement, ainsi que la récompense ou la correction.
Les adorateurs des cultes du Soleil et des Mystères à Becca qui adorent
Hubal (signifiant "Le Seigneur") statuaient qu'après la mort, ils allaient
au ciel. Il en est de même pour les adorateurs de Baal, qui vouaient leur
culte le dimanche, et qui ont gardé les fêtes de Noël et de Easter/Pâques,
et qui ont, plus tard, pénétré le Christianisme à Rome et ce, à partir du
culte du dieu Attis (voir l'étude sur
Les Origines de Noël et
de Easter/Pâques (No. 235)).
Quiconque statue qu'après la mort, nous allons au ciel n'est pas un
disciple de la foi du Christ et des Apôtres et des Prophètes, mais est un
adorateur des Cultes du Soleil et de Baal ou Hubal. Ces mêmes infidèles
contrôlent Becca et Rome, ainsi que le pseudo-Islam et le
pseudo-Christianisme à ce jour.
Sourate 76 :
L’Homme ou le Temps
Commentaire sur le Coran
: Sourate 76 (No. Q076)
"Al-Insan"
ou Ad-Dar dans l'un ou l'autre cas tire son
nom du verset 1. C'est une des Premières
Sourates de Becca qui concerne la doctrine de
La Prédestination (No.
296)
des élus dans le plan du Salut et elle est liée aux autres
Premières Sourates de Becca portant
l'attention de l'appel aux oreilles des idolâtres de Becca et de ceux qui
devaient être appelés et baptisés parmi eux.
Sourate 77 : Les Émissaires
Commentaire sur le Coran
: Sourate 77 (No. Q077)
Le texte montre que Dieu envoie Ses messagers ou Al-Mursalat
en tant qu'émissaires avec
un but spécifique pour la direction de l'humanité.
Il utilise à la fois des moyens naturels et spirituels.
Ceci est une référence au livre des
Hébreux (No. F058)
et le but de l'Armée
Angélique en tant qu'esprits au service de l'humanité.
C'est une
des
Premières Sourates de Becca
utilisée pour commencer l’explication du Ministère aux Arabes.
Sourate 78 : Les Nouvelles
Commentaire sur le Coran
: Sourate 78 (No. Q078)
An-Naha
tire son nom des mauvaises nouvelles dont il est question au verset 2.
C'est une des
Premières Sourates de Becca
faisant partie
des premières proclamations après le commencement de la Mission du Conseil
de l'Église, qui est le Mouhammad sous l’autorité du Prophète.
Sourate 79 :
Ceux qui Arrachent
Commentaire sur le Coran
: Sourate 79 (No. Q079)
An Nazi'at
tire son nom d'un mot du verset 1 qui se
réfère à ceux qui traînent avec l'intention de faire face aux Résurrections
avec possibilité de destruction.
Les versets 2 et 3 sont désignés par certains comme se référant aux Anges
dans leurs rôles célestes et (comme l'a noté Pickthall) comme "ceux qui
consolent tendrement les esprits des justes" et "ceux qui descendent du ciel
sous l'ordre de leur Seigneur". Le rendu de Pickthall est le plus évident.
Cependant, la signification est celle du soutien angélique spécifique aux
élus.
C'est une des
Premières Sourates de Becca qui s'accorde
sur les thèmes de l'avertissement des Arabes et sur le spectre de la
Résurrection et du Jugement.
Sourate 80 :
Il a Froncé les Sourcils
Commentaire sur le Coran
: Sourate 80 (No. Q080)
‘Abasa
est une réprimande du Prophète pour l'acception des personnes. En effet,
lui-même s'est détourné d'un aveugle, après que celui-ci lui ait posé une
question. À ce moment-là, le Prophète expliquait la foi à l'un des
dirigeants de sa tribu, les Qureysh. Il s'est détourné de l'aveugle qui
était visiblement intéressé et a froncé les sourcils.
Dans cette Sourate, il fut réprimandé pour son
acception de personnes, et est enseigné que l'importance d'un homme ne
dépend pas de son apparence ou de sa position dans la société.
Dieu ne fait pas
acception de personnes (Actes 10:34).
De nouveau, la Sourate suivante est une des
Premières Sourates de Becca
ayant pour objet l'appel des élus de Dieu dans la foi.
Sourate 81 : Le Renversement
Commentaire sur le Coran
: Sourate 81 (No. Q081)
Al-Takwir
tire son
nom du verset 1. Il se réfère au renversement du système solaire sous
l'ordre angélique de l'Armée Déchue.
Le
temps de Satan est court et son ordre mondial de la semaine de travail de
6000 ans touche à sa fin.
D'après les textes bibliques, Adam et Ève ont été créés en 4004 AEC (avant
notre ère). Le Jardin d'Éden fut fermé et le monde placé sous la domination
de Satan trente ans plus tard, lorsque Adam était pleinement responsable, en
3974 AEC (avant notre ère), lors du Premier Jubilé.
Le
120ème jubilé se termine en 2027. Le Messie sera envoyé avant
cette date pour écourter ce règne, sinon il n'y aura aucune chair laissée
vivante (voir
Les Grandes Lignes de la
Chronologie de l’Âge (No. 272)).
Le repos de Sabbat du Messie dure 1000 ans après la Première Résurrection
pour le Millénium.
Les textes se réfèrent au système satanique du Soleil et aux cultes des
mystères et à leur massacre d'enfants et de bébés, généralement à Becca et
en Syrie, sous les cultes du soleil et les systèmes de Baal et Easter au
Levant, et à Babylone et au Moyen-Orient en général.
C'est un avertissement aux Arabes et au Moyen-Orient et à l'Afrique du
Nord en général.
Il sera
encore renforcé dans ces derniers jours et la dernière des Guerres d'Amalek
annoncées par Moïse, qui se produiront dans les derniers jours et qui sont
en cours maintenant au Moyen-Orient (Exode 17:14-16).
Le Seigneur a dit à Moïse : "Écris un récit de cette victoire et lis-le à
Josué.
Je veux
que les Amalécites soient oubliés pour toujours." (15) Moïse
construisit un autel et le nomma "Le Seigneur me donne la victoire"
(16) Puis Moïse expliqua : "C'est parce que je dépendais du Seigneur,
mais dans le futur, Le Seigneur devra à nouveau combattre les Amalécites."
Les Arabes ont apporté les guerres de la fin sur eux-mêmes à partir de
1948 à 1967, et maintenant jusqu'à la fin des guerres et la venue du Messie,
pour écourter le temps et forcer les Coupes de la Colère de Dieu sur les
gens qui doivent se repentir afin de vivre et entrer dans le Millenium (voir
l'étude
Les Guerres des Derniers
Jours et les Coupes de la Colère de Dieu (No. 141B)).
Le Moyen-Orient a été détruit par les Arabes idolâtres bien qu'ils aient
reçu le Coran et les Lois de Dieu.
On
leur a dit d'obéir aux Lois de l’Alimentation (Sourate 3:93) mais ils les
ont corrompues avec le soi-disant Halal.
Ils ont mangé des chameaux issus des sacrifices à Becca à la Kaaba, allant
de pair avec le massacre des enfants, et ils ont mangé tout ce qui pouvait
être mauvais et impur, excepté le porc.
Sous les Romains, l'Afrique du Nord était la corbeille à pain de la
Méditerranée. Avec les arbres allant du Nil à l'Atlantique et à l'Asie, elle
était encore riche, productive et arborée.
Elle a été transformée en un désert aride et doit être soumise, reboisée
et stabilisée à nouveau.
Cela
n'arrivera pas sous le règne actuel.
Le
golfe d'Oman a été transformé en la plus grande zone morte des océans dans
le monde, en raison de la pêche continuelle des animaux marins, des huîtres
et des coquillages qui maintiennent les océans et nettoient les eaux.
Tout cela a été fait en désobéissance aux lois de Dieu.
Ces infidèles pseudo-islamiques et
pseudo-chrétiens ont tué la région, en même temps qu'ils détruisent le monde
entier.
La Sourate a 29 versets, un nombre qui symbolise le Jugement (voir
l'étude
Le Symbolisme des Nombres
(No. 007)).
Sourate 82 :
La Scission
Commentaire sur le Coran
: Sourate 82 (No. Q082)
Al-Infitar
fait référence au clivage du premier ciel.
Les planètes qui
se dispersent sont liées au texte du verset 4 se référant aux sépulcres qui
sont renversés. Les lieux de cultes païens de Becca et ce, jusqu’à Rome,
ainsi que ceux qui
observent les astres
vont être renversés et dispersés.
Tous les faux systèmes religieux seront
détruits, de la Kaaba jusqu’au Vatican.
Notez une fois de plus que le texte a 19
versets, ce qui correspond au nombre du jugement immédiat.
Le texte montre
que chacun est jugé en fonction de sa propre conduite et de sa façon
d'adorer ou de négliger.
Il s'agit encore une fois d'une des
Premières Sourates de Becca regroupée avec les textes missionnaires initiaux.
Sourate 83 : Ceux qui se Livrent à la Fraude
Commentaire sur le Coran
: Sourate 83 (No. Q083)
At Tatfif,
"frauder"
est mentionné dans le premier verset.
Cela traite du Huitième Commandement et de ceux qui le violent.
Sourate 84 : La Déchirure
Commentaire sur le Coran
: Sourate 84 (No. Q084)
Al-Inshiqaq
tire son nom des cieux divisés (en deux) au
verset 1. C’est l'arrivée du Messie et du conseil céleste chargé de
superviser les Saints, lequel est désigné en tant que les anges gardiens de
la Sourate 82. Ces anges forment le conseil du Trône de Dieu, chargés de
surveiller les prières des saints.
Ils sont Vingt-quatre et le Vingt-cinquième est le Messie en tant que
Souverain Sacrificateur, tel que nous le voyons dans Apocalypse chapitres 4
et 5. Ce sont les chefs des vingt-quatre divisions du sacerdoce, devant être
établis à Jérusalem.
La terre a précipité tous [les hommes] dans le
jugement de la Première Résurrection et ensuite de la Deuxième Résurrection
à la fin du Millénaire dont il est question dans Apocalypse chapitre 20.
Encore une fois, il s'agit d'une des
Premières Sourates de Becca qui met l'accent sur le Jugement et l'Avènement du Messie pour ce but.
Sourate 85 :
La Demeure des Étoiles
Commentaire sur le Coran
: Sourate 85 (No. Q085)
Al-Buruj
tire son nom du texte du verset 1.
Pickthall le traduit par demeures des Étoiles et
c'est le sens qui est retenu ici.
Le mot a le
sens de manoirs ou de tours et comme Pickthall l'indique, il est appliqué
aux signes du zodiaque.
Nous examinerons cet
aspect plus tard.
Les versets 4 à 7 sont généralement considérés comme faisant référence au
massacre des chrétiens de Najaran à Al-Yaman par le roi juif Dhu Nawas.
Cela devait s'avérer d'une grande importance
historique, car il provoqua l'intervention du Négus des Abyssiniens au Yémen
et aboutit à leur suprématie.
Comme cela a
été souligné dans l'introduction de la Sourate 19, le système abyssinien
était un système Sabbatarien Unitarien en général, et le Négus accorda un
sanctuaire à l'église à Becca, sous Jaffar le cousin du Prophète en l'an
613.
La suprématie du royaume Himyarite du Yémen a vu la langue arabe se
développer par les Chrétiens Sabbatariens en l'année 470 EC (Ère Courante).
Cette domination a duré jusqu'à la Guerre de l'Éléphant (voir la Sourate
105) qui était l'année de la naissance du Prophète, soit 570 EC.
Les mots "propriétaires du fossé du feu alimenté par le combustible" se
réfèrent à la condition de tous les persécuteurs de la foi dans l’autre vie
qui ne se repentiront pas et qui seront détruits dans l'étang de feu à la
fin de la Deuxième Résurrection.
Le professeur
Horowitz semble être de cet avis, et Pickthall le mentionne aussi dans son
introduction. Cependant, il ne semble pas comprendre la fonction du Lac de
Feu dans Apocalypse chapitre 20.
Le texte se réfère sans aucun doute à la nécessité de la Première Hégire en
613, pour laquelle ce texte a également été publié sans aucun doute à
l'appui du texte de la Sourate 19.
(Reportez-vous également à l'ouvrage
Islamic Culture, avril 1929, Hyderabad, Deccan)
Sourate 86 : L'Étoile du
Matin ou Al Tarikh ou le Visiteur Nocturne
Commentaire sur le Coran
: Sourate 86 (No. Q086)
Ce texte a été expliqué davantage en détail dans
l'étude
Christ et le Coran (No.
163).
Le titre peut être rendu comme
Al Tariq ou Al Tarikh ou Al Tarik.
Le nom a de multiples dérivés ou significations en araméen et Christ a
utilisé ces références pour se référer à lui-même dans les paraboles des
évangiles et dans la Révélation (Apocalypse) à Jean.
Jésus-Christ en tant
que Messie
Le Messie ou le oint de l'Ancien Testament s'est
accompli dans l'avènement de Yahoshua ou Jésus et ce, par sa naissance de
Mariam (ou Marie) de Nazareth.
La généalogie du Christ (voir l'étude
La Généalogie du Messie
(No. 119))
dans le Nouveau Testament dans l’Évangile de Luc est comprise par le
judaïsme rabbinique comme celle d'Héli, le père de Mariam (ou Marie).
La structure familiale en entier
et ce, depuis Moïse est développée dans l'étude suivante :
Commentaire sur le Coran
: Sourate 3 “Ali ‘Imram”.
Le terme Christ signifie
oint en grec.
Ce mot a la même signification que Messie en tant que oint, en hébreu.
Ainsi, les termes de Christ et
Messie ont la même signification.
La forme arabe dans le Coran a la même signification que l’oint ou le Messie
de Dieu.
Le Prophète Arabe
(incorrectement appelé
Mouhammad), se réfère à Jésus Christ comme le Messie à diverses
sections du Coran et notablement dans sa condamnation de la nouvelle hérésie
de la Trinité, à la Sourate 4 Les
femmes, au verset 171, où aussi il
le qualifiait comme la Parole. Il
en est de même au verset 172.
La Sourate 86, Al Tariq (L'Étoile
du Matin - telle que traduite par Pickthall) a été donnée pour expliquer
la signification de la mort du Christ, la nouvelle Étoile du Matin, en ce
que tous les hommes sont créés de nouveau ou renaissent par sa mort. Cela
est symbolisé et signifié par l'émanation du sang et de l'eau, provenant de
la blessure entaillée par la lance,
située entre les reins et les côtes.
D'autres significations anciennes et originales d'Al
Tariq sont significativement celles de
Celui qui vient dans la nuit (cf.
la traduction de Dawood) et de Celui
qui frappe à la porte.
La signification des déclarations du Christ à l'Église et l'ère de Sardes et
aux églises en général à Apocalypse 3:3 et 16:15, et à l'Église de Laodicée
à Apocalypse 3:20 devient alors plus claire.
Il dit à l'Église et à l'ère de Laodicée qu'il vient en tant que Messie.
Il dit qu'il est
Al Tariq, l'Étoile du Matin ou le
Roi Messie.
Il dit aussi que les églises, en
particulier celles de Sardes et de Laodicée, ne seront pas en train de
l’attendre lorsqu'il reviendra. Ces ères d'églises existent donc à son
retour.
La signification de la Sourate
Al Tariq est complètement perdue
dans l'Islam moderne.
Jésus, la Parole, le Souverain Sacrificateur selon
l'ordre de Melchisédek, est la nouvelle Étoile du Matin de la planète Terre.
Malheureusement, une partie de la
compréhension plus profonde du nom est perdue en français, et nécessite
quelques éclaircissements sur la question.
On peut voir à partir de Job 1:6 ;
2:1 et 38:4-7 qu'il y avait des Étoiles du Matin et des fils de Dieu
présents à la création du monde et que ces fils de Dieu, dont Satan en était
un, avaient accès au trône de Dieu sur une base continue.
Christ a fait allusion à qui il
était dans les Évangiles, mais la pleine signification de ce qu'il a dit n'a
pas été comprise.
Le nom Étoile du Matin dans
l'hébreu original et l'araméen signifiait
ce qui vient dans la nuit ou
celui qui frappe à la porte.
Ceci est conservé dans l'arabe Al
Tariq et est compris par eux.
Le Coran montre une compréhension claire et précise de qui était l'Étoile du
Matin.
Sourate 87 : Le Très Haut
Commentaire sur le Coran
: Sourate 87 (No. Q087)
Le texte se réfère à l'Elyon qui est le Très-Haut.
Il est le Seul Vrai Dieu
Éloah (ou Allah') qui est devenu le Ha Élohim par la création des fils de
Dieu qui sont les élohim en tant que classe.
Le texte de cette Sourate fait suite au texte de
l'Étoile du Matin pour montrer qu'Il est le Dieu du Messie en tant que
l'Étoile du Matin en tant que futur dirigeant du monde, afin que ce monde
soit soumis et que l'Elyon vienne sur la terre pour établir la domination
universelle à partir de la terre, comme nous le voyons dans Apocalypse
chapitres 21 et 22.
Sourate 93 : La Matinée
Commentaire sur le Coran
: Sourate 93 (No. Q093)
C'est une des
Premières Sourates de Becca
renforçant les Tout Premiers Messages sur lesquels elle s’appuie.
Elle suit les textes qui ont mené à la persécution et à
la Première Hijrah/Hégire de 613 EC et montre que Dieu ne les a pas
abandonnés.
La dernière partie
sera meilleure que la précédente et ils en seront ravis.
Il y a 11 versets, de telle sorte que le problème n'est donc pas complet et
n'en est qu'à son stade médian, lequel est la moitié du chiffre complet 22.
Une fois de plus, nous étions des mendiants et des orphelins et Dieu nous a
protégés et enrichis. C’est pourquoi Il nous demande de faire de même pour
ceux qui sont orphelins et dans le besoin.
Par conséquent,
la bonté du Seigneur fait partie du discours des élus.
Sourate 94 : Le Réconfort
Commentaire sur le Coran
: Sourate 94 (No. Q094)
Al-Inshirah
"Réconfort" tire son nom du sujet du verset 1, et du
sujet de la Sourate qui est la libération de l'anxiété.
Elle a très probablement été publiée au moment le plus
fort de la persécution, lorsque l'église a dû fuir en Abyssinie lors de la
Première Hijrah/Hégire en l'an 613 de l'Ère Courante.
Cette Sourate a été publiée en même temps que la Sourate
93. Cela aurait semblé ridicule aux gens de Becca, car le Prophète et
l'Église ont été raillés et rejetés, et les pauvres et les faibles forcés de
fuir.
Néanmoins, l'Esprit Saint avait donné à l'église l'assurance intérieure des
choses à venir ainsi que la tranquillité qui vient de la connaissance ferme
de la volonté de Dieu, pour un avenir non encore réalisé mais vu comme
promis par Dieu, et ainsi, assuré.
Le Prophète était absolument sûr de la reconnaissance à venir, tout comme
l’était l'église ou le
Mouhammad qui faisait l'objet de persécutions.
Les huit versets culminent dans l'effort pour plaire au Seigneur et avec
cela vient le soulagement, mais même ainsi, nous devons continuer à
travailler dur dans la foi.
Sourate 104 : Le Calomniateur
Commentaire sur le Coran
: Sourate 104 (No. Q104)
Al-Humazah
tire son nom des calomniateurs mentionnés au verset 1.
À l'époque du Prophète, les infidèles à Becca se sont mis à détourner
l’attention des nouveaux venus à Becca, et ont calomnié le Prophète pour
nier la foi.
Il en est de même pour la foi jusqu'à ce jour, et
encore davantage dans les Églises de Dieu corrompues.
C'est une des
Premières Sourates de Becca.
Sourate 107 : Petites Bontés
Commentaire sur le Coran
: Sourate 107 (No. Q107)
Al-Ma'un
est une des
Premières Sourates de Becca
qui tire son nom du dernier verset.
Elle se réfère aux faux adorateurs qui sont méchants envers les nécessiteux
et les orphelins, qui ne tiennent pas compte de leurs prières mais désirent
simplement être vus au culte, comme ils le sont aujourd'hui.
Sourate 111 : La Fibre de Palmier
Commentaire sur le Coran
: Sourate 111 (No. Q111)
Al-Masad
tire son nom d'un terme présent dans le dernier verset.
C'est la seule
Sourate de tout le Coran où un opposant du Prophète est dénoncé par son nom.
Il est dénommé en tant que Abu Lahab ou le "père des flammes".
Abdul-'Uzzå, parent du Prophète et cousin germain de
son grand-père Abdul Muttalib, était apparemment connu sous le nom d'Abu
Lahab, signifiant le Père des Flammes à cause de son teint roux et de son
caractère féroce.
Lui et sa femme entretenaient de l'hostilité envers le Prophète et étaient
les épines dans sa vie.
Ils sont maudits à cause de leurs actes et de leurs pensées.
Sa femme a participé à ses
manœuvres hostiles contre l'Islam.
Il serait mort peu de temps après avoir appris la défaite des Qureysh à la
bataille de Badr.
Il est statué que son épouse était une porteuse de
bois ou une porteuse de combustible, ce qui signifie, de manière figurée,
qu'elle aurait ajouté du combustible aux
ragots que se racontaient les gens, pour impliquer
ces derniers dans la calomnie.
Elle a dû être impliquée dans la diffusion de faux rapports
contre le Prophète.
On dit qu'elle a été étranglée par la même corde
qu'elle utilisa pour ramener les arbustes épineux de la forêt qui ont été
placés sur les chemins utilisés par le Prophète.
Le
collier de
bijoux qu'elle portait est devenu
symboliquement une corde de fibre torsadée qui a mis fin à sa vie.
Sourate 112 : L’Unité
Commentaire sur le Coran
: Sourate 112 (No. Q112)
At-Taubid
"L'Unité" est un titre tirant son nom de son sujet.
Celle-ci est souvent considérée comme étant la substance du Coran dont elle
est en réalité la dernière Sourate fondamentale de la foi.
C'est une des
Premières Sourates de Becca.
D'après
Pickthall, certaines autorités considèrent qu'elle a
été révélée durant la période médinoise et que c’était en réponse à une
question posée par certaines autorités juives sur la Nature de Dieu.
Le thème est basé sur l'Écriture de Jean qui dit clairement
: "Et c’est ici la vie éternelle, c’est qu’ils te
connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé,
Jésus–Christ." (Jean 17:3).
Sourate 113 :
Le Lever du Jour
Commentaire sur le Coran
: Sourate 113 (No. Q113)
Al-Falaq est une des
Premières Sourates de Becca. Celle-ci et la Sourate 114 sont toutes
deux des prières pour la sécurité et la protection. Dans le
cas présent, il s'agit de prières ayant pour but la protection contre des
peurs, des craintes provenant de sources inconnues.
Les deux Sourates sont connues comme
Al-Mu'awwadhateyn, les deux cris
pour le refuge et la protection.
Sourate 114 : L’Humanité
Commentaire sur le Coran
: Sourate 114 (No. Q114)
An-Nas
est le deuxième des deux appels à la protection et est
également une des
Premières Sourates de Becca. Il tire son nom du mot récurrent en
arabe qui forme ou marque le rythme en arabe. Dans cette
prière, la protection est recherchée contre le mal qui se trouve dans le
cœur même de l'homme, mais plus spécifiquement contre la calomnie diabolique
du murmure furtif des djinns et de l'humanité.
La foi a été développée davantage dans la Deuxième série en approfondissant
le thème de la Première série.
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